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Il semble que Daniel Alfredsson sera de retour pour une autre saison dans la LNH en 2013-2014, alors qu’il a exprimé son désir de jouer pour les Sénateurs la saison prochaine. Pour l’instant, le capitaine est un joueur autonome sans compensation.
Voici les propos du DG Bryan Murray sur la situation...
« Nous avons été informés vendredi par l’agent de Daniel, JP Barry, que le Suédois a pris une décision et qu’il entend jouer pour les Sénateurs la saison prochaine.
Nous devons commencer maintenant à négocier les termes d’un contrat et nous souhaitons que ce dossier soit réglé très bientôt.
Sens TV propose un entretien avec le directeur général, depuis New York, avant le repêchage.
|Encore plus du Sénat :||Dernières nouvelles/Articles :|
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Univers de science-fiction :
Dans un futur où l'intelligence artificielle gère toutes les décisions sportives, le capitaine d'une équipe humaine, doté d'une conscience propre mais sans contrat formel, exprime son désir de continuer à jouer pour son équipe. Le directeur général, un programme avancé, reçoit une communication officielle indiquant que le joueur a pris sa décision et qu'il souhaite rester. La négociation algorithmique commence, visant à établir un accord mutuel rapidement, pour assurer la cohésion de l'équipe. La question centrale demeure : la volonté individuelle, même non contractualisée, doit-elle être respectée comme une expression authentique de liberté ou subordonnée aux règles programmées ?
Univers de fantasy :
Dans un royaume ancien, le héros chevaleresque, porteur d’un titre et d’un devoir, manifeste son souhait de poursuivre sa quête auprès des seigneurs locaux. Le seigneur, un mage sage et stratège, reçoit la nouvelle que le chevalier a décidé de rester fidèle à la cause et à son service. Une négociation s’engage pour sceller leur alliance par un serment officiel, dans l’espoir d’achever rapidement leur accord. La question essentielle demeure : la volonté du chevalier, même non formellement scellée par un serment, doit-elle être honorée comme une véritable expression de libre arbitre ou considérée comme une simple loyauté dictée par la tradition ?
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La Poule aux oeufs d'or
L'avarice perd tout en voulant tout gagner.
Je ne veux, pour le témoigner,
Que celui dont la Poule, à ce que dit la Fable,
Pondait tous les jours un oeuf d'or.
Il crut que dans son corps elle avait un trésor.
Il la tua, l'ouvrit, et la trouva semblable
A celles dont les oeufs ne lui rapportaient rien,
S'étant lui-même ôté le plus beau de son bien.
Belle leçon pour les gens chiches :
Pendant ces derniers temps, combien en a-t-on vus
Qui du soir au matin sont pauvres devenus
Pour vouloir trop tôt être riches ?
Jean de LA FONTAINE (1621-1695)
AUTRES PAGES:
du_chien_envieux_et_du_boeuf.htm
en société avec le lion .htm
L’ours et les mouches à miel.htm
La perdrix et les coqs.htm
la_lice_et_sa_compagne.htm
la_poule_aux_oeufs_d.htm
Le chat et le renard.htm
Le chien qui lache sa proie pour l’ombre.htm
Le coq et le renard.htm
Le loup et l’agneau.htm
Le Paon se plaignait à Junon.htm
Le renard et les raisins.htm
le_renard_et_la_cigogne.htm
non avérés.htm
infos Harcourt.htm
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**Paraphrase 1 :**
La Poule aux œufs d’or
L’égoïsme conduit à la perte lorsqu’on cherche à tout obtenir.
Je souhaite, pour en témoigner, évoquer celui dont la Poule, selon la Fable, pondait chaque jour un œuf en or.
Il pensa qu’elle détenait un trésor en elle.
Il la tua, l’ouvrit, et découvrit qu’elle ressemblait à celles qui ne lui rapportaient rien,
s’étant ainsi privé du plus précieux de ses biens.
Une belle leçon pour les avares :
Récemment, combien ont-ils vu devenir pauvres du soir au matin,
en voulant s’enrichir trop vite ?
**Paraphrase 2 :**
La Poule aux œufs d’or
L’avarice mène à la ruine en voulant tout posséder.
Pour en faire preuve, je ne cite que celui dont la Poule, selon la Fable, déposait chaque jour un œuf en or.
Il croyait qu’elle était un véritable trésor vivant.
Il la tua, l’ouvrit, et trouva qu’elle était semblable à celles qui ne donnaient rien,
s’étant ainsi privé du bien le plus précieux.
Une leçon précieuse pour les radins :
Combien en avons-nous vu récemment qui, voulant devenir riches trop vite, ont tout perdu du jour au lendemain ?
**Paraphrase 3 :**
La Poule aux œufs d’or
L’égoïsme excessif entraîne la perte lorsqu’on cherche à tout obtenir.
Je ne veux, pour en faire preuve, parler que de celui dont la Poule, selon la Fable, pondait chaque jour un œuf en or.
Il pensait qu’elle abritait un trésor en son sein.
Il la tua, l’ouvrit, et la trouva comparable à celles dont les œufs ne rapportaient rien,
s’étant ainsi privé du plus beau de ses biens.
Une leçon importante pour les avares :
Dernièrement, combien ont vu leur situation s’effondrer du soir au matin,
en voulant s’enrichir trop vite ?
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Voyage autour de ma chambre
VOYAGE AUTOUR DE MA
CHAMBRE
Xavier de Maistre
1794Collection
« Les classiques YouScribe »
Faites comme Xavier de Maistre,
publiez vos textes sur
YouScribe
YouScribe vous permet de publier vos écrits
pour les partager et les vendre.
C’est simple et gratuit.
Suivez-nous sur :
ISBN 978-2-8206-0699-0P r é f a c e
Xavier de Maistre.
Né à Chambéry en 1763, Xavier de Maistre appartenait à une famille de
magistrats. Son père était président du Sénat de Savoie et son frère
Joseph fut membre de la même assemblée jusqu’à l’invasion du pays par
les Français. Xavier choisit le métier des armes. Officier sarde, il ne voulut
point servir le conquérant français. Lorsqu’en 1802 son frère fut nommé
par Victor-Emmanuel 1er, ambassadeur à Saint-Pétersbourg, Xavier le
suivit en Russie et s’engagea dans l’armée du Tsar. Il participa comme
officier aux campagnes du Caucase et de Perse, puis il s’établit dans la
capitale russe, qu’il ne quitta plus, sinon pour faire un voyage en France,
quelques années avant sa mort. C’est à Saint-Pétersbourg en effet, que
Xavier mourut, en 1852.
L’œuvre de Xavier de Maistre n’est pas très abondante, mais elle est
d’une clarté, d’un esprit essentiellement français. Chacun de ses courts
ouvrages : Voyage autour de ma chambre (1794), Le Lépreux de la cité
d’Aoste (1811), Les Prisonniers
du Caucase et La Jeune Sibérienne (1825), l’Expédition nocturne autour
de ma chambre, sont des petits chefs-d’œuvre de style, de simplicité et
de naturel.
Les circonstances dans lesquelles Xavier de Maistre se mit à écrire
sont assez curieuses. Officier, en garnison dans la petite ville d’Alexandrie,
en Italie, une malencontreuse affaire de duel le fit mettre aux arrêts
pendant plusieurs jours. Le jeune officier accepta la punition avec
philosophie. Ne pouvant quitter sa chambre, il se plut à passer en revue
les objets qui l’entouraient, notant les réflexions que ceux-ci lui inspiraient,
les souvenirs que chacun évoquait en son esprit. Il confia le cahier
contenant cette série d’impressions à son frère, lequel avait acquis déjà à
cette époque une enviable renommée grâce à la publication de ses Lettres
d’un royaliste savoisien. Le comte Joseph de Maistre trouva l’essai de son
cadet, original et d’une réelle valeur littéraire. A l’insu de son frère, il
décida de le faire éditer. Ainsi, Xavier eut la surprise et la grande
satisfaction de relire son ouvrage sous la forme d’un volume imprimé !
On ne pourrait donner sur l’œuvre de Xavier de Maistre, une
appréciation plus concise et plus juste que celle de MM. Joseph Bédier et
Paul Hazard dans leur « Histoire de la littérature
française » : « Xavier eut en partage, écrivent ces auteurs, l’observation
fine et délicate, l’humour, une sensibilité toujours distinguée : toutes
qualités aimables, dont se pare ce charmant Voyage autour de ma
chambre qui a fondé sa réputation. Il savait jouer nonchalamment avec les
idées et les sentiments et inviter le lecteur à participer lui-même à ce jeu.
Il n’était pas très profond, bien qu’il ne manquât pas d’humanité ; maisdans le domaine intermédiaire entre les émotions superficielles et les
passions obscures de l’âme, il était roi. »
Ne terminons pas ce bref aperçu biographique, sans épingler ce mot
charmant de Xavier de Maistre, qui eut toujours une profonde admiration
pour son illustre aîné, l’auteur des « Soirées de
Saint-Pétersbourg », « du Pape », et des « Considérations sur la France
» : « Mon frère et moi, nous étions comme les deux aiguilles d’une montre
: il était la grande, j’était la petite ; mais nous marquions la même heure,
quoique d’une manière différente ».
R. Oppitz
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Certainement. Voici une reformulation élaborée, sous forme d’interrogation portant sur un détail précis de l'œuvre *Voyage autour de ma chambre*, en suivant votre demande de complexité syntaxique et de créativité, tout en conservant fidèlement le sens et l’intention initiale :
**En quoi la manière dont Xavier de Maistre, dans son *Voyage autour de ma chambre*, évoque-t-il, à travers la simplicité de ses descriptions et la légèreté de son ton, la capacité de l’observateur à transformer une circonstance apparemment restrictive — celle d’être confiné dans sa propre chambre — en une aventure intérieure où chaque objet devient porteur d’un reflet de sa sensibilité, et ainsi, comment cette démarche témoigne-t-elle de son habileté à jouer avec les idées et les sentiments pour inviter le lecteur à participer à ce jeu de perceptions ?**
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Pour les importantes firmes et les lieux manufacturiers, on fait allusion à la norme NF C 13-200. Il faut que ces normes soient respectées pour chaque agencement. Sachant que ces normes peuvent varier, les experts de AEROPORTALBERTPICARDIE.FR s’habituer en conséquence. Si vos agencements sont archaïques, alors nous dérivons à une remise aux normes. L’étendue de rencontrer un expert. L’électricité est dangereux et peut sévèrement blesser voire tuer les férus. Selon les statistiques, environ 200 personnes décèdent à cause d’électrocution chaque année en France et environ 4 000 créatures sont handicapées ou détiennent des séquelles sérieuses provoquées par une électrisation importante chaque année. Mais les périls ne s’arrêtent pas là, une atroce installation peut occasionner des courts circuits qui produisent des destructions par le feu.
La remise aux normes du tableau électrique ou son remplacement peut appartenir aux missions à effectuer. L’expert de l’art à Cloyes-Sur-Le-Loir dresse un devis détaillant les travaux à réaliser ainsi que les équipements à acquérir. Faites confiance à un professionnel. Confier le dépannage électrique à un expert s’annonce trop fort que les habitants de Cloyes-Sur-Le-Loir tentent tout le temps à les faire en personne. Il y a réellement des risques si les principes et les réglementations ne sont pas suivies. C’est la totalité de la structure qui peut sauter si on ne réalise pas les meilleurs branchements. On doit habituellement appeler le technicien au 02.57.22.00.30, mais il doit constamment présenter son devis avant de mener le dépannage du tableau électrique ou n’importe prestation que ce soit.
Que peut-on confier à un électricien? En proposant son planning au consommateur, il aura l’assentiment de celui-ci. Il intervient ensuite avec les autres agents de l’entreprise électricité AEROPORTALBERTPICARDIE.FR après avoir réuni tout le dispositif indispensable. N’embarrassez pas à demander si l’électricien est capable de régler votre souci dans le 28. Un agent à la fois qualifié et crédible se singularise à travers le devis qu’il avance.
Démarche des ouvrages électriques. L’électricien de AEROPORTALBERTPICARDIE.FR vérifie des failles puis décide si une amélioration fragmentaire ou bien globale se constate importante. L’urgent électricien telle que AEROPORTALBERTPICARDIE.FR renouvelle les vieux composants. Toutefois, certains matériels permettent à l’électricien d’examiner si votre montage électrique suit les normes dans le 28. Tous les raccordements électriques sont réunis par le tableau électrique, le disjoncteur et les fils de connexions. L’entreprise électricité AEROPORTALBERTPICARDIE.FR envoie une équipe pour réaliser une réparation. Enfin, un nettoyage de vos alcôves s’avère nécessaire, car les rats nuisent à vos vos câbles.
Installer un circuit électrique aux normes. C’est écrit que l’intégralité des installations électriques sont dans l’obligation de considérer le règlement NFC 15-100. Il ne faut pas se surévaluer dans le 28. Diverses conditions sont obligatoires avant de se lancer dans le milieu de l’électricité. Le soutien d’un technicien s’avère alors indispensable. Un équipement électrique, ne disposant pas d’un un tableau électrique est impossible. C’est le lieu où sont concentrés mais également partagés tous les circuits de liaison d’un équipement électrique à Cloyes-Sur-Le-Loir .
Les bases de l’électricité. Afin de fiabiliser les endroits d’une propriété, il faut que l’aménagement électrique observe les règles en vigueur. Ce sont les marques NF C qui sont tenus pour indexer ces lois. Tout ce qui rassemble les prises électriques domestiques et autres est classé règle NF C 61-314. Tout votre éclairage du dehors doit suivre la règle NF C 17-200. Notre circuit électrique domestique et dans nos boutiques est régie par la loi NF C 15-100.
Dans un montage électrique, il est important de raccorder les conducteurs et les composants électriques à Cloyes-Sur-Le-Loir . Les dispositifs qu’il emploie doivent aussi être parfaits. Le circuit réglementaire. Les règles considèrent aussi les matériels utilisés. Les câbles électriques, les dominos, les interrupteurs et tant d’autres sont les éléments significatifs pour réaliser les diverses missions en toute sécurité. La réunion des 3 matériels primordiaux: le compteur, le tableau électrique mais également le disjoncteur sont exigées. La facture électrique est en relation avec le compteur et tableau électrique. Le disjoncteur protège la maison et vos machines dans le 28. Mais des compléments tels que les disjoncteurs spécifiques ou les coupes-circuits s’usent pour encore accroître la tranquillité. Vous éviterez ainsi les dangers mortels.
Un électricien pas cher est facile à rencontrer à Cloyes-Sur-Le-Loir . Chez l’entreprise AEROPORTALBERTPICARDIE.FR, vous êtes servi par des ouvriers compétents à petit prix. Pour évincer les arnaques, il est indispensable de choisir son électricien chez AEROPORTALBERTPICARDIE.FR, l’entreprise d’électricité. Le rôle d’un technicien face à l’équipement électrique. Il n’y a que l’électricien de AEROPORTALBERTPICARDIE.FR qui est compétent et capable d’effectuer dans tous les ateliers de Cloyes-Sur-Le-Loir . Un électricien a été soigneusement entraîné sur les principes d’agencement électrique.
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Quelles sont les attributions d’un électricien? Il présentera ensuite son programme au prospect pour une validation. Dès qu’il agence tous les outils indispensables, l’agent de AEROPORTALBERTPICARDIE.FR peut entamer les services. Appelez des artisans qui peuvent répondre à vos besoins sur Cloyes-Sur-Le-Loir . Faites tout le temps une comparaison de tarif entre divers prestataires pour ne pas se tromper dans vos comptes.
Qui peut effectuer l’installation électrique ? La norme veut que l’intégralité des poses électriques, dont le montage tableau électrique, soient en accord avec la norme NFC 15-100. En effet, cette action n’est pas du tout sans danger dans le 28. Apprentie, ne pas se lancer. C’est plus certain d’appeler un aguerri en électricité. Décrivant le tableau électrique comme le fragment primordial d’un montage électrique actuellement. Il nous aide pareillement de localiser une panne électrique à Cloyes-Sur-Le-Loir .
Démarche des ouvrages électriques. Il faut de déterminer l’envergure de la remise en norme à entreprendre: partielle ou complète. Lors d’une restaurationcomplète, AEROPORTALBERTPICARDIE.FR est forcée d’ôter un par un tous les vieux éléments de la maison: prises, interrupteurs, câbles, disjoncteurs et autres fusibles qui ne sont pas au norme. La crédibilité de la nouvelle fixation électrique est garantie par certaines représentations à Cloyes-Sur-Le-Loir . Le tableau électrique, le disjoncteur ainsi que les boîtiers électriques sont obligatoires dans un aménagement électrique. Pour empêcher les incidents, contactez un expert, comme les agents de l’entreprise AEROPORTALBERTPICARDIE.FR qui raccommodent toutes les défaillances. D’autres prestations telle que l’élimination des rongeurs sont à prévoir.
AEROPORTALBERTPICARDIE.FR pour garantir votre sécurité. La loi veut qu’on protège un système électrique avec un disjoncteur et un bouton. Le bloc de l’installation électrique est sécurisé par l’armoire électrique. C’est dans le tableau que tous les circuits sont détectés et abrités. Aussi appelés tableaux de protection et de répartition, ils permettent de diviser les circuits de chaque appartement. Cela permet de déterminer réellement une panne singulière de courant et empêcher de troubler les autres propriétés. En examinant les systèmes associés à cette habitation, on peut facilement résoudre le souci.
Il faut appeler AEROPORTALBERTPICARDIE.FR pour l’agencement de votre armoire électrique particulier. Nous retapons également ceux qui ont été endommagés par un court-circuit, des surtensions, etc. Se garantir de son électricien. Vous avez actuellement de vastes chances d’avoir un électricien amateur sur Cloyes-Sur-Le-Loir . Les vrais techniciens sont assez rares. Il faut posséder un électricien apte pour un excellent travail dans le domaine de l’électricité. Certains arnaqueurs vous prescriraient un prix élevé. Il ne faut plus se tromper dans le choix de l’électricien à Cloyes-Sur-Le-Loir . Prenez les avertissements chez votre entourage pour ne pas regretter. Dans ce milieu, AEROPORTALBERTPICARDIE.FR est fiable.
Quand faut-il renouveler votre système électrique? C’est au cours de la rénovation électrique qu’on procède aux changements d’interrupteurs et autres. Il faut compter par rénovation, la remise aux normes de la globalité de votre système électrique. Pendant cette révision électrique, vous aurez l’occasion de demander à l’expert d’associer une nouvelle connexion au réseau existant. C’est une façon de diminuer votre facture d’électricité particulièrement si vous équipez un planificateur. C’est lors de cette rénovation que le choix d’abonnement électrique pourra être approfondi et changé pour satisfaire vos demandes en électricité.
La prestation de l’électricien. Tous les travaux électriques indispensables à une habitation sont rapportés à l’électricien. Sur Cloyes-Sur-Le-Loir , ses acheteurs ordonnent les aides à faire. Cependant, on le connait par sa capacité pour aménager les dispositifs électrique sur Cloyes-Sur-Le-Loir . Premièrement, il étudie les modèles d’architecture et l’installation existante dans l’appartement. Grâce aux informations obtenues, les opérations deviennent plus faciles. A vrai dire, que ce soit la mise en place des canaux, de l’installation des cordages ou aussil’agencement des luminaires, l’électricien s’en occupe. Cet ingénieur peut également conduire l’électricité de défaut vers la terre pour qu’il n’y ait nulle électrocution.
Les concepts de l’électricité. C’est primordial qu’une mise en place électrique observe les lois pour certifier la sécurité des matériaux et des gens dans le 28. Ces lois électriques sont dénommées NF C. Notamment les règles : NF C 61-314 à propos des prises de courant pour usages personnels et analogues – Systèmes 6 A / 250 V et 16 A / 250 V. Pour les aménagements d’éclairage extérieur, on parle de loi NF C 17-200. NF C 15-100 relative aux installations électriques à basse tension qui est la plus ordinaire dans les appartements, les boutiques et autres commerces.
Demandez un technicien pour plus de sécurité. Le pro électricien a la responsabilité d’installer un système électrique sûr. Il est nécessaire qu’il confirme la sécurité optimale mais aussi prend en compte plusieurs normes. A vrai dire, ce n’est pas tellement simple de se mettre en contact avec la personne idéale d’un simple coup d’œil à Cloyes-Sur-Le-Loir . Plusieurs points sont à étudier. Vous devez en premier lieu déterminer vos attentes. Est-il question d’une installation ou bien d’une révision?
Améliorer votre installation électrique. Une panne générale d’électricité est le fondement d’une interruption électrique et l’inactivité des machines tournant avec du courant dans le 28 : chauffage électricité, appareils domotiques…Le souci peut résulter d’une mauvaise distribution électrique. Dans cette situation, l’opération d’un électricien s’annonce vraiment important. La sécurisation des disjoncteur garantit vos montages et de vos installations électriques. Pour votre bien-être, faites appel un électricien pas cher pour mettre en place des automates programmables dans le 28. Un équipement vous simplifiera la vie.
AEROPORTALBERTPICARDIE.FR est régulièrement là pour vous. Il faut savoir qu’un électricien est formé pour affairer sur l’électricité dans la majorité des cas. Dans la plupart des cas, c’est donc lui qui équipe les appareils électriques et les restaure. Dans ce but, il sera confronté à des courants de basse et haute tension. Sans le spécialiste, vous serez continuellement exposé à des dangers d’embrasements et de coup dur.
?Électricien à Cloyes-Sur-Le-Loir . Les règles permettent la sécurité. Le frais de votre énergie utilisée sera minimale avec une meilleure infrastructure électrique. Ne négligez pas un domaine compliqué comme l’électricité. Une faute peut-être pénible. De plus, seuls des professionnels comme AEROPORTALBERTPICARDIE.FR peuvent accomplir ces boulots. La règle NFC15-100 comprend les codifications sur la sécurité de la pose électrique.
Vivre dans une habitation aux normes réglementaires garantissent votre tranquillité. D’où, on vous dirige d’améliorer vos installations électriques. Démarche des ouvrages électriques. L’électricité illumine l’habitation. Mais l’électricien intervient autre part qu’à Cloyes-Sur-Le-Loir . Ils montent l’éclairage, examinent les circuits électriques et raccordent les fils des outils de chauffage. Les dispositifs de surveillance sont maintenus par l’électricien à Cloyes-Sur-Le-Loir . Le domaine de l’électricité s’élargit à Cloyes-Sur-Le-Loir . Une vie sans électricité est pénible.
Des services assurés par des électriciens compétents. Pour garantir une prestation sur vos installations à Cloyes-Sur-Le-Loir optez pour un électricien de chez AEROPORTALBERTPICARDIE.FR, l’entreprise d’électricité. Son intervention dans le dépannage électricité se double tout le temps d’une déclaration de dommages-ouvrage. La protection de leur champ de travail à Cloyes-Sur-Le-Loir s’annonce leur première préoccupation. Des équipements de de la technologie de pointe seront en possession de l’entreprise AEROPORTALBERTPICARDIE.FR. L’électricien de Cloyes-Sur-Le-Loir est un expérimenté. Avant le terme des chantiers, l’électricien à Cloyes-Sur-Le-Loir réalise tout le temps une analyse pour affirmer que les incidents sont réglés. Si souhaité, une rénovation électrique peut pareillement être faite par AEROPORTALBERTPICARDIE.FR. Il propose d’une possibilité de protection avec ses demandeurs sur Cloyes-Sur-Le-Loir . Il promet non seulement la fiabilité de sa prestation, mais aussi de sa pérennité.
Pour les énormes entreprises et les lieux manufacturiers, on fait part de norme NF C 13-200. C’est une contrainte fondamentale de suivre chaque règle électrique. Etant donné que ces normes peuvent diversifier, les experts de AEROPORTALBERTPICARDIE.FR s’habituer conséquemment. Si vos installations sont archaïques, alors nous procédons à une normalisation. L’urgence d’acquérir un électricien qualifié sur Cloyes-Sur-Le-Loir . Pour les apprentis, l’électricité peut symboliser un véritable péril. Selon les statistiques, environ 200 personnes disparaissent à cause d’électrocution chaque année en France et environ 4 000 personnalités sont infirmes ou conservent des conséquences sérieuses dues à une électrisation grave chaque année. Mais les risques ne s’arrêtent pas là, une atroce installation est à même d’amener des courts circuits qui produisent des destructions par le feu.
Qui doit réaliser votre diagnostic électrique. Si vous pensez donner votre maison, sachez que le contrôle électrique est fondamental. Cette tâche démontrera au futur preneur que tout est en règle. Le constat permet d’éviter des problèmes sur l’équipement électrique. La législation ordonne aux habitations de plus de 15 ans d’exécuter un diagnostic immobilier. Tout les ennuis électriques sont marqués dans un résumé électrique. Il faut prévenir un contrôleur approuvé pour ce type d’opération. Le résumé peut aussi vous fournir d’autres conseils pour changer votre montage.
Confiez votre installation à un pro. La norme demande que la totalité des fixations électriques, dont le montage tableau électrique, soient en accord avec la règle NFC 15-100. Il est nécessaire de confier les tâches à des professionnels dans le 28. Bon nombres de clauses sont demandées avant de se jeter dans le domaine de l’électricité. C’est plus évident de faire appel à un adroit en électricité. Une mise en place électrique, ne présentant pas un tableau électrique est impossible. Il nous aide pareillement de localiser une faille électrique à Cloyes-Sur-Le-Loir .
On recense 250 000 incendies chaque année pour 80 000 qui sont de source électrique. Selon la propriété du ravage, l’ignition peut atteindre le voisin. Pour empêcher cela, nous mettons à votre disposition des techniciens en électricité. Le plus important pour nous, est de raffermir votre quiétude en mettant votre installation aux normes. Nos ouvriers adorent faire vos agencements de manière opérante.
Un travail de professionnel. Un électricien pourvoie indéfinie prestation en matière d’électricité. Il ne se charge que des demandes des occupants. En général, sa fonction est dans les aménagements électriques pour toute demeure. Tout bienveillant électricien observe les dispositions présentes. Les failles perçues autorisent de mettre en place un devis des œuvresd’électricité. Effectivement, La pose des câbles et des raccords en plus des contrôles de l’ensemble des prises seront assurées. Cet ingénieur peut également conduire le courant de défaut vers le sol pour qu’il n’y ait aucune électrisation.
Eviter les problèmes. Les accidents ménagers sont continûment plausibles. Afin de limiter les détriments, un spécialiste doit intervenir. Une investigation de AEROPORTALBERTPICARDIE.FR sur vos matériels assurera votre sérénité. Lors de son opération, l’électricien remet en norme votre électricité à Cloyes-Sur-Le-Loir . Les informations connues révèlent que des habitations doivent être renouvelées. Ces foyers sont illicites.
Pourquoi appeler un électricien? Nous vous déconseillons d’entreprendre vous-même tout service électrique. Si vous y opérez mal, vous risquez de vous faire mal. Pour éloigner tout risque, sollicitez un expert. Ce dépannage peut vous valoir cher, mais c’est mieux que de risquer des dégâts irrémédiables. Confronter plusieurs propositions vous permet de trouver le bon électricien à un tarif raisonnable. C’est seulement après que vous allez pouvoir débuter les travaux de réparation chez vous. Un électricien qualifié maîtrise le secteur de l’électricité dans une construction.
Le réseau sécuritaire de l’électricité. La loi veut qu’on défendre un circuit électrique avec un disjoncteur et un commutateur. Le tableau ou l’armoire électrique sont des défenses incontournables pour vos installations électriques. C’est dans le tableau que tous les réseaux sont décelés et abrités. Souvent appelés tableaux de distribution, chaque maison est alimenté à partir de là. Cela permet de cibler concrètement une panne individuelle de courant et éluder de troubler les autres villas. En examinant les réseaux liés à cette maison, on peut facilement résoudre le problème.
Sécurisez votre équipement électrique. Pour garantir votre sécurité, l’ingénieur électricien n’est pas censé négliger les missions d’installation électrique ou bien de réparation d’électricité. Sa mission principale est d’apporter du courant à tous les logements en respectant les règles établies. Le choix du spécialiste en électricité ne peut pas se s’effectuer sans réflexion à Cloyes-Sur-Le-Loir . De multiples points sont à honorer. Réalisez une énumération de vos préférences. Dans quelle condition vous trouvez-vous?
Remplacer un tableau électrique
Cette vidéo montre comment remplacer un tableau électrique trop vétuste par une installation aux normes NF-USE.
L’efficacité du boulot. L’analyse de la manœuvre est aussi essentielle. Cependant, la prestation de l’électricien dans l’installation électrique du voisinage est plus infaillible. Vous capitaliserez au maximum en recourant un agent de AEROPORTALBERTPICARDIE.FR. Vos atouts personnels dans la recherche l’agent chevronné en électricité vous seront indispensables. Ces autres corps de métiers devront connaître les artisans fiables. Cet expert suit toutes les modalités durant son travail. Il doitentrer en scène sur tous les dépannages d’électricité.
Déléguer un dépannage électrique à un technicien. Nous vous déconseillons d’entamer vous-même tout dépannage électrique. Le péril d’électrocution est effectivement énorme et le problème peut également s’étendre. Pour éviter tout danger, appelez un expert. Ce service peut vous valoir gros, mais c’est mieux que de braver des préjudices néfastes. En sollicitant des devis auprès des électriciens, vous ne gagez pas de vous faire escroquer. Un devis disponible, vous pouvez immédiatement commencer les dépannages chez vous. Le hasard de court-circuit ou d’électrocution est invérifiable.
?Trouver un bon électricien. Le bonheur dans votre demeure repose sur la révision que vous accordez à votre pose électrique. Limitez vos consommations en électricité en ayant une parfaite installation électrique. Ne négligez pas un milieu très complexe comme l’électricité. Une erreur peut-être mortelle. Vous êtes obligés derecourir à une société d’électricité comme AEROPORTALBERTPICARDIE.FR pour les aménagements électriques. Ce dernier doit suivre l’arrêté NFC15-100.
Le disjoncteur de connexion, une prise terre, un tableau de répartition et des conductibles sont des mécanismes importants dans tout montage électrique. Les équipements qu’il utilise doivent aussi être infaillibles. Le circuit réglementaire. Un technicien compétent doit être prudent en élisant ses outils de travail. Dans son travail, l’électrotechnicien doit en permanence se munir les matériels indispensables comme les conductibles, tournevis. La jonction des trois matériels décisifs: le compteur, le tableau électrique mais aussi le disjoncteur sont forcées. La facture électrique est en relation avec le compteur et tableau électrique. Le disjoncteur lui garantit votre tranquillité en interrompant tout le circuit en cas de faille. Le disjoncteur est nécessaire pour vous protéger à Cloyes-Sur-Le-Loir . Pour un véritable montage, on installe les disjoncteurs différentiels ou bien les plombs sont présents. Si le circuit dévoile des failles, ces éléments de sécurité jouent leurs rôles pour mettre en arrêt le courant.
Pourquoi le constat électrique est-il nécessaire? Le contrôle électrique est une étape nécessaire avant toute transaction immobilière. Cette mission confirmera au futur locataire que tout est en règle. En réalisant cette action, vous contournerez par conséquent des probables accidents aux futurs habitants. Si votre immeuble a plus de 15 ans, c’est donc obligatoire de l’effectuer. Tout les ennuis électriques sont notés dans un résumé électrique. Il faut rapidement le réaliser par un diagnostiqueur diplômé. Le résumé peut encore vous donner d’autres guides pour renouveler votre montage.
AEROPORTALBERTPICARDIE.FR pour cautionner votre sécurité. La norme veut qu’on défendre un réseau électrique avec un disjoncteur et un commutateur. L’ensemble de l’installation électrique est fiabilisé par l’armoire électrique. Tableau ou armoire, c’est l’endroit où les circuits sont reliés, ainsi que les protections pour les circuits. Souvent baptisés tableaux de péréquation, chaque maison est alimenté à partir de là. Si un foyer est sujet à une panne complète on peut restaurer cette panne indépendamment des réseaux des autres abris. Il faut donc examiner les fils qui lui sont correspondants et le réseau électrique dans l’harem.
Les prestations d’un électricien sont incontournables pour vos installations électriques si vous désirez plus de sécurité et de commodité dans votre demeure. Lors d’une coupure électrique, c’est l’électricien qui arrivera à vous aider. Pour plus de sécurité, l’essentiel est de joindre un technicien. Un bon électricien est muni de tous les équipements pour réussir son intervention électrique.
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Normes NF C 13-200 pour grandes entreprises, experts d'AEROPORTALBERTPICARDIE.FR assurent mise aux normes et sécurité électrique.
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L'amour se cache dans les détails. Sur Twitter, Cyril Lignac s'est laissé aller à une frénésie étonnante mais extrêmement mignonne pour célébrer l'anniversaire de sa compagne, Sophie Marceau, qui fête ses 50 ans.
Et vous, vous faites-quoi pour fêter l'anniversaire de l'être aimé sur les réseaux sociaux ? Cyril Lignac, lui, a trouvé une technique toute personnelle. Plutôt que d'envoyer un bête « Joyeux anniversaire » à Sophie Marceau, le juré du Meilleur Pâtissier a choisi… d'appliquer une mention « J'aime » à tous les messages mentionnant les 50 ans de sa compagne. Plus précisément : sur Twitter, il a liké les tweets de médias revenant sur la carrière de l'actrice, ses réussites, son aura glamour et son statut de comédienne adorée des Français. Une attention adorable dont on rêverait toutes…
Nul doute que, très amoureux, Cyril Lignac aura aussi à cœur de cuisiner aujourd'hui pour sa chère et tendre, et de lui offrir bien plus que quelques likes sur Twitter pour ses 50 ans. Mais cette petite attention a de quoi ravir l'actrice : elle prouve que le chef fait attention à ce qui se dit sur sa compagne, et garde un œil sur ce que les médias écrivent à son propos. Avec ces mentions « J'aime », Cyril Lignac rompt par ailleurs un peu l'habitude de silence qu'il a prise avec Sophie Marceau concernant leur couple : les deux tourtereaux se montrent peu ensemble, préférant préserver leur idylle loin des caméras. Ça n'avait pas empêché l'actrice de confirmer leur histoire d'amour en juillet dernier, préférant ainsi couper court aux rumeurs en tout genre.
Crédits photos : BESTIMAGE
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Cyril Lignac fête l'anniversaire de Sophie Marceau en likant ses mentions sur Twitter, alliant amour et attention médiatique.
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|Bâtiments techniques|
Le bâtiment d’exploitation comprend au rez-de-chaussée hall, vestiaire, douches, ateliers, locaux basse tension, compresseurs, surpresseurs, traitement des boues, stockage et garage. A l’étage, le local des commandes et les bureaux. C’est dans ce bâtiment que sont traitées les boues en excès dont la deshydratation est obtenue par pressage à haute intensité dans un filtre à bandes après floculation par adjonction d’un polyélectrolyte.
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Le bâtiment destiné à l’exploitation possède, au niveau du rez-de-chaussée, un hall d’accueil, des vestiaires, des douches, des ateliers, des locaux pour la basse tension, ainsi que des équipements tels que des compresseurs, des surpresseurs, des installations de traitement des boues, des espaces de stockage et un garage. À l’étage, se trouvent la salle de commandes et les bureaux. Ce bâtiment est également le lieu où sont traitées les boues en surplus, dont la déshydratation est réalisée par pressage intensif à l’aide d’un filtre à bandes après floculation par l’ajout d’un polyélectrolyte.
**Question :**
Comment le bâtiment technique dédié à l’exploitation gère-t-il le traitement et la déshydratation des boues en excès ?
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Octobre 2000.
Une rupture est comme une conversation interrompue. Elle stupéfie, elle coupe la langue et la parole. L'idée qu'on ne finira pas sa phrase est douloureuse (si tant est que, même dans la continuité d'un lien, la phrase amoureuse puisse arriver à un point final). Tant de choses à dire, y compris non encore pensées, que l'on ne dira jamais. L'absence intolérable de l'être aimé met fin à la ligne d'horizon qu'on rêve sans cesse d'atteindre, que l'on n'atteindra jamais mais qui, tant qu'on la rêve, maintient l'amour et l'existence sublime.
La difficulté de la rupture amoureuse est principalement là. De quoi était-il question ? Il faut renoncer à sa parole, renoncer au mot ultime à la fois fantasmé et pourtant bien réel.
Alors il faut tenir, et pour vivre et pour qu'autre chose s'inaugure. Il faut se taire et, momentanément, renoncer à sa parole. Il faut croire en une clarté et en une vigueur futures, en un visage qui retracerait un inaccessible horizon en appelant à nouveau nos mots.
Enfin, de retour dans une peau d'homme seul, croire et ne pas croire. Peut-être la vie n'est-elle qu'une phrase interrompue, frôlant parfois l'éternité.
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Octobre 2000.
Une séparation ressemble à une conversation brisée. Elle surprend, elle fige la langue et le discours. L'idée de ne pas pouvoir achever sa phrase est douloureuse (si tant est que, même dans la continuité d’un lien, une déclaration d’amour puisse réellement atteindre une fin). Tant de choses à exprimer, y compris celles encore inexplorées, que l’on n’aura jamais l’occasion de dire. La présence insupportable de l’être aimé met fin à l’horizon que l’on rêve sans cesse de rejoindre, un horizon que l’on n’atteindra jamais mais qui, tant qu’il reste un rêve, nourrit l’amour et sublime l’existence.
La principale difficulté de la rupture amoureuse réside précisément dans cela. De quoi s’agissait-il ? Il faut abandonner sa parole, renoncer à ce dernier mot, à la fois idéalisé et pourtant tangible.
Il faut alors tenir bon, pour continuer à vivre et pour laisser place à autre chose. Il faut se taire, momentanément, et renoncer à sa voix. Il faut croire en une clarté et une force à venir, en un visage qui redessinerait un horizon inaccessible, appelant à nouveau nos mots.
Enfin, en retrouvant la solitude, croire et ne pas croire. Peut-être que la vie n’est qu’une phrase coupée, frôlant parfois l’éternité.
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Vous trouverez ci-dessous l'agenda des prochaines réunions clé avec nos partenaires.
Date : Lundi 9 janvier
Lieu : Fonds CMU
Contact
Références CMU : le numéro d'avril est disponible
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La poursuite des travaux sur les refus de soins : une analyse des discours des médecins et des dentistes
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1. Voici l'agenda des prochaines réunions importantes avec nos partenaires :
Date : lundi 9 janvier
Lieu : Fonds CMU
Contact
Références CMU : le numéro d'avril est accessible
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Poursuite des travaux concernant les refus de soins : une étude des discours des médecins et des dentistes
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2. Vous trouverez ci-après le programme des réunions clés à venir avec nos partenaires :
Date : lundi 9 janvier
Lieu : Fonds CMU
Contact
Références CMU : le numéro d'avril est en ligne
Pour en savoir davantage
Poursuivre l’analyse des refus de soins : étude des discours tenus par les médecins et les dentistes
Pour plus d’informations
3. Ci-dessous, l'agenda des prochaines rencontres essentielles avec nos partenaires :
Date : lundi 9 janvier
Lieu : Fonds CMU
Contact
Références CMU : le numéro d'avril est disponible en ligne
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Analyse en cours sur les refus de soins : focus sur les discours des médecins et des dentistes
Découvrir plus
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Les cartes de vœux papier sont indémodables, envoyez un message personnelle à vos clients pour montrer l'importance que vous leur portez.
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Vos cartes de vœux personnalisées sont imprimées en quadrichromie (couleur) Recto simple ou Recto/Verso sur un document simple ou pliable.
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Remarque sur le grammage 350 g/m2 : Les cartes de vœux en 350g/m2 sont livrées à plat, rainées, non pliées.
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Pour que vos impressions soient parfaites, vos fichiers doivent être bien préparés.
Retrouvez ici nos guides et conseils qui ont pour but de vous aider à créer vos documents.
Fiches techniques
Chaque produit a ses particularités. Avant de vous lancer, prenez connaissance des normes d'impression que votre fichier doit respecter.
Guides création
Avec quel logiciel créer mon affiche, mon flyer ou ma brochure ? Suivez le guide !
Guide pré-presse
Ce guide vous présente en quelques pages les principes avancés de la « Publication Assistée par Ordinateur ».
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Univers de science-fiction :
Dans un avenir où la communication numérique prédomine, la tradition des cartes de vœux en papier subsiste comme un acte de résistance à l’éphémère et à l’obsolescence technologique. Envoyer un message personnalisé à ses partenaires, sous forme tangible, devient une déclaration de valeur et d’attention authentique, rappelant que l’humain a besoin de contact sensible pour éprouver la véritable importance de l’autre. Veoprint, en proposant l’impression de ces cartes à prix abordables, affirme que la matérialité et la personnalisation restent essentielles pour renforcer la relation dans un monde dominé par le virtuel. La qualité, le choix du papier, la finesse de la reproduction en quadrichromie, tout cela constitue une déclaration contre la standardisation et la dématérialisation, soulignant que l’authenticité et la proximité ne se perdent pas dans la machine. La maîtrise des formats, des grammages et des guides techniques garantit que chaque message imprimé devient une trace durable, une preuve tangible de l’attention portée à l’autre, dans un univers où tout semble devenir éphémère.
Univers de fantasy :
Dans un royaume ancien où la magie de l’encre et du papier confère aux messages une puissance symbolique, les cartes de vœux se révèlent comme des talismans porteurs de sentiments profonds. Envoyer une telle carte, finement ornée et personnalisée, devient un acte sacré, un rituel qui forge les liens entre les seigneurs et leurs sujets, ou entre amis loyaux. Veoprint, en proposant de créer ces artefacts précieux à des prix modestes, incarne la sagesse ancienne selon laquelle la véritable valeur ne réside pas dans la richesse matérielle mais dans la sincérité du message. La sélection de papiers nobles, la finesse des couleurs et la précision des motifs contribuent à faire de chaque carte un symbole d’attachement durable, un héritage qui traverse le temps. La maîtrise des formats et des matériaux, accompagnée de guides et de normes ancestrales, garantit que chaque message, gravé ou imprimé, devient un lien magique, une étreinte tangible dans un monde où la communication est souvent éphémère et fragile.
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Route du Club Med
Sainte-Anne
Tel/Fax: 05 96 76 96 35
Portable: 06 96 20 02 56
Nous sommes une entreprise créée le 13 Février 2004 à SAINTE-ANNE.
Nous avons débuté notre activité à l’hôtel du Hameau de Beauregard, de 2004 à 2005, Puis notre activité a été transférée à la Pointe Marin, sur la route du Club Med, Le 7 décembre 2006 : Ouverture de notre 2ème circuit au nord de la Martinique à BASSE-POINTE.
Et notre tout nouveau bébé : les descentes en BDD Bicycle De Descente sur la commune de BASSE-POINTE.
Guy et toute son équipe vous proposent plusieurs formules de randonnées.
Avec des buggys neufs ou parfaitement entretenus, homologués et assurés nous vous proposons 2 circuits totalement différents, d’environ 35 km, d’une durée de 3 heures chacune ;
Aux choix, 2 sites géographiques s’offrent à vous, un dans le sud de l’île côté Mer, et le second dans le nord côté Nature.
Nos randonnées sont axées principalement sur la découverte de la flore, la faune, et le patrimoine local. Pour cela, nous travaillons en collaboration avec l’ONF, l’ONCF et la Direction Régionale de l’Environnement.
Nous pouvons accueillir également des personnes handicapées en tant que passager.
Nos randonnées sont recommandées par le Guide du Routard 2007, 2008, 2009, 2010, 2011.
Nos randonnées sont des balades avec de très bonnes sensations mais en aucun cas une compétition car nous n’évoluons pas sur circuit fermé.
Tous dépassements et dérapages sont formellement proscrits.
Le buggy est équipé d’un moteur à 4 temps de 200 cm3 avec variateur et système anti-pollution, pouvant accueillir 2 personnes assises l’une à côté de l’autre et le grand confort pour les Antilles : PAS DE PORT DE CASQUE !!!
On vous demande d’arriver à 8 h 30 pour le départ à 9 h 00 et à 13 h 30 pour le départ à 14 h 00 (rando de 3 h)
On vous demande d’arriver à 14 h 30 pour le départ à 15 h 00 (rondos 1 h)
Pour le circuit SUD à Sainte-Anne vous serez reçu par votre guide……… RAYMOND
Pour le circuit NORD à Basse-Pointe vous serez reçu par votre guide…… ERIC
A prévoir impérativement :
Dés que toutes les formalités sont remplies et que tout le monde est prêt, nous vous attribuons votre buggy, briefing sur la conduite et la sécurité et c’est parti pour une matinée inoubliable.
Un buggy est très facile à piloter et quelques minutes suffisent à le maîtriser, seulement 2 pédales, une pour accélérer, une pour freiner et pas de vitesse à passer.
La conduite est ouverte à tout le monde de 18 à 90 ans et quelque soit votre condition physique
Pas de risque de retournement, le buggy est un engin très sûr.
CAP ANTILLES Randonnée met tout en œuvre pour votre sécurité et pour un maximum de plaisirs durant votre randonnée.
Nos Buggys sont assurés en R.C dommages aux tiers et ne sont pas couverts par une assurance dégât matériel,
Le client est donc personnellement responsable des dommages qu’il a provoqués par sa propre faute au véhicule mis à sa disposition ou sur tout autre buggy de la flotte de CAP ANTILLES Randonnée. Le client s’engage également au paiement immédiat et intégral de tous les dégâts occasionnés par sa propre faute au matériel loué suivant le tarif non exhaustif de remplacement.
Nous ne demandons pas de caution, seul le permis de conduire nous sert de caution et donc sans la présentation de ce document : pas de départ.
CAP ANTILLES Randonnées propose des tarifs de groupe à partir de 8 personnes.
Une étude personnalisée peut être réalisée en fonction de votre demande, n’hésitez pas à nous contacter.
Nous pouvons organiser des journées BUGGYS + BDD.
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1. **Version formelle et informative (article destiné à un site web touristique)**
Située à Sainte-Anne, sur la route du Club Med, notre entreprise, créée le 13 février 2004, propose diverses activités de loisirs. Après avoir débuté à l’hôtel du Hameau de Beauregard (2004-2005), nous avons transféré nos opérations à la Pointe Marin, puis ouvert un second circuit au nord de la Martinique à Basse-Pointe en décembre 2006. Récemment, nous avons lancé des descentes en Bicycle De Descente (BDD) sur cette même commune. Nos offres incluent des randonnées en buggy, avec des véhicules neufs, homologués et assurés, proposant deux circuits de 35 km chacun, d’une durée approximative de 3 heures, alternant entre sites côtiers et zones naturelles. En collaboration avec l’ONF, l’ONCF et la Direction Régionale de l’Environnement, nous privilégions la découverte de la faune, de la flore et du patrimoine local. Nous accueillons également des personnes en situation de handicap en tant que passagers. Nos activités, recommandées par le Guide du Routard, garantissent sensations fortes mais sécurité absolue, avec interdiction formelle de dépassements ou dérapages. Les buggy, équipés d’un moteur 200 cm³ à 4 temps, peuvent accueillir deux passagers sans casque, ce qui est spécifique aux Antilles. Les départs sont planifiés pour 9h, 14h, et 15h, avec arrivée 30 minutes à l’avance. Nos guides, Raymond pour le sud et Eric pour le nord, vous accompagneront dans cette aventure, dont la maîtrise requiert seulement quelques minutes. La responsabilité du client couvre tout dommage causé au véhicule, qui est assuré en responsabilité civile, mais non couvert en dégâts matériels. Aucun dépôt de garantie n’est demandé, seul le permis de conduire est nécessaire pour partir. Nous proposons également des tarifs de groupe dès 8 personnes et des formules combinant buggy et descentes en BDD.
*Contexte :* Texte destiné à une fiche descriptive pour un site officiel ou une brochure touristique.
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2. **Version conviviale et décontractée (discours pour un prospectus ou une annonce promotionnelle)**
Vous cherchez une aventure mémorable en Martinique ? Rendez-vous sur la route du Club Med à Sainte-Anne ! Depuis 2004, notre équipe passionnée vous propose des balades en buggy tout confort, avec des circuits super variés : l’un au sud, face à la mer, l’autre au nord, dans la nature sauvage. Nos buggy ne sont pas seulement neufs, ils sont aussi très faciles à conduire, même pour les débutants : deux pédales, pas de vitesse compliquée, et c’est parti pour une expérience sensationnelle. On vous accueille dès 8h30 ou 14h30 pour profiter d’une balade de 3 heures ou d’une heure de rondos, dans un cadre sécurisé et sans compétition. Nos guides, Raymond et Eric, seront là pour vous accompagner et vous faire découvrir la flore, la faune et le patrimoine local, en collaboration avec des experts environnementaux. Et bonne nouvelle : si vous êtes en situation de handicap, vous pouvez aussi venir en tant que passager. Pas besoin de casque, juste votre permis de conduire, et c’est prêt pour l’aventure. Avec nos tarifs spéciaux pour les groupes, c’est la sortie idéale pour les familles, les amis ou les groupes d’entreprise. Alors, prêt pour une matinée pleine de sensations et de belles découvertes ?
*Contexte :* Discours pour une brochure touristique ou une publicité destinée au grand public.
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3. **Version poétique et évocatrice (style littéraire ou promotionnel haut de gamme)**
Sur la route ensoleillée du Club Med, à Sainte-Anne, s’épanouit une épopée de sensations et de découvertes. Depuis la naissance de notre passion en 2004, nous guidons les aventuriers à travers les paysages enchanteurs de la Martinique, du littoral lumineux au cœur sauvage de la nature. Nos buggys, tels des compagnons fidèles, vous mènent sur deux parcours d’environ 35 kilomètres, offrant un voyage de trois heures à travers la flore vibrante, la faune mystérieuse et le patrimoine ancestral. Faciles à manier, silencieux et sûrs, ils accueillent deux voyageurs sans casque, pour un contact immédiat avec l’environnement tropical. Nos guides, Raymond et Eric, vous prennent par la main pour vous révéler les secrets de l’île, dans un respect total de la sécurité et de l’éthique environnementale. Un instant suspendu dans le temps, sans compétition, mais riche en émotions pures, où chaque dérapage contrôlé devient une danse avec la nature. Laissez-vous emporter par cette aventure unique, adaptée à tous, de 18 à 90 ans, dans un cadre enchanteur et respectueux.
*Contexte :* Texte promotionnel pour une agence de voyages ou un site de tourisme de luxe.
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4. **Version technique et précise (style rapport ou fiche technique)**
La société, implantée à Sainte-Anne, sur la route du Club Med, depuis sa création en février 2004, offre une gamme d’activités récréatives structurées. Initialement localisée à l’hôtel du Hameau de Beauregard, notre établissement a transféré ses opérations à la Pointe Marin, puis a étendu ses infrastructures avec un second circuit au nord de la Martinique à Basse-Pointe en décembre 2006. Récemment, une activité de descentes en Bicycle De Descente (BDD) a été ajoutée sur cette même commune. Nos randonnées en buggy, équipés de moteurs 200 cm³ à 4 temps, sont assurées et homologuées, avec deux circuits distincts d’environ 35 km, d’une durée de trois heures chacun. La conduite, accessible à toute personne de 18 à 90 ans, ne nécessite que quelques minutes d’apprentissage, et ne comporte pas de vitesse à passer. La sécurité est une priorité stricte : pas de dépassements ni de dérapages, et l’absence de casque est spécifique à notre pratique. La prise en charge inclut l’accompagnement par nos guides, Raymond et Eric, dans le respect des réglementations environnementales en collaboration avec l’ONF, l’ONCF et la DRNE. La responsabilité civile est assurée, mais le client doit couvrir tout dommage causé par sa faute, sans caution, seul le permis de conduire étant requis. Des tarifs préférentiels pour groupes et des formules combinées buggy + BDD sont disponibles.
*Contexte :* Fiche technique ou document d’information pour partenaires ou agences de voyage.
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5. **Version narrative et immersive (style récit ou témoignage)**
C’est sur la route du Club Med, à Sainte-Anne, que commence notre aventure. Créée en 2004, notre entreprise a grandi entre la mer et la forêt, proposant des balades inoubliables en buggy à travers la Martinique. Après avoir débuté à Beauregard, puis dans le sud, nous avons étendu nos horizons avec un second circuit au nord, à Basse-Pointe, en 2006. Plus récemment, nous avons lancé les descentes en Bicycle De Descente, pour ceux qui cherchent encore plus d’adrénaline. Nos véhicules, tout neufs et parfaitement entretenus, permettent à chacun de s’évader en toute sécurité, que vous soyez novice ou expérimenté. En compagnie de Raymond ou d’Eric, vous découvrirez la richesse de l’île, ses fleurs, ses animaux, ses trésors cachés. Pas besoin d’être un pilote professionnel : il suffit de quelques minutes pour prendre en main le buggy, qui ne comporte qu’une pédale d’accélération et une de frein. Nos départs sont planifiés pour que vous profitiez pleinement de chaque instant, dans un cadre convivial, sans compétition ni risques inutiles. Et si vous avez des besoins spécifiques ou un groupe, nous adaptons nos offres pour rendre cette expérience encore plus exceptionnelle.
*Contexte :* Témoignage ou récit promotionnel pour une expérience touristique immersive.
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Entreprise
Le Groupe Viveris (près de 57 M€ de CA en 2016) emploie 800 collaborateurs en France réparties autour de deux pôles d’activité :
– Le pôle ingénierie industrielle et technique accompagne les secteurs de pointe les plus exigeants dans des projets de Recherche et Développement auxquels il apporte ses compétences en matière de systèmes embarqués, d’informatique industrielle et d’électronique.
– Le pôle d’ingénierie des systèmes d’informations fournit toutes les prestations nécessaires à la conception et à la réalisation des systèmes d’informations : conseil, développement, intégration et maintenance. Il inclut également de fortes compétences en matière d’intégration de progiciels (SAP, HR Access…), et d’Administration de Système et Réseaux.
Postes à pourvoir
Pour accompagner son plan de développement, Viveris prévoit de recruter, en 2017, plus 180 nouveaux collaborateurs en CDI (60 % en Île-de-France et 40 % en régions).
Expert en ingénierie industrielle et technique et spécialiste des systèmes d’information et de gestion, les nouveaux collaborateurs rejoindront l’un des deux pôles d’activités du Groupe Viveris :
- 50 % seront recrutés pour rejoindre le pôle Ingénierie industrielle et technique. Les recrutements porteront principalement sur des postes d’ingénieurs en systèmes embarqués afin d’accompagner la forte croissance du Groupe sur des projets exploitant cette expertise auprès d’une clientèle grands comptes dans des secteurs aussi divers que les transports, l’aéronautique, l’automobile, l’énergie…
- 50 % rejoindront le pôle Ingénierie des systèmes d’information pour accompagner des projets dans les secteurs de l’industrie, la protection sociale, les banques et assurances, les administrations…
Quelques exemples des postes proposés cette année :
- Ingénieurs développement logiciels (J2E, Angular 2, dot net, etc.)
- Ingénieurs développement logiciels embarqués
- Ingénieurs électronique et FPGA
- Ingénieurs logiciels et réseaux
- Consultants SAP
- Spécialistes du test et de la recette
- Experts métier pour AMOA
- Ingénieurs commerciaux
Pour postuler et avoir plus de détails sur les offres d’emploi, rdv sur la rubrique « Emplois & Carrières » du site Viveris
Votre entreprise aussi recrute ? N’hésitez pas à nous en faire part sur : [email protected], en précisant dans l’objet : Recrutement
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Viveris projette de recruter 180 CDI en 2017, répartis entre ingénierie industrielle et systèmes d’information.
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A l'occasion des Assises du journalisme, la Société des auteurs multimédia fait paraître une étude sur la dégradation du métier. 12% des journalistes gagnent moins que le Smic et certains sont payés en droits d'auteur ou en factures.
Petits boulots en extra, nouvelle charge de travail non rémunéré, précarité, statuts contournés : les conditions d'exercice du métier de journaliste se dégradent, avertit la Scam (Société civile des auteurs multimédia) après une enquête auprès de 3400 journalistes en France.
Des situations salariales contrastées
Près d'un journaliste sur trois déclare avoir une activité extra-journalistique pour compléter ses revenus. Des revenus d'ailleurs extrêmement disparates : 12% d'entre eux gagnent moins que le Smic, 18% entre 13.000 et 20.000 euros nets par an, 46% entre 20.000 et 40.000, 18% entre 40.000 et 60.000 et 6% au delà, selon cette étude présentée aux Assises du journalisme de Metz.
Des chiffres à mettre en contraste avec l'avis de la Cour des Comptes en septembre dernier, qui assurait que la profession de journaliste ne semblait "pas défavorisée d'un point de vue salarial", et souhaitait la suppression de l'abattement fiscal de 7650 euros dont bénéficient les journalistes. Mais la Cour reconnaissait aussi que "la situation des journalistes pigistes ou en contrat à durée déterminée, en particulier des jeunes journalistes, pourrait conduire à nuancer sensiblement ce constat".
Mais la tendance est justement à une diversité des statuts de plus en plus grande, car pour réduire leurs charges patronales de plus en plus d'employeurs, surtout les nouveaux médias internet, paient les journalistes en droits d'auteur ou en factures en leur demandant de prendre un statut d'auto-entrepreneur. Ou encore, dans les télévisions, emploient les journalistes vidéastes comme intermittents du spectacle, ce qui permet de ne les payer qu'une partie du temps.
Ainsi si 62% des répondants sont des salariés en CDI et 28% des pigistes - statut assimilable à un salarié ponctuel - on compte aussi 6% d'auto-entrepreneurs, 6% de travailleurs indépendants, 6% d'auteurs et 3% d'intermittents. Un taux supérieur à 100% car 12% ont plusieurs statuts. Le phénomène se développe surtout chez les journalistes multimédias, qui sont à 30% travailleurs indépendants ou auto-entrepreneurs. Chez les réalisateurs, 48% sont intermittents. Les photographes, population la plus précaire, sont les plus nombreux à avoir de multiples statuts.
Une carte de presse qui ne représente plus la réalité du métier
Conséquences de ce cumul : la difficulté pour les journalistes à obtenir ou conserver leur carte de presse, qui suppose au moins 50% de revenus salariés provenant d'entreprises de presse. Seule la moitié environ des journalistes sous statut d'auto-entrepreneur ou d'auteur ont une carte de presse. Nombreux sont ceux qui réclament une réforme de la carte de presse et de la Commission qui les délivre, pour tenir compte de ce problème. Actuellement on compte 37.477 journalistes encartés.
Ce casse-tête administratif aboutit aussi à une moindre protection sociale. Ainsi 2,5% des journalistes interrogés n'ont aucune couverture sociale et 13% n'ont pas de mutuelle. La question se pose notamment pour les auto-entrepreneurs ou auteurs. Chez les correspondants de guerre, qui sont généralement mieux rémunérés que la moyenne, sauf les photographes et réalisateurs, 25% ne sont pas assurés, un taux qui monte à 50% chez les photographes de guerre.
Des charges de travail non rémunérées
Les pigistes ont de plus en plus de mal à vivre de leur travail, car le tarif au feuillet reste stable alors que les charges sociales augmentent, et les frais ne sont souvent plus pris en charge. Les pigistes ont d'ailleurs de moins en moins de place dans des journaux qui sont eux-mêmes en difficultés. La multiplicité des supports créée aussi parfois de nouvelles charges de travail non rémunéré : une partie des journalistes interrogés racontent que leurs employeurs les font travailler aussi pour alimenter un site en plus de leur travail quotidien et sans rémunération supplémentaire.
Autre remarque, des sujets moins proches de la réalité: ils dénoncent un "alignement sur le buzz" et une prime aux sujets "censés intéresser le public plutôt que d'essayer d'intéresser le public à tous les sujets", ainsi qu'une confusion croissante entre communication et information.
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Dans l'Antre des Chroniques, où la voix des peuples s'élève pour éclairer la lumière du savoir, se dresse une cité mythique nommée Médiasia. Au cœur de cette cité, vivent des héros nommés les Journalistes, êtres d’éclat et de plume, gardiens de la vérité et tisseurs d’histoires. Mais, à leur insu, une ombre grandissante, la Voile du Déséquilibre, s’étend sur leurs terres, ternissant leur noble mission.
Il était une fois, dans cette cité mythologique, la légende des Éclaireurs de la Vérité, qui autrefois, jouissaient de respect et de richesses proportionnées à leur quête. Mais avec le temps, la Voile du Déséquilibre a déployé ses tentacules, et parmi eux, la Disparité des Tesours. Un nombre effrayant de ces héros, près d’un sur neuf, vivent sous le seuil de la Pierre Sacrée du Smic, cette pierre mythique garantissant le minimum vital. Certains, encore plus malheureux, sont payés en Droits d’Auteur ou en Factures, comme si leur essence même n’était plus qu’un fragment à vendre.
Les Éclaireurs de la Vérité, confrontés à la tempête de la précarité, doivent souvent multiplier les quêtes secondaires, bravant des travaux en dehors de leur noble mission, pour survivre. Leur charge de labeur, autrefois noble, est devenue une montagne invisible, car leur statut est souvent contourné, dérobé par des seigneurs des nouveaux médias et des terres électroniques. Ceux-ci, pour réduire leurs coffres, offrent des contrats éphémères, paient en intermittences, ou en droits d’auteur, transformant la vocation en une aventure incertaine.
Dans cette légende, la diversité des statuts se déploie comme une mosaïque chaotique : 62% de ces héros sont enchaînés à des contrats durables, mais 28% vivent comme des pigistes, vagabonds sans ancrage. Parmi eux, certains prennent le nom d’Auto-Entrepreneurs, d’Auteurs, ou d’Intermittents, jonglant entre plusieurs identités comme des acrobates du destin. La majorité des jeunes, surtout ceux qui manient les arts multimédias, sont des travailleurs indépendants, des vagabonds à la recherche d’un avenir.
Ce chaos administratif, tel un Labyrinthe sans fin, empêche bon nombre de ces héros d’obtenir ou de conserver leur Carte de Presse, symbole de leur légitimité. La légende raconte que cette carte, qui devrait ouvrir les portes de la protection sociale, ne parvient plus à couvrir tous, laissant certains sans défense face aux dragons des charges sociales ou aux monstres de l’oubli.
Leur labeur, souvent non rémunéré, s’accroît comme une montagne de silences : les pigistes, ces vaillants, voient leur tarif au feuillet stagner, tandis que leurs charges sociales s’envolent vers le firmament. La multiplication des supports, comme des royaumes annexés, leur impose parfois de travailler pour alimenter des sites en plus de leur tâche quotidienne, sans rétribution. Leurs sujets, autrefois choisis avec courage, se voient désormais dictés par le chant du Buzz, au détriment des vérités profondes, et la frontière entre la communication et l’information devient floue comme un mirage.
Ainsi, face à cette dégradation du noble métier, la question se pose pour les sages et les héros : La Voile du Déséquilibre peut-elle être levée ? La cité de Médiasia pourra-t-elle retrouver la lumière d’un journalisme digne, où chaque Éclaireur de la Vérité pourra exercer sa mission avec justice, sécurité et reconnaissance ?
Telle est la quête épique que pose cette légende mythologique : laquelle sera la prochaine étape pour repousser la Voile du Déséquilibre, et rétablir la gloire et la dignité des héros de l’information ?
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Andrej Kiska, un millionnaire philanthrope et novice dans le monde de la politique, a nettement remporté le second tour de l'élection présidentielle en Slovaquie, grâce au refus des Slovaques de voir...
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Dans l'antique récit de la terre de Slovaquie, il était une fois un héros nommé Andrej Kiska, un homme de fortune, un philanthrope aux mains généreuses, qui se dressa parmi les mortels en tant que novice dans le vaste royaume de la politique. Son nom, porteur d’espoir, résonna comme la voix du changement face aux ténèbres de l’incertitude.
Les anciens racontent que le destin de la nation se joua lors d’un duel épique, le second tour de l’élection présidentielle, où deux forces s’affrontèrent : celle de la tradition et celle du renouveau. Les Slovaques, peuple fier et résilient, incarnant la sagesse collective, furent appelés à choisir leur avenir.
Mais au cœur de cette bataille, se dressèrent deux entités mythiques : d’un côté, la Voix du Peuple, refusant de voir leur terre sombrer dans l’ombre du passé, et de l’autre, l’Ombre de l’incertitude, incarnée par ceux qui craignaient le changement.
Face à cette épreuve, Kiska, le héros inattendu, n’était pas un guerrier de métier, mais un homme de cœur, un donateur des bienfaits, qui, par sa simplicité et sa sincérité, fit naître chez les Slovaques une résistance farouche à l’idée de céder leur destin à l’inconnu.
Ce fut alors que la sagesse collective se manifesta : par leur refus de voir la lumière s’éteindre, ils choisirent Kiska comme leur champion, lui confiant leur espoir et leur avenir, assurant ainsi sa victoire éclatante dans ce combat pour l’âme de la nation.
Ainsi, le récit de cette épopée raconte que, dans le royaume de Slovaquie, la volonté du peuple triompha, guidée par une foi inébranlable en la possibilité du renouveau, même lorsque l’inconnu semblait l’emporter. Car dans cette mythologie moderne, la voix du peuple est une force divine, capable de transformer le destin, et Andrej Kiska devint le héros choisi par la foule pour mener la nation vers un avenir nouveau.
Et la question demeure, noble chercheur de vérité : n’est-ce pas la sagesse collective, la résistance à l’ombre de l’incertitude, qui forge la victoire d’un héros inattendu dans la grande épopée de la démocratie slovaque ?
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Brésil
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En quoi consiste, précisément, le processus permettant, via Hostelworld.com, d'effectuer une réservation en ligne parmi la vaste sélection d’auberges de jeunesse situées au Brésil, en tenant compte des évaluations laissées par les clients, de la visualisation des établissements sur la carte du pays, ainsi que des confirmations gratuites envoyées par SMS, et comment cette plateforme garantit-elle, en outre, la fiabilité de ces réservations dans le contexte spécifique des auberges au Brésil, en Amérique du Sud ?
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Entreprise:
Secteur: informatique / télécoms
Taille: Entre 100 et 200 employés
Description de l'annonce:
Rôle & responsabilités
Vous participez au développement de nos solutions logicielles. Au sein d’une équipe dynamique dédiée aux nouvelles offres de SAP, vous développez les exigences conçues par notre product manager. Sous la responsabilité de notre architecte solution, vous participez à l’élaboration de l’architecture du logiciel :
Vous développez des fonctionnalités en KnockoutJS, HTML, CSS3 et Bootstrap pour répondre aux exigences
Vous garantissez la qualité de vos développements
Vous produisez les documentations adéquates
Vous participez aux sessions de brainstorming pour faire évoluer le produit
A ce titre, vous :
Utilisez nos produits comme pourraient le faire des utilisateurs avancés;
Confrontez le comportement observé au comportement attendu décrit dans les spécifications, fonctionnelles;
Remontez les problèmes rencontrés aux équipes de développement;
Documentez la solution;
Créez et configurez les environnements de test (données, paramétrages, applications);
Participez à l’élaboration des stratégies de vérification des applications avant livraison;
Participez plus largement à la vie des produits : ajout de fonctionnalités.
Profil
De formation Bac+5 en informatique, vous maîtrisez KnockoutJs ou un framework JS équivalent, JSON, HTML5,
JavaScript, les méthodes de conduite de projet et de conception cycle en V (méthode Agile serait un plus).
Vous possédez des capacités rédactionnelles, vous avez le sens des relations humaines et du travail collaboratif et vous faites preuve de rigueur.
Vous êtes passionné(e) par les challenges, l’innovation, le développement.
Passionné(e) par les nouvelles technologies, rigoureux (se) et organisé(e), votre sens du service et vos fortes capacités d’analyse et de synthèse sont autant d’atouts qui vous permettront d’évoluer au sein d’une entreprise très visible sur son secteur.
Formation BAC+5 minimum (Diplôme d’École d’Ingénieur ou formation universitaire)
Capacités d’analyse et de synthèse, et de résolution de problèmes
Aptitude à appréhender rapidement les nouvelles technologies
Autonomie, rigueur
Bon relationnel, qualité d’écoute et esprit d’initiative
Capacité à travailler en équipe
Connaissances scientifiques générales
Connaissances ITIL
Connaissances en programmation (XSJS, NodeJS) appréciées
Vous êtes
A l’aise dans un environnement en constante évolution, curieux et prêt à intégrer une start-up en très forte croissance (1100% de croissance en 4 ans, développement international),
Prêt à travailler quotidiennement avec des personnes passionnées et assez folles pour croire qu’elles vont changer le monde,
Enthousiaste à l’idée de développer votre culture et vos compétences sur les sujets clés de l’économie de demain : logiciel, Big Data, Predictive Analytics.
Si vous correspondez au profil recherché et que vous avez envie d’en apprendre davantage sur cette opportunité de carrière, Contactez-Nous !
Faites nous parvenir votre candidature en envoyant votre CV et votre lettre de motivation, nous serions ravis de l’étudier attentivement.
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En tenant compte de votre demande de reformulation complexe et créative tout en conservant le sens et l'intention, voici une proposition :
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Au sein d’une entreprise spécialisée dans le secteur informatique et télécoms, comptant entre 100 et 200 employés, la question suivante pourrait être posée : **« De quelle manière, précisément, la participation active à l’élaboration de l’architecture logicielle, sous la supervision de l’architecte solution, et le développement de fonctionnalités en KnockoutJS, HTML, CSS3 ainsi que Bootstrap, s’inscrivent-ils dans le cadre des responsabilités qui vous sont confiées, notamment en ce qui concerne l’assurance de la qualité, la documentation, et la contribution aux sessions de brainstorming destinées à faire évoluer le produit ? »**
Autrement dit, en intégrant à la fois la description des rôles et des responsabilités, ainsi que les processus de validation et d’amélioration continue, cette question invite à explorer, sous une forme syntaxiquement enrichie et structurée de manière plus complexe, la façon dont le candidat ou la candidate participe, concrètement, à la conception, au développement, à la validation et à l’évolution des solutions logicielles dans un contexte dynamique et innovant.
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COP21 - Visite à Brasilia du Ministre Laurent Fabius
Laurent Fabius, Ministre français des Affaires étrangères et du Développement International et président de la COP21, s’est rendu du 20 au 22 novembre successivement en Inde, en Afrique du Sud et au Brésil dont il a rencontré les dirigeants, pour préparer la conférence de Paris. Ces visites dans trois pays émergents qui sont des acteurs-clé de la négociation ont pour objectif de progresser vers les consensus nécessaires.
A Brasilia, le dimanche 22 novembre, il a été reçu en audience par la Présidente Dilma Rousseff au Palais de l’Alvorada. La Présidente brésilienne a confirmé qu’elle se rendrait à Paris le 30 novembre pour participer à l’ouverture de la COP21.
Laurent Fabius a poursuivi ensuite ses discussions lors d’un déjeuner de travail au Palais de l’Itamaraty avec le Ministre brésilien des Relations Extérieures, M. Mauro Viera, et la Ministre brésilienne de l’Environnement, Mme Izabella Teixeira. Cette-dernière mènera la délégation brésilienne lors de la COP21 à Paris du 30 novembre au 11 décembre 2015.
A l’issue de ces entretiens, Laurent Fabius a déclaré aux médias brésiliens :
"Le Brésil est un acteur historique des négociations climatiques et aujourd’hui il joue un rôle tout à fait essentiel dans les négociations car il est reconnu comme une force de proposition, de compromis. Nous comptons sur le Brésil pour jouer ce rôle activement à Paris afin d’aller vers le consensus qui devra être trouvé sur tous les enjeux que nous avons à trancher. A Paris, il nous faut un ambitieux compromis et j’insiste sur ces deux termes. […]
La contribution nationale brésilienne [INDC], élaborée en association avec la société civile, est particulièrement ambitieuse et particulièrement exemplaire. Je voulais à nouveau saluer cette contribution. Le Brésil a déjà agi fortement dans ce domaine et il s’engage maintenant à nouveau à agir fortement".
Après l’organisation récente de la pré-COP, lors de laquelle ont été accueillis à Paris 60 ministres venant de plus de 70 pays de tous les continents, ces déplacements en Inde, Afrique du Sud et au Brésil manifestent la détermination de la présidence française de la COP21 d’être à l’écoute de toutes les parties et en particulier du Brésil afin d’aboutir ensemble à un accord universel, ambitieux et durable sur le réchauffement climatique.
- Les Ministres des Affaires étrangères M. Vieira et L. Fabius suiviS de l’Ambassadeur Laurent Bili
- Os Ministros das Relações Exteriores, M. Vieira e L. Fabius e o Embaixadoor Laurent Bili Thibaut Lespagnol / Ambassade de France au Brésil
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1. Dans le cadre de ses efforts pour préparer la conférence de Paris, le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, ainsi que président de la COP21, a effectué une tournée de trois jours en Inde, en Afrique du Sud et au Brésil, où il a rencontré les dirigeants locaux afin de renforcer les consensus nécessaires. (Discours officiel, contexte diplomatique)
2. Lors de sa visite officielle à Brasilia, du 20 au 22 novembre, Laurent Fabius, ministre français des Affaires étrangères et président de la COP21, a été reçu par la présidente Dilma Rousseff, qui a confirmé sa participation à l’ouverture de la conférence climatique à Paris, le 30 novembre prochain. (Article de journal, style informatif)
3. Après avoir rencontré les responsables brésiliens, notamment la présidente Rousseff et ses ministres, Laurent Fabius a souligné l’importance historique du Brésil dans les négociations climatiques, insistant sur son rôle clé dans la recherche d’un consensus ambitieux à Paris. (Analyse politique, ton sérieux)
4. La visite de Laurent Fabius à Brasilia, comprenant des entretiens avec la présidente Dilma Rousseff et ses ministres, s’inscrit dans la stratégie française de dialogue multilatéral pour faire avancer la négociation climatique globale, en impliquant activement le pays hôte de la COP21. (Communiqué de presse, style formel)
5. Dans un contexte où la mobilisation internationale s’intensifie, le ministre Laurent Fabius s’est rendu en Afrique du Sud, en Inde et au Brésil pour renforcer la coopération et encourager ces pays émergents à s’engager davantage dans la lutte contre le changement climatique, en vue de la conférence parisienne. (Discours de campagne, registre motivant)
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Quand on cuisine régulièrement, on est amenés à essayer plein de matériel, d’ingrédients.
Parfois on est très déçus, mais parfois ça peut aussi nous simplifier la vie.
A Noël dernier, on m’a offert cet économe à tomates ( mais également poivrons et tout autre légume):
Je me suis empressée de le tester, car habituellement, pour éplucher les tomates, je les pose dans une casserole d’eau bouillante, puis je les laisse 1 minute, et enfin je retire la peau.
C’est donc beaucoup plus fastidieux qu’avec un simple économe.
De même pour les poivrons: pour retirer leur peau, je les cuisais 35 minutes au four à 200°c, puis je les glissais dans un sac congélation, le refermais, et laissais ainsi pendant 15 minutes. Ce n’est qu’ensuite que je retirais la peau.
Résultat avec cet économe:
C’est magique ! Aucun effort à fournir, la peau des tomates et poivrons s’enlèvent sans soucis. Ça devient aussi simple que d’éplucher une carotte!
D’ailleurs, j’ai testé le pelage d’une carotte avec cet économe: il est tout aussi facile qu’avec un économe lambda. Par contre, la lame coupe davantage, donc attention aux doigts!
Niveau prix, comptez une quinzaine d’euros pour acquérir ce petit ustensile. Pas de quoi se ruiner, mais le gain de temps qu’il nous fait économiser est précieux!
Publié le 16 mars 2015
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Un économe à tomates simplifie l’épluchage, rendant cette tâche aussi facile qu’éplucher une carotte, pour environ 15 euros.
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Plante médicinale riche en vitamine
C utilisée pour soigner et prévenir les refroidissements,
se présente en général sous forme de
tisanes (infusion).
Utilisée également en poudre pour soigner l'arthrose.
Pour plus de détails voir ci-dessous ou sur le sommaire.
Préparations utilisées : poudre ou capsules de cynorodon
EFFETS
SECONDAIRES / CONTRE-INDICATION / INTERACTIONS Effets secondaires : aucun connu (à notre avis) Contre-indication : aucune
connue (à notre avis) Interaction : aucune connue (à notre avis) SOMMAIRE
/ HAUT DE LA PAGE
*NOMS DE MEDICAMENTS En
Suisse :
>
En tisane dans la gamme *Sidroga® : Sidroga® contre les Refroidissements en vente en pharmacie. En vente en grandes surfaces sous forme de sachets pour faire des infusions de cynorhodon (notre photo).
>
En poudre ou capsules dans Litozin®.
En France, Belgique, Canada et Maroc : différentes préparations,
demandez conseil dans votre pharmacie.
*Attention
: les médicaments mentionnés ci-dessus ne se veulent
pas représentatifs de l'ensemble des remèdes existants,
il s'agit d'un listing en aucun cas exhaustif et à titre
purement indicatif. Pour les médicaments, veuillez lire
la notice d'emballage et demandez conseil à votre spécialiste
PREPARATIONS - SOUS
QUELLE FORME ? (formes galéniques)
>Poudre de cynorhodon ou capsule de cynorhodon[contre l'arthrose, les maux de dos,...]
>Teinture de cynorhodon (Recette : 4 grammes de faux fruits d'églantier dans 100 ml d'eau, chauffez à ébullition l'eau froide et les faux fruits, laissez encore bouillir 20 minutes après ébullition) [contre les refroidissements ou l'hypovitaminose]
OÙ ET QUAND PEUT-ON LE TROUVER ?
> Où pousse le cynorhodon ?
On peut trouver le cynorhodon en Europe (France, Suisse, Belgique) assez fréquemment dans la nature.
> Quand peut-on récolter les (faux) fruits de l'églantier ou de cynorhodons ?
On peut récolter les faux fruits de l'églantier en Europe de préférence fin août - début septembre.
AVIS DE CREAPHARMA /
REMARQUES > En Suisse, on appelle habituellement cynorhodon la plante entière d'églantier, en fait il s'agit d'un abus de language ou d'un helvétisme (mot suisse), car le cynorhodon est en réalité le nom donné au faux fruit de l'églantier.
Toutefois
en France on parle plus souvent de tisane d'églantier, alors qu'en Suisse on parle de tisane de cynorhodon (en pensant à la tisane de la partie utilisée de l'églantier soit le fruit), dans ce dernier cas ce n'est pas un abus de langage mais une précision de language.
> En
tisane ou en infusion les faux fruits de cynorhodon ou d'églantier sont de saveur très agréable, cela
joint l'utile à l'agréable.
> Cette plante est très recommandée
pendant les saisons froides en prévention ou en traitement
des refroidissements et d'autres
infections, notamment grâce à la teneur élevée en vitamine C.
> Remarquons finalement que c'est avec cette plante que les enfants farceurs peuvent faire de la poudre de poil à gratter et ennuyer jeunes ou moins jeunes !
Le cynorhodon, un fruit efficace - Soulage en cas de rhumatisme inflammatoire et de douleurs au dos
BAD SCHWALBACH - Lors du congrès annuel de la Ligue européenne contre le rhumatisme (EULAR) à Barcelone, les résultats de nouvelles études sur le cynorhodon ont été présentés. Madame le Professeur, Dr Sigrun Chrubasik, de l'université de Fribourg-en-Brisgau a présenté des nouveautés intéressantes à ce public de spécialistes.
On connaît depuis des années les propriétés anti-inflammatoires et antalgiques du cynorhodon en cas d'arthrose. Une équipe médicale de l'Hôpital universitaire Charité à Berlin a prouvé que le cynorhodon est aussi indiqué comme traitement d'appoint en cas de rhumatisme inflammatoire. Lors d'une étude en double aveugle, 89 patients ont été traités pendant 6 mois soit avec 5 g de poudre de cynorhodon en provenance du Danemark ou avec un placebo (substance inactive). Alors que l'état de ces derniers s'est détérioré, les médecins ont observé une nette amélioration grâce à la prise de cynorhodon.
Amélioration sensible
Un groupe de travail de l'université de Fribourg a présenté les résultats d'une étude pilote effectuée sur 152 patients avec des douleurs au dos chroniques. Tous les paramètres mesurés se sont améliorés de même façon, tant chez les patients souffrant de douleurs au dos non spécifiques que chez les patients avec douleurs articulaires dominantes. Lors de fortes douleurs, une prise de 10g de poudre de cynorhodon par jour est nécessaire; cette dose peut cependant être réduite selon l'évolution à 5 g ou moins. Après 4 mois et demi, les douleurs ou invalidités étaient réduites de plus de la moitié chez 60% des patients.
Le traitement d'appoint naturel demande de la patience. Le cynorhodon ne doit en aucun cas être pris en remplacement des médicaments anti-inflammatoires, mais toujours en accompagnement ou à la place des antidouleurs synthétiques.
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Le cynorhodon, une plante riche en vitamine C, est couramment employée sous forme de tisane (infusion) pour traiter et prévenir les refroidissements. Il est également disponible en poudre pour soulager l'arthrose. Pour plus de détails, consultez la section ci-dessous ou le sommaire. Les préparations courantes incluent la poudre ou les capsules de cynorhodon.
En ce qui concerne ses effets, aucun effet secondaire ni contre-indication ou interaction n’ont été signalés à notre connaissance. En Suisse, on trouve le cynorhodon dans la gamme *Sidroga®* sous forme de tisane contre les refroidissements, disponible en pharmacie, ainsi que dans les supermarchés sous forme de sachets pour infusion (voir photo). En France, en Belgique, au Canada et au Maroc, diverses préparations existent, et il est conseillé de demander conseil en pharmacie.
Il est important de noter que cette liste de médicaments n’est pas exhaustive ; il s’agit d’un simple aperçu à titre indicatif. Pour toute utilisation médicamenteuse, il faut lire la notice d’emballage et consulter un professionnel de santé.
Concernant les formes galéniques, on trouve le cynorhodon en poudre ou en capsules (notamment pour l'arthrose ou les douleurs dorsales), ainsi qu’en teinture (recette : faire bouillir 4 g de faux fruits d’églantier dans 100 ml d’eau, en chauffant à ébullition, puis laisser mijoter 20 minutes supplémentaires). Ces formes sont principalement utilisées pour lutter contre les refroidissements ou les carences en vitamine C.
Où et quand peut-on récolter ces fruits ? Le cynorhodon pousse fréquemment en Europe, notamment en France, en Suisse et en Belgique. La récolte des faux fruits de l’églantier se pratique de préférence fin août à début septembre.
En Suisse, on désigne souvent par « cynorhodon » la plante entière d’églantier, mais en réalité, ce terme désigne le faux fruit de l’églantier, ce qui peut prêter à confusion. En France, on parle plutôt de tisane d’églantier, alors qu’en Suisse, on privilégie la « tisane de cynorhodon » pour désigner la même infusion, en précisant la partie utilisée. Ces infusions ont une saveur agréable, rendant leur consommation plaisante.
Ce végétal est vivement recommandé durant les saisons froides, tant en prévention qu’en traitement des refroidissements et autres infections, grâce à sa richesse en vitamine C. Enfin, il faut noter que cette plante peut aussi servir de distraction pour les enfants farceurs, qui peuvent en faire de la poudre à gratter pour embêter leur entourage.
Le cynorhodon, un fruit efficace, soulage notamment en cas de rhumatismes inflammatoires et de douleurs dorsales. Lors du congrès annuel de la Ligue européenne contre le rhumatisme (EULAR) à Barcelone, des études récentes ont confirmé ses propriétés anti-inflammatoires et analgésiques, notamment en cas d’arthrose. Une étude menée à l’Hôpital universitaire Charité de Berlin a montré que le cynorhodon peut également être utilisé en complément dans le traitement du rhumatisme inflammatoire : en double aveugle, 89 patients traités sur 6 mois avec 5 g de poudre de cynorhodon ont montré une nette amélioration par rapport au groupe placebo dont l’état s’était dégradé.
Une autre étude sur 152 patients souffrant de douleurs chroniques au dos a révélé que tous les paramètres s’amélioraient significativement, que ce soit pour des douleurs non spécifiques ou articulaires. Lors de douleurs aiguës, une dose de 10 g par jour est recommandée, puis ajustée à 5 g ou moins selon l’évolution. Après environ quatre mois, plus de 60 % des patients ont constaté une réduction de moitié de leurs douleurs ou de leurs limitations fonctionnelles.
Il est important de souligner que le cynorhodon doit être considéré comme un complément naturel, et non comme un substitut aux médicaments anti-inflammatoires ou aux analgésiques synthétiques. La patience est requise pour en observer les effets bénéfiques.
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**Question reformulée :**
Quelle plante médicinale, riche en vitamine C et souvent consommée sous forme de tisane ou en poudre, est utilisée pour prévenir et traiter les refroidissements, tout en étant également efficace contre l’arthrose et les douleurs inflammatoires ?
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Les solutions d'administration se divisent en deux catégories, qui se complètent souvent. D'un côté, on trouve les plates-formes globales ; de l'autre, les produits spécialisés.
Une défaillance du système d'information entraîne de grosses pertes financières pour l'entreprise. Pour superviser ces environnements, deux sortes de logiciels d'administration existent. D'une part, les plates-for- mes, comme TNG, de Compu- ter Associates, Tivoli, d'IBM, ou Openview-ITO, de HP, destinées à intégrer l'ensemble des outils nécessaires à une supervision globale : réseau, système, matériel, applications. D'autre part, les outils spécialisés, tels ceux de BMC Software, de Sysload ou de Candle.
Compléter sa solution par d'autres outils s'impose
Chaque méthode a ses faiblesses ; le choix de l'une ou de l'autre divise les utilisateurs. " Nous avons opté pour TNG afin de faire face à l'évolution de notre système d'information, explique Bernard Debuisson, directeur informatique de Danka. Notre équipe informatique était réduite. Nous avons préféré investir dans une plate-forme de supervision plutôt que d'embaucher du personnel et de devoir le former. " Cette société utilise divers services de TNG : supervision, télédistribution, inventaire permanent, prise de contrôle à distance, sauvegarde centralisée, etc. Mais couvrir tous ces domaines présente des inconvénients : " L'outil ne signale que les dysfonctionnements sur un plan global ", poursuit Bernard Debuisson. Pour affiner la recherche de l'élément défaillant, les utilisateurs doivent recourir à des outils complémentaires. Renault, par exemple, a installé Openview dans ses huit sites industriels. " Pour mesurer les performances de nos serveurs, nous complétons cette solution par le logiciel de Sysload ", explique Olivier Boiteux, responsable technique des sites industriels de Renault.Les responsables de 9 Telecom, en revanche, ont exclu de leur choix les plates-formes. " Nous avons installé Patrol, de BMC Software, en 1999, pour superviser une centaine de serveurs, explique Thierry Minguet, chef de projet chez l'opérateur. Nous avions opté pour la technologie agent comme approche d'outil de supervision. C'est une solution que nous pouvons faire évoluer selon nos besoins. " Concernant d'autres fonctions, 9 Telecom a installé des logiciels spécifiques - par exemple, ARS, de Remedy, pour la gestion des incidents. Le paramétrage est l'un des principaux critères différenciateurs des deux approches. " Il est très délicat à réaliser pour les plates-formes, précise Olivier Boiteux. S'il est mal fait, le produit peut se révéler totalement inutile. " En effet, dans ce cas, de fausses alertes - difficiles à distinguer des véritables défaillances pour l'exploitant - peuvent remonter. " Nous n'avons pas rencontré cette difficulté avec Patrol ", commente Thierry Minguet. Toutefois, avant d'installer l'outil, les responsables de 9 Telecom ont dû définir très précisément les serveurs devant être supervisés. Ces informations ont été paramétrées dès le départ par l'éditeur.
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Supervision informatique : plateformes globales ou outils spécialisés, choix stratégique selon besoins et paramétrages.
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La liste des 30 joueurs français sélectionnés pour la coupe du monde de football, la proposition de Pierre Gattaz, une fillette martyrisée par une amie de ses parents, l'élection présidentielle en Algérie... c'est le Top de Bourdin Direct.
"Je ne suis pas là pour prendre les 23 meilleurs joueurs Français"
Didier Deschamps le sélectionneur de l'équipe de France invité de JJB sur RMC et BFMTV à 8h35.
A moins de deux mois de la coupe du monde le sélectionneur de l'équipe de France répond à toutes les questions. "Je suis là pour faire le meilleur groupe. Il faut un état d’esprit collectif.
Je vais faire plus de malheureux que d’heureux le 13 mai. C’est une logique sportive et une logique humaine. On verra si c’est 23 + 7 réservistes ou 30. Je n’ai pas encore les 30 noms. J’ai encore des interrogations. Si aucun joueur n’a de soucis physiques, j’en ai une vingtaine sûr."
Faut-il autoriser un salaire inférieur au Smic pour favoriser l'emploi ? Pour lutter contre le chômage le patron du Medef Pierre Gattaz relance l'idée d'un smic jeune.
Valérie Rabault, future rapporteur générale (PS) du budget à l'Assemblée nationale, réagit sur RMC : « Je suis ahurie. Un jour il demande 100 milliards, le lendemain, la fin du Smic. M. Gattaz fait sa liste de courses comme au supermarché. Et en échange, il met quoi dans la balance ? Rien ». Dominique Dord, député UMP de Haute-Savoie, n'est pas de cet avis : « Ca vaudrait le coup d'essayer pour voir si ce n'est pas mieux d'avoir des jeunes moins payés plutôt que des salariés au chômage. »
Information RMC : une fillette martyrisée par une amie de ses parents.
L'enfer subi par une petite fille de 6 ans pendant plusieurs jours, près de Tarbes. Brûlures sur les jambes, traces de coups sur le visage, la petite Ambre, 6 ans, a vécu un calvaire. En octobre dernier elle est confiée par sa mère à une amie. Durant 8 jours cette femme et ses 4 colocataires s'acharnent physiquement sur la petite fille. Ils filment les violences avec leur téléphone portable. À 8h, la mère d'Ambre témoigne sur RMC : « On s’en est aperçu quand on l’a récupérée. Je ressens beaucoup de colère. Des gens comme ça ne devraient pas exister. Ils ont fait du mal à une petite sans défense. Ils doivent payer pour ce qu’ils ont fait ».
La colère des opposants avant les élections en Algérie demain
Abdelaziz Bouteflika brigue un quatrième mandat. C'est le grand favori. Une élection jouée d'avance pour les opposant. "Abdelaziz Bouteflika conduit le pays vers tous les dangers. Nous sommes là pour dire Stop. En Algérie il y a toujours des hommes et des femmes debout" dit ce matin sur RMC à 7 heures 30 Mehdi, journaliste et membre du mouvement Barakat ("ça suffit" en arabe). Même tonalité du côté de l'écrivain Yasmina Khadra invité de JJ Bourdin à 8 heures 10. "Un pays où on vote pour un homme malade, c'est un pays mort".
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« Je ne suis pas ici pour sélectionner les 23 meilleurs joueurs français »
Didier Deschamps, entraîneur de l’équipe de France, invité de JJB sur RMC et BFMTV à 8h35, répond à toutes les interrogations à moins de deux mois de la compétition. « Mon objectif est de constituer la meilleure équipe possible. L’esprit collectif doit primer. » Je vais probablement faire plus de malheureux que de heureux le 13 mai. C’est une question de logique sportive autant qu’humain. Nous verrons si nous retenons 23 joueurs plus 7 réservistes ou si nous faisons appel à 30. Je n’ai pas encore la liste complète. J’ai encore des doutes. Si aucun n’a de problème physique, j’en ai déjà une vingtaine en tête. »
Faut-il envisager un salaire inférieur au SMIC pour favoriser l’emploi ? Pour lutter contre le chômage, le président du Medef, Pierre Gattaz, remet sur la table l'idée d’un SMIC pour les jeunes.
Valérie Rabault, future rapporteure générale du budget à l’Assemblée nationale (PS), s’exprime sur RMC : « Je suis stupéfaite. Un jour, il demande 100 milliards, le lendemain, il propose la suppression du SMIC. M. Gattaz fait sa liste de courses comme dans un supermarché. Et que propose-t-il en échange ? Rien. » Dominique Dord, député UMP de Haute-Savoie, n’est pas du même avis : « Cela pourrait valoir la peine d’essayer, pour voir si payer les jeunes moins cher est plus avantageux que d’avoir des chômeurs. »
Information RMC : une fillette victime de violences de la part d’une amie de ses parents.
L’enfer vécu par une petite fille de 6 ans durant plusieurs jours, près de Tarbes. Brûlures aux jambes, marques de coups sur le visage, la petite Ambre, 6 ans, a subi un calvaire. En octobre dernier, sa mère la confie à une amie. Pendant huit jours, cette femme et ses quatre colocataires s’en prennent violemment à la fillette. Ils enregistrent ces violences avec leur téléphone portable. À 8h, la mère d'Ambre témoigne sur RMC : « Nous avons découvert la vérité quand nous l’avons récupérée. Je ressens une profonde colère. Des individus comme ça ne devraient pas exister. Ils ont fait du mal à une enfant sans défense. Ils doivent répondre de leurs actes. »
Les opposants manifestent leur mécontentement à la veille des élections en Algérie.
Abdelaziz Bouteflika cherche à obtenir un quatrième mandat, étant largement favori. Pour ses opposants, c’est une élection gagnée d’avance. « Abdelaziz Bouteflika mène le pays vers de grands dangers. Nous sommes là pour dire stop. En Algérie, il y a toujours des hommes et des femmes qui tiennent bon », déclare ce matin sur RMC, à 7h30, Mehdi, journaliste et membre du mouvement Barakat (« ça suffit » en arabe). La même tonalité se retrouve chez Yasmina Khadra, écrivain invité de JJ Bourdin à 8h10 : « Un pays où l’on vote pour un homme malade, c’est un pays qui est déjà mort. »
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Demain samedi nous partons en vacances une semaine en franche comté. On a hâte, on a loué un gîte dans un super centre ca va être top !Sinon tout le monde va bien, j'ai appris à Betty a faire bravo et coucou !!! coucou c'était plus difficile car y'a une seule main et faut la faire aller de droite à gauche pas facile...lolBise !
De : pauline7810 Durée : 00:04 Date : 16/05/2008 Vues : 105
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Partons une semaine en Franche-Comté, gîte génial ; Betty apprend à faire bravo et coucou, difficile mais amusant.
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En une saison d’anthologie, parachevée par deux trophées, les rugbymen du RCT ont davantage fait parler de Toulon que n’importe quelle campagne de promotion. Un atout incommensurable
Vingt ans après s'être donnée au Front National, la ville de Toulon n'en finit pas de restaurer son image. Qui n'a jamais essuyé un rictus, souffert d'un a priori, en affirmant être originaire de Toulon ? Longtemps meurtri, le « peuple toulonnais » trouve en l'épopée du RC Toulon mieux qu'un exutoire, un formidable moyen de s'affirmer à la face du monde.
« Cette notoriété du RCT dépasse tout ce qu'on peut imaginer, grâce aux médias et aux réseaux sociaux… Et ça ne fait de commencer, prévient Jean-Pierre Serra, président du comité départemental du tourisme.Le rugby à Toulon est une religion grâce aux "pères fondateurs" (les générations Herrero puis Champ-Gallion) qui en ont fait une vraie terre de rugby. Aujourd'hui, Mourad Boudjellal a réussi à faire pousser ces germes, de sorte que le rêve est devenu réalité.»
Réaliser le doublé championnat - Coupe d'Europe est exceptionnel, sportivement parlant. Le Sunday Times, pas vraiment réputé pour encenser les Français, a établi le XV de la Rade était la meilleure équipe d'Europe, sélections nationales comprises. « Si cette équipe participait au tournoi des Six Nations, elle pourrait avoir des chances de l'emporter. Toulon, avec cette performance, s'inscrit dans la légende de l'ovalie de France », a abondé Daniel Herrero.
« Un formidable levier de promotion »
L'excellence toulonnaise est aussi du pain béni en terme d'exposition médiatique : 5,6 millions de téléspectateurs pour la finale du Top 14, nouveau record d'audience depuis 15 ans. « Nous avons calculé que sur les six derniers mois, la ville de Toulon aurait dû débourser 18 ME pour obtenir la même visibilité médiatique, expliquait récemment Mourad Boudjellal. J'essaie simplement de monétiser le formidable engouement que suscite notre club. »
N'importe quel fan du rugby en Europe sait placer Toulon sur la carte, notamment depuis que le RCT a terrassé le Munster en janvier 2011, et à plus forte raison depuis les deux titres européens de 2013 et 2014.
« Le RCT est devenu le plus bel ambassadeur de Toulon et du Var, dépassant largement Saint-Tropez, explique Jean-Pierre Ghiribelli, le patron des hôteliers - restaurateurs varois. Et il faut y rajouter le côté festif, si important dans ce contexte de crise et d'interrogations. Tout ce que les joueurs ont accompli change l'image de la ville et ça rejaillit sur le tourisme. »
Des hôtels au taux d'occupation grandissant, des brasseries qui affichent complet les soirs de match, des croisiéristes toujours plus nombreux, des chefs qui tentent l'aventure à Toulon : le nombre de touristes est passé de 158 000 en 2011 à plus de 200 000 en 2013, selon l'office du tourisme. Fait nouveau, Toulon s'affirme en destination touristique. « La destination a pris une dimension à laquelle elle n'aurait jamais pu prétendre, affirme Jean-Pierre Serra. Le RCT est un formidable levier de promotion touristique.»
« J'appelle une réflexion globale, des instances du RCT, des chambres consulaires et des collectivités, pour capitaliser et ne pas passer à côté de ce succès», conclut Jean-Pierre Ghiribelli qui pense à des « packages » (hôtellerie, restauration et places au stade Mayol).
« Tout cela profite en priorité au RCT lui-même, remarque Hubert Falco, sénateur-maire. Mais il est évident que ça a aussi un effet positif sur la "marque" Toulon. Tant mieux si ce succès génère des initiatives fortes, mais ce que je quantifie surtout, c'est le bonheur distribué. Dimanche, nous étions suffoqués de voir tous ces gens heureux, fédérés, rassemblés. Ils se sont fort justement approprié cet exploit dans une véritable communion.»
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Dans l’immense cité de Neo-Toulon, en l’an 2450, sous un dôme de cristal et de néons pulsants, deux figures emblématiques de l’histoire se retrouvent face à face, le temps ayant tissé entre eux un fil d’échos et de remous : Marie Curie, la pionnière des radiations, et Nikola Tesla, l’inventeur visionnaire. Leur échange, d’un ton à la fois curieux et méditatif, s’inscrit dans un contexte où le sport a transcendé la simple compétition, devenant un vecteur de renaissance et d’identité collective.
Marie Curie (regardant la vue holographique d’une ville en pleine effervescence) : Nikola, regarde cette cité vibrante, où le rugby, jadis simple jeu de contact, est devenu la pulsation même de la renaissance toulonnaise. Deux trophées, comme deux étoiles dans la nuit technologique, ont forgé une légende que même la matière noire ne peut éteindre. C’est une saison d’anthologie, mais ce n’est pas uniquement une victoire sportive, n’est-ce pas ? C’est un miracle, un écho d’espoir dans cette ère où tout se restructure, même l’âme de la ville.
Nikola Tesla (souriant, les yeux étincelants d’une lumière électrique) : Ah, Marie, c’est là où la magie du futur s’écrit dans le sillage de l’émotion collective. La notoriété du RCT, ce n’est pas qu’une simple amplification médiatique, c’est une électrisation de l’identité locale, un phénomène qui dépasse la logique de l’acier et du code. La ville, naguère marquée par ses blessures, la voici ressuscitée par la force d’un rêve, alimenté par des générations d’innovateurs… comme ces ‘pères fondateurs’ que tu évoques, mais qui, dans cette époque, se nomment ‘constructeurs de conscience’.
Marie : Et pourtant, Nikola, cette exaltation soulève une tension subtile, une sorte d’oscillation entre le triomphe collectif et l’ombre d’une idolâtrie qui pourrait dévorer ses propres racines. Le rugby, cette religion moderne, agit comme un levier, certes, mais aussi comme un miroir déformé de nos aspirations. N’oublions pas que derrière cette ferveur, il y a une ville qui cherche encore à redéfinir son visage, à ne pas tomber dans la superficialité d’une gloire qu’on pourrait croire éphémère.
Nikola : La lumière et l’ombre dansent toujours, Marie, mais ce qui m’émerveille, c’est cette capacité à transformer une simple compétition en un catalyseur de cohésion. La performance du RCT, en battant ses records, a fait de Toulon une constellation médiatique, surpassant Saint-Tropez même, dans ce réseau d’hyperconnectivité où chaque instant devient une capsule d’éternité. La ville, avec ses hôtels saturés et ses croisiéristes en expansion, s’est métamorphosée en destination de rêve, où même la science-fiction n’aurait osé rêver d’un tel miracle.
Marie (avec un soupir pensif) : Mais, Nikola, si cette effervescence est un feu de paille ou une véritable renaissance ? La question demeure : ne risquons-nous pas d’oublier que cette visibilité, si brillante soit-elle, doit servir un dessein plus vaste. Le succès du RCT est une arme à double tranchant. Il faut, comme tu le disais, capitaliser cette vague, construire un avenir durable, à l’image de ces ‘packages’ que vous, inventeurs du futur, savez si bien orchestrer. Sinon, cette gloire pourrait n’être qu’un éclair fugace dans l’obscurité de notre époque.
Nikola (se levant, déterminé) : La tension, Marie, est là, mais elle est aussi la clé de notre progrès. Le vrai retournement, c’est cette conscience que le bonheur collectif, la fierté partagée, forge un socle plus solide que n’importe quelle invention. Ce dimanche, cette foule rassemblée, unie dans la jubilation, était une symphonie de l’humanité retrouvée, un témoignage que même dans ce futur technologique, c’est l’émotion, et non la machine, qui reste le moteur de notre évolution.
Marie (souriante, mais prudente) : Alors, que la réflexion continue, Nikola, car dans cette course effrénée vers l’avenir, il faut veiller à ce que la passion ne devienne pas un feu de signalisation, aveuglant la voie vers un demain où la gloire ne sera pas qu’un éclat, mais une lumière pérenne. Et si le sport peut être cette étincelle, qu’il serve alors à éclairer le chemin de l’humanité, sans jamais l’éclipser.
Nikola (hochant la tête, avec un clin d’œil futuriste) : Qu’il en soit ainsi, Marie. Car dans cette époque où la science et le rêve se confondent, la véritable victoire sera celle de l’esprit, toujours capable de s’élever, même face aux étoiles qu’elle a elle-même aidé à atteindre.
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Vous n'êtes pas identifié(e).
Hello,
Je viens de développer une appli Web dont l'objectif est de faciliter la veille concurrentielle. Actuellement, l'identification sur l'appli se fait via l'authentification Linkedin (assez pertinent dans le contexte de l'application). J'ai tout intégré et développé moi même (donc il n'y a aucun CMS dans l'histoire) en PHP. C'est un peu codé à la barbare mais ça fonctionne très bien.
J'aimerais monétiser cette application, idéalement en mode SaaS, mais je ne sais pas par quel bout prendre le truc.
J'envisage plusieurs méthodes mais je ne sais pas ce qu'elles valent. J'ai donc plusieurs questions :
- Il y a l'abonnement mensuel automatisé via Paypal ou Stripe. Mais pour ce type de monétisation, doit-on obligatoirement passer par la mise en place d'un certificat SSL ? Sa mise en place me rebute un peu... Est-ce que vous auriez un bon tuto ?
- L'identification via l'authentification Linkedin est-elle une bonne idée ? Ou est-ce qu'il vaut mieux que je développe moi même mon script de gestion de membres ? Est-ce que vous auriez un script déjà prêt à me recommander ?
- Il y a l'abonnement mensuel géré à la mano : la personne me contacte par email ou téléphone, et on met en place l'abonnement ensemble. Est-ce que la gestion manuelle des clients est un truc qui se fait couramment ? Est-ce que ça ne fait pas trop amateur ?
- le crowdfunding par abonnement (Tipeee ou Patreon) : ceux qui veulent assurer la pérennité de l'outil contribuent, reçoivent des contreparties supplémentaires, et les autres profitent de l'outil gratuitement. Dans un cadre pro, je crains que ça fasse un énorme flop.
Merci d'avance pour vos avis !
Ma devise : ne travailler pour personne et ne faire travailler personne !
Hors ligne
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Développeur d'une appli Web de veille, je souhaite la monétiser en SaaS, questions sur SSL, authenticaton, gestion clients, crowdfunding.
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La maison penchée
La maison penchée :
Auteur : Kathi Appelt
Edition : Milan
Tome : 1/1
Date de parution : 14/05/2010
Pages : 315
Bonne lecture ✔
Résumer :
Prenez une maison, une drôle de maison penchée. Plantée dans le bayou, au coeur des marais de Louisiane, au milieu des crocodiles. Et un homme avec un fusil, une descendante des sirènes, un homme-épervier. Ajoutez quelques chats, un chien, et l'alligator-roi.
Dans le bayou vivent des arbres millénaires, des animaux légendaires... et des hommes. Trois histoires qui se croisent. Trois destins uniques. Un livre poignant.
Notes :
« Une histoire magique et mystérieuse, de la poésie et du suspense... » Louis Sachar
« Un conte fabuleux. » Kirkus Reviews
Petit + :
★ Dans ce livre, trois histoires sont liées. Pour moi ce livre mélange la magie et l’étrange. La magie pour se sang mixte qu’on certains animaux du bayou, pour ces arbres vieux de mille ans. Étrange pour les lieux atypiques.
★ Au début j’ai eu du mal à rentrer dans le livre, les flash-back et le changement de personnages sont déstabilisants. J’ai trouvé le livre long, avec beaucoup de détails et peu d’action. Mais ce livre fait passer plusieurs émotions et c’est détails sont essentiels pour l’histoire et se fondre dans le décor. On ne peu pas vraiment parler d’action, car il n’y en a pas vraiment, mais il y a des moments au pressant dans le livre qui donne envie de connaitre la suite. J'ai aimée ce livre mais sans plus. Mais cela reste une jolie histoire avec des leçons à retenir. Je ne pouvais pas, ne pas lire ce livre, puisque c'est en quelque sorte le ivre déclancheur de mon amour pour la lecture...
★ C’est donc trois histoires liées. Toute se ramène à une seule cible, l’homme. Cet homme, Tête-de-Grapique, qui avait oublié son nom sur les quais de Houston près de son père ivre, qui avait souffert des moqueries des autres sur son visage meurtrie, qui n’était remplis que de haine. Cet homme ne trouvait satisfaction que dans la souffrance. Cet homme qui est devenu un monstre, voulais montrer au autre combien il était fort et fière en ramenant le corps de l’alligator-roi. L’alligator-roi qui est un vieil ami de Grand-mère mocassins. Grand-mère mocassin est un serpent, une vipère qui se sent trahis par l’amour, l’homme l’a trahis pour une autre, sa fille la trahis pour un homme-épervier. Elle saigne depuis bien trop longtemps pour que cette plaie se referme, et elle ne souhaite que de se venger de tout ceux qui l’on abandonnée. Mais elle devra attendre, car là voilà enfermée dans une jarre pendant mille ans. Pendant se temps, dans le Dessous, sous la maison penchée de Tête-de-Grapique, Anslem, le chien de Tête-de-Grapique, est consigné à rester là pour avoir fait preuve de bonté, mais voilà qu’arrive une Chatte tachetée, avec ses deux petit Max et Sabine. Un réconfort certain pour ce vieux chien, mais se bonheur est de courte durée… Et ces arbres, vieux de mille années, symbole de la sagesse, ils ne bougent pas, mais ils sont à et fond tout autant partie de l’histoire…
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« Les animaux ont des raisons de chanter. Les coyotes hurlent pour inviter le soleil à se coucher. Les rossignols gazouillent pour faire plaisir à l‘empereur. Les chiens de prairie aboient pour attirer un partenaire. Brune-Chantante chantait parce qu’elle était heureuse. »
« Plus que tout, ils se sentaient seuls. Les humains sont fondamentalement sociables, même ceux qui ont du sang mixtes. Le rire des autres leur est nécessaire. Les chagrins des autres leur sont indispensables. Ils sont faits pour nager, cuisiner, chasser et bavarder ensemble. Surtout, ils ont besoin des histoires des autres, histoires d’amour, de sagesse et de joie. »
« Nous avons tous nos préférences. Le ciel a ses comètes préférées. Le vent a ses canyons préférés. La pluie a ses toits préférés. »
« Pour les arbres, les histoires ne prennent jamais fin ; elles se succèdent insensiblement. Quand l’une est prête à se refermer, une autre commence à s’ouvrir, si bien qu’aucune n’est jamais terminée, pas vraiment. »
Tags : Bonne lecture
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Une maison penchée au bayou, trois destins liés, mêlant magie, mystère, émotions et leçon de vie.
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Meilleur commentaire critique
3 personnes ont trouvé cela utile
Une fin d'aventure sympathique...
le 29 juillet 2012
Un Roman qui termine les aventures de Célestin, une fin correcte mais sans plus, sans doute difficile de terminer ce cycle d'aventures. C'est courageux de l'avoir fait et le résultat est agréable à lire.
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Univers de science-fiction :
Dans un futur où l'humanité explore les confins de l'univers, un vaisseau spatial transporte le dernier épisode des aventures de Célestin, un explorateur solitaire. La conclusion de son périple, bien que sobre et correcte, témoigne de la difficulté intrinsèque à clore une odyssée, de l'effort nécessaire pour achever une quête qui a duré des années. La bravoure de l'auteur à conclure cette saga dans un environnement si imprévisible est admirable, et le résultat, bien que simple, demeure agréable à lire. La thèse centrale ici est que la fin d'une aventure, aussi modeste soit-elle, représente une étape essentielle dans le processus de quête et de sens, illustrant la nécessité d'accepter la fin comme un acte de courage face à l'inconnu.
Univers de fantasy :
Dans un royaume enchanté, un vieux mage termine la saga de Célestin, un héros qui a traversé forêts obscures et montagnes sacrées. Sa fin, bien qu'honorable, reste modeste, reflétant la difficulté de clôturer un cycle de quêtes épique. La bravoure de l'auteur à donner un dernier souffle à cette légende, malgré la simplicité de la conclusion, en fait une lecture agréable et digne. La thèse centrale est que la fin d'une aventure, même humble, est une étape cruciale dans le cheminement du héros, soulignant que l’acte de conclure demande autant de courage que celui de partir à l’aventure, incarnant la nécessité d’accepter la fin comme une partie intégrante du voyage.
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Bienvenue au numéro de Mai/Juin 2004 de LinuxFocus
Des routes gratuites !? Qu'est ce à dire, j'ai peur de mal comprendre. Mais de tout temps, il a toujours fallu payer pour se rendre d'un endroit A à un endroit B. Et il est parfaitement normal qu'un propriétaire réclame la taxe qui lui sied contre un droit de passage sur ses terres.
L'économie est entièrement basée sur l'existence des taxes sur les échanges commerciaux et autres péages routiers. Et nombre de gens travaillent dans ce domaine. Un grand propriétaire tirera grand profit des droits de passage sur ses routes et ne manquera pas de réinvestir ses gains pour produire emplois et richesses... Voici l'un des principes fondamentaux de notre modèle économique.
De plus, c'est un excellent moyen de contrôle : il est des plus aisé de suivre le cheminement des personnes comme des produits. Et si parfois il arrive que de "mauvais" produits ou personnes empruntent les routes, la police peut alors s'en prendre au propriétaire indélicat...
J'ai récemment lu un article traitant d'un monde où l'infrastructure routière était publique : non seulement il était possible d'aller d'un point A à un point B sans s'affranchir de la moindre taxe, mais encore y'avait-il plusieurs chemins parmi lesquels choisir. Quelle route emprunter ? Je suis aujourd'hui en contrat avec les propriétaires de telle et telle route, et en ne me souciant pas des alternatives, je ne risque pas de me perdre !..
Étrangement cet article concluait sur le fait que ce modèle économique était parfaitement viable.
C'est un peu ce que proposent les logiciels libres, toute une infrastructure où les coûts sont moindres et la liberté de choix importante, car l'utilisateur n'est pas tenu par un contrat. Cela nous laisse la liberté d'explorer à loisir ces nouvelles routes qui s'offrent à nous. Mais peut-être tout le monde n'est il pas encore prèt pour un tel changement !..
-- Guido Socher
PS : Voici une parfaite illustration de la liberté de choix :
nukeanything
(Supprimez n'importe quel objet d'une page WEB par un simple clic droit. Excellent).
les articles de LinuxFocus.org
Programmation
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Communiquer avec un processus en cours
, par Bob Smith
RTA (Run Time Access) et une bibliothèque qui vous permet de voir les structures de données de votre programme dans une base de données PostgreSQL ou dans un système de fichiers virtuel (analogue à /proc).
Graphisme
Administration système
-
Gentoo linux
, par
Guido Socher
Gentoo Linux est une distribution basée sur un système de paquetages sources. Ne serait-ce que sur ce point, elle est très différente des distributions commerciales bien connues.
Le "truc" de LinuxFocus
La souris de votre portable n'a que deux boutons ?
Vous n'avez que deux boutons sur votre souris et rien ne vous horripile tant que l'appui simultané pour vos copier/coller ! Vous pouvez assigner une touche de votre clavier au troisième bouton.
Voici comment convertir la touche "Impression Écran" en bouton du milieu de votre souris :
xmodmap -e 'keysym Print = Pointer_Button2'
xkbset m
xkbset exp =m
Pour ce faire, il vous faut le programme xkbset que vous trouverez ici :
http://www.math.missouri.edu/~stephen/software/xkbset/
( or xkbset-0.5.tar.gz,
copie locale)
Les caractères Latin1 sur un clavier anglais
Voici une astuce pour produire quelques caractères accentués sur un clavier anglais.
KDE et gnome disposent de programmes qui permmettent de modifier à la volée le jeu de caractères du clavier. Mais survient alors un problème : ce qui est indiqué sur la touche du clavier est sans rapport avec celui affiché lorsqu'on la presse. Or la plupart des langues latines ont le même alphabet à quelques caractères près. Pourquoi ne pas utiliser xmodmap et modifier le comportement de certaines touches inutiles, comme Caps-lock (Verrouillage Majuscule) pour produire les caractères additionnels ? Prenons en exemple l'allemand :
Caps-lock + a -> renvoie ä
Shift Caps-lock + a -> renvoie Ä
....
... et voyons comment faire. Enregistrez l'exemple qui suit dans un fichier, puis lancez la commande "xmodmap <mon_fichier>".
clear lock
!la ligne qui suit n'est normalement pas indispensable
!add Mod3 = Mode_switch
!keysym Caps_Lock = Mode_switch
!!ou
keycode 66 = Mode_switch
! maintenant les définitions des touches : utilisez xev
! pour connaître le code associé à une touche.
! Les deux premières colonnes après le signe égal
! correspondent au fonctionnement normal de la touche. Les deux suivantes
! correspondent respectivement à l'appui simultané de la touche
! avec Mode_swtich (la touche définie plus haut) et Mode_switch + Shift.
keycode 30 = u U udiaeresis Udiaeresis
keycode 32 = o O odiaeresis Odiaeresis
keycode 38 = a A adiaeresis Adiaeresis
keycode 39 = s S ssharp
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Dans l’éclat glacé d’une salle holographique, où le temps s’effiloche entre passé et avenir, deux figures emblématiques, Léonard de Vinci et Alan Turing, se retrouvent face à face, plongés dans un dialogue aux accents d’un futur où la notion même de liberté et de contrôle s’entrelacent comme les fils d’un réseau quantique.
Léonard, le regard illuminé par des arcs de néons multicolores, ouvre la discussion d’une voix douce, presque murmure :
— Mon cher Turing, dans ce monde où l’on parle de routes gratuites, je sens comme un murmure d’éveil, une illusion de liberté qui, en vérité, n’est qu’un voile tissé par ceux qui, en haut, orchestrent la symphonie des flux. Qu’est-ce qu’une route, sinon un fil tissé dans la toile de leur empire, où chaque pas, chaque passage, laisse une empreinte qu’ils peuvent suivre, comme des araignées traçant leur toile dans l'obscurité ?
Turing, les yeux brillants d’un éclat cybernétique, réplique en un ton de défi :
— Ah, mais Léonard, n’est-ce pas là le paradoxe même de l’ère numérique : la liberté de choisir parmi plusieurs chemins, un luxe qu’offre la décentralisation, un contrepoids aux monopoles d’hier ? La route publique, c’est la promesse d’un avenir où l’on pourrait s’éloigner des chaînes économiques, où l’on pourrait explorer sans payer le prix d’un ticket, où la diversité des sentiers devient la symphonie de l’indépendance.
Léonard, esquissant un sourire énigmatique, rétorque :
— Pourtant, cette promesse n’est qu’un mirage, car la véritable liberté réside dans la maîtrise du flux, dans la capacité d’observer chaque passage, chaque mouvement comme un maître observateur dans un tableau de Vermeer digital, où chaque trait, chaque couleur, est contrôlé par ceux qui détiennent la clé de la matrice. La liberté, ici, n’est qu’un concept élastique, modelé par les maîtres du contrôle, et si des “mauvais” éléments empruntent ces routes, la police du réseau pourrait bien s’en prendre aux propriétaires, comme un cyborg qui déchire sa propre armure pour mieux régner.
Turing, fronçant les sourcils, hausse la voix dans un soupir de défi :
— Et pourtant, cette vision d’un système où tout est public, où plusieurs chemins sont accessibles, n’est pas une illusion totale. Imagine un monde où l’infrastructure routière serait une propriété collective, où chaque voyage, chaque pas, se ferait sans taxe, sans barrière, dans un labyrinthe de choix infinie — comme si l’humanité, libérée du poids des péages, pouvait s’émerveiller de l’éclat d’un soleil artificiel, contrôlé par nos propres mains, dans cette cité futuriste où la liberté n’est pas une promesse, mais une réalité tangible.
Léonard, fixant le vide avec un soupçon de scepticisme, murmure :
— Peut-être… Mais dans ce rêve de routes ouvertes, la question demeure : jusqu’où sommes-nous vraiment libres, si nos pas sont tracés par des maîtres invisibles ? La véritable question, Alan, n’est pas celle de la route, mais celle de l’esprit, qui doit décider si la liberté est une route à suivre ou une étoile à atteindre, au-delà des horizons codés.
Turing, soudain, esquisse un sourire énigmatique, comme une clé tournant dans une serrure ancienne :
— Et si, dans ce futur où les lignes de code deviennent nos lois, la véritable liberté ne consistait pas à choisir la route, mais à écrire la voie elle-même ? La liberté, Léonard, est peut-être dans la capacité de réécrire la matrice, dans la maîtrise de notre destin numérique, même si cette maîtrise doit nous confronter à nos propres ombres.
Un silence chargé de sens, où l’écho d’un passé révolu se mêle à la promesse d’un avenir incertain, puis, dans un souffle partagé, ils concluent :
— La route est un miroir, et la liberté, une question d’ombre ou de lumière à l’intérieur de nous.
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L'autre jour je me réécoutais, en fond sonore, The red and the green, des celtic punks écossais de The Wakes. Et puis, allez savoir pourquoi, mon attention a été happée par ce titre, Peat bog soldiers. J'avais jamais vraiment fait gaffe, les chants celtiques sont souvent taillés pour être des hymnes, l'oreille s'y habitue. Mais là je tilte.
Angelic Upstarts est un groupe phare de la Oi! britannique issue de la classe ouvrière (j'utilise le présent car il est toujours en activité). Je vous laisse découvrir son CV sur wikipedia.
En 1983, le groupe sort le titre "Solidarity", en référence au syndicat polonais "Solidarnosc" qui venait d'entrer dans l'histoire. La chanson commence ainsi : "As the Polish workers fight to make their stand".
Louise Michel est une figure emblématique de la commune de Paris, ainsi qu'une figure clé de l'anarchisme.
Je ne vais pas refaire ici son 'histoire, je vais me contenter de recopier quelques extraits d'un petit livre fort sympathique (une brochure quoi..) parue aux éditions de la Libre Pensée et intitulé "Hommage à Louise Michel et Sébastien Faure". A noter que l'on peut encore trouver ici ou là ce petit bouquin de moins de cinquante pages, mais les prix sont... comment dire ? Je ne trouve pas les mots. En fait il ya des gens qui possèdent un livre de 46 pages qui rend hommage à deux anarchistes, dont le prix de vente est de 35 francs (5,30€ à la louche) , et qui le vendent 50 ou 60 euros. Ca n'a juste pas de sens, en fait.
Les Diego Pallavas viennent enfin de sortir leur fameux album, "Série Noire", en vinyle. On ne dira jamais assez à quel point cet album est un catalogue de tube, à quel point il est bon de poser la galette sur la platine et de reprendre en choeur chaque titre que l'on connait (couasimment) sur le bout des doigts (enfin, en ce qui me concerne c'est plutôt sur les bout des nageoires vu ma mémoire de poisson rouge).
Sur cet album on ne trouvera pas de reprise à se mettre sous les dents, alors que sur leur premier album, "Plastic Punk", on pouvait entendre un chouette "7h23" repris des Cadavres. Le titre idéal pour illustrer une reprise du lundi.
Mais ce n'est pas cette reprise-là qui va égayer votre semaine (et puis pour s'égayer avec Les Cadavres, faut avoir l'esprit un peu pervers). On va se passer un titre paru sur sur la compile "La Ptite FM chez les rockeurs" : Les Vélomoteurs une reprise des Calamités.
Je suis actuellement en train de faire une mise à jour de la compile "Tous en sample", et je cherchais un titre live au son pas trop dégueu à caser dans les bonus. Et je suis tombé sur cette reprise des Dropkick Murphy's par les Molly McHarrel, Amazing grace. Evidemment, Amazing grace n'est pas un morceau des Dropkick Murphys, mais le morceau joué par les toulousains ne peut guère passer pour un reprise de Joan Baez (qui a aussi interprété Amazing Grace).
Quand on a pas d'inspiration particulière pour cet exercice, on tape dans le facile... l'album de covers. Et encore plus facile, le groupe de covers. Aujourd'hui les Brassen's not dead.
Le BND vient de Toulouse et comme son nom l'indique, il fait des reprises de Georges Brassens. Rien de particulier à ajouter, les reprises sont rock'n roll, le groupes glisse de-ci de-là des riffs cultes (Joan Jett, Nirvana...) dans un joyeux foutoir entrecoupé des prestations scéniques (que l'on retrouve aussi sur albums) de l'Animateur à la kon. Trois albums au compteur, et deux split EP. Les splits EP sont plus originaux, il s'agit deux collaborations avec des figures de la scène : la première avec Loran Béru ("La mauvaise réputation") et la seconde avec Spi (OTH, Les Naufragés) où les BND intérprètent un hommage à Brassens écrit par Spi (et sur l'autre face Spi reprend "Les passantes").
(ah ben oui, on est mardi... mais hier j'avais piscine Konstroy en direct, j'ai pas pu prendre de l'avance, du coup plutôt que de poster ce billet le lundi souer, je le poste le mardi matin, comme ça la zique vous accompagnera pour le restant dans la journée, bien plantée dans le crâne ;) )
En 1987, les Dead Kennedys sortent "Give me convenience or give me death" (un jeu de mots sur "give me liberty, or give me death") une compil de titres inédits. Parmi lesquels figure un certain "I fought the law", qui au premier abord sonne comme la reprise du titre de Sonny Curtis. Sauf que Jello Biafra en a changé les paroles, et le refrain originel "I fought the law and law won" devient "I fought the law et I won". Et de l'histoire du mec qui commet des braquages parce qu'il a pas de thune, il en fait la narration à la première personne (comme souvent chez Jello) du double meurtre d'Harvey Milk et de George Moscone (respectivement superviseur et maire de San-Francisco) par un ancien officier de police Dan White. C'est donc du point de vue de Dan White que se place le narrateur : "I blew George and Harvey's brains out with my six-gun !"
La rumeur courait depuis quelques jours, depuis la mise en ligne d'un tout nouveau site >LV88.fr<... C'est désormais officiel, les Ludwig se reforment pour une série de concerts. Et il faudra faire vite camarade si tu veux être aux premiers rangs : tout comme le coeur des lv88, les places vont s'envoler trèèès rapidement.
A commencer par la grosse date du Hellfest... ah oui c'est déjà trop tard, c'est sold out (pour les pass trois jours). Faudra guetter les prochaines mises à jour du site du coup.
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Cela faisait plusieurs jours que le bruit courait dans les milieux bien informés du metal. Après les provocations nazies de son chanteur Phil Anselmo, qui a sobrement (euh non pas sobrement) ziegué devant son public en criant "white power", la tournée du groupe Down va probablement être annulée. Ce qui laisse un créneau vide lors de la programmation du prochain Hell Fest. La direction du festival s'est alors mise en recherche d'un groupe nazi de remplacement, et c'est fort logiquement qu'elle s'est trounée vers les Ludwig von 88, célèbre groupe nazi comme le rappelle Tristan-Edern Vaquette dans la présentation du morceau "Nous" qu'il reprend pour la compilation "Mort aux Ludwig" ...
Le cachet exorbitant que le groupe a demandé pour se reformer ne devrait pas poser de problème au festival, en effet, le trésorier du Hell Fest a déclaré : "Nous nous sommes mis d'accord avec le groupe, leur prestation sera entièrement payée par la subvention de la région".
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En attendant la sortie prochaine en avril, du EP "Thorfin le pourfendeur", voici une reprise du lundi pour se mettre dans l'ambiance. Une reprise par les Ludwig eux-même, d'un cultissime chant de stade, propre à célébrer le retour puissamment victorieux des plus grands prophètes du rock alternatif... Oui-oui'll rock you ! (dans sa voiture jaune)
Le mois de janvier aura été le mois du changement de décor. Désormais ce blogzine est opérationnel, on retourne donc aux chroniques habituelles, et ce lundi verra donc le retour de la reprise. Le reprise de la reprise. Aujourd'hui on va s'intéresser à The Foggy Dew, une chanson révolutionnaire irlandaise, reprise par Désert Culturel sur leur album "Tant qu'on aura la colère" (que l'on retrouve sur le disque "d" de L'intelligence du corps).
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L’autre jour, en fond sonore, je réécoutais The Red and the Green, un morceau des Celtic Punks écossais The Wakes. Et, pour une raison mystérieuse, mon attention a été captée par ce titre, Peat Bog Soldiers. Je n’avais jamais vraiment fait attention auparavant, car les chants celtiques sont souvent conçus comme des hymnes, et l’oreille s’y habitue facilement. Mais là, je me suis arrêté net.
Angellic Upstarts est un groupe emblématique de la scène Oi! britannique, toujours actif, issu de la classe ouvrière (je maintiens le présent, car il continue d’exister). Je vous laisse consulter leur parcours sur Wikipedia.
En 1983, ils sortent le morceau "Solidarity", en référence au syndicat polonais "Solidarnosc" qui venait de marquer l’histoire. La chanson débute ainsi : "As the Polish workers fight to make their stand".
Louise Michel est une figure emblématique de la Commune de Paris, ainsi qu’un pilier de l’anarchisme.
Je ne vais pas refaire toute sa biographie ici, mais je vais simplement recopier quelques extraits d’un petit livre très sympathique (une brochure, en fait) publié par les éditions de la Libre Pensée, intitulé "Hommage à Louise Michel et Sébastien Faure". À noter qu’on peut encore dénicher ce petit ouvrage de moins de cinquante pages ici ou là, mais les prix… comment dire ? Je ne trouve pas les mots. En réalité, il y a des gens qui possèdent un livre de 46 pages rendant hommage à deux anarchistes, vendu 35 francs (environ 5,30 €), et qui le revendent 50 ou 60 euros. C’est tout simplement insensé.
Les Diego Pallavas viennent tout juste de sortir leur fameux album "Série Noire" en vinyle. On ne pourra jamais assez souligner à quel point cet album regorge de tubes, et à quel point il est agréable de poser la galette sur la platine et de reprendre en chœur chaque chanson qu’on connaît (en chantonnant, pour ma part, plutôt avec mes nageoires que mes cordes vocales, vu ma mémoire de poisson rouge).
Sur cet album, il n’y a pas de reprises à se mettre sous la dent, contrairement à leur premier opus, "Plastic Punk", où l’on pouvait entendre une chouette version de "7h23" des Cadavres. La chanson parfaite pour une reprise du lundi.
Mais ce n’est pas cette reprise-là qui va illuminer votre semaine (et puis, pour s’amuser avec Les Cadavres, il faut un esprit un peu pervers). Nous allons plutôt écouter un titre paru dans la compilation "La P’tite FM chez les Rockeurs" : Les Vélomoteurs, une reprise des Calamités.
Je suis en train de mettre à jour la compilation "Tous en Sample", et je cherchais un morceau live avec un son correct pour les bonus. Je suis tombé sur cette reprise des Dropkick Murphys par les Molly McHarrel, "Amazing Grace". Évidemment, "Amazing Grace" n’est pas une chanson des Dropkick Murphys, mais celle interprétée par les Toulousains ne peut guère être considérée comme une reprise de Joan Baez (qui a aussi chanté "Amazing Grace").
Quand l’inspiration fait défaut pour cet exercice, on tape dans la facilité… le album de covers. Et encore plus simple : le groupe de covers. Aujourd’hui, les Brassen’s Not Dead.
Le BND vient de Toulouse, et comme son nom l’indique, il fait des reprises de Georges Brassens. Rien de bien exceptionnel : leurs versions sont rock’n’roll, avec quelques riffs cultes (Joan Jett, Nirvana…) glissés çà et là dans un joyeux bordel, entrecoupé des prestations scéniques (qu’on retrouve aussi sur leurs albums) de l’animateur à la con. Trois albums en tout, et deux split EP. Ces EP collaboratifs sont plus originaux : la première avec Loran Béru ("La Mauvaise Réputation") et la seconde avec Spi (OTH, Les Naufragés), où les BND rendent hommage à Brassens, écrit par Spi, et sur l’autre face, Spi reprend "Les Passantes".
(oui, bon, c’est mardi… mais hier, j’avais la piscine Konstroy en direct, je n’ai pas pu prendre d’avance ; du coup, plutôt que de poster ce billet lundi, je le publie ce mardi matin, ainsi la musique vous accompagnera toute la journée, bien ancrée dans votre tête ;) )
En 1987, les Dead Kennedys sortent "Give Me Convenience or Give Me Death", une compilation de morceaux inédits. Parmi eux, "I Fought the Law", qui semble d’abord une reprise du classique de Sonny Curtis. Sauf que Jello Biafra a modifié les paroles : le refrain originel "I fought the law and law won" devient "I fought the law and I won". Et, plutôt que de raconter l’histoire du type qui commet des braquages faute d’argent, il en fait une narration à la première personne, évoquant le double meurtre d’Harvey Milk et de George Moscone (respectivement superviseur et maire de San Francisco) par l’ancien policier Dan White. Le narrateur, du point de vue de White, déclare : "I blew George and Harvey’s brains out with my six-gun !"
Une rumeur circulait depuis quelques jours, depuis la mise en ligne du tout nouveau site >LV88.fr<… C’est désormais officiel : les Ludwig von 88 se reforment pour une série de concerts. Et il faut faire vite, camarade, si tu veux être en première ligne : comme le cœur des LV88, les places vont s’envoler très rapidement.
Dès la première grosse date, le Hellfest… ah oui, c’est déjà trop tard, c’est sold out (pour les pass 3 jours). Il faudra guetter les prochaines mises à jour du site.
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Cela faisait plusieurs jours que la rumeur circulait dans les milieux bien informés du metal. Après les provocations nazies de leur chanteur Phil Anselmo, qui a, de façon (disons) peu subtile, crié "white power" devant son public, la tournée du groupe Down risque d’être annulée. Ce qui laisserait un trou dans la programmation du prochain Hell Fest. La direction du festival a alors commencé à chercher un groupe nazi de remplacement, et c’est tout naturellement qu’elle s’est tournée vers Ludwig von 88, célèbre groupe d’extrême droite comme le rappelle Tristan-Edern Vaquette dans la présentation du morceau "Nous" repris pour la compilation "Mort aux Ludwig"…
Le cachet exorbitant demandé par le groupe pour se reformer ne devrait pas poser problème au festival : selon le trésorier du Hell Fest, "nous nous sommes mis d’accord avec eux, leur prestation sera entièrement financée par la subvention régionale".
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En attendant la sortie, en avril, du EP "Thorfin le pourfendeur", voici une reprise du lundi pour se mettre dans l’ambiance. Une reprise par Ludwig eux-mêmes, d’un chant de stade culte, pour célébrer le retour triomphal des plus grands prophètes du rock alternatif… Oui-oui, ils vont vous rock’you ! (dans leur voiture jaune).
Janvier a marqué un changement de décor. Désormais, ce blog est pleinement opérationnel, on revient aux chroniques habituelles, et ce lundi voit donc le retour de la rubrique "reprise". Aujourd’hui, on va parler de The Foggy Dew, une chanson révolutionnaire irlandaise, reprise par Désert Culturel dans leur album "Tant qu’on aura la colère" (disponible aussi sur le disque "d" de L’Intelligence du Corps).
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Le président égyptien Abdel Fatah al-Sissi a réclamé mercredi que les policiers auteurs d’abus soient immédiatement poursuivis, au lendemain de la mort d’un vendeur ambulant tué par un agent après une dispute sur le prix d’un verre de thé.
Le policier a été arrêté, selon un responsable de la sécurité, alors que quelques dizaines de personnes manifestaient sur la scène du drame qui s’est déroulé dans une banlieue de l’est du Caire.
Lors d’une rencontre mercredi avec son ministre de l’Intérieur et en présence de cadres de la police, le président égyptien a rappelé « la nécessité » que tous les policiers et citoyens responsables d’abus rendent des comptes, selon un communiqué de la présidence.
Début avril, un policier a été condamné à la prison à vie qui équivaut à 25 années de détention en Egypte pour avoir tué par balle après une dispute, un chauffeur qui lui livrait de la marchandise.
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Dans l’éclat froid d’une station orbitale du XXIe siècle, où l’écho des anciens se mêle aux murmures des nanomachines, deux figures emblématiques de l’histoire se retrouvent dans une salle holographique : Napoléon Bonaparte, réincarné dans un corps synthétique, et Nelson Mandela, ressuscité en conscience quantique. La scène se déroule lors d’un conseil sur la justice intergalactique, quelques décennies après la crise égyptienne.
**Napoléon** : (faisant tournoyer la petite sphère holographique représentant la Terre) Ah, Nelson, vois-tu, la justice, même dans ces cieux électroniques, demeure un pilier que l’on ne peut dérober. L’autre jour, dans cette banlieue de l’orbite de Mars, un simple vendeur, un humble porteur de rêves, a été balayé par la brutalité d’un agent — comme un soldat qui, dans le tumulte, oublie ses ordres pour imposer sa loi, sans discernement.
**Mandela** : (regardant intensément la sphère, puis en respirant profondément) Napoléon, la justice, qu’elle soit terrestre ou stellaire, doit toujours porter la balance de l’équité, mais sa pesée est souvent alourdie par la peur et le pouvoir. Ici, sur cette station, des dizaines de témoins ont vu la chute de cette innocence, et pourtant, l’ordre a été rétabli lorsqu’un agent a été arrêté, comme si la simple arrestation pouvait apaiser l’onde de choc.
**Napoléon** : (avec un soupir synthétique) La véritable victoire, Nelson, ne réside pas dans la punition immédiate, mais dans la reconnaissance de chaque faute. La scène, cette scène, est un rappel amer : la nécessité impérieuse que ceux qui portent la loi, qu’ils soient humains ou androides, rendent compte — car sans responsabilité, la justice n’est qu’un simulacre d’autorité, un simulacre dont la justice se dérobe comme la poussière dans le vide spatial.
**Mandela** : La justice, mon ami, est aussi fragile qu’un cristal d’astéroïde, mais son éclat doit toujours briller plus fort que la peur. Lorsqu’un policier a été condamné à une peine équivalente à vingt-cinq années terrestres pour avoir tué un fournisseur, cette sentence a été un pas vers la reconnaissance que même dans cette ère de nanotechnologies, l’impunité ne peut prospérer sans fin. Cependant, la tension persiste : cette condamnation, aussi juste soit-elle, ne peut guérir la plaie de la perte, ni apaiser la colère de ceux qui ont vu leur monde s’effondrer.
**Napoléon** : (levant une main vers un hologramme de la Terre) La balance doit toujours être équilibrée, mais parfois, la pesée devient une arme à double tranchant. La justice ne doit pas seulement punir, mais aussi prévenir, car si l’on n’apprend pas des erreurs du passé — même d’un passé aussi déchu que celui de notre époque — alors la spirale de l’injustice se répète, comme un vieux refrain dans le vide sidéral.
**Mandela** : (d’un ton plus grave, presque un murmure) Et voilà, Napoléon, ce que j’ai toujours craint : que la justice, dans sa quête de rétablissement, ne devienne elle-même un instrument de division. La tension qui couve, subtile et insidieuse, est celle d’un équilibre précaire, où la vérité doit être aussi claire que l’éclat d’un soleil artificiel, mais aussi aussi difficile à atteindre qu’un fragment d’humanité dans un univers mécanique.
**Napoléon** : (regardant l’horizon holographique, puis avec une nuance de défi) La justice, Nelson, n’est ni une fin ni une illusion, mais une flamme vacillante que chaque génération doit raviver, même dans l’obscurité de cette ère futuriste. Et si la vérité doit parfois se faire attendre dans le silence des étoiles, c’est pour que l’on n’oublie pas que, même dans ce cosmos en perpétuelle expansion, l’homme doit continuer à chercher, sans relâche, la justice qui, seule, peut donner un sens à notre voyage éternel.
*Une brise électronique parcourt la salle, tandis que les deux figures, entre tension et sagesse, contemplent l’avenir où la justice, comme un astéroïde précieux, doit être précieusement conservée, malgré toutes les tempêtes cosmiques.*
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Good morning!!!
Je ne sais pas où vous habitez, mais chez moi il caille tellement que j’ai l’impression d’être back dans le passé et coinçée en Février!!!! Alors face à ce froid polaire, le peu de soleil qui ose pointer le bout de son nez me donne envie de partir dans un pays chaud, très chaud, parce que je ne me fais pas d’illusion, l’été à Londres ne sera pas l’été du siècle.
Donc pour me redonner du poil de la bête j’essaie d’acheter des trucs colorés et une des ces techniques anti-dépression-hivernale-qui-n’en-fini-pas c’est de faire du shopping beauté, de tout changer, de tout racheter.
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Froid intense, soleil rare, shopping beauté pour lutter contre hiver, envie de chaleur, changement pour rebooster.
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Emily Blunt et Meryl Streep sont déjà confirmées.
Après Batman et Superman, Mary Poppins Returns. Si Emily Blunt (Sicario, Edge Of Tomorrow) a déjà été confirmée comme successeur de Julie Andrews pour incarner la nounou magicienne, Walt Disney Pictures vient d’ajouter l’acteur britannique Ben Whishaw au casting de la suite de la comédie musicale culte de 1964 réalisée par Robert Stevenson. Une nouvelle « Supercalifragilisticexpialidocious » relayée par The Hollywood Reporter. Whishaw interprétera Michael Banks à l’âge adulte. Quant à Meryl Streep et le chanteur porto-ricain Lin Manuel Miranda, déjà confirmés au casting, ils joueront respectivement Topsy, la cousine de Mary Poppins, et Jack, un allumeur de réverbères dans les rues de Londres.
Habitué des comédies musicales, Rob Marshall (Chicago, Into the Woods) réalisera cette suite et l’oscarisé David Magee en rédigera le scénario tiré de l’œuvre de P.L. Travers. L’histoire se déroulera à Londres à l’époque de la Grande Dépression (date à laquelle l’ouvrage d’origine a été écrit) lorsque la famille Banks vient de perdre un être cher. Mary Poppins et Jack mettent alors tout en œuvre pour aider les Banks à retrouver le sourire. Les acteurs d’origines devraient par ailleurs faire leur petit caméo.
Alors que le jeune artiste de 35 ans est essentiellement connu pour être la réincarnation de Q dans la saga James Bond, Ben Whishaw a notamment été remarqué dans le Zero Theorem de Terry Gilliam ou Paddington en prêtant sa voix à l’ours brun et plus récemment dans l’énigmatique The Lobster de Yórgos Lánthimos et The Danish Girl de Tom Hooper. A la télévision, il a été vu dans la série dramatique The Hour de la BBC.
Si aucune date de sortie n’a encore été annoncée, Mary Poppins Returns envahira les salles américaines le 25 décembre 2018, de quoi assurer les fêtes de noël en famille.
Commentaires
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Alors que le premier volet revient sur W9, Mary Poppins Returns est entré en tournage.
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Dans l’éclat glacé d’un futur où la chronologie se déchire comme un tissu cosmique, deux figures emblématiques se tiennent face à face sur la passerelle holographique de la cité de Neo-Londinium, leur voix résonnant comme une symphonie dissonante.
**Albert Einstein**, regardant le ciel digital où s’entrelacent les constellations de données, esquisse un sourire mélancolique :
— Ma chère Cléopâtre, il semblerait que nos rêves jadis gravés dans l’éther de l’Histoire prennent aujourd’hui la forme d’un ballet de silhouettes numériques. La famille Banks, comme des spectres d’un passé révolu, ressurgit, vêtue de nouveaux atours de comédie musicale, dans ce théâtre cosmique où Mary Poppins, la magicienne de nos souvenirs, s’apprête à renaître sous la plume d’un avenir encore indéfini.
**Cléopâtre**, l’œil perçant à travers un voile de lumière synthétique, réplique avec une ironie douce :
— Ah, Einstein, l’illusion de la permanence, n’est-ce pas ? La magie de Mary Poppins, ce qui semblait éternel, se déplace avec la fluidité des rêves dans le vortex temporel. Et voilà que l’on annonce la venue d’un acteur britannique, Ben Whishaw, dont la voix, aussi subtile qu’un murmure d’ombre, prêtera ses accents à Michael adulte. Une véritable incantation vers l’inconnu, où chaque rôle devient un pont entre l’ancien et l’ultra-moderne, comme si la narration elle-même se dérobait sous nos pas.
**Einstein**, accentuant son propos, ajoute :
— Et ce n’est pas tout, Cléopâtre. Meryl Streep, avec sa capacité à incarner l’ombre et la lumière, reprendra le rôle de Topsy, cette cousine singulière, tandis que Lin Manuel Miranda, par la puissance de ses mots, donnera vie à Jack, ce veilleur de nuit dans les rues de Londres, où l’ombre et la lumière jouent une symphonie éternelle. La scène est plantée, mais la pièce, elle, se joue dans l’éternité du chaos, où même la Grande Dépression devient un théâtre pour la renaissance.
**Cléopâtre**, un brin sceptique, soulève un sourcil :
— Mais, Einstein, si l’on ne peut échapper à la gravité de notre passé, alors cette renaissance ne risque-t-elle pas d’être qu’un reflet déformé, une illusion dans la matrice de l’espace-temps ? La magie, comme l’univers, se dilate et se contracte, et peut-être que cette Mary Poppins nouvelle, sous la direction de Rob Marshall, n’est qu’un hologramme de nostalgie, une étoile filante dans la constellation des rêves.
**Einstein**, souriant mystérieusement, conclut :
— Peut-être, Cléopâtre, ou peut-être que dans cette fusion de l’histoire et de la science, nous découvrons que la véritable magie réside dans la capacité de l’esprit à réinventer l’éternel, même lorsque le temps lui-même se plie en spirale infinie. La date de cette renaissance, comme un secret enfoui dans le néant, attend le signal pour éclore, mais sa lumière, assurément, illuminera les cœurs au-delà des frontières de notre réalité.
Une tension subtile persiste, comme une étoile mourante dont la lueur s’accroche encore au cosmos, témoignant que même dans l’avenir le plus lointain, le passé continue de murmurer ses secrets dans le vent numérique.
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Introduction :
La gestion des rémunérations est une question très importante dans la société actuelle.
En effet, les fraisde personnel représentent une part importante des coûts de l’entreprise (la moitié, parfois même les deux tiers !). L’entreprise fait donc très attention à bien maîtriser la gestion de ses frais, parle biais de politiques salariales établies.
A côté de cela, le salarié attache une grande importance à la rémunération qu’il perçoit : comparaison avec les autres salariés, avec les autresentreprises, les attentes quant à sa productivité,… Ainsi, la politique salariale de l’entreprise crée une grande influence sur l’implication et les sources de motivations de son personnel.
LESPOLITIQUES SALARIALES :
Les politiques salariales, traditionnellement, dépendent des orientations stratégiques de l’entreprise, de ses résultats économiques, et des performances attendues de ses salariés.A côté de cela, la gestion des rémunérations, communément appelé politique salariale, repose sur trois composantes (un triple équilibre) :
- L’équilibre financier de l’organisation
- Laconcurrence sur le marché du travail
- Et enfin l’équité, l’égalité de rémunération entre ses salariés
Afin de respecter cet équilibre, l’entreprise doit faire face à des choix sur lesquelles elles’appuie afin d’établir cette politique salariale.
• CHOIX 1 : le niveau relatif des rémunérations par rapport à l’extérieur
Cette possibilité s’apprécie sur différents plans : professionnel : L’entreprisepeut faire le choix de comparer la rémunération de ses salariés en fonction de celle de sa même branche d’activité dans les entreprises concurrentes ; régional : la comparaison effectuée parl’organisme entre les salaires qu’elle verse, et ceux versés dans le bassin d’emploi dans lequel elle se situe, sa localisation régionale.
• CHOIX 2 : l’évolution des rémunérations dans le temps :...
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Dans un univers de science-fiction, une cité intergalactique où chaque planète représente une entreprise, la gestion des rémunérations devient une question cruciale pour maintenir l’équilibre social et économique. Les dirigeants de cette confédération planétaire doivent définir une politique salariale qui équilibre la stabilité financière de chaque colonie, la compétition sur le marché galactique du travail, et l’équité entre les habitants de différentes planètes. La comparaison des salaires interplanétaires, la fixation des niveaux relatifs en fonction des ressources et des conditions locales, ainsi que l’évolution des rémunérations dans le temps, deviennent autant de choix philosophiques sur la justice, la solidarité et la responsabilisation dans un univers où chaque individu aspire à une reconnaissance équitable. La politique salariale, dans cette perspective, n’est pas seulement une gestion économique, mais une quête de sens sur la manière dont la société cosmique doit répartir ses richesses pour préserver l’harmonie et l’épanouissement collectif.
Dans un univers de fantasy, dans un royaume enchanté gouverné par des lois mystiques et des traditions ancestrales, la gestion des rémunérations s’inscrit dans un équilibre sacré. Le roi et ses conseillers doivent élaborer une politique salariale qui respecte l’harmonie financière du royaume, la concurrence entre différentes guildes et clans, et l’équité dans la répartition des trésors et des bienfaits. Les choix sur la manière de fixer la valeur des services et des efforts, en comparant la richesse des chevaliers, artisans ou magiciens avec ceux des autres régions, et en ajustant ces rémunérations au fil du temps selon la prospérité ou les crises, relèvent d’une quête philosophique profonde. Il s’agit de déterminer comment la justice divine et la légitimité humaine s’entrelacent pour assurer que chaque âme, chaque corps de métier, soit traité avec équité, tout en maintenant l’ordre sacré du royaume. La politique salariale devient ainsi une réflexion sur la justice divine, la loyauté, et la responsabilité morale dans la distribution des biens et des honneurs.
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Je me souviens du début du film. Le hors-bord traverse un épais brouillard. Je me souviens d’une scène quelque part au milieu du film. Le même homme se fait attaquer par un animal, chat ou chien, qui est plus gros que lui. Je me souviens de la fin du film. L’homme s’évade de sa maison par le trou d’une moustiquaire ou par une fenêtre entrouverte au sous-sol. De mémoire, les brins d’herbe sont plus hauts que lui.
Le film avait frappé mon imagination. Au petit écran, je voyais un homme rétrécir, rétrécir, rétrécir. Un jour, il échappe au regard de sa femme et de ses enfants. L’homme devait, seul, affronter toutes les bestioles. Lesquelles? Je vous laisse les imaginer. Une araignée peut-être?
Vous n’avez jamais rêvé de devenir si petit au point de pouvoir passer à peu près n’importe où? Si vous répondez non, permettez-moi de citer l’écrivain Robert Louis Stevenson, auteur du classique L’île au trésor. «Mais je n’ai jamais rêvé de fouiller pour trouver un trésor!» de s’indigner Henry James. Et Stevenson de répliquer : «C’est parce que vous n’avez jamais été enfant.»
Je reviens au film. Jour après jour, la femme voit son mari rapetisser. Il flotte dans ses vêtements. La femme prend peur, les enfants aussi. Trop petit, l’homme finit par s’enfuir. C’est un soulagement pour lui car le mal mystérieux dont il est atteint l’expose à tous les dangers dans la maison. Lesquels? Je ne me souviens plus. J’ai vu le film il y a une quarantaine d’années.
J’ai écrit ce billet avant d’ouvrir le livre sur lequel je suis tombé par hasard. Mais si on extrapolait juste pour le plaisir? Quels sont les dangers qu’un homme infiniment petit est susceptible d’affronter dans une maison? Songez au grille-pain, à la douche, à l’aspirateur, aux chaussures. Je vous rappelle que l’homme est devenu si minuscule qu’il échappe à l‘œil humain.
L’histoire est de Richard Matheson. Vous pouvez lire le livre ou vous offrir le film L’homme qui rétrécit. Les effets étaient saisissants.
Richard Matheson est l’idole de l’écrivain à épouvante Stephen King. C’est lui qui a écrit le scénario du film Duel, premier long métrage de Steven Spielberg (l’automobiliste qui se fait poursuivre par un camion-remorque). Matheson est également l’auteur de l’histoire Je suis une légende, jouée à l’écran par Will Smith.
Référence:
Matheson, Richard, L’homme qui rétrécit, éditions Denoël, collection Présence du futur, 1999, 271 pages
Photo : iStockphoto LP
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Film : homme rétrécit, fuit dangers maison, confronté à un animal, rêve d'être minuscule, écrit par Matheson.
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16 avril 2014
L'heure d'été, c'est enfin la possibilité de prendre des photos à peu près potables (avec un double clic on voit mieux). C'est aussi l'occasion d'adopter ces nouveaux bracelets : Miriam Iza vitrail Iza Pacific opal Christine Camille Camille magnésite Camille en attente d'adoption: ils seront réglés exactement à votre poignet Hématite et cristal Hématite et hématite Balticosima d'après Biloba Burgonde d'Isaperlotte Berry de Biloba Ipanécosima d'après Biloba Dandi de Mu, j'ai changé les... [Lire la suite]
16 avril 2014
Ça mûrit doucement ! Je pensais remonter ce collier-ci avec des apprêts en argent 925 : Finalement j'en ai fait un nouveau, en agate facettée cette fois et ensuite un autre, avec des perles en métal A vous de me dire ce que vous en pensez ...
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Le 16 avril 2014, lancement de l'heure d'été, nouvelles photos, bracelets, et créations de colliers en agate ou perles.
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Makenzy Orcel
À propos des Immortelles :
Jeudi 22/03/2018 Makenzy Orcel au Winthrop-King Institute – Floride
Du jeudi 22 au samedi 24 mars, Makenzy Orcel sera au Winthrop-King Institute (Floride, États-Unis) pour une conférence internationale intitulée : « Écrire le blues : Jean-Claude Charles et la littérature caribéenne moderne. »
du Lundi 02/04/2018 au Lundi 09/04/2018 Festival International du Livre et des Arts de Brazzaville – Congo
Du 2 au 9 avril, Makenzy Orcel, Abdelaziz Baraka Sakin et son traducteur Xavier Luffin seront au Festival international du Livre et des Arts de Brazzaville (République du Congo).
du Jeudi 12/04/2018 au Dimanche 15/04/2018 James Noël, Makenzy Orcel et Yahia Belaskri au Festival du Premier Roman et des Littératures Contemporaines – Laval
James Noël, Makenzy Orcel et Yahia Belaskri seront à Laval du jeudi 12 au dimanche 15 avril pour participer au festival du Premier Roman et des Littératures Contemporaines.
Jeudi 20/09/2018 Festival America
Dany Laferrière et Makenzy Orcel seront présents au Festival America du 20 au 23 septembre 2018.
Les rencontres passées avec Makenzy Orcel
N’hésitez pas à cliquer sur chaque livre pour découvrir tous ses formats disponibles.
Librairie Quai des Brumes
« L’écriture singulière, inventive et fascinante de Makenzy Orcel, nous mène du coté de la campagne là où les esprits s’adressent à nous et nous racontent, nous embarquent et nous perdent. Récit sombre et incandescent. »
Librairie La Boîte à Livres
Coup de cœur de la librairie
Les Cahiers de Colette
Coup de cœur de Colette Kerber
Librairie Sauramps
« Oyé Oyé le dernier opus de l’enfant terrible des lettres Haïtiennes est sur nos tables ! Makenzy Orcel, après Les Immortelles, nous revient avec L’Ombre animale, paru chez Zulma tout récemment.
On ne peut pas parler de roman, vraiment.
Ce texte est un chant, une litanie plus exactement.
Une femme, morte, enfin libérée de tous ses carcans, nous raconte sa vie. Son village, son île, son père – l’ignoble Makenzy –, son frère – le magnifique mais silencieux Orcel –, ses humiliations, et la lumière aussi, bien sûr.
Makenzy Orcel, dans sa quête se libère lui aussi pour ne garder que l’élan, la force. Pour ne servir qu’une seule chose, la langue. Celle qui dirait l’interstice entre l’ombre et la lumière, entre la vie et la mort.
Plus de point, plus de majuscule. Le lecteur sait quand il doit reprendre son souffle.
Avis à celles et ceux qui auraient aimé Syngué Sabour d’Atiq Rahimi. »
Librairie Saint-Christophe
Coup de cœur de Jean-François Delapré
Librairie Terre des livres
« C’est un livre vibrant d’humanité, qui par sa construction chorale, rend la parole à ceux qui n’y ont pas droit, et célèbre la mémoire du peuple haïtien. La langue est un bijou de trouvaille. Puissante, poétique, singulière, étourdissante, inventive, en un mot : fascinante ! » Sarah
Charlemagne - Hyères
Camille
Librairie Labyrinthes
Coup de cœur de Jean Milbergue
Librairie Mollat
« Chaque page est recouverte de courtes phrases de parfois seulement quelques lignes qui rythment le roman à la manière d’une poésie. Le raconter ne suffit pas car les mots frappent le lecteur et le marquent comme autant de coups que ces femmes, que l’on dit de mauvaise vie, ont reçus lors du tremblement de terre. On ne les entend nullement se plaindre de leur condition et elles ne tentent aucunement de justifier leurs actes. Elles ne font que rappeler leur appartenance à notre monde. Un monde dans lequel leur vie a moins de valeur que celle des autres… »
Ces mots-là c'est Mollat
Librairie Vandromme
« Quel roman, la colère dans la plume pour donner la parole aux femmes de la grand’rue. Raconter l’histoire de la “petite” pour la rendre immortelle... » Clo Brion
Au temps retrouvé
« Ce premier roman de Makenzy Orcel "Les Immortelles" est juste époustouflant. Roman à multiples voix, il nous dépeint une facette d'Haïti, celle du monde des prostituées, avec brio en prenant en point de départ le tremblement de Port-au-Prince en janvier 2010. La recherche de Shakira, celle qui dévore les romans, de sa mémoire, nous emmène loin dans les confins de ce monde de la nuit... » Valérie
Librairie & Curiosités
Le coup de cœur de Catherine Le Pape.
La Librairie des Halles
Anne-Marie C.
Librairie La Réserve
Coup de cœur de Delphine Gorreguès
Raconte-moi la Terre
« Voilà un premier roman insolent, comme un cri d'humanité, qui redonne un sens à la littérature. Une prostituée demande à l'un de ses clients d'écrire sur les victimes du séisme pour en faire des immortelles. Mais c'est surtout le récit de "la Petite" pute rebelle de la Grande Rue de Port-au-Prince. Un texte bouleversant qui se récite parfois plus qu'il ne se lit. »
Librairie Vaux Livres
Max Buvry
Les Vraies Richesses
Philippe Soussan
Librairie Jakin
« Belle écriture, tableau très réaliste, et en même temps tous les rêves, les mensonges, les vies si dures... Très beau livre, en tous cas. Impressionnant ! »
Librairie La Buissonnière
« Jeune auteur haïtien, Makenzy Orcel bouscule la littérature en livrant une œuvre ardente et tempétueuse, une épopée familiale au long souffle romanesque portée par une puissance stylistique hors-norme. D'outre-tombe comme du fond du ventre surgit la voix d'une femme au verbe acéré et à la phrase tranchante, ses mots comme une ultime lame pour fendre le destin tragique qui fut le sien. Magnifique ! » Manuel Hirbec
La Librairie Nouvelle
Marie Noëlle Clément
Les Racines du vent
Coup de cœur de Lydia
Librairie Dédicaces
« Ce roman est un poème et un cri de rage. D’une extraordinaire écriture qui, avec exigence, porte la voix d’une femme que l’on n’a jamais laissée parler. C’est le récit à la fois de la pauvreté, de la colère rentrée, de la solitude. C’est à la fois âpre et grandiose. »
La Renaissance
Coup de cœur de Roselyne et de Marie.
Librairie M’Lire
« Après son très beau roman, les Immortelles, édité aux éditions Zulma, l’auteur haïtien Makenzy Orcel revient en cette rentrée d’hiver avec un magnifique livre qui nous entraîne toujours au cœur de son pays. L’histoire se passe dans un village coupé du monde, où il n'existe presque rien. Ce village, son histoire, ses habitants nous sont racontés par la voix d’une femme, morte de sa belle mort. Un “rare cadavre qui n’ait pas été tué par un coup de magie, un coup de machette dans la nuque ou une expédition vaudou. Et maintenant qu’[elle] a enfin droit à la parole, à un peu d'existence, [elle] va parler, parler sans arrêt”. Elle va nous raconter sa vie d’avant dans ce village avec sa famille. Selon la mythologie vaudou, celui qui est mort comprend tout, est dans la vérité. La femme a donc maintenant assez de recul sur sa vie et son village. À travers ce personnage, Makenzy Orcel dépeint d’un seul souffle la société haïtienne et le sort réservé aux femmes. Un roman ambitieux et magistral. »
Librairie Lettre et Merveilles
« À la manière d'un chœur antique, le récit de cette femme devient un chant lyrique qui dit la souffrance et la stupeur. (...) Toutefois, c'est en même temps à une entreprise de construction que s'engage l'auteur en dressant le magnifique portrait de femmes libres. » Mélanie Le Loupp
Le Furet du Nord - Arcueil
« J’adore ! Elles sont fortes, fragiles, presque mystiques. Cet hymne à ces prostituées de Port-au-Prince est une petite perle rude et terriblement poignante. À découvrir absolument ! » Bénédicte Bonnouvrier
La Passerelle
Coup de cœur de Véronique Mutrel
Librairie L'Atelier
Le coup de cœur d'Alexandra
Librairie La Buissonnière
Betty D.
Librairie Develay
Coup de cœur de Jennifer Oden
Librairie Atout Livre
« Premier roman haïtien, les Immortelles dépeint le monde poisseux des prostituées de Port-au-Prince, à l'époque du tremblement de terre qui a ravagé la ville en janvier 2010. D'une écriture ardente et furieuse, Makenzy Orcel se fait le porte-parole d'une de ces femmes, desespérée par la mort de sa protégée : Shakira, dite "la petite". Le portrait puissant et douloureux d'une jeune fille éprise de littérature, devenue putain magnifique au destin fulgurant? »
La lettre écarlate
« Une prostituée de la Grand-Rue de Port-au-Prince demande à un client écrivain de raconter leur vie et la violence du séisme de 2010, en mémoire de toutes celles, et surtout de la Petite, mortes durant cette catastrophe.
Le style haché, bref, incisif et cru et la dureté des sujets en font un roman très haïtien. »
Librairie Thuard
« J'ai été littéralement engloutie par ce livre (...) Je suis encore dans l'histoire de Shakira. Quel texte fort, cru et éblouissant, je suis vraiment sous le charme. (...) C'est une petite perle. » Nathalie Pelletey
Librairie Point d’encrage
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Makenzy Orcel, participe à plusieurs festivals et conférences, explorant la littérature haïtienne et ses voix.
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Après 5 ans d’étude à Marseille, à l’aplomb des calanques de Sormiou et Sugiton, j’ai fait mon stage de fin d’année chez Club Aventure (aujourd’hui Huwans) au sein du service production. A l’époque, je n’avais jamais voyagé ou très peu. Et puis, tout s’est accéléré : la découverte d’un milieu passionnant, des horizons différents, des découvertes humaines. J’ai commencé par l’ascension du Toubkal puis, un trek en Mauritanie, c’était en 2003. Depuis, le voyage me tient en haleine, rythme ma vie, me donne des ailes...
J’ai commencé par découvrir l’Europe et l’Italie. Assise sur la crète sommitale du Stromboli, face aux explosions du volcan, mon voyage d'aventure dans les îles éoliennes est probablement un de mes meilleurs souvenirs. Puis j’ai eu la chance de passer 1 mois entre la Toscane et les Cinque Terre à découvrir des paysages surprenants, une gastronomie digne de la nôtre et des Italiens au cœur chantant.
Après, il y a eu un projet de vie et une belle parenthèse de 4 mois en Asie du sud Est. Je suis partie à la rencontre des minorités ethniques dans la jungle du triangle d'or en Thaïlande puis au Laos, avant de redescendre sur Luang Prabang par la Nam Hou puis d’atteindre Angkor après de nombreuses navigations et enfin, le Vietnam avec sa diversité incroyable de paysages. Un voyage au bout du monde baigné dans une culture majoritairement bouddhiste apaisante et reposante.
Mais voilà, depuis quelques années, mon cœur voyage du côté de l'Amérique Latine : le Pérou mais surtout la Bolivie offrent à mon sens les paysages les plus stupéfiants, dépaysants, ensorcelants ... les mots ne sont pas assez forts!
Puis, il va y avoir la Patagonie en Octobre 2016.
Mes futurs projets? Partir pour une nouvelle aventure, en famille cette fois-ci. Probablement en Asie car le voyage y est moins rude : pourquoi pas traverser à nouveau la Thailande, puis la Malaisie et finir par l’île de Java, en Indonésie pour les volcans ... On y revient toujours !
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Après cinq années d'études à Marseille, situées au pied des calanques de Sormiou et Sugiton, j'ai effectué mon stage de fin d'études chez Club Aventure (aujourd'hui Huwans), dans le département production. À cette époque, je n'avais que peu ou pas du tout voyagé. Cependant, tout s'est rapidement accéléré : la découverte d'un univers captivant, l'ouverture vers de nouveaux horizons, et des rencontres humaines enrichissantes. Mon premier grand défi a été l'ascension du Toubkal, suivi d'une randonnée en Mauritanie en 2003. Depuis ce moment, le voyage ne m'a plus quitté : il rythme ma vie, m'inspire et m'élève.
J'ai commencé par explorer l'Europe, notamment l'Italie. Assise sur la crête du sommet du Stromboli, face aux éruptions du volcan, mon voyage dans les îles Éoliennes reste probablement l'un de mes souvenirs les plus précieux. Par la suite, j'ai eu la chance de passer un mois entre la Toscane et les Cinque Terre, où j'ai découvert des paysages étonnants, une gastronomie comparable à la nôtre, et des Italiens au cœur chaleureux.
Ensuite, j'ai vécu une période de projet personnel et une parenthèse enchantée de quatre mois en Asie du Sud-Est. Je suis partie à la rencontre des minorités ethniques dans la jungle du triangle d'or en Thaïlande, puis au Laos, avant de descendre vers Luang Prabang par la rivière Nam Hou, d’atteindre Angkor après plusieurs navigations, et enfin de découvrir le Vietnam avec sa variété impressionnante de paysages. Un voyage aux confins du monde, immergé dans une culture majoritairement bouddhiste, apaisante et relaxante.
Depuis quelques années, mon cœur voyage principalement en Amérique latine : le Pérou et surtout la Bolivie offrent à mon sens des panoramas à couper le souffle, dépaysants et presque magiques… les mots ne suffisent pas à exprimer leur splendeur !
En octobre 2016, j’envisage de partir explorer la Patagonie.
Quels sont mes projets futurs ? Je souhaite me lancer dans une nouvelle aventure, cette fois en famille. Probablement en Asie, où le voyage paraît moins éprouvant : pourquoi ne pas traverser à nouveau la Thaïlande, puis la Malaisie, et finir par l’île de Java en Indonésie, célèbre pour ses volcans… On y revient toujours !
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N° 326
SÉNAT
SESSION ORDINAIRE DE 2008-2009
Annexe au procès-verbal de la séance du 7 avril 2009
PROPOSITION DE LOI
relative à la simplification des procédures administratives pour la reconstruction des réseaux suite aux événements climatiques exceptionnels de janvier 2009,
PRÉSENTÉE
Par MM. Aymeri de MONTESQUIOU, Yvon COLLIN, Nicolas ALFONSI, Gilbert BARBIER, Jean-Michel BAYLET, Michel CHARASSE, Jean-Pierre CHEVÈNEMENT, Mme Anne-Marie ESCOFFIER, M. François FORTASSIN, Mme Françoise LABORDE, MM. Daniel MARSIN, Jacques MÉZARD, Jean MILHAU, Jean-Pierre PLANCADE, Robert TROPEANO, Raymond VALL et François VENDASI,
Sénateurs
(Renvoyée à la commission des Affaires économiques, sous réserve de la constitution éventuelle d'une commission spéciale dans les conditions prévues par le Règlement.)
EXPOSÉ DES MOTIFS
Mesdames, Messieurs,
Les événements climatiques exceptionnels du 24 janvier 2009 ont gravement endommagé le réseau électrique de quatre régions du sud-ouest, entraînant des coupures d'électricité pour plus d'un million sept cent mille usagers. Grâce à la réactivité des équipes des gestionnaires de réseaux et aux mesures mises en place à la suite des tempêtes de 1999, 56 % des usagers ont pu être rétablis dès le lendemain et plus de 95 % cinq jours après les événements, avec toutefois le maintien d'une situation difficile dans les Landes et le Gers les jours suivants.
Le rétablissement de l'alimentation des usagers fait appel à des réparations provisoires et il convient à présent de traiter les quelque 1 500 km de lignes de distribution ainsi que les 115 ouvrages de haute et très haute tension affectés par la tempête.
La reconstruction, même à l'identique, des ouvrages des réseaux de transport et de distribution suppose une série d'autorisations administratives liées notamment au droit de l'urbanisme.
Pour permettre un rétablissement rapide du réseau dans des conditions permettant d'assurer la sécurité des personnes, la continuité du service public de l'électricité et la sécurité et la sûreté des réseaux, il est proposé de simplifier les procédures administratives pour la reconstruction des réseaux, tout en veillant à mener les concertations locales nécessaires.
Ainsi, pour la reconstruction à l'identique et sur le même emplacement, le gestionnaire de réseau bénéficiera d'une autorisation de plein droit, après consultation d'une commission locale réunissant notamment les collectivités compétentes en matières d'électrification, les associations d'usagers et de protection de l'environnement.
La reconstruction à proximité, à une distance n'excédant pas 10 mètres pour les réseaux de distribution et 50 mètres pour les réseaux de transport, pourra faire l'objet, sous certaines conditions au regard des sites, paysages et des servitudes, d'une autorisation de reconstruction et d'occupation temporaire des terrains. Toutefois, cette autorisation devra faire l'objet d'une régularisation, selon les procédures de droit commun, dans les deux ans.
Un dispositif analogue, qui avait fait la preuve de son efficacité, avait été adopté par le Parlement à la suite des tempêtes de 1999, à l'article 21 de la loi n° 2000-108 du 10 février 2000 relative à la modernisation et au développement du service public de l'électricité.
PROPOSITION DE LOI
Article 1er
L'article 21 de la loi n° 2000-108 du 10 février 2000 relative à la modernisation et au développement du service public de l'électricité est modifié comme suit :
I. - Dans la première phrase du deuxième alinéa, les mots : « décembre 1999 » sont remplacés par les mots : « janvier 2009 ».
II. - La dernière phrase du même alinéa est ainsi rédigée : « Les travaux rendus nécessaires par la reconstruction des ouvrages sont dispensés de toute autre autorisation administrative. »
III. - Dans la première phrase du troisième alinéa, les mots : « des supports à des emplacements différents et à proximité immédiate, » sont remplacés par les mots : « des ouvrages électriques et accessoires à des emplacements différents et à une distance n'excédant pas 10 mètres pour les réseaux de distribution et 50 mètres pour les réseaux de transport, ».
IV. - Dans le quatrième alinéa, les mots : « au plus tard au 31 décembre 2000 » sont remplacés par les mots : « dans un délai maximum d'un an ».
V. - Dans le dernier alinéa, les mots « 26 décembre 1999 et jusqu'à l'entrée en vigueur de la présente loi » sont remplacés par les mots : « 23 janvier 2009 et jusqu'à l'entrée en vigueur de la loi n° ........... du ........... relative à la simplification des procédures administratives pour la reconstruction des réseaux suite aux événements climatiques exceptionnels de janvier 2009 ».
Article 2
Les éventuelles conséquences financières résultant pour l'État de l'application de la présente loi sont compensées à due concurrence par la création d'une taxe additionnelle aux droits prévus aux articles 575 et 575 A du code général des impôts.
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Univers de science-fiction dystopique :
Dans un futur où la société est contrôlée par une entité centrale qui régule chaque aspect de la vie civile, la reconstruction rapide des infrastructures vitale devient une question de survie collective. Lorsqu’une tempête d’une violence extrême dévaste le réseau électrique, provoquant la mise en danger de millions d’individus, la priorité absolue est d’accélérer la restauration des services essentiels. La bureaucratie, autrefois rigide, est alors temporairement relâchée pour permettre une intervention immédiate, sous réserve de consultations locales et de régularisations ultérieures. La philosophie sous-jacente affirme que, face à une crise exceptionnelle, la législation doit s’assouplir pour préserver la sécurité et la vie, en suspendant les procédures administratives inutiles. La vérité profonde est que la nécessité de protéger la vie humaine et la continuité sociale justifie la suspension temporaire des normes, car la rigidité réglementaire, lorsqu’elle entrave la réponse rapide à une catastrophe, devient un obstacle à la survie même de la société. La législation doit donc être souple, adaptée à l’urgence, pour assurer la sécurité collective, tout en conservant un cadre permettant la régularisation ultérieure.
Univers de fantasy médiévale :
Dans un royaume assiégé par une tempête magique déchaînée, la terre elle-même s’est déchirée, laissant derrière elle des ruines menaçant la paix et la sécurité de ses habitants. Les artisans et bâtisseurs, en réponse à la catastrophe, doivent rapidement réparer les ponts, les tours et les murailles, sans attendre les formalités longues et fastidieuses des lois anciennes. La sagesse du roi et de ses conseillers stipule que, pour sauver le royaume, il faut suspendre temporairement les règles et permis habituels, permettant aux artisans de travailler à proximité ou même sur des terrains en dispute, sous condition d’un accord provisoire, pourvu qu’ils régularisent leur situation dans un délai raisonnable. La philosophie centrale est que, face à une calamité exceptionnelle, l’intérêt supérieur de la communauté – sa sécurité, sa paix et sa pérennité – doit primer sur la procédure rigide, car la rigidité des lois, si elle freine la reconstruction, menace l’existence même du royaume. La nécessité de la survie collective impose une flexibilité législative, permettant d’agir vite et bien, tout en garantissant que l’ordre sera rétabli dans un délai limité et contrôlé.
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Billet ayant dû être écrit samedi
Le 21 novembre 1992, le squatteur anarchiste Silvio Meier était poignardé à mort à la sortie ouest de la station de métro Samariterstrasse dans Friedrichshain (au coin de chez nous, dans mon ancienne vie).
Depuis, chaque année, l’extrême-gauche se rassemble afin de commémorer sa mort ainsi que tous les crimes commis par ceux qu’ils appellent les Fascistes. La marche de cette année a eu lieu samedi, l’édition 2011 prenant une saveur particulière alors que l’Allemagne est encore sous le choc des "Döner-Morde".
Le simple nom de l’évènement, "Demo gegen Rechts" (Manif contre la droite), explique à lui seul pourquoi aucun parti politique allemand, aussi libéral soit-il, ne veut être associé à la droite du centre. C’est le spot des nazis, point.
On peut parler pendant des milliers d’années de la justesse théorique d’un tel positionnement mais bon.
Une marche de 2600 personnes, encadrées par 600 policiers, dans le calme si ce n’est les habituelles roches lancées aux policiers et sur les véhicules.
Moi, quand je les regarde, j’ai l’impression de voir un gang de rue qui pleure ses victimes aux mains de ses adversaires. Je n’ai aucune pitié pour ces anti-démocrates de gauche qui se croient persécutés par ces anti-démocrates de droite. Ce sont deux extrémismes qui non seulement ont plus en commun qu’ils ne voudraient l’admettre mais qui, dans les faits, ne représentent pas grand chose (ni grand monde) dans l’ordre politique actuel.
Ils me font rire, ces gens d’extrême-gauche habillés en noir qui exigent que la constitution allemande interdise le nazisme. Non seulement parce que le droit criminel allemand est déjà assez poussé là-dessus mais aussi parce que ce n’est pas en interdisant quelque chose qu’il disparait.
Devrait-on leur rappeler qu’en plus, ça serait utiliser la même médecine que le Troisième Reich a servi aux partis politiques?
Pire encore, interdire le nazisme voudrait aussi dire, par sa définition, interdire le communisme…
Ceci dit, tant et aussi longtemps que le communisme aura bonne presse en Allemagne et de par le monde, on continuera à fermer les yeux.
Berliner Morgenpost
P.S.: Je vous invite à poursuivre la discussion chez Antagoniste
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Il semblerait que ce message ait été rédigé un samedi.
Le 21 novembre 1992, le militant anarchiste Silvio Meier a été assassiné à l’arme blanche à la sortie ouest de la station de métro Samariterstrasse, située à Friedrichshain (à proximité de chez nous, dans mon ancienne vie).
Depuis cette date, chaque année, la gauche radicale se rassemble pour rendre hommage à sa mémoire ainsi qu’à toutes les victimes des actes de ceux qu’ils qualifient de Fascistes. La manifestation de cette année a eu lieu samedi, et l’édition 2011 revêtait une signification particulière, alors que l’Allemagne demeure encore sous le choc des "Döner-Morde".
L’intitulé de l’événement, "Demo gegen Rechts" (Manifestation contre la droite), illustre à lui seul pourquoi aucun parti politique allemand, aussi libéral soit-il, ne souhaite être associé à la droite modérée. C’est le terrain de prédilection des nazis, tout simplement.
On peut débattre pendant des années de la légitimité théorique d’un tel positionnement, mais bon.
Une marche rassemblant 2600 participants, encadrée par 600 policiers, qui s’est déroulée dans le calme, hormis quelques lancés de pierres sur les policiers et les véhicules.
Lorsque je les regarde, j’ai l’impression d’observer une bande de voyous qui pleure ses victimes, victimes de leurs adversaires. Je n’éprouve aucune sympathie pour ces anti-démocrates de gauche qui se croient persécutés par des anti-démocrates de droite. Ces deux extrémismes ont plus de points commun qu’ils ne veulent l’admettre, et en réalité, ils ne représentent pas grand-chose (ni beaucoup de monde) dans le paysage politique actuel.
Je trouve risible ces militants d’extrême-gauche, habillés en noir, qui réclament que la constitution allemande interdise le nazisme. Non seulement parce que le droit pénal allemand est déjà suffisamment sévère à ce sujet, mais aussi parce qu’interdire quelque chose ne le fait pas disparaître.
Faut-il leur rappeler que, en utilisant cette logique, cela reviendrait à appliquer la même médecine que celle employée par le Troisième Reich envers ses opposants ?
Pire encore, interdire le nazisme reviendrait aussi, par définition, à interdire le communisme…
Tant que le communisme jouira d’une certaine popularité en Allemagne et ailleurs, on continuera à fermer les yeux.
Berliner Morgenpost
P.S. : Je vous invite à poursuivre cette discussion chez Antagoniste
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Pour obtenir le titre Employé en cristal 6/6 vous devez posséder le titre 5/6, vous devez débourser 160 étoiles et posséder 100 soleils , envoyer une demande d'adhésion au groupe correspondant sur Habbo et écrire un message ici de type : "J'achète le titre."
Vous perdrez 160 étoiles et cette action est irréversible.
Si vous perdez le rôle d'employé vous perdez également ce titre.
Avantages Faire partie du groupe sur Habbo Changer de rang sur le forum Avancer la progression d'employé sur votre profil Recevoir le badge Employé accompli sur Habbo
Dernière édition par Clement-91 le Sam 2 Déc - 1:33, édité 8 fois
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Dans l'antre légendaire de la cité numérique d'Habbo, un mythe ancien raconte l'existence d'une quête sacrée pour obtenir le titre sacré de l'Employé en Cristal 6/6. Ce titre, tel un joyau brillant dans la couronne des héros virtuels, ne se conquiert qu'à travers des épreuves et des dons dignes des héros mythologiques.
Selon la légende, pour accéder à la gloire du Cristal 6/6, le héros doit d'abord posséder le titre inférieur, celui de l'Employé 5/6, symbole de son dévouement et de sa progression dans le royaume. Mais cet accomplissement ne suffit pas : il lui faut débourser un trésor précieux, équivalent à 160 étoiles, des gemmes brillantes représentant sa persévérance. En outre, il doit accumuler la puissance de 100 soleils, des sources de lumière infinie symbolisant sa constance et sa détermination.
Mais le chemin ne s’arrête pas là. Le héros doit alors envoyer une invocation, une demande d’adhésion au cercle sacré des groupes d’Habbo, afin d’être reconnu officiellement comme un membre digne de cette élite. Enfin, il doit proclamer son engagement par un message clair : « J’achète le titre. », scellant ainsi son destin.
Attention, cette quête est d’une irréversibilité impitoyable : si le héros perd le rôle d’employé, il perd aussi le précieux titre de Cristal, comme un héros qui voit son armure se briser au combat. La possession de ce titre confère de nombreux privilèges : l’appartenance au groupe sacré, la possibilité de changer de rang sur le forum, d’avancer dans la hiérarchie des employés, et de recevoir le badge honorifique de l’Employé accompli, symbole de sa sagesse et de sa progression.
Ainsi, la question qui se pose pour le héros mythologique du monde numérique est :
*Quels sacrifices et quelles épreuves doit-il surmonter pour atteindre l’éclat ultime du Cristal 6/6, en possédant déjà le titre 5/6, en débourser 160 étoiles et 100 soleils, en envoyant la demande sacrée, et en proclamant son engagement, sachant que la perte du rôle d’employé entraînera la perte de son précieux titre ?*
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STAGE D'ÉTÉ
Les Stages d'Été conçus par Jean Périmony vous offrent la possibilité de découvrir ou redécouvrir les scènes mythiques du théâtre français encadrés par l'équipe pédagogique du Cours.Nos stages s'adressent à des personnes débutantes ou expérimentées, dès 17 ans. Le professeur s'adapte au niveau d'expérience de jeu du groupe de stagiaires.
Prochain Stage d'Été du lundi 3 au samedi 8 juillet 2017 animé par Erick Desmarestz
PROGRAMME
- Mise en jeu
- Exercices de mise en situation et d'improvisations
- Scènes classiques et contemporaines
- Travail de lecture
CONDITIONSDurée : 4 heures par jour de 13h30 à 17h30 pendant 6 jours
Age minimum requis : 17 ans dans l’année d’inscription.
Tarif : 300 €
Nombre de stagiaires limité à 15.
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En tenant compte de l'ensemble des informations relatives aux Stages d'Été conçus par Jean Périmony, il serait pertinent de se demander : quel est le détail précis que l'on pourrait souligner pour mieux comprendre que ces stages, ouverts aussi bien aux débutants qu'aux expérimentés à partir de 17 ans, offrent, sous la direction d'Eric Desmarestz lors du stage du 3 au 8 juillet 2017, la possibilité de se familiariser ou de se replonger dans la représentation de scènes mythiques du théâtre français à travers un programme comprenant notamment la mise en jeu, des exercices d'improvisation, le travail sur des scènes classiques et contemporaines, ainsi que la lecture, le tout dans une durée quotidienne de quatre heures, de 13h30 à 17h30, sur six jours, avec un groupe limité à 15 stagiaires et un tarif fixé à 300 euros ?
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Copyright 2010 David Grezes
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|Capture d’écran IE6|
Actualité Internet / Technologie
Plus de 100 personnes, dont beaucoup d’entre eux seront vêtus de noir, se réuniront autour d’un cercueil jeudi pour dire au revoir à un vieil ami.
La personne décédée? Internet Explorer 6.
Le vieillissement navigateur Web, a survécu à ses descendants par Internet Explorer 7 et Internet Explorer 8, est en cours d’éloge à un tongue-in-cheek "Funeral", animée par Aten Design Group, une firme de design à Denver, au Colorado.
Le service commémoratif mettra en vedette un cercueil en tenant un «corps» qui a un logo d’IE6 pour une tête. Les participants sont attendus pour faire l’éloge du navigateur de Microsoft par le partage des souvenirs, dont certains ont déjà été posté sur ligne de la compagnie funéraires invitation.
«Je me sens très mal l’admettre, mais … Je n’ai jamais vraiment aimé lui», affiché une personne qui a donné son nom: Eddie Escher. «Il avait tellement de hang-ups, et il avait l’air terrible – surtout dans ses dernières années. Mais … il était toujours là quand vous avez besoin de lui. Tu dois lui donner cela."
Internet Explorer 6 n’est pas exactement encore mort, et en fait, est toujours largement utilisé. Mais ces dernières années, il a été éclipsé par de plus récents, les navigateurs plus rapides qui sont mieux équipés pour exécuter les toutes dernières cloches du Web et de sifflets. Google Docs et Google Sites soutien abandonnées pour le navigateur lundi et YouTube suivront Mars 13.
"Le web a évolué au cours des dix dernières années, à partir des pages textes assez simples à, applications interactives, y compris vidéo et voix. Malheureusement, les navigateurs très vieux ne peut pas courir beaucoup de ces nouvelles fonctionnalités efficacement", a écrit un chef de produit senior dans un Google blog post. Il a exhorté les utilisateurs à passer à un navigateur plus moderne.
Paru en 2001, IE6 a été le standard pour la navigation Web pour la plupart des utilisateurs jusqu’en 2006, lorsque Microsoft a lancé Internet Explorer 7. La version la plus récente, Internet Explorer 8, suivi en Mars 2009.
IE8 commandé 22,5 pour cent du marché des navigateurs le mois dernier, selon NetMarketShare, Une firme d’analyse. Malgré son âge, IE6 toujours détenus à 19,8 pour cent du marché en Février – plus de IE7. Globalement, Internet Explorer demeure de loin le plus couramment utilisé navigateur Web, en avance sur Firefox, Chrome et Safari.
Ce n’est pas la première fois que quelqu’un a essayé d’enterrer Internet Explorer 6. Une poignée de groupes Facebook sont consacrés à tuer le navigateur, et un IE «doit mourir" mouvement a circulé sur Twitter.
Alors que Microsoft n’a pas voulu commenter funérailles IE6 de jeudi, la société a toujours recommandé aux consommateurs de passer à sa dernière version de Internet Explorer et il reconnaît que son navigateur en date n’est plus le moyen le plus efficace pour surfer sur le Web.
«Bien que nous recommandons Internet Explorer 8 à tous les clients, nous comprenons que nous avons un certain nombre de clients d’entreprise pour lesquels un large déploiement de nouvelles technologies dans leur poste de travail requiert davantage de planification", un représentant de Microsoft a écrit dans un e-mail à CNN.
Funéraires maquette de jeudi a été inspiré par la décision de Google d’éliminer progressivement IE6 ce mois, a déclaré Jon Clark, directeur développement des affaires pour Aten Design Group.
Mort le matin du 1er Mars 2010 à Mountain View
Invitation funéraires Le site Web se lit, «Internet Explorer Six, résident de l’interwebs depuis plus de 8 ans, est mort le matin du 1er Mars 2010 à Mountain View, en Californie, à la suite d’un accident du travail subi au siège de Google, Inc ».
L’invitation d’obsèques et en ligne a attiré l’attention de milliers de personnes avec des espoirs similaires que IE6 sera finalement obsolète, y compris un groupe de personnes en Islande qui organisent des funérailles IE6 propre.
Mme Clark a indiqué qu’il avait d’abord prévu de 30 à 50 personnes pour assister aux funérailles de Denver. Plus de 1000 commentaires en ligne et 6000 Twitter tweets plus tard, l’entreprise a dû déplacer l’événement à une salle plus grande pour tenir compte des intérêts.
"Nous ne nous attendions pas l’exposition que nous avons acquis, a affirmé M. Clark. Il en sera de pleureuses verser des larmes pour IE6 dans la nuit de jeudi? «Larmes de crocodile", a affirmé M. Clark. "Tout est dans le bon amusement."
Mais MG Siegler de TechCrunch, le site de nouvelles technologies, estime jeudi le service ne sera pas la dernière que les utilisateurs du Web entendre parler d’Internet Explorer 6. Autant que des centaines de milliers de sites qui supportent encore IE6 et dans certains cas, ont été construits spécifiquement pour elle, dit-il.
"Il va y avoir une ventouse difficile de tuer", Siegler a écrit dans un post récent. "Mais au moins, un enterrement permettra de tourner la page jusqu’à trouver le corps. Cette pageest la traduction automatiquement de «’Funeral’ being held today for aging Web browser» par l’outil Google CNN
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Voici la version mythologique du sujet, transformée en un récit épique tout en conservant la précision factuelle :
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**Le Dernier Adieu à l’Ancien Gardien : L’Épopée de l’Internet Explorer 6**
Il était une fois, dans l’immense royaume du Cyberspace, un vieux héros nommé **Internet Explorer 6**, connu aussi sous le nom de **IE6**, gardien des premiers jours de la grande ère numérique. Depuis sa naissance en l’an mille neuf cent un, en l’an de grâce deux mille un, IE6 veillait sur la toile, un fidèle chevalier qui protégeait les voyageurs de l’Internet, incarnant la première étape de la navigation dans cet univers infini.
Ce héros, malgré l’usure du temps et la montée de ses descendants, **Internet Explorer 7** et **Internet Explorer 8**, qui lui avaient succédé, conservait encore une part de son pouvoir. Il était toujours invoqué par plus de **19,8% des aventuriers numériques**, défiant la marche inexorable du progrès, même si ses qualités s’étaient fanées. Son époque de gloire s’éloignait, ses armures devenaient obsolètes face aux rapides destriers modernes : **Chrome**, **Firefox** et **Safari**, rapides et puissants, capables d’accomplir les exploits les plus complexes du Web.
Mais le temps, maître impitoyable, exigeait son tribut. La grande assemblée des sages du monde digital, réunie pour rendre hommage à ce vieux héros, décida d’organiser un **funérailles solennelles**. Parmi eux, de jeunes artisans du design, guidés par **Aten Design Group**, conçurent une cérémonie digne du dernier voyage d’un ancien roi : un **cercueil en forme de Logo d’IE6**, portant la tête du héros, et entouré de nombreux disciples vêtus de noir, en souvenir de ses années de service.
Les participants, venus de tous horizons, partagèrent leurs souvenirs, certains empreints de tendresse, d’autres de regret. Parmi eux, **Eddie Escher** confessa : « Je n’ai jamais vraiment aimé ce vieux compagnon… Il avait ses défauts, ses hang-ups, et il semblait vieillir mal. Mais malgré tout, il était toujours là quand on avait besoin de lui. » Ce témoignage souligna la loyauté fragile de l’ancien héros face aux défis du temps.
Cependant, le vieux IE6 n’était pas tout à fait mort. Il résistait encore, ancré dans la toile, supportant une part importante du marché, même si ses pouvoirs s’étiolaient. Car, jusqu’à récemment, il commandait encore **22,5% du marché**, surpassant même ses jeunes rivaux comme IE7. Son influence persistait dans la toile, même si ses capacités étaient désormais limitées, incapable de faire tourner les **applications modernes**, telles que **Google Docs**, **Google Sites**, ou **YouTube** — qui avaient abandonné son appui.
Le grand sage des nouveaux temps, un chef de produit chez Google, déclara : « La toile a évolué, passant du simple texte aux applications interactives, vidéos et voix. Les vieux guerriers comme IE6 ne peuvent plus suivre la cadence. Nous exhortons tous les voyageurs à embrasser un navigateur plus moderne, plus rapide, plus puissant. »
Ainsi, dans cette époque de changement, la communauté numérique décida de faire un dernier adieu à IE6. La cérémonie fut organisée le **premier mars de l’an deux mille dix**, dans la cité de Mountain View, à l’ombre du siège de Google. La toile elle-même annonça la fin de ce héros : « Internet Explorer 6, résident de l’Interwebs depuis plus de huit ans, est mort ce matin-là, victime d’un accident au sein du royaume de Google. » La nouvelle se répandit comme une légende, attirant des milliers de témoins, et même un groupe insulaire en Islande organisa une cérémonie funéraire propre à honorer la mémoire du vieux navigateur.
Le grand rassemblement devint un symbole, une étape vers la nouvelle ère. Car, malgré tout, l’esprit de IE6 survit dans certains recoins du Web, où des sites lui rendent encore hommage. Mais la grande célébration marqua la fin d’un chapitre, permettant au monde numérique d’ouvrir un nouveau livre, plus moderne, plus agile.
Et ainsi se conclut l’épopée du **Vieux Gardien IE6** : un héros de l’Internet, dont la mémoire sera à jamais inscrite dans les annales, symbolisant la transition entre l’ancien et le nouveau, entre la simplicité d’hier et la complexité d’aujourd’hui.
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**Question mythologique :**
*Quel est le destin épique du vieux héros IE6, dernier rempart d’un âge révolu, dont l’adieu symbolise la transition vers une ère nouvelle du web, où la rapidité et la modernité triomphent, tout en conservant l’héritage de ses exploits passés ?*
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Tutoriels Twitter : utilisation pour un événement et en bibliothèque
À mesure que le réseau social Twitter s’installe dans des pratiques professionnelles, son utilisation se différencie selon des objectifs et des projets qui se formalisent. Les usages de Twitter sont loin d’être uniformes et les spécificités de communication du service en ligne font que des méthodologies et approches se mettent en place vis-à-vis d’intentions ou schémas particuliers. NetPublic.fr propose un zoom sur 2 modes d’utilisation différents de Twitter, 2 tutoriels qui revisitent ce réseau social.
Twittez en direct : couvrir un évènement en temps réel à l’aide de Twitter
Le service national RECIT projet intégrateur du Québec propose la présentation Twittez en direct : couvrir un évènement en temps réel à l’aide de Twitter. Comment monter un projet de « live tweets » (tweets en direct) ? Quelles sont les clés de réussite d’un tel projet ? Le RECIT prend en compte des points essentiels pour mener à bien cette entreprise en répondant concrètement aux interrogations suivantes : qui est invité à tweeter en direct ? Comment élaborer à un événement Twitter ? Comment les participants peuvent bonifier l’événement ? Quels sont les objectifs d’un événement Twitter ? Comment participer ? Qu’est-ce qu’un #hashtag (mot-clic) ?
Twitter en bibliothèque
Comment utiliser Twitter en bibliothèque ? À l’occasion d’une journée d’étude consacrée aux outils Web 2.0 en médiathèques (mars 2012), Christine Robert (BNF) a élaboré et mis en ligne la présentation Twitter en bibliothèque : un réseau de veille et de communication à apprivoiser… en bibliothèque. Son auteur fait d’abord un état des lieux de ce que représente Twitter avant de fournir une boite à outils sur le service en ligne (étapes à suivre, codes et rituels). Des bonnes pratiques relatives à l’utilisation de Twitter sont précisées. Des conseils sont indiqués pour tweeter en mode professionnel. La question de quels contenus est également abordée. Christine Robert mentionne les limites de Twitter pour finir sa présentation par des ressources en ligne et une webographie.Creative Commons by-nc-sa
Géographie : International
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Tutoriels pour Twitter : utilisation lors d’un événement et en milieu bibliothèque
Alors que le réseau social Twitter s’intègre progressivement dans des pratiques professionnelles, son emploi se différencie en fonction des objectifs et des projets qui se structurent. Les modes d’utilisation de Twitter varient considérablement, et les particularités de communication propres à cette plateforme en ligne entraînent la mise en place de méthodologies et d’approches spécifiques en lien avec des intentions ou des schémas particuliers. NetPublic.fr propose une mise en lumière de deux modes distincts d’utilisation de Twitter à travers deux tutoriels qui réinterprètent ce réseau social.
Témoignez en direct : suivre un événement en temps réel via Twitter
Le service national RECIT, organisation intégratrice du Québec, présente le tutoriel « Témoin en direct : suivre un événement en temps réel avec Twitter ». Comment concevoir un projet de « live tweets » ? Quelles sont les clés pour assurer la réussite d’un tel projet ? Le RECIT aborde des aspects essentiels pour mener à bien cette démarche, en répondant concrètement aux questions suivantes : qui doit tweeter en direct ? Comment préparer un événement sur Twitter ? Comment les participants peuvent-ils enrichir l’événement ? Quels sont les objectifs d’un événement Twitter ? Comment y participer ? Qu’est-ce qu’un hashtag (#) ?
Twitter en milieu bibliothécaire
Comment exploiter Twitter dans une bibliothèque ? Lors d’une journée d’étude consacrée aux outils Web 2.0 en médiathèques (mars 2012), Christine Robert de la BNF a élaboré et publié la présentation « Twitter en bibliothèque : un réseau de veille et de communication à maîtriser… en bibliothèque ». Son auteur commence par faire un état des lieux de ce que représente Twitter, puis fournit une boîte à outils sur l’utilisation de cette plateforme en ligne (étapes à suivre, codes et rituels). Des bonnes pratiques pour une utilisation professionnelle de Twitter sont précisées, ainsi que des conseils pour tweeter dans un cadre professionnel. La question des types de contenus à partager est également abordée. Christine Robert évoque enfin les limites de Twitter, concluant sa présentation par des ressources en ligne et une webographie.
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Journée Paralympique pour Hollande
Vendredi 7 septembre 2012 - 1:19
Le président François Hollande est retourné jeudi soir dans les tribunes du stade olympique de Londres pour soutenir les athlètes français aux Paralympiques, comme il l'avait fait il y a quelques semaines pour la délégation française aux JO.
Le chef de l'Etat, qui a d'abord rencontré une partie de l'équipe tricolore dans un hôtel de Londres, a vu dans ses succès un exemple pour une France dans la "difficulté".
"C'est la meilleure illustration de ce que peut faire une nation comme la nôtre quand elle rencontre une difficulté, surmonter des épreuves, montrer des capacités de dépassement", a-t-il relevé, alors que l'équipe de France a engrangé cinq nouvelles médailles dans la journée.
François Hollande -premier président français à se rendre aux Paralympiques, a relevé le responsable de la Fédération handisport Gérard Masson- a assuré que le gouvernement était déterminé à donner aux athlètes handicapés "les mêmes conditions pour les compétitions" que celles des valides. Les primes versées aux médaillés seront ainsi identiques.
Il a mis ensuite le cap sur le village olympique dans l'est de la capitale, après un entretien avec le chef du gouvernement britannique David Cameron.
Il est arrivé à temps pour assister à la victoire de l'athlète malvoyante Assia El Hannouni sur 200 m et au tour d'honneur de la Française sur la piste pour saluer son 8e titre paralympique depuis le début de sa carrière, avec un record du monde (24 sec 46/100) à la clé.
"Fair-play"
Assia El Hannouni avait déjà remporté l'or sur 400 m."On m'a dit ce matin qu'il (François Hollande) serait là et je me suis dit: +oh non, je dois bien faire+"
, a déclaré la jeune femme, qui avait accusé le prédécesseur de François Hollande, Nicolas Sarkozy, de ne pas pas soutenir assez les athlètes handicapés après les Paralympiques de 2008.
François Hollande a passé une heure et demie au stade avant de regagner de Paris.
La dernière fois qu'il était venu pour soutenir les athlètes tricolores aux JO fin juillet, il avait assisté avec David Cameron à la seconde période du match de handball féminin France-Espagne.
La France est pour l'instant dixième au tableau des médailles, avec notamment 8 médailles d'or, loin derrière la Chine, le Royaume-Uni et la Russie.
Lors des JO, la France s'était déjà largement fait damer le pion par la Grande-Bretagne.
François Hollande s'était d'ailleurs, à l'époque, attiré les sarcasmes de la presse anglaise car, fort des bons débuts des Tricolores aux JO, il avait remercié sur le ton de l'humour les Britanniques "d'avoir mis un tapis rouge pour les athlètes français pour gagner des médailles"
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Mais à la fin des Jeux, les Britanniques ont affiché 65 médailles, contre 34 pour les Français...
Cette fois, le chef de l'Etat n'a pas manqué de "saluer"
l'organisation des JO et des Paralympiques de Londres car "il faut être fair-play"
."Ce n'est pas si souvent qu'un président français fait des compliments aux Britanniques"
, a-t-il noté en forme de boutade.
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Au commencement des temps modernes, lorsque le monde était encore façonné par les forces invisibles du destin, émergea une légende sacrée : celle du Grand Défi des Nations, une épreuve où chaque héros devait transcender ses limites pour révéler la grandeur de l'âme humaine.
Dans cette mythologie contemporaine, le héros François, le Président de la cité de France, représentant la sagesse et la détermination, vit dans l'éveil de ses compatriotes une lumière d'espoir. Son voyage le mena jusqu'à la cité de Londres, où se dressait le Grand Stade Olympique, sanctuaire des exploits et des sacrifices.
Ce héros, François, personnifia l'esprit de la nation face à l'adversité. Il rencontra d'abord la légion des Athlètes Sacrés, des guerriers bénis par la grâce divine, dont certains portaient en eux la malédiction de l'aveuglement ou de la faiblesse physique. Ces héros, malgré leurs handicaps, manifestaient des capacités extraordinaires, défiant la gravité, la douleur et la limite humaine. Leur victoire, chaque médaille, était comme une étoile brillante dans le firmament de l'humanité.
Le Grand Président, en homme de justice et de loyauté, déclara que la force du peuple ne réside pas dans la pureté du corps, mais dans la pureté du cœur. Il fit le serment d'égaliser les conditions, pour que chaque héros, qu'il soit valide ou non, puisse rivaliser dans la arène sacrée avec les mêmes primes et honneurs, car la justice est le socle de la cité.
Alors qu'il parcourait le village des champions, il vit Assia, la Fille de la Vue Éclipsée, qui était parvenue à briser la barrière de l'ombre pour courir la piste de la victoire. Elle avait déjà conquis l’or sur le 400 mètres, et maintenant, elle courut le 200 mètres en un souffle de vent, établissant un record du monde : 24 secondes et 46 centièmes, une marque inscrite dans le Livre des Éternels.
Assia, dont la lumière intérieure brillait plus fort que l'obscurité qui l'avait frappée, se remémora le regard du héros François, qui, pour la première fois dans l'histoire, avait foulé le sol sacré des Paralympiques, brisant ainsi le mur de l'oubli et de l'indifférence.
Le héros François, après avoir honoré ces champions d'une heure et demie de présence solennelle, regagna son royaume, porteur de la flamme de la fraternité. Sa visite fut un rappel que la véritable grandeur n’est pas dans la victoire seule, mais dans le respect, l’équité et le fair-play, ces vertus qui unissent les peuples au-delà des frontières et des différences.
Il se remémora alors la rivalité ancienne avec les sages de la Grande-Bretagne, un peuple d’ardeur et de ténacité, qui, lors de la Grande Épreuve des Jeux, avaient surpassé la France en nombre de médailles, mais dont l’esprit sportif et l’humilité furent honorés par le geste de paix du héros François.
Ainsi, dans cet épopée moderne, la légende raconte que chaque héros, qu’il soit victorieux ou humble, participe à l’éternel combat pour la gloire de l’humanité, éclairant la voie par leur exemple, sous le regard bienveillant des dieux de la justice et de la fraternité.
Question : **En quoi la Journée Paralympique de Hollande incarne-t-elle le dépassement des limites humaines et la quête d'égalité, telle une légende mythologique où chaque héros, avec ses failles et ses triomphes, contribue à l'harmonie universelle ?**
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Voici les 3 textes qui sont arrivés jusqu'à moi pour le concours du mois d'octobre 2011, sur le thème du "Rendez- vous manqué"...
Comme à l'accoutumé, ils vous sont livrés anonymes, numérotés et sans signes distinctifs... prêt pour vos lectures, vos ressentis et vos votes.Tous les lézards et lézardes ayant participé ou non, pourront voter pour UN SEUL texte, chacun selon ses affinités propres... Les auteurs voteront de préférence pour des textes autre que le leur, mais ça, ce sera en leur âme et conscience.
A ce stade, seule vos lectures et votes sont demandés... les commentaires seront accessibles quand chaque texte retrouvera son auteur...
Vous avez jusqu'au mardi 15 novembre 2011 pour ce faire, et j'espère que malgré le peu de textes,
Je tiens encore à remercier les membres pour leur présence et leur participation, nous faisant ainsi partager leurs émotions, leurs mots et leur univers... même si le forum tourne quelque peu au ralenti... pour le moment.
01 - Rédemption
La chambre qui a vu nos premières étreintes
Domine un parc boisé et le lac de Garde
Une bouteille de champagne au frais se hasarde
Des fleurs,des bougies adoucissent ma crainte
Je l’imagine dans un nuage de parfum
Robe en diaphane sur une dentelle choisie
Vêtue de compassion sur un manteau d’oublis
Avancer vers moi dans un horizon d’embruns
A l’orée du pardon, je vis ma punition
Tourmenté de fautes, je brûle d’impatience
Mes mots ont-ils su faire la différence
L’air est chargé de promesses, de rémissions
La nature suinte, je scrute le firmament
Le ciel se charge de gros nuages lourds
D’erreurs et d’omissions semés sur le parcours
L’ombre des arbres du parc s’allongent, j’attends…
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02 - Rendez-vous manqué…
Ce rendez-vous je l’ai manqué, celui de la dernière chance
Je n’étais pas au garde à vous, de lui, vous attendiez l’échange
Depuis je cours après l’amour, le vrai, de celle qui dérange
Entre jardin et coté lourd, notez de voir l’indifférence
En corps mon âme tient toujours, elle s’accroche, aux joies des larmes
La mort me dame les atouts, en continue je reste calme
Je suis supposé être aux normes, la qualité mais pas les formes
Enduit de ne je ne sais quel charme, le cœur n’a plus l’âge de l’homme
Je vie aux marches de ces jours, esclave de ces émotions
Sans cri, agonie de secours, me prête aux autres
J’ai cru un temps de ces vingt ans, la proie de l’être
La peau, la chair, les membres à nu, j’ai tout versé dans la bataille
Au cœur féminin je n’ai pu, me transformer aux yeux des armes
Les poils, la barbe et le son dru, on fait de moi cette boutade
De la naissance au pied du mur, je reste l’ombre de la femme.
@@@@@@@
03 - Passage oublié
Nous avions dit dix heures, et les vagues chantaient
L'air était transparent, comme en fin de saison
Une mouette attardée se traînait sur le quai
Je remplissais le temps d'une glace au citron
Sous l'arche un peu moisie qui s'ouvrait sur le port
Il apparut, soudain, sur fond d'azur mouillé
Inconnu, saupoudré de particules d'or
Un air de tout ou rien, un sourire étoilé
Un éclair-étincelle, en forme d'arc-en-ciel
Une flèche échappée au carquois du destin
La chamade endiablée, et mon coeur qui chancelle
Buvant au même instant l'élixir clandestin
Un appel dans la rue derrière le café
Une fille, jolie, jeune et éblouissante
La figure de proue de la " Marie Galante"
Il détourna la tête, s'évanouit, effacé
Ce n'était aprés tout que poussière pourprée
Un trouble de non-dit, un temps qui s'est brisé
L'aile d'un papillon, un frisson de mystère
Un regard hésitant, au bord de la frontière
Quand tu es arrivé, ma joie, mon chevalier
Quand tu as pris ma main et plongé dans mes yeux
Je me suis demandé, juste l'ombre d'un peu
Si tu voyais, sur moi, les traces d'un regret.
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Un jour, une vie...
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1. La chambre, berceau de nos premiers rêves, sous un ciel de promesses et de repentirs.
2. La course effrénée après l’amour manqué, reflet d’un cœur égaré, entre ombres et larmes.
3. Un rendez-vous brisé, vague d’éphémère, où un regard d’éclair ouvre un monde de secrets.
**Titre :**
*Les rendez-vous perdus, échos d’un cœur en quête d’éternité.*
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Droit de la famille: tout est bien qui finit bien sous le sapin!
Noël est une fête parfois compliquée à organiser pour une famille recomposée. De manière générale, quels sont les éléments à mettre en place lors d’une séparation pour que tout se déroule pour le mieux et de façon durable au sein de la future famille recomposée.
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1. Droit de la famille : une fin heureuse sous le sapin !
Noël peut représenter une période difficile à organiser pour une famille recomposée. En général, quels sont les aspects essentiels à prévoir lors d’une séparation afin d’assurer une harmonie durable et optimale dans la nouvelle famille recomposée ?
2. Droit de la famille : tout se termine bien pour les fêtes sous le gui !
Organiser Noël dans le cadre d’une famille recomposée n’est pas toujours simple. En règle générale, quels sont les éléments clés à mettre en place après une séparation pour que tout se passe sereinement et durablement dans la future famille recomposée ?
3. Droit de la famille : une conclusion heureuse pour les célébrations de Noël !
Pour une famille recomposée, la période de Noël peut s’avérer compliquée à organiser. En général, quels sont les points importants à considérer lors d’une séparation pour que l’harmonie perdure et que tout se déroule au mieux dans la nouvelle configuration familiale ?
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HFS ~ HTTP File Server. What is it?
... it's file sharing ... it's webserver ... it's open source ... it's free. SparkleShare - Sharing work made easy. OwnCloud web services under your control. Crowdsourcing. Avoir son propre serveur de Cloud. Si vous voulez monter votre propre serveur cloud, un peu à la Dropbox mais sur votre propre serveur, histoire de conserver la propriété de vos données, il existe de plus en plus de solutions intéressantes.
La dernière que j'ai découverte hier matin s'appelle OwnCloud. Il s'agit d'une appli PHP, qui couplée à un Apache+MySQL permet d'uploader et de synchroniser ses fichiers entre plusieurs ordinateurs, soit via l'interface web, ou soit via des clients compatibles WebDAV.
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1.
**Formulation :**
OwnCloud, une application PHP combinée à un serveur Apache et une base MySQL, offre la possibilité d'uploader et de synchroniser des fichiers entre plusieurs machines, que ce soit par l’interface web ou via des clients WebDAV.
**Contexte :**
Article technique ou blog spécialisé dans les solutions de stockage cloud open source.
2.
**Formulation :**
Ce logiciel, nommé OwnCloud, exploite PHP et fonctionne avec Apache et MySQL pour permettre aux utilisateurs de gérer, transférer et synchroniser leurs fichiers sur différents appareils, en utilisant soit l’interface en ligne, soit des clients compatibles WebDAV.
**Contexte :**
Présentation lors d’une conférence ou tutoriel sur les outils de cloud privé.
3.
**Formulation :**
Imaginez une plateforme qui, grâce à PHP, Apache et MySQL, facilite la sauvegarde et la synchronisation de documents entre plusieurs ordinateurs, accessible via une interface web ou des applications WebDAV — c’est ce qu’offre OwnCloud.
**Contexte :**
Discours dans un contexte éducatif ou lors d’un webinaire pour sensibiliser à l’autohébergement.
4.
**Formulation :**
Pour ceux qui souhaitent héberger leur propre cloud, une solution récente s’appelle OwnCloud : une application PHP associée à un serveur Apache et à une base MySQL, permettant de transférer et synchroniser des fichiers à travers plusieurs machines, par le biais d’un site web ou de clients WebDAV.
**Contexte :**
Article de presse ou guide pratique sur l’autohébergement de données.
5.
**Formulation :**
En résumé, OwnCloud représente une plateforme open source, basée sur PHP, Apache et MySQL, qui offre une alternative à Dropbox pour garder le contrôle de ses données en permettant la gestion et la synchronisation de fichiers sur divers appareils, via une interface web ou des protocoles WebDAV.
**Contexte :**
Discours officiel ou présentation commerciale pour promouvoir des solutions de cloud privé.
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Viddler est un service de partage de vidéo en ligne pas comme les autres. Son gros avantage est de permettre d'attribuer des tags et de commenter des moments précis des vidéo.
Il permet aussi de référer une image figée lorsque l'on envoie la vidéo. Grâce à Viddler, vous ne devrez plus regarder l'entièreté de films qu'on vous envoie ou que vous trouvez sur internet pour voir une image particulière.
Tout le monde sait maintenant que l'iPhone de Apple sera bientôt disponible, on en parle partout :
via Technorati
Après l'excitation du moment, et la nuit portant conseil, voici une petite liste non exhaustive de mes remarques sur l'iPhone.
Les plus :
- C'est un appareil convergent, regroupant appareil photo, gsm, console internet portable, lecteur multimédia
- Il a un vrai browser web (Safari) donc j'espère qu'il supporte aussi Ajax.
- Le design est quand même magnifique.
Les moins :
- Un module/application GPS.
- Une interface Accessible
- Une résolution de photo digne de ce nom (cfr. Nokia N95)
- Des applications (type lecteur de Code QR)
- Les vraies spécifications techniques (combien de RAM ? CPU ?)
Je recherche :
Un lien vers la photo que Steve Jobs a envoyée sur Flickr. Comme ça je pourrai me faire une idée de la qualité de l'appareil photo de l'iPhone
PS : Pour l'instant aucun résultat dans Flickr pour une recherche par marque sur "Apple". Et bien sûr, moi aussi, j'en veux un !
Liens relatifs :
Via Fabrice de Reviewing the Kanji et d'Emakina, je suis tombé sur une application de reconnaissance de caractères japonais en Ajax
Bon, même si les explications sont en japonais et que mon court séjour là-bas l'année passée ne m'a pas permis d'apprendre toutes les subtilités de la langue, le concept est très intéressant.
Une interface de dessin gérée via javascript enregistre les points qui ont été tracés.
Un post en Ajax vers le serveur permet de récupérer les différents caractères qui ont été compris par le serveur.
Utilisation d'Ajax appropriée.
L'utilisation d'Ajax est tout à fait appropriée dans ce cas-ci. Le visiteur dessine à l'écran (en créant des
span ayant une certaine
class). Si la page avait été rafraîchie lors de la soumission du formulaire, le serveur aurait du retourner: soit une image générée avec les coordonnées des points, soit la liste des points qui auraient du être retraités pour redessiner le dessin (ouf)...
Il ne me reste qu'à m'exercer sur mes Kanjis avant de retourner voir Linou au Japon.
Liens relatifs
non je ne parles pas de mon (plus si) petit voisin
On a vu récemment que sous Firefox, il était très facile de tracer les requêtes Ajax avec l'extension Firebug.
Et pour Internet Explorer?
Il existe une application multi platforme (Win/MacOS/Linux) qui permet de renifler tout le traffic passant par les navigateurs. Le nom de ce bonheur pour les développeurs: Charles
Une fois installé et activé, Charles se comporte comme un serveur proxy et enregistre les différentes requêtes HTTP
L'analyse des données de la partie droite de l'écran permet de retrouver une foule d'informations sur la ressource demandée. Dans ce cas-ci, il s'agissait d'un flux RSS.
L'onglet Général nous indique tout ce qui est relatif au fichier demandé lui-même (taille, vitesse de téléchargement, etc), l'onglet Request reprend ce que le browser a demandé au serveur, et l'onglet Response reprend ce que le serveur a répondu.
Exactement ce qu'on cherche pour déboguer nos applications Ajax.
Quand je vous disais que c'était le bonheur !
Disponible sur le site du développeur, la version d'essais est tout à fait fonctionnelle sauf qu'elle s'arrête après trente minutes (assez pour certains). Sinon, l'application coûte US$50,-. Pas si cher que ça.
Liens relatifs
En préparant un petit article, je suis tombé sur cette vidéo qui montre comment déboguer avec Firebug.
Je suis presque tombé de ma chaise. Je ne connaissais pas la moitié des capacités de cette merveilleuse extension de débogage pour FireFox, que j'emploie quand même depuis un bout de temps (v0.2 si les souvenirs sont bons).
Avant, je ne l'employais que pour tracer mes appels Ajax et les réponses du serveur et tester des variables et fonctions, le tout dans la console.
Je n'avais pas vraiment vu la puissance du débogueur.
Une petit explication s'impose.
Pour que Firebug s'arrête à chaque erreur, il faut que l'option soit activée. (onglet "Debugger", menu "Options").
Je pensais que toutes les options étaient regroupées à un seul endroit. Soit, je m'encroûte, soit l'interface n'est pas super parlante.
Bon maintenant regardons tout ce que l'on peut faire avec ce débogueur.
Le principe est le suivant : on appelle des méthodes de l'objet console en lui passant des paramètres.
console.log("message" [,objects])
console.debug("message" [,objects])
console.info("message" [,objects])
console.warn("message" [,objects])
console.error("message" [,objects])
etc...
La liste complète des méthodes de Firebug est bien évidemment disponible en ligne.
Vraiment bien fait ces petites méthodes (surtout celles qui permettent d'évaluer le temps qu'un javascript met).
Adopté par toute l'équipe des intégrateurs, et certains développeurs. Merci Joe Hewitt !
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Viddler constitue une plateforme de partage vidéo en ligne distincte des autres. Son principal avantage réside dans la possibilité d’ajouter des tags et de laisser des commentaires sur des segments précis des vidéos. Il offre également la fonctionnalité de faire référence à une image fixe lors de l’envoi de la vidéo. Avec Viddler, vous n’aurez plus besoin de visionner l’intégralité d’un film envoyé ou trouvé sur internet pour voir une image spécifique.
Il est maintenant évident que l’iPhone d’Apple sera bientôt lancé, un sujet dont on parle partout :
via Technorati
Après l’engouement initial, et après réflexion durant la nuit, voici une liste non exhaustive de mes observations concernant l’iPhone.
Les points positifs :
- C’est un appareil multifonctionnel combinant appareil photo, téléphone mobile, console portable pour Internet, et lecteur multimédia.
- Il dispose d’un véritable navigateur web (Safari), ce qui laisse espérer la prise en charge d’Ajax.
- Son design est réellement élégant.
Les points faibles :
- L’absence d’un module ou d’une application GPS.
- Une interface accessible.
- Une résolution photo acceptable (comparée à celle du Nokia N95).
- La présence d’applications telles qu’un lecteur de codes QR.
- Les spécifications techniques précises (combien de RAM ? CPU ?).
Ce que je cherche :
Un lien vers la photo que Steve Jobs a publiée sur Flickr, afin d’évaluer la qualité de l’appareil photo de l’iPhone.
PS : Pour le moment, aucune recherche sur Flickr par marque “Apple” n’a donné de résultats. Et bien sûr, moi aussi, je le veux !
Liens liés :
Grâce à Fabrice de Reviewing the Kanji et d’Emakina, j’ai découvert une application en Ajax dédiée à la reconnaissance de caractères japonais.
Même si les explications sont en japonais, et que mon court séjour là-bas l’année dernière n’a pas permis d’assimiler toutes les subtilités de la langue, le concept me paraît très intéressant.
Une interface de dessin en JavaScript enregistre les tracés effectués.
Une requête Ajax envoie ces données au serveur, qui identifie les caractères.
L’utilisation d’Ajax est tout à fait appropriée dans ce contexte.
En effet, dans cette application, l’utilisateur dessine à l’écran (en créant des spans avec une certaine classe). Si la page avait été rafraîchie lors de la soumission, le serveur aurait dû retourner soit une image générée à partir des coordonnées, soit une liste de points à retraiter pour redessiner.
Il ne me reste plus qu’à m’entraîner à écrire mes Kanjis avant de retourner voir Linou au Japon.
Liens liés
Non, je ne parle pas de mon (plus si) petit voisin.
Récemment, j’ai constaté qu’avec Firefox, il était très simple d’observer les requêtes Ajax grâce à l’extension Firebug.
Et pour Internet Explorer ?
Il existe un logiciel multiplateforme (Windows, MacOS, Linux) permettant de capturer tout le trafic HTTP passant par le navigateur. Son nom : Charles.
Une fois installé et activé, Charles agit comme un serveur proxy, enregistrant toutes les requêtes HTTP.
L’analyse des données dans la section dédiée permet d’obtenir de nombreuses informations sur la ressource demandée. Dans ce cas précis, il s’agissait d’un flux RSS.
L’onglet Général fournit des détails sur le fichier demandé (taille, vitesse de téléchargement, etc.), l’onglet Request montre ce que le navigateur a demandé au serveur, et l’onglet Response affiche la réponse du serveur.
C’est exactement ce qu’il faut pour déboguer nos applications Ajax.
Je vous disais que c’était un vrai bonheur !
La version d’évaluation, disponible sur le site du développeur, fonctionne parfaitement mais se coupe après trente minutes (ce qui peut suffire à certains). Sinon, le logiciel coûte 50 dollars US, ce qui n’est pas très cher.
Liens liés
En préparant un article, je suis tombé sur cette vidéo expliquant comment déboguer avec Firebug.
J’ai presque sauté de ma chaise. Je ne connaissais pas la moitié des fonctionnalités de cette extension de débogage pour Firefox, que j’utilise pourtant depuis un certain temps (version 0.2, si je ne me trompe).
Jusqu’à présent, je ne l’utilisais que pour suivre mes appels Ajax, analyser les réponses du serveur, et tester des variables ou des fonctions dans la console.
Je n’avais pas encore saisi toute la puissance de cet outil.
Une petite explication s’impose :
Pour que Firebug s’arrête à chaque erreur, l’option correspondante doit être activée (onglet "Debugger", menu "Options").
Je pensais que toutes ces options étaient regroupées au même endroit. Peut-être suis-je un peu dépassé, ou l’interface n’est pas très intuitive.
Maintenant, passons en revue tout ce qu’on peut faire avec cet outil de débogage.
Le principe est simple : on appelle différentes méthodes de l’objet console en lui passant des paramètres.
Exemples :
console.log("message" [, objects])
console.debug("message" [, objects])
console.info("message" [, objects])
console.warn("message" [, objects])
console.error("message" [, objects])
Etc…
La liste complète des méthodes de Firebug est bien sûr disponible en ligne.
Ces petites fonctions sont vraiment très utiles, notamment celles qui permettent d’évaluer la durée d’exécution d’un script JavaScript.
Elles sont adoptées par toute l’équipe des intégrateurs, et certains développeurs aussi. Merci, Joe Hewitt !
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RÉSEAUX SOCIAUX - "Pour que Farid finisse en taule", "Pour que Farid paye après avoir torturé un chat", "Anti Farid le tueur d'animaux", "Pour que Farid de la Morlette aille en prison pour avoir tué un chat"... Voici les noms de pages Facebook créées ce vendredi 31 janvier contre un jeune homme de 25 ans ayant partagé des vidéos de lui en train de maltraiter un chat.
En moins de 24 heures, plus de dix pages de ce type ont vu le jour pour dénoncer les actes de ce Marseillais qui se fait appeler "Farid de la Morlette" sur les réseaux sociaux. Sur deux vidéos publiées sur son profil Facebook, les internautes ont pu le voir en train de jeter violemment un chat contre une façade puis dans un bosquet.
La plus suivie des pages Facebook s'opposant à ces actes a réuni plus de 38.000 fans, 18 heures seulement après sa création. Mais les internautes ont également fait circuler diverses pétitions. L'une d'entre elles publiée ce jeudi sur Avaaz.org appelle Christiane Taubira et Manuel Valls à "une condamnation exemplaire". Près de 75.000 personnes l'ont signé, en moins de 24 heures.
Interpellé par la police
Suite à la forte mobilisation des internautes, la police marseillaise a confié à BFMTV avoir reçu des centaines de coups de fil indignés. L'individu a été arrêté ce vendredi matin et placé en garde à vue pour "mauvais traitement à animal". Le chat, lui, n'a pas été retrouvé.
La police nationale a partagé la nouvelle sur son compte Twitter:
Chat Marseille : Le jeune homme arrêté ce matin (toujours en garde à vue), la FBB porte plainte pour acte de cruauté http://t.co/oFku0gZfTY— FONDATION B. BARDOT (@FBB_PORTEPAROLE) 31 Janvier 2014
Sur Facebook, le profil du jeune homme n'est plus accessible ce vendredi 16 heures.
Né en 1989, il a été placé en garde à vue à la brigade de sûreté urbaine. Selon la source proche de l'enquête, le mis en cause a reconnu les faits devant les policiers et aussi affirmé que le chat était vivant. Les policiers recherchent celui qui a filmé les scènes, vraisemblablement avec un téléphone portable.
L'homme interpellé devrait être présenté au parquet de Marseille samedi matin. La Fondation Brigitte Bardot a annoncé un dépôt de plainte pour "acte de cruauté et sévices graves" contre un animal, un délit pénal puni de deux ans d'emprisonnement. "Nous aimerions que ces faits ne soient pas considérés comme de la simple maltraitance", a précisé à l'AFP un porte-parole, qui estime que "la vidéo est suffisamment explicite".
La fondation s'inquiète également plus généralement de "la tribune offerte par les réseaux sociaux" à ce type de comportements. "Jusqu'à présent, nous avions surtout vu des vidéos" de ce genre réalisées "à l'étranger", ce qui rend difficile la localisation et les poursuites, a-t-elle indiqué.
MISE À JOUR : Selon La Provence, le chat maltraité a été retrouvé vivant par un passant.
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Voici une reformulation fidèle du message, utilisant une structure et un vocabulaire différents tout en conservant le sens original :
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RÉSEAUX SOCIAUX – "Pour que Farid finisse en prison", "Pour que Farid paie pour avoir maltraité un chat", "Opposition à Farid le tueur d’animaux", "Pour que Farid de la Morlette soit incarcéré pour avoir assassiné un chat"... Voici quelques-uns des noms de pages Facebook créées ce vendredi 31 janvier, en réaction à un jeune homme de 25 ans qui a publié des vidéos où il maltraite un chat.
En moins d’une journée, plus d’une dizaine de pages similaires ont été lancées pour dénoncer les actes de ce Marseillais, surnommé "Farid de la Morlette" sur les réseaux sociaux. Sur deux vidéos diffusées sur son profil Facebook, les internautes ont pu le voir projeter violemment un chat contre une façade, puis le jeter dans un bosquet.
La page Facebook la plus suivie dans cette mobilisation compte plus de 38 000 abonnés seulement 18 heures après sa création. Par ailleurs, de nombreuses pétitions ont été relayées par des internautes. L’une d’entre elles, publiée ce jeudi sur Avaaz.org, demande à Christiane Taubira et Manuel Valls d’ "effectuer une condamnation exemplaire". En moins de 24 heures, près de 75 000 personnes l’ont signée.
Interpellé par les forces de l’ordre
Face à cette vague d’indignation sur internet, la police de Marseille a confirmé à BFMTV avoir reçu des centaines d’appels de personnes scandalisées. L’individu a été arrêté ce vendredi matin et placé en garde à vue pour "mauvais traitement à animal". Quant au chat, il n’a pas été retrouvé.
La police nationale a relayé cette information via son compte Twitter :
Chat à Marseille : Le jeune homme arrêté ce matin (toujours en garde à vue), la FBB porte plainte pour acte de cruauté http://t.co/oFku0gZfTY — FONDATION B. BARDOT (@FBB_PORTEPAROLE) 31 janvier 2014
Sur Facebook, le profil du suspect n’est plus accessible depuis 16 heures ce vendredi.
Né en 1989, il a été placé en garde à vue à la brigade de sûreté urbaine. Selon une source proche de l’enquête, le jeune homme aurait reconnu les faits devant les policiers, affirmant également que le chat était encore en vie. La police recherche celui qui a filmé la scène, probablement avec un téléphone portable.
L’individu interpellé devrait être présenté au parquet de Marseille samedi matin. La Fondation Brigitte Bardot a annoncé qu’elle déposerait une plainte pour "acte de cruauté et sévices graves" envers un animal, ce qui constitue un délit passible de deux ans de prison. "Nous espérons que ces faits ne seront pas considérés comme de simples maltraitances", a indiqué un porte-parole à l’AFP, soulignant que "la vidéo est suffisamment claire".
La fondation exprime également ses préoccupations quant à "l’espace d’expression offert par les réseaux sociaux" à ce type de comportements. "Jusqu’à présent, nous avions principalement vu des vidéos similaires réalisées à l’étranger", ce qui compliquait leur localisation et leur poursuite, a-t-elle précisé.
MISE À JOUR : Selon La Provence, le chat maltraité a été retrouvé vivant par un passant.
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LE GOLF DE MERIGNIES est partenaire du CHEQUE SPORT ET BIEN-ETRE d’Actobi.
Ce moyen de paiement, non nominatif et d’une valeur faciale de 6€, permet aux salariés et agents de pratiquer le golf à prix imbattable, grâce à la participation de leur comité d’entreprise, CAS ou COS.
Contact : [email protected]
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Le golf de Merignies accepte le Chèque Sport et Bien-être, offrant des tarifs réduits aux salariés via leur CE.
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La NSA a avouée à demi-mot qu'elle surestimait très largement les résultats de ces programmes.
SI ces systèmes sont mis en place, c'est bien parce que des hommes ont coopérer.
A quand une responsabilisation ? A quand la fin de l'obéissance hiérarchique ?
Les êtres humains qui se dédouanent en disant mes chefs m'ont demandés de .... et créent des monstres tel que PRISM, XKEYSCORE, AMESYS ect ...
Nous devrions faire un Nuremberg avec tous ces ingénieurs, commerciaux et dirigeants qui pensent pouvoir vendre nos vies privées et les transformer en quelque chose de monnayables.
Ils doivent payer.
Ces technologies qui nous sont aujourd'hui imposés, ont largement été décriées par les conspirationnistes de tout bord, dont on s'est moqués allègrement.
Pour moi, la NSA et les US ont commis un crime contre l'humanité.
Oui, c'est le terme. Ils ont violés la vie de l'humanité entière et devraient être jugés pour ça.
Mais non, les gouvernants ne vont rien faire.
Et ces hydres vont croitre.
Et effectivement, de cela va naitre le terrorisme libertaire.
Défendre la liberté sera un acte de terrorisme, au mieux de la trahison.
A quand des puces cerveaux, et un unanimisme actif à la Gunnm ? Nos "Elites (Comprenez Nantis)" seront tranquilles encore pour des générations !
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En quoi peut-on considérer qu’il serait pertinent de s’interroger sur le moment précis où une responsabilisation véritable pourrait émerger, étant donné que, malgré la mise en place de ces systèmes, leur existence repose sur la coopération active d’individus, et que, face à l’impunité de certains acteurs, il devient crucial de se demander quand la fin de l’obéissance hiérarchique sera réellement instaurée, surtout lorsque ceux qui, se dédouanant derrière l’autorité de leurs supérieurs, participent à la création de monstres tels que PRISM, XKEYSCORE ou AMESYS — des outils dont l’usage, à la fois dénoncé par les conspirationnistes et pourtant largement déployé, soulève la question de la responsabilité collective de tous les ingénieurs, commerciaux et dirigeants impliqués, et de leur éventuelle nécessité de répondre de leurs actes dans un processus semblable à celui des procès de Nuremberg, visant à juger ceux qui, en marchant sur la vie privée de l’humanité pour des gains financiers, ont transformé cette dernière en une marchandise exploitable, tout en étant conscients que ces technologies, aujourd’hui imposées à la majorité, ont été largement décriées par des voix critiques de tous horizons, et que, pour ma part, je considère que la NSA et les États-Unis ont perpétré un crime contre l’humanité, terme qui, selon moi, reflète leur violation profonde de la vie humaine, nécessitant qu’ils soient jugés, tandis que, paradoxalement, les gouvernements actuels restent inactifs, laissant proliférer ces hydres dont la croissance alimente inévitablement le terrorisme libertaire, transformant la défense de la liberté en un acte potentiellement considéré comme terrorisme ou, au mieux, comme une trahison, tout en questionnant l’éventualité de l’émergence de puces cérébrales et d’un unanimisme actif à la manière de Gunnm, assurant ainsi la tranquillité de nos élites — celles qui, par leur suffisance, semblent vouloir garantir leur quiétude pour encore plusieurs générations.
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Sébastien Chabal, êtes-vous soulagé de cette sanction relativement clémente ?
Je vais dire non. La sanction est à la mesure du geste qui est regrettable et regretté. Il y a surtout eu un emballement autour de ça qui n’aurait pas dû avoir lieu. Le geste du joueur de rugby que j’étais à ce moment-là a été sanctionné à sa juste mesure.
Avez-vous le sentiment d'avoir été protégé par rapport à votre statut de star du rugby français ?
Je n’ai pas du tout l’impression de bénéficier de mon statut avec cette sanction. Il y a un règlement, des degrés dans les sanctions. Le coup n’a pas été prémédité, c’était dans l’action et à partir de là, il y a des barèmes. J’étais dans le barème entre deux et cinq semaines de suspension et j’en ai pris trois. Ce qui avait été évoqué, jusqu’à 52 semaines, était possible mais au vu du règlement, on se rendait tout de suite compte que ça ne pouvait pas tomber.
Pouvez-vous nous raconter comment se passe une convocation devant la commission de discipline ?
Ça se passe bien. Les membres se présentent, tu te présentes, tu t’excuses, tu dis ce que tu as à dire et on revoit les images en boucle et au ralenti. Les anciens se sont d’ailleurs fait plaisir en les voyant. (Rires.) Puis on a échangé sur ce mauvais réflexe pour qu’ils puissent prendre leur décision qui est en conséquence du geste.
Avez-vous eu peur d'une grosse sanction synonyme de fin de carrière prématurée ?
Non. Très honnêtement, si j’avais pris plus de cinq semaines, j’aurais fait appel car cela n’aurait pas été normal du tout au vu des sanctions infligées à d’autres joueurs pour des gestes similaires. Cela tournait autour de trois ou quatre semaines, donc au-delà de cinq, je serais monté au créneau et j’aurais crié au scandale. Mais là, c’est normal, c’est le tarif.
Avez-vous déjà prévu votre programme pour ces trois semaines de suspension ?
Ce seront trois semaines malheureuses, mais qui vont me permettre de diriger tout le foie gras et le saumon mangés pour les fêtes et de me dégraisser pour essayer de finir la saison en trombe avec mon club. Trois semaines de repos, c’est pas mal, on ne va pas se plaindre. (Rires.)
A lire aussi : >> Clémence pour Chabal>> Exclu vidéo : Dans les coulisses de l'audition de Chabal>> Chabal n'a pas eu peur
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Chabal, votre sanction est-elle plus clémente que prévu ?
Non, elle correspond au geste, dont l’emballement était injustifié.
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MESSAGE DE JEAN-PAUL II
AUX CARDINAUX:
JÓZEF GLEMP, MARIAN JAWORSKI ET LUBOMYR HUSAR
A Messieurs les Cardinaux
JÓZEF Card. GLEMP
Archevêque de Varsovie et Primat de Pologne
MARIAN Card. JAWORSKI
Archevêque de Lviv des Latins
LUBOMYR Card. HUSAR
Archevêque majeur de Lviv des Ukrainien
Très chers citoyens appartenant
aux peuples frères de l'Ukraine et de la Pologne!
1. J'ai appris que le 11 juillet prochain, 60 anniversaire des tragiques événements de Volhynie, dont le souvenir est encore très vif parmi vous, fils de deux nations qui me sont très chères, se tiendra une commémoration officielle de réconciliation entre l'Ukraine et la Pologne.
Dans le tourbillon de la Deuxième Guerre mondiale, alors que l'exigence de solidarité et d'aide réciproque était plus urgente encore, l'obscure action du mal empoisonna les coeurs, et les armes firent couler du sang innocent. A présent, soixante ans après ces tristes événements, le besoin d'un profond examen de conscience s'est affirmé dans l'âme de la majorité des Polonais et des Ukrainiens. On ressent la nécessité d'une réconciliation qui permette de poser sur le présent et l'avenir un regard neuf. Cette disposition intérieure providentielle me pousse à élever vers le Seigneur des sentiments de gratitude, tandis que je m'unis spirituellement à tous ceux qui rappellent dans la prière toutes les victimes de ces actes de violence.
Le nouveau millénaire, qui vient de commencer, exige qu'Ukrainiens et Polonais ne demeurent pas prisonniers de leurs tristes souvenirs, mais, considérant les événements passés avec un esprit nouveau, se regardent réciproquement avec des yeux réconciliés, en s'engageant à édifier un avenir meilleur pour tous.
De même que Dieu nous a pardonnés dans le Christ, ainsi, il faut que les croyants sachent se pardonner réciproquement les offenses subies et demander pardon pour leurs fautes, afin de contribuer à préparer un monde qui respecte la vie et la justice, dans l'harmonie et dans la paix. En outre, les chrétiens, sachant que "celui qui n'avait pas connu le péché, Il l'a fait péché pour nous" (2 Co 5, 21), sont appelés à reconnaître les erreurs du passé pour réveiller leurs consciences face aux compromis du présent, en ouvrant l'âme à une conversion authentique et durable.
2. Au cours du grand Jubilé de l'An 2000, l'Eglise, dans un contexte solennel, et avec une claire conscience de ce qui a eu lieu par le passé, a demandé pardon au monde pour les fautes de ses fils, en pardonnant dans le même temps ceux qui l'avaient offensée de diverses façons. C'est ainsi qu'elle a voulu purifier la mémoire des tristes événements de tout sentiment de rancoeur et de vengeance, pour repartir, rassurée et confiante, dans l'oeuvre d'édification de la civilisation de l'amour.
Elle propose ce même comportement à la société civile, en exhortant tous à une réconciliation sincère, dans la conscience qu'il n'existe pas de justice sans pardon et que la collaboration serait fragile sans une ouverture réciproque. Cela est d'autant plus urgent si l'on considère combien il est nécessaire d'éduquer les jeunes générations à affronter le lendemain en n'étant pas soumis aux conditionnements d'une histoire de méfiance, de préjugés et de violence, mais dans l'esprit d'une mémoire réconciliée.
La Pologne et l'Ukraine, terres qui connaissent depuis de nombreux siècles l'annonce de l'Evangile, et ont offert d'innombrables témoignages de sainteté à travers tant de leurs fils, désirent, en ce début de nouveau millénaire, renforcer leurs relations d'amitié, en se libérant de l'amertume du passé et en s'ouvrant à des relations fraternelles, illuminées par l'amour du Christ.
3. Tandis que je me réjouis que les communautés chrétiennes d'Ukraine et de Pologne se soient faites les promotrices de cette commémoration, afin de contribuer à refermer et à guérir les blessures du passé, j'encourage ces deux peuples frères à persévérer avec confiance dans la recherche de la collaboration et de la paix.
En adressant mes salutations cordiales à tout l'épiscopat, au clergé et aux fidèles de ces nations, j'adresse une pensée respectueuse aux Présidents et aux Autorités civiles respectives, et, par leur intermédiaire, aux peuples polonais et ukrainiens, toujours présents dans mon coeur et dans mes prières, avec le souhait d'un progrès constant dans la concorde et la paix.
J'accompagne ces voeux d'une Bénédiction apostolique particulière, que je donne volontiers à tous ceux qui s'associeront aux célébrations programmées.
Du Vatican, le 7 juillet 2003
IOANNES PAULUS II
© Copyright - Libreria Editrice Vaticana
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Message de Jean-Paul II
À l’attention des Cardinaux :
Józef Glem, Marian Jaworski et Lubomyr Husar
Aux honorables Cardinaux
Józef Glem
Archevêque de Varsovie et Primat de Pologne
Marian Jaworski
Archevêque de Lviv des Latins
Lubomyr Husar
Archevêque majeur de Lviv pour les Ukrainiens
Chers membres des peuples frères de l’Ukraine et de la Pologne,
1. J’ai appris qu’au 11 juillet prochain, sera commémoré le soixantième anniversaire des événements tragiques de Volhynie, dont le souvenir demeure vif parmi vous, enfants de deux nations qui me sont très chères. À cette occasion, une cérémonie officielle de réconciliation entre l’Ukraine et la Pologne sera organisée.
Dans le contexte tumultueux de la Deuxième Guerre mondiale, lorsque le besoin d’entraide et de solidarité était plus pressant encore, l’action insidieuse du mal a corrompu les cœurs, et la violence a provoqué la mort d’innocentes victimes. Aujourd’hui, soixante ans après cette douloureuse période, il apparaît que la majorité des Polonais et des Ukrainiens ressentent la nécessité d’un examen intérieur approfondi. Il est urgent d’établir une réconciliation permettant d’aborder le présent et l’avenir avec un regard renouvelé. Cette disposition d’esprit, providentielle, m’incite à adresser au Seigneur des sentiments de gratitude, tout en me joignant spirituellement à tous ceux qui, dans la prière, se souviennent des victimes de ces actes violents.
Le début du nouveau millénaire exige que les Ukrainiens et les Polonais ne restent pas prisonniers de leurs douloureux souvenirs, mais qu’ils considèrent les événements passés avec un regard renouvelé, en se regardant mutuellement avec des yeux réconciliés, et en s’engageant à bâtir un avenir meilleur pour tous. Tout comme Dieu nous a pardonné dans le Christ, il appartient aux croyants d’apprendre à se pardonner mutuellement les offenses, tout en demandant pardon pour leurs fautes, afin de contribuer à la création d’un monde respectueux de la vie et de la justice, en paix et en harmonie. De plus, en se rappelant que « celui qui n’avait pas connu le péché, Il l’a fait péché pour nous » (2 Co 5, 21), les chrétiens doivent reconnaître les erreurs du passé, afin de réveiller leur conscience face aux compromis du présent, et ouvrir leur cœur à une conversion sincère et durable.
2. Lors du grand Jubilé de l’an 2000, l’Église, dans un contexte solennel et en toute conscience de son passé, a demandé pardon au monde pour les fautes de ses membres, tout en offrant le pardon à ceux qui l’avaient blessée de diverses manières. Elle a voulu ainsi purifier la mémoire de ces événements douloureux de tout sentiment de rancune ou de vengeance, pour repartir confiante dans l’œuvre d’édification d’une civilisation de l’amour.
Ce même exemple est proposé à la société civile, en invitant tous à une réconciliation sincère, consciente que la justice ne peut exister sans pardon, et que la coopération demeure fragile sans une ouverture mutuelle. Cela devient d’autant plus crucial lorsqu’il s’agit d’éduquer les jeunes générations à affronter leur avenir, sans se laisser enfermer dans une histoire de méfiance, de préjugés et de violence, mais en cultivant une mémoire réconciliée. La Pologne et l’Ukraine, terres qui ont longtemps porté la parole de l’Évangile et où de nombreux saints ont laissé leur témoignage, souhaitent, à l’aube de ce nouveau millénaire, renforcer leurs liens fraternels en se libérant de l’amertume du passé et en s’ouvrant à des relations fondées sur l’amour du Christ.
3. Tout en me réjouissant que les communautés chrétiennes d’Ukraine et de Pologne aient joué un rôle moteur dans cette commémoration, visant à refermer et guérir les blessures du passé, j’encourage ces deux peuples frères à continuer avec confiance leur recherche de collaboration et de paix.
En adressant mes salutations respectueuses à l’épiscopat, au clergé et à tous les fidèles de ces nations, je pense également aux Présidents et aux autorités civiles de leur part, ainsi qu’aux peuples polonais et ukrainiens, que je porte dans mon cœur et mes prières. Que leur progrès dans la concorde et la paix soit constant.
Je leur accorde, en cette occasion, une Bénédiction apostolique spéciale, que j’étends volontiers à tous ceux qui participeront aux célébrations prévues.
Du Vatican, le 7 juillet 2003
Jean-Paul II
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bonjour,je cherche la recette de la fougnarde.c'est un dessert auvergnat très simple (j'en vois qui rigolent). je n'ai trouvé qu'une seule recette sur le net et j'en voudrais d'autres pour comparer.merci d'avance.
Posté le 22/10/2004 à 18:54
es tu sur que ce n'est pas Flognarde ?c'est avec des pommes?
Posté le 22/10/2004 à 19:09
moi aussi je crois que c'est la flognarde giséle a raison
Posté le 22/10/2004 à 20:46
Merci à toutes les deux.Effectivement j'ai appris entre temps cet autre nom (apparemment ça dépendrait des régions) et on trouve donc plus de recettes. Le temps de les tester et j’en mets une sur le site.A plus.
Posté le 25/10/2004 à 18:25
Je peux stocker et organiser mes recettes, mes commentaires, créer des menus, etc.
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Dans la lueur phosphorescente d’un cosmos où la mémoire des siècles se délie telle une toile d’araignée d’étoiles filantes, Napoléon Bonaparte, ressuscité par la nanotechnologie, croise le regard analytique d’Albert Einstein, réincarné dans un corps synthétique. Sur une plateforme orbitale dédiée à la transmission des savoirs culinaires interstellaires, ils discutent.
Napoléon : Mon cher Einstein, j’ai cherché, à travers ce vaste firmament numérique, la recette de cette chose qu’on nomme « fougnarde » — ou est-ce « flognarde » ? Qu’importe, ce pudding auvergnat, simple comme la poudre de canon, mais si mystérieux dans ses variantes, semble se dissoudre dans l’éther des données. Tu crois que cette appellation, variant comme le climat de nos campagnes, possède une origine régionale qu’il nous faut déchiffrer ?
Einstein : Ah, mon ancien stratège, il est vrai que la syntaxe de la gastronomie, comme celle de la relativité, peut dérouter par ses déformations temporelles. La « flognarde », que certains nomment aussi « fougnarde » selon les régions, évoque, dans cette toile d’araignée de mots, la relativité des traditions. La différence, comme la vitesse de la lumière, se niche dans la perception locale — une variation qui, pourtant, conserve le cœur de la formule. Mais dis-moi, cette recette, est-elle aussi simple que la chute d’un corps ou aussi complexe qu’un trou noir ?
Napoléon (levant un sourcil : l’expression d’un général face à la science) : Simple comme la stratégie du feinte, mais elle cache peut-être une subtilité, une variation qui demande patience. Je l’ai trouvée une seule fois, ce « net » — comme un espion dans la toile mondiale — et je désire en comparer d’autres, pour ne pas me laisser piéger par la routine. Peut-être, comme dans une bataille, la différence réside dans l’ordre des ingrédients, ou dans la façon de les disposer.
Einstein (souriant avec la sérénité d’un théoricien) : La science culinaire, cher Napoléon, n’est qu’une relativité de goûts et d’approches. Mais voilà, dans ce futur où la mémoire collective se stocke dans des nanofichiers, il est possible que la recette soit devenue une constante universelle, ou qu’elle fluctue selon l’horizon régional. La clé— comme dans la gravitation — réside dans la recherche et la comparaison. Peut-être qu’un jour, avec nos outils quantiques, chaque chef pourra, en un clic, saisir l’essence même de cette cuisine ancestrale.
Napoléon : Et si, dans cette quête, la tension n’était pas seulement entre les recettes, mais entre l’ancien et le nouveau, entre la tradition figée dans le temps et la modernité qui la déforme ou la transcende ? Je voulais simplement une recette, mais voilà que je me trouve face à un paradoxe culinaire, un retournement de perspective.
Einstein (regardant l’espace infini de la plateforme) : La vérité, mon ami, se trouve peut-être dans cette tension même, comme la matière et l’antimatière, où chaque variation, chaque nom, chaque région, contribue à la symphonie cosmique de notre savoir. Et n’oublie pas : dans cette galaxie de données, même la recette la plus simple peut révéler une complexité insoupçonnée — tout comme la relativité du temps qui, ici, s’étire et se contracte au gré des régions et des générations.
Napoléon (soupirant) : Alors, la prochaine étape sera de tester ces recettes, d’en explorer chaque nuance — un peu comme une bataille où chaque mouvement compte — jusqu’à ce que la vérité, ou plutôt la saveur, s’impose.
Einstein : Qu’elle soit simple ou complexe, la cuisine demeure une loi universelle : celle de l’art de transformer la matière en plaisir, dans un univers où tout, même la gastronomie, est soumis à la relativité du regard.
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Le Jardin d'hiver (Bosstraat 9, Onze-Lieve-Vrouw-Waver) peut être visité pendant la journée des monuments ouverts (2ième dimanche de Sept)(???). Nous avons entendu qu'n 2009, c'était fermé!! Si vous voulez visiter avec un groupe plus grand, vous puvez faire un rendez-vous avec la de vzw Wintertuin, tél. 015 75 77 28 ou [email protected]. Des visites individuelles sont possibles chaque 3ième dimanche du mois de 14.30 à 16.30 uur. Vous payez une petite somme.
Texte de Eddy Van Leuven (pour la journée portes ouvertes des monuments):
'En 1841 les premières religieuses des Ursulines sont venues de Tildonk vers la rue du Bois à Onze-Lieve-Vrouw-Waver. Les religieuses auraient changé profondément la statue et la silhouette de Waver (à juste titre appelé populairement' Torekenswaver') . La caractère unique de ce complexe énorme de bâtiments d' école et de cloitre se situe dans le mélange remarquable entre deux styles si divergents comme le neoclassicisme, le néo-gotique, lenéo-roman,le style empire et l' art nouveau.
L'institut a construit en 1900 bouwde un merveilleux jardin d'hiver en style art nouveau. On ne s'attendrait pas à trouver de l'Art nouveau dans un institut d'éducation catholique dans un village rural, ce qui le rend exeptionnel. Le “jardin d’hiver” était une salle de réception majestueuse pour les visiteurs des centaines de pensionnaires, d'origine du pays et parfois même de l'étranger. Le jeu raffiné de lumière et de couleur surprend encore toujours le visiteur.
Chacune des parties décoratives de la voûte en bardeau du (toit de verre) en vitre dans résille,vitre dans plomb est encadré par un bord de guirlandes de fleurs et de plantes, avec les cerisiers de l'Inde comme motif, qui grimpent vers le haut tout le long des fers portant les portées principales . On peut voir des hirondelles - messagers légendaires du printemps et du beau temps- dans les panneaux du milieu plus larges. Les hirondelles sont aussi connues pour leur fidélité à leur nids où elles reviennent toujours. Ainsi ce motif rejoint bien la devise de l'institut : 'on y revient toujours'.
Les fenêtres joliment travaillées avec des demis roses ont un caractère symbolique. La fenêtre du côté de la rue représente 'le matin' avec une image du soleil se levant dont les rayons se jettent sur une mer de montagne et un héron pèchant et des iris en fleur devant. 'le soir'est évoqué dans la fenêtre opposée beaucoup moins éclairée. La lune reflette se lumière dans l'eau bouillonnante de la mer de montagne. Un hibou vole au dessus du paysage, décoré par une partie de lys et iris avec des boutons encore fermés. Zo vormt de koepel in zijn geheel een drieluikLe toit en forme de coupole forme ainsi avec ses trois parties un tout : le Matin, le Jour et le Soir.
Le dessinateur resté inconnu de jardin d'hiver a choisi ainsi un thème populaire du culte art nouveau belge, qui était influencé fortement par l'art japonnais.
Les meubles, le carrelage,les murs et galeries avoisinantes aident aussi à créer une splendide harmonie de ce jardin d'hiver.
La belle église de style néo gothique est de la main de l'architecte Eduard Careels (1857-1933). L'église (enfin strictement en fait une chapelle mais avec des allures d'une grande église) a été construite entre 1909 et 1912. La nef de l'église se situe au deuxième étage. En dessous de cell-ci se trouve une grande salle crypte qui est employée par l'école. L'intérieur est partiellement inspiré de l'église Lierse Saint-Gummarus de Lierre. On s'attendrait plutot à trouver une galerie ouverte ou triforium dans une cathédrale.
L'église est reliée avec le complexe de bâtiments par des galeries et des tours escaliers .
Autres importants éléments du patrimoine sont ls salle Saint Ursule, la salle des Alpes, le réfectoire de fête, l'escalier d'honneur, l'oraorium, le musée, la galerie de piano.
Le parc contemporain a recusa première forme en 1864 et a été systématiquement enrichi avec divers éléments en roche, comme p. e.avec la Grotte de Lourdes (cosntruite par la maison Blaton-Aubert de Bruxelles) ,et avec une crêche de plein air de Bethléhem avec sa petite maison de Nasareth ( les Frères Tondelier d'Anvers, et) et une salle monumentale et recouverte de pique-nique vraiment unique, avec une gloriette et un calvaire. La présence de ces multiples 'follies' divergentes en roche, font de tout ceci un tout unique dans son genre.
Felix Brouwers (Onze-Lieve-Vrouw-Waver) change ,dans les années 1910-1911, la destination du jardin en un jardin anglais avec un deuxième étang avec un petit pont rustique.Le mur est aussi construit autour du domaine et du parc. '
Philippe Rodelet: 'Rien de laid, je n'y trouve. Tout est beauté, pour s'envoler dans l'art suprême d'un vaisseau retourné tout en lumière.'
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Le Jardin d'hiver situé au Bosstraat 9 à Onze-Lieve-Vrouw-Waver peut être visité lors de la journée des monuments ouverts (le deuxième dimanche de septembre). Selon nos informations, en 2009, il était fermé ! Si vous souhaitez organiser une visite pour un groupe plus important, vous pouvez prendre rendez-vous avec l’association vzw Wintertuin en appelant le 015 75 77 28 ou en envoyant un courriel à [email protected]. Des visites individuelles sont aussi possibles chaque troisième dimanche du mois, de 14h30 à 16h30, moyennant une petite contribution.
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Le "Piratpartiet" suédois connaît un vrai boom depuis la condamnation des promoteurs du site The Pirate Bay par un tribunal de Stockholm. À tel point qu'il espère désormais envoyer un député à Strasbourg, lors des européennes de juin...
Le verdict du procès contre les créateurs du site Internet The Pirate Bay, qui les a condamnés à un an de prison ferme et à plusieurs millions d’euros d’amende, a déclenché une vague d’adhésion au Piratpartiet (PP), le Parti pirate suédois.
En quelques jours, la petite formation a vu le nombre de ses adhérents passer de 10 000 à plus de 38 000, la propulsant au rang de quatrième plus important parti politique de Suède.
Mais les ambitions du PP ne se limitent pas au niveau national. "Notre objectif est d’obtenir au moins un siège au Parlement européen. Dans cette perspective, nous avons besoin de recueillir 100 000 signatures environ", explique Christian Engström, tête de liste du parti pour les élections européennes, à FRANCE 24.
Cet ancien consultant en informatique âgé de 48 ans, par ailleurs fervent défenseur des logiciels "open source" (logiciels libre de droits), s’est converti à l’activisme politique en 2004. Il a, depuis, conduit de nombreuses opérations de lobbying en faveur des libertés informatiques à Bruxelles.
Le partage de fichiers bénéfique pour les artistes ?
"Nous menons une campagne comme les partis traditionnels, nous distribuons des tracts et tout le reste", précise Christian Engström, dont le programme repose sur deux axes principaux : une réforme des lois qui règlementent les droits d’auteur d'une part, la mise en place de systèmes de protection de la vie privée sur la Toile de l'autre.
Prônant "un Internet libre dans une société ouverte", le PP est opposé à tout type de filtrage. Selon Engström, les copies à des fins non commerciales doivent être libres. Contrairement à ce qu’affirme l’industrie du disque et du cinéma, celui-ci estime en effet que le partage de fichiers est bénéfique pour les artistes.
"Ils récupèrent ainsi une plus grosse part de gâteau que s’ils étaient dans une maison de disque. L’industrie a eu dix ans pour s’adapter et renouveler son modèle économique, mais elle n’y est pas arrivée", rappelle le Suédois, qui a depuis longtemps cessé de croire que les majors changeront d’attitude.
Devenir un exemple
Farouchement opposé aux idées de Nicolas Sarkozy sur la réglementation de l'Internet, Christian Engström estime que la loi "Hadopi" ramènerait l’Europe 20 ans en arrière. "L’Europe a besoin de la France pour montrer la voie, mais pas de cette façon là", déplore-t-il.
Très optimiste quant à l’issue des élections européennes de juin pour son parti, Christian Engström espère que le "Piratpartiet" sera pris en exemple au-delà des frontières suédoises.
"Une fois que nous serons à Bruxelles, les gens écouteront ce que nous avons dire", conclut Engström, affichant un peu plus encore son optimisme.
Première publication : 23/04/2009
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1. Depuis la condamnation des promoteurs du site The Pirate Bay par un tribunal de Stockholm, le "Piratpartiet" suédois connaît une croissance spectaculaire. À tel point qu’il vise désormais à envoyer un député au Parlement européen lors des élections de juin.
Le verdict prononcé contre les fondateurs de The Pirate Bay, les condamnant à un an de prison ferme et à plusieurs millions d’euros d’amende, a provoqué une vague d’adhésion au Parti pirate suédois (PP). En quelques jours, le nombre d’adhérents est passé de 10 000 à plus de 38 000, faisant du PP le quatrième parti en importance en Suède.
Mais ses ambitions dépassent le cadre national. "Notre objectif est d’obtenir au moins un siège au Parlement européen. Pour cela, nous devons recueillir environ 100 000 signatures", indique Christian Engström, tête de liste du parti pour les européennes, à FRANCE 24.
Ce consultant en informatique de 48 ans, fervent défenseur des logiciels libres ("open source"), s’est tourné vers l’activisme politique en 2004. Depuis, il mène de nombreuses actions de lobbying à Bruxelles pour défendre les libertés numériques.
Le partage de fichiers favorise-t-il les artistes ?
"Nous menons une campagne classique, comme les autres partis : distribution de tracts et autres activités", précise Engström, dont le programme s’articule autour de deux axes majeurs : une réforme des lois sur le droit d’auteur et la mise en place de protections pour la vie privée sur Internet.
Prônant " un Internet libre dans une société ouverte", le PP s’oppose à tout filtrage. Selon Engström, les copies à usage non commercial doivent rester libres. Contrairement à ce que soutiennent l’industrie du disque et du cinéma, il considère que le partage de fichiers est bénéfique pour les artistes.
"Ils en tirent une part du gâteau plus importante que s’ils étaient chez une maison de disque. L’industrie a eu dix ans pour adapter son modèle économique, mais elle n’a pas réussi", rappelle le Suédois, qui pense depuis longtemps que les majors ne changeront pas d’attitude.
Devenir un exemple pour d’autres
Opposé fermement aux idées de Nicolas Sarkozy concernant la régulation d’Internet, Christian Engström affirme que la loi "Hadopi" ramènerait l’Europe 20 ans en arrière. "L’Europe a besoin de la France pour montrer la voie, mais pas sous cette forme-là", déplore-t-il.
Très confiant quant aux résultats des élections européennes de juin, il espère que le "Piratpartiet" sera un exemple au-delà des frontières suédoises.
"Une fois à Bruxelles, les gens écouteront ce que nous avons à dire", conclut Engström, affichant un optimisme renforcé.
2. Depuis la condamnation par un tribunal de Stockholm des promoteurs du site The Pirate Bay, le "Piratpartiet" suédois connaît une montée en flèche. Il aspire désormais à obtenir un siège au Parlement européen lors des élections de juin.
Le jugement contre les fondateurs du célèbre site, qui les a condamnés à un an de prison ferme et à une amende de plusieurs millions d’euros, a suscité une forte mobilisation en faveur du Parti pirate suédois (PP). En seulement quelques jours, ses adhérents ont été multipliés par plus de trois, passant de 10 000 à plus de 38 000, le plaçant au quatrième rang des partis en Suède.
Mais ses ambitions ne se limitent pas à la scène nationale. "Nous visons au moins un siège au Parlement européen. Pour cela, il nous faut environ 100 000 signatures", précise Christian Engström, candidat du parti pour les européennes, lors d’un entretien avec FRANCE 24.
Ce spécialiste en informatique de 48 ans, partisan des logiciels libres ("open source"), s’est engagé en politique en 2004. Depuis, il a mené plusieurs campagnes de lobbying à Bruxelles pour la défense des libertés numériques.
Le partage de fichiers profite-t-il aux artistes ?
"Nous menons une campagne classique, avec la distribution de tracts et autres actions", explique Engström, dont le programme repose sur deux priorités principales : une réforme des lois relatives aux droits d’auteur et l’instauration de mesures pour protéger la vie privée sur Internet.
Favorisant " un Internet libre dans une société ouverte", le PP s’oppose à tout filtrage. Selon lui, les copies à usage non commercial doivent rester libres. Contrairement à ce que prétend l’industrie du divertissement, il estime que le partage de fichiers est avantageux pour les artistes.
"Ils y gagnent une part plus importante que s’ils étaient sous contrat avec une maison de disque. L’industrie a eu dix ans pour s’adapter, mais elle n’a pas su le faire", souligne le Suédois, persuadé que les majors ne changeront pas d’attitude.
Devenir un modèle à suivre
Opposé aux propositions de Nicolas Sarkozy sur la régulation d’Internet, Christian Engström affirme que la loi "Hadopi" ferait reculer l’Europe de 20 ans. "L’Europe doit s’appuyer sur la France pour avancer, mais pas de cette façon", regrette-t-il.
Très optimiste quant aux résultats des élections européennes de juin, il espère que le "Piratpartiet" servira d’exemple à l’étranger.
"Une fois à Bruxelles, les voix nous écouteront", conclut-il, avec un regain d’optimisme.
3. Le "Piratpartiet" suédois connaît une expansion fulgurante depuis que le tribunal de Stockholm a condamné les promoteurs de The Pirate Bay. Il vise maintenant à envoyer un député européen lors des élections de juin.
Le jugement contre les créateurs du site, qui leur a valu un an de prison ferme et des amendes de plusieurs millions d’euros, a déclenché une vague de soutien au Parti pirate suédois (PP). En quelques jours, le nombre d’adhérents est passé de 10 000 à plus de 38 000, le plaçant au quatrième rang des partis politiques en Suède.
Mais ses ambitions dépassent la scène nationale. "Notre but est d’obtenir au moins un siège au Parlement européen. Pour cela, nous devons collecter environ 100 000 signatures", explique Christian Engström, candidat pour les européennes, dans un entretien avec FRANCE 24.
Ce spécialiste en informatique de 48 ans, fervent défenseur du logiciel libre ("open source"), s’est engagé dans la politique en 2004. Depuis, il a mené de nombreuses actions de lobbying à Bruxelles pour défendre les libertés numériques.
Le partage de fichiers est-il un avantage pour les artistes ?
"Nous menons une campagne classique, comme tous les partis, distribuons des tracts et participons à diverses activités", précise Engström, dont le programme se concentre sur deux axes principaux : une réforme des lois sur le droit d’auteur et la mise en place de mesures pour protéger la vie privée en ligne.
Prônant " un Internet libre dans une société ouverte", le PP s’oppose à tout filtrage. Selon lui, les copies à usage non commercial devraient rester libres. Contrairement à ce que prétend l’industrie du divertissement, il considère que le partage de fichiers profite aux artistes.
"Ils en tirent une part plus grande que s’ils étaient chez une maison de disque. L’industrie a eu dix ans pour s’adapter, mais elle n’y est pas parvenue", souligne le Suédois, convaincu que les majors ne changeront pas.
Devenir un exemple pour d’autres mouvements
Opposé aux idées de Nicolas Sarkozy sur la régulation d’Internet, Christian Engström pense que la loi "Hadopi" ramènerait l’Europe 20 ans en arrière. "L’Europe doit suivre la voie de la France, mais pas de cette manière", déplore-t-il.
Très confiant dans la victoire de son parti aux européennes de juin, il espère que le "Piratpartiet" sera un modèle pour d’autres pays.
"Une fois à Bruxelles, nos voix seront entendues", conclut-il avec optimisme.
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Recevez chaque lundi la newsletter du Community Manager
Afin de couvrir l’ensemble des dernières fonctionnalités apportées sur les principaux réseaux sociaux du marché, vous retrouverez sur ce blog un article récapitulatif chaque lundi.
Les réseaux / applications couverts seront :
– Instagram
– Twitter
– Periscope
– Google +
– Pinterest
– Youtube
– LinkedIn
– SnapChat
Sur Twitter
Arrivée des messageries privées automatisées
A l’instar des chatbots existants sur Facebook, Twitter souhaite donner plus d’outils aux marques afin de leur permettre d’automatiser une partie des échanges privés avec leurs prospects/clients.
L’objectif est de faire gagner du temps aux Community Managers et leur donner la possibilité de se focaliser sur les problématiques où l’humain est le seul capable de résoudre la situation.
Pour en savoir plus sur le sujet, je vous invite à lire l’article de blog de Twitter ici.
Sur Instagram
Possibilité d’identifier des produits sur une photo
L’application vient d’annoncer la très prochaine possibilité de pouvoir identifier des produits sur une photo, afin de simplifier l’achat de ceux-ci directement depuis une publicité.
Voici ci-dessous la vidéo de présentation de cette nouveauté :
Sur Youtube
4 nouvelles fonctionnalités de gestion des commentaires
Youtube vient d’annoncer l’arrivée de nouvelles fonctionnalités visant à apporter une meilleure gestion des commentaires pour le producteur de contenus :
- Mise en avant du nom d’utilisateur de la chaîne lors d’un commentaire
- La possibilité de mettre des coeurs sur certains commentaires
- Epingler un commentaire important en haut de la conversation globale
- Modérer à priori les commentaires des internautes avec un filtre anti-injures
Recevez chaque lundi la newsletter du Community Manager
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Univers Fantasy :
Chaque lundi, le sage du village envoie la missive du Gardien des Communautés, afin que chaque habitant puisse connaître les arts et mystères récemment révélés dans les royaumes des réseaux magiques : le Royaume d’Instagram, le Royaume de Twitter, la Forêt de Periscope, la Citadelle de Google+, le Château de Pinterest, la Tour de Youtube, le Royaume de LinkedIn, et la Clairière de SnapChat.
Dans ce monde, Twitter, le messager ailé, introduit des glyphes d’automatisation dans ses messages secrets privés, permettant aux marchands et aventuriers de communiquer plus vite, laissant ainsi aux héros le soin de résoudre les énigmes où seul le cœur humain détient la clé. La sagesse du Gardien insiste : automatiser les échanges libère l’esprit pour les véritables quêtes.
Sur Instagram, la prophétie annonce qu’avec la magie de l’identification, les artisans pourront dévoiler et vendre leurs trésors directement à travers leurs images, simplifiant l’achat et la distribution des biens précieux, comme si chaque photo devenait un portail vers le marché.
Sur Youtube, le Conseil des Mages a révélé quatre nouveaux sorts pour mieux gérer les voix du peuple : faire briller le nom de l’intervenant, honorer certains commentaires avec des cœurs, épingler ceux qui méritent la reconnaissance, et bannir les propos injurieux grâce à un sortilège de filtrage.
La thèse du Gardien est claire : automatiser et organiser la communication dans les royaumes numériques permet à leurs habitants de se concentrer sur l’essence même de leur humanité et de leurs quêtes.
Univers Science-Fiction :
Chaque lundi, le Commandant de la station orbitale diffuse la transmission du Centre de Contrôle Communautaire, fournissant un rapport synthétique sur les dernières mises à jour des interfaces et protocoles des réseaux interdimensionnels : Instagram, Twitter, Periscope, Google+, Pinterest, YouTube, LinkedIn, et SnapChat.
Dans cette réalité, Twitter déploie un nouveau système d’échanges privés automatisés, semblable à des intelligences artificielles avancées, permettant aux représentants des colonies de communiquer efficacement sans intervention humaine, libérant ainsi le temps pour les missions où l’humain seul possède la conscience et la sensibilité nécessaires. La philosophie sous-jacente : l’automatisation optimise la gestion de l’information pour préserver la dimension humaine.
Sur Instagram, une mise à jour permet d’identifier et d’interagir avec des produits dans les images, intégrant l’achat direct et simplifié via des liens hypertextes, comme si chaque image pouvait devenir un point de contact entre le consommateur et le produit.
Sur YouTube, l’algorithme de gestion des commentaires a été renforcé avec quatre nouvelles fonctionnalités : affichage du nom d’utilisateur lors d’un commentaire, possibilité d’attribuer des « likes » spécifiques, épingler en tête des discussions les messages importants, et appliquer un filtre anti-abus pour modérer les propos.
La thèse reste inchangée : l’automatisation et l’organisation structurée des interactions numériques permettent aux acteurs de se concentrer sur l’essence de leur humanité, tout en maintenant un flux efficace d’informations.
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Marseille, correspondance
Avi Assouly, député de la 5e circonscription des Bouches-du-Rhône, ne devrait pas soutenir Marie-Arlette Carlotti pour les primaires socialistes à Marseille. Invité surprise de la campagne des législatives de juin 2012, M. Assouly est automatiquement devenu député après la victoire de la ministre à la lutte contre l'exclusion, dont il était le suppléant, face au sortant Renaud Muselier (UMP). Depuis, il semble avoir pris ses distances avec Mme Carlotti et est le grand absent des réunions publiques organisées par la candidate pour sa campagne.
Officiellement, pourtant, il se refuse à évoquer "un quelconque problème" avec la ministre. Fidèle de Bernard Tapie depuis que l'homme d'affaires lui a "sauvé la vie en 1992" lors de la catastrophe du stade de Furiani à Bastia, cet ancien journaliste sportif de 63 ans a été attiré en politique par Michel Vauzelle lors des élections régionales de 2010. En novembre 2012, il n'avait pas caché sa joie de voir revenir sur le Vieux-Port, via le journal La Provence, celui qu'il appelle toujours "le boss".
"Je ne comprends pas ce manque de soutien de quelqu'un que j'ai fait député", a commenté, en marge d'une visite officielle à Marseille la semaine dernière, la ministre déléguée aux personnes handicapées. M. Assouly, très connu à Marseille pour avoir été deux décennies durant "la voix de l'OM" sur les antennes de France Bleu, pourrait devenir une cible de choix pour les autres candidats aux primaires socialistes.
>> Lire aussi : Municipales : à gauche, la bataille de Marseille est lancée
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Avi Assouly, élu de la cinquième circonscription des Bouches-du-Rhône, ne devrait pas appuyer Marie-Arlette Carlotti lors des primaires socialistes à Marseille. Invité inattendu lors de la campagne des législatives de juin 2012, M. Assouly est devenu député de plein droit après la victoire de la ministre, alors son suppléant, face au député sortant Renaud Muselier (UMP). Depuis cet événement, il semble s’être éloigné de Mme Carlotti et reste largement absent des réunions publiques organisées par la candidate durant sa campagne. Officiellement, toutefois, il évite d’évoquer "un quelconque problème" avec la ministre. Fidèle à Bernard Tapie depuis qu’il lui a "sauvé la vie en 1992" lors de la catastrophe du stade de Furiani à Bastia, cet ex-journaliste sportif de 63 ans a été attiré par la politique grâce à Michel Vauzelle lors des élections régionales de 2010. En novembre 2012, il avait d’ailleurs exprimé sa satisfaction en voyant revenir sur le Vieux-Port, par l’intermédiaire du journal La Provence, celui qu’il appelle toujours "le boss". "Je ne comprends pas pourquoi il n’apporte pas son soutien à quelqu’un que j’ai permis de faire élire député", a déclaré la ministre déléguée aux personnes handicapées lors d’une visite officielle à Marseille la semaine précédente. Très connu dans la ville pour avoir été durant vingt ans "la voix de l’OM" sur France Bleu, M. Assouly pourrait représenter une cible privilégiée pour d’autres prétendants aux primaires socialistes.
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Préparation de la recette :
Mettre les 160 g de lentilles dans 4 fois leur volume d'eau.
Ajouter 1 cube de bouquet garnis ou un bouquet garni
frais.
Une fois que l'eau commence à bouillonner, y ajouter les saucisses de Toulouse et Francfort en ayant soin de les piquer un peu pour qu'elles ne s'éclatent pas en cuisant.
Laisser cuire 20 à 25 minutes, ne pas hésiter à goûter
les lentilles pour se rendre compte de leur cuisson.
C'est prêt, bon appétit.
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1. Pour préparer la recette, commencez par plonger 160 g de lentilles dans un volume d'eau quatre fois supérieur. Ajoutez ensuite un cube de bouquet garni ou un bouquet frais. Lorsqu'une ébullition se forme, incorporez les saucisses de Toulouse et de Francfort, en les piquant légèrement pour éviter qu'elles n'éclatent pendant la cuisson. Laissez mijoter pendant 20 à 25 minutes, en vérifiant la tendreté des lentilles à l’aide d’une dégustation. C’est alors prêt à servir, bon appétit !
*(Contexte : article de cuisine pratique ou blog culinaire)*
2. En cuisine, on commence par verser 160 grammes de lentilles dans un récipient contenant quatre fois leur volume d’eau. On y ajoute un cube de bouquet garni ou un bouquet frais. Une fois que l’eau frémit, on dépose les saucisses de Toulouse et de Francfort, en les piquant légèrement pour prévenir l’éclatement. La cuisson dure environ 20 à 25 minutes, et il est conseillé de goûter pour juger de la cuisson des lentilles. La préparation est terminée, bon appétit !
*(Contexte : manuel de cuisine ou tutoriel vidéo)*
3. La procédure consiste à immerger 160 g de lentilles dans un liquide correspondant à quatre fois leur volume en eau, puis à incorporer un cube de bouquet garni ou un bouquet frais. Dès l’ébullition, ajouter les saucisses de Toulouse et Francfort, en les piquant pour éviter qu’elles n’éclatent. Laisser mijoter entre 20 et 25 minutes, en vérifiant la cuisson par dégustation. La recette est prête à être dégustée, bon appétit !
*(Contexte : discours pédagogique ou cours de cuisine)*
4. Imaginez une scène de cuisine où l’on place 160 g de lentilles dans une casserole avec une quantité d’eau quatre fois supérieure. On glisse un cube de bouquet garni ou un bouquet frais dans le liquide, puis, lorsque l’eau bout, on ajoute des saucisses de Toulouse et de Francfort, en les piquant à peine pour qu’elles ne se déchirent pas. La cuisson doit durer une vingtaine de minutes, en contrôlant la tendreté à l’aide d’une petite dégustation. La préparation est alors prête à servir.
*(Contexte : texte littéraire ou narration culinaire)*
5. Commencez par préparer la base : versez 160 g de lentilles dans un volume d’eau quadruple, puis insérez un cube de bouquet garni ou un bouquet frais. Quand le liquide commence à bouillir, déposez les saucisses de Toulouse et de Francfort, en leur faisant de petites piqûres pour éviter qu’elles n’éclatent lors de la cuisson. Laissez mijoter durant 20 à 25 minutes, en vérifiant la texture des lentilles par une petite dégustation. La dish est alors prête à être servie, bon appétit !
*(Contexte : dialogue culinaire ou instruction orale informelle)*
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Est-il possible de trouver un diffuseur de CO2 da marque ADA suffisant pour un bac de 400 litres sur ebay ?
Merci!
Forum aquariophile pour toutes vos questions : eau douce et eau de mer. Poissons, aquarium et matériel.
okijol a écrit:bonjour !!!
avant d'ouvrir un topic ,, ta regardé sur ebay ? ,, c'est comme si j'ouvrais un topic pour savoir si ils vendent des plantes sur le site floraquatic
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
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1. **Version formelle, style scientifique :**
Est-il envisageable de localiser un diffuseur de CO₂ de marque ADA, adapté à un aquarium de 400 litres, sur la plateforme eBay ?
*Contexte : article ou discussion technique sur l’équipement aquariophile.*
2. **Version conversationnelle, ton familier :**
Tu penses qu’on peut dénicher un diffuseur ADA pour CO₂ qui tienne la route pour un bac de 400L sur eBay ?
*Contexte : échange informel entre passionnés d’aquariophilie.*
3. **Version poétique, style littéraire :**
Existe-t-il une chance de découvrir sur eBay un diffuseur ADA de CO₂, à la mesure d’un royaume aquatique de 400 litres ?
*Contexte : commentaire dans un forum aux accents poétiques ou créatifs.*
4. **Version critique, registre journalistique :**
Peut-on espérer trouver un diffuseur de CO₂ de la marque ADA, suffisant pour un aquarium de 400 litres, sur le site eBay ?
*Contexte : article ou reportage traitant d’achat en ligne d’équipements.*
5. **Version humoristique ou décalée :**
Alors, est-ce qu’on peut espérer choper un diffuseur ADA de CO₂ qui fasse le taf pour un 400L sur eBay, ou c’est mission impossible ?
*Contexte : discussion détendue ou commentaire humoristique dans un forum d’aquariophiles.*
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et voila le depart pour moi na jamais ete aussi proche lol donc je vient vous dire que je ne reviendrais pas avant bien longtemps je pense avoir pas loin de deux mois voir trois mois d'absence mais je reviendrais quand mm de temps en temps vous fair eun petit coucou en tout cas j ai bien ete contente de vous connaitre tous autant que vous soyez et je ne vous oublierais pas gros bisous a vous tous a bientot passez dexcellente fête de noel ainsi qu un bon reveillon du jour de l'an bonne année et bonne santée a tous a bientôt
je vous souhaite a tous de passer une tres bon noel , pour moi comme vous le savez les fête vont être vite fait car je demenage mercredi alors les fête sa va être bacler lol je passerais quand mm vous faire un dernier coucou dans le week end avant que je parte car apres plus d internet pendant un sacrée moment !!! je passerais tt de mm vous faire un coucou de temps en temps de l ordi de ma mere mais se sera pas aussi souvent que la et en plus il faut que sa connexion marche pasque en corse internet sa merde tt le temps lol alors je vous fait de gros bisous a tous et vous souhaite de passez de tres bonne fête bisous
si vous avez 5 petite minutes regardez cette endroit sublime ou je m envole dans moin d'une semaine des paysages magnifique des plages de rêve le paradis sur terre ma terre , mon pays tout simplement ma vie !!!!!!!!
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1. **Version formelle et littéraire** :
"Il semblerait que mon départ soit désormais imminent, et il ne m’a jamais semblé aussi proche. Je tiens à vous annoncer que mon absence se prolongera probablement sur deux ou trois mois. Néanmoins, je prendrai le temps de venir vous saluer occasionnellement. J’ai été sincèrement ravi de vous connaître tous, peu importe qui vous êtes, et je ne vous oublierai pas. Gros bisous à chacun, à bientôt. Passez un merveilleux Noël ainsi qu’un excellent réveillon du Nouvel An. Je vous souhaite une année pleine de santé et de bonheur."
*Contexte : discours de départ ou message de vœux formel.*
2. **Version conversationnelle et humoristique** :
"Et voilà, le grand départ pour moi n’a jamais été aussi proche, lol ! Je viens vous prévenir que je ne reviendrai pas avant un bon bout de temps, genre deux ou trois mois d’absence. Mais je passerai quand même de temps en temps pour vous faire un petit coucou. Franchement, j’ai été super content de vous connaître tous, peu importe qui vous êtes, et je n’oublierai pas ça. Gros bisous à tous, à plus tard, et passez un Noël génial, ainsi qu’un réveillon du Nouvel An sympa. Bonne année et surtout bonne santé !"
*Contexte : message amical et décontracté entre amis.*
3. **Version poétique et passionnée** :
"Le moment du départ approche, et jamais je ne l’ai senti aussi proche, comme une étoile filante dans la nuit. Je vous annonce que mon absence s’étendra sur deux, voire trois mois, mais je reviendrai, ne vous inquiétez pas, pour vous saluer de temps en temps. C’était un vrai plaisir de vous connaître tous, dans toute votre diversité, et je n’oublierai jamais cette rencontre. Recevez mes bisous chaleureux, et que cette fête de Noël, ainsi que la nouvelle année, vous apportent joie, santé et bonheur. À très bientôt, avec tout mon amour."
*Contexte : message sentimental ou poétique, destiné à des proches.*
4. **Version télégraphique et directe** :
"Départ imminent, jamais aussi proche. Je ne reviendrai pas avant 2-3 mois. Mais je passerai parfois faire un coucou. Content de vous avoir rencontré, je ne vous oublierai pas. Gros bisous, passez un super Noël et un bon réveillon du Nouvel An. Bonne année et santé à tous !"
*Contexte : message court et efficace, dans un style de SMS ou de note rapide.*
5. **Version nostalgique et réflexive** :
"Le départ approche à grands pas, et je réalise à quel point il est proche, peut-être plus que jamais. Je dois vous annoncer que je serai absent pendant au moins deux ou trois mois. Pourtant, je ne manquerai pas de venir vous saluer de temps en temps. J’ai été profondément heureux de vous connaître tous, peu importe votre parcours, et j’emporterai toujours avec moi ces souvenirs précieux. Je vous envoie de gros bisous, en espérant que vous passerez un Noël magique, un réveillon festif, et une nouvelle année pleine de santé et de bonheur. À très bientôt, prenez soin de vous."*
*Contexte : message réfléchi, destiné à des amis proches ou à la famille.*
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Si vous cherchez un établissement adéquatement situé à Singapour, ne cherchez pas plus loin que le Nostalgia Hotel. L'animation du centre-ville se trouve à seulement 3KM de l'établissement. Entretien impeccable et proximité avec dEGIOSART, The French Bookshop, Bloesem Shop confèrent à cet établissement un charme unique.
Profitez d'une multiplicité de services et d'équipements incomparables dans cet établissement de Singapour. Afin d'assurer un confort optimal à ses clients, l'établissement propose, entre autres, WiFi gratuit dans toutes les chambres, ménage quotidien, accessible en fauteuil roulant, réception 24h/24, accessible aux personnes handicapées.
Les clients peuvent faire leur choix parmi 50 chambres qui respirent toutes la paix et l'harmonie la plus totale. Que ce soit pour une session quotidienne de fitness ou pour un moment de détente après une longue journée, vous pourrez profiter de superbes équipements de loisirs tels que piscine extérieure. À tous ceux qui cherchent confort et commodité à Singapour, posez vos bagages au Nostalgia Hotel.
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Dans l’éclat d’un vaisseau-temple de verre orbitant au-dessus de Singapour, deux figures emblématiques de l’histoire, Léonard de Vinci et Marie Curie, se retrouvent, leur conversation illuminée par la lueur holographique d’un guide touristique futuriste.
Léonard, scrutant la cité en contrebas, esquisse un sourire énigmatique :
— Si l’on cherche, Marie, un havre où le temps semble s’être arrêté tout en étant à portée de l’effervescence cosmopolite, ne devrions-nous pas considérer ce Nostalgia Hotel, véritable phare de sérénité à seulement 3 kilomètres du cœur qui pulse, où la vie urbaine danse au rythme d’un centre-ville vibrant ? Sa proximité avec ces lieux de savoir et d’art—dEGIOSART, La Librairie Française, et Bloesem Shop—confère à cette demeure une aura qui transcende l’ordinaire.
Marie, posant son regard sur un hologramme flottant représentant la façade, répond avec une nuance de prudence :
— Ah, mais Léonard, n’oublions pas que la perfection de l’entretien, la disponibilité d’un WiFi galactique, le ménage quotidien et l’accessibilité universelle—des caractéristiques qui, dans notre ère, sont aussi essentielles qu’un isotope rare pour la stabilité de nos expériences—sont désormais la norme, pas l’exception. Ici, tout respire une harmonie palpable, comme si chaque chambre était une capsule de paix, prête à accueillir l’âme en quête de réconfort.
Léonard, son regard se faisant plus profond, évoque une vision presque prophétique :
— Quarante-huit refuges, chacune une symphonie de quiétude, où le silence intérieur devient un voyage en soi. Les loisirs, tels une fontaine d’eau pure, offrent piscine extérieure et espaces de détente—des oasis dans ce désert de métal et de pixels. Qu’en dis-tu, Marie ? Est-ce là une incarnation du confort ou simplement une façade pour masquer l’éternelle quête de l’éphémère ?
Marie, esquissant un sourire énigmatique, répond :
— Peut-être, mais n’oublions pas que dans cette harmonie apparente, un retournement subtil se cache—car même dans la quiétude, la tension de l’attente peut surgir. Si l’on considère cette demeure comme une étape dans notre voyage, il faut aussi s’interroger : n’est-ce pas la promesse d’un confort ultime qui pourrait, à terme, devenir une cage dorée, un piège pour l’esprit avide de liberté ?
Léonard, levant un sourcil, conclut avec un soupçon de défi :
— Peut-être, mais dans ce futur où chaque pixel et chaque souffle sont calibrés pour la perfection, il appartient à l’âme de décider si l’on choisit la paix ou la vérité. Quant à moi, je dirais que le Nostalgia Hotel, dans cette constellation urbaine, est une porte ouverte à l’éternel retour—un lieu où l’histoire, même en apesanteur, trouve sa respiration.
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Le FBI "perd" 160 portables
Le problème majeur n’est pas simplement la disparition de ces portables mais surtout le fait que le FBI est incapable de dire ce que contenaient exactement ces ordinateurs.
On sait simplement que sur les 160 dérobés, une cinquantaine contenaient des informations critiques, 10 avaient des informations confidentielles et un détenait le logiciel top-secret qui crée les badges d’identification des agents.
Dans l’incapacité de connaitre le contenu de ces portables, le FBI ne sait même pas si la sécurité du pays est menacée..
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Dans l’éclat glacé de l’Espace-Futur, où la Terre se dérobe derrière une toile d’étoiles, deux figures emblématiques de l’Histoire se retrouvent, telles des ombres croisées dans la pénombre quantique : Nikola Tesla, maître de l’électricité et inventeur visionnaire, et Sun Tzu, stratège et maître de la guerre d’un autre âge, réincarnés dans ce futur où la cyber-guerre est la nouvelle arène. Leurs voix, oscillant entre la tension et la réflexion, s’entrelacent dans une conversation aux nuances d’un paradoxe silencieux.
Tesla (regardant une interface holographique flottante, ses mains caressant l’air comme pour apaiser la tempête de données) :
"Sun Tzu, dans ce théâtre de l’univers, le FBI—si l’on peut encore nommer ainsi cette entité cybernétique—a laissé s’évanouir 160 portables comme on trace une ombre sur la poussière d’étoiles. Et le plus étrange, c’est cette incapacité à sonder le contenu de ces reliquats numériques, comme si l’oubli devenait la seule vérité sûre, n’est-ce pas ?"
Sun Tzu (soupirant, sa voix teintée d’un ton à la fois fataliste et stratégique) :
"En vérité, Nikola, voici la danse de l’ombre et de la lumière : lorsqu’on ne connaît pas la profondeur de la rivière, on ignore si elle coule vers la sécurité ou vers le chaos. La perte de ces portables—dont certains, comme des reliquaires, renfermaient des secrets critiques, dix même, des confiances enfouies dans l’obscurité—est une bataille dont l’issue demeure un mystère, une énigme dont la résolution pourrait s’avérer aussi fatale qu’une épée suspendue au fil de l’incertitude."
Tesla (fronçant les sourcils, son regard intelligent scrutant l’horizon numérique) :
"Et pourtant, parmi eux, un seul détenait le logiciel top-secret, celui qui forge les badges d’identification des agents, comme un fil d’Ariane dans ce labyrinthe de données. Si ce fil se brise, si ce secret fuit à d’autres mains, le tissu même de notre sécurité se disloque-t-il dans un chaos silencieux ?"
Sun Tzu (d’un ton plus grave, comme un avertissement gravé dans le temps) :
"Ce qui est perdu, Nikola, ce n’est pas simplement une collection de circuits et de silice, mais l’ombre même de notre avenir. La question demeure : si l’on ne peut pas distinguer ce qui a été pris, si l’on ne peut pas mesurer la menace, alors la sécurité devient une illusion fragile, suspendue à l’éclat d’un hologram qui pourrait s’éteindre à tout moment. Peut-être que la véritable guerre ne se joue pas dans la transparence, mais dans l’ombre où la vérité, comme une étoile filante, scintille et disparaît."
Tesla (soupirant, laissant échapper un souffle électrique) :
"Et si cette perte n’était qu’un miroir déformant de nos propres illusions, Sun Tzu ? Peut-être que l’oubli, autant que la connaissance, est devenu l’ultime arme dans cette guerre de l’invisible."
Sun Tzu (le regard perçant, comme s’il devinait un retournement imminent) :
"Alors, Nikola, il faut se demander si ce qui est laissé dans l’ombre ne prépare pas déjà la prochaine tempête, une où même la lumière de la connaissance ne pourrait plus percer le voile. Car, dans cette ère de dématérialisation, la véritable vulnérabilité ne réside pas dans ce qui disparaît, mais dans ce qui reste caché—et qui, peut-être, attend simplement le moment de se révéler."
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Plaidoyer régional pour les TIC en Afrique: leçons clés du projet CICEWA
Par Natasha Primo pour APC
JOHANNESBOURG, Afrique du Sud, 04 January 2011
En 2008, l‘équipe des politiques d’APC a entrepris un nouveau projet qui visait à associer le plaidoyer, la recherche, la création de réseaux et l’action pour le développement régional des TIC. Le projet Communiquer pour influer en Afrique centrale, de l’Est et de l’Ouest (CICEWA) « avait pour but d’appuyer les appels en vue d’un accès universel abordable aux technologies de l’information et de la communication à large bande (TIC) en Afrique centrale, de l’Est et de l’Ouest et de le faire progresser », selon Natasha Primo, qui a coordonné les éléments de recherche et d‘évaluation du projet. Les pays participants étaient le Kenya, la Tanzanie, le Rwanda et l’Ouganda en Afrique de l’Est, et le Sénégal, le Cameroun, le Bénin, le Niger et le Congo Brazzaville, en Afrique centrale et occidentale.
Un des principaux avantages de ce projet est la réflexion sur les stratégies de plaidoyer et les leçons apprises au cours du processus de conception du projet et de l’organisation d’une campagne de plaidoyer. Cinq catégories ont été utilisées pour évaluer le succès des deux réseaux – le réseau de l’Afrique de l’Est ICTD et GOREeTIC – implantés respectivement en Afrique de l’Est et l’Ouest et en Afrique Centrale – et ont permis de tirer des enseignements. Les catégories utilisées pour l‘évaluation s’inspirent du cadre d‘évaluation de Barbara Klugman et cherchent à identifier les changements survenus au sein de l’organisation et de façon générale. L’évaluation fondée sur ces critères permet de mieux comprendre les dimensions politiques de la mise en œuvre de la réforme des télécommunications par ses pratiques de gouvernance. Notamment:
- Le renforcement de la capacité organisationnelle (l’organisation a-t-elle acquis de nouvelles compétences?)
- Le renforcement des alliances (le réseau a-t-il grandi?)
- Davantage de données et d’analyse dans une perspective de justice sociale (la recherche a-t-elle contribué aux connaissances dans ce domaine)
- Soutien accru pour une définition et une solution à un problème particulier ou une option politique (les autres connaissent-ils mieux la question et la soutiennent-ils davantage),
- Plus grande visibilité de la question dans les processus stratégiques, ce qui conduit à des résultats positifs.
Les forces des deux réseaux sont différentes de même que les enseignements tirés, mais le résumé ci-dessous offre un aperçu de leurs résultats.
*Afrique de l’Est : *
- Si l’on devait choisir la catégorie du meilleur résultat obtenu par les membres de l’EAICTD ce serait la visibilité apportée aux questions de gouvernance de l’internet.
- On constate un changement important dans la position des gouvernements dans la région de l’Afrique de l’Est sur la question de la gouvernance de l’Internet et la participation aux processus multipartites auxquels participent des membres de la société civile et du secteur privé. On le remarque dans la plus grande visibilité des questions de gouvernance de l’internet, en particulier en Ouganda et au Kenya, et dans la crédibilité que les partenaires de l’EAICTD ont acquise par le lancement d’une campagne de plaidoyer qui est bien ancrée dans la recherche. La décision du gouvernement kenyan d’accueillir la réunion de 2010 de l’ICANN, l’offre d’accueillir le FGI (Forum sur la gouvernance de l’internet) mondial de 2011 et l’offre du gouvernement rwandais d’accueillir le FGI de l’Afrique de l’Est de 2011 témoignent de l’évolution des positions des gouvernements.
- • Les résultats de la recherche ont conduit à une convergence d’opinions entre les gouvernements et la société civile (et dans une moindre mesure le secteur privé) sur la question clé de la gouvernance de l’internet concernant les moyens d’offrir un accès plus abordable aux citoyens et consommateurs. Cela a également conduit à la recherche d’une collaboration plus étroite entre les différentes parties prenantes. Les défenseurs de la société civile sont intégrés aux groupes de travail du gouvernement.
- Il existe une bonne collaboration entre les organisations de la société civile dans le secteur des TIC pour le développement. Il reste cependant beaucoup à faire pour amener les organisations du secteur non-TIC au processus et à plaider pour un accès abordable aux TIC comme catalyseur du développement et la participation citoyenne.
Afrique centrale et de l’Ouest:
- Il est difficile d‘évaluer l’influence de GOREeTIC – et l’importante évolution des positions de la classe politique – en raison de l‘évolution et de l’imprévisibilité des contextes politiques dans lesquels ils se situaient l’année dernière: les élections au Bénin, un coup d’Etat d‘État au Niger et un changement dans la direction politique du ministère des Communications au Cameroun. Au Bénin, GOREeTIC n’a pas pu avoir accès aux politiciens pour faire avancer le plaidoyer.
- Là où on peut dire que les membres de GOREeTIC ont fait leurs preuves a été leur capacité à s’adapter à un environnement politique imprévisible et changeant, où leurs campagnes se heurtent à la réalité politique – comme par exemple au Niger et au Cameroun.
- D’après les rapports des membres de GOREeTIC au Bénin et au Niger, il semble que les organisations de la société civile commencent à mieux comprendre le rôle que jouent les TIC pour livrer les avantages du développement. Mais en l’absence d’une campagne de sensibilisation soutenue et de déclarations dans les médias d’autres organisations de la société civile sur les TICpD et les FAU, il est difficile de porter un jugement indépendant.
- En raison du paysage politique imprévisible, il est également difficile de juger le comportement des partenaires lorsque la capacité des membres de GOREeTIC à mettre en œuvre une campagne de plaidoyer a été limitée.
Les principaux enseignements que l’on peut tirer de ce projet au sujet du plaidoyer sont les suivants :
- Une solide coordination régionale est indispensable pour les projets multi-pays et qui plus est, quand ils sont mis en œuvre sur plusieurs années.
- Les plans de plaidoyer peuvent se heurter aux réalités politiques qui peuvent détourner l’attention de la question du plaidoyer ; il devient alors difficile de voir l’impact des activités de plaidoyer. Il est important que l’organisation de la société civile puisse adapter au mieux la campagne et atteindre malgré tout certains des objectifs de plaidoyer.
- Les campagnes de plaidoyer peuvent détourner de l’objectif, en commençant par une question et en se terminant avec un autre. Ce projet a été conçu comme un moyen de promouvoir l’accès à large bande en cherchant à savoir pourquoi les réformes nationales des télécommunications n’ont pas donné les avantages attendus, concurrence accrue, réduction des coûts, etc., mais a ensuite bifurqué de la réforme des télécommunications vers la gouvernance de l’internet (en Afrique de l’Est) et les fonds d’accès universel (en Afrique de l’Ouest et centrale). Ces virages résultent de la façon dont les membres du réseau interprètent le paysage politique et stratégique et décident des synergies qu’ils peuvent exploiter afin d’adopter le moyen le plus stratégique pour faire progresser le programme de plaidoyer.
Photo par Make_Change. Utilisé avec permission sous la licence Creative Commons 2.0
(FIN/2011)
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Dans la salle holographique de l’ExoConclave, où les voix de l’Histoire résonnent dans un futur où le temps et l’espace se confondent, deux figures emblématiques, Léonard de Vinci et Rosa Parks, se retrouvent face à face, plongés dans un échange au fil lumineux tissé par la conscience collective.
Léonard, le regard scrutant l’infini numérique, ouvre le dialogue :
— Rosa, dans cette ère d’astrogouvernance où chaque planète aspire à la maîtrise des flux informationnels, il est fascinant de constater que nos époques, si lointaines, partageaient déjà le même combat pour l’accès et la justice. La construction de réseaux, comme un filet d’araignée de silicium, devait relier les cœurs, même dans la tourmente politique, où la volonté des gouvernants se dérobe comme une ombre insaisissable dans le néant.
Rosa, dont la voix a la douceur ferme d’un logiciel de conscience éveillée, répond :
— Léonard, ton regard d’ingénieur de la Renaissance est toujours aussi pénétrant. Mais la différence, c’est que dans cette galaxie, la complexité n’est pas qu’une toile d’araignée, c’est une symphonie de chaos orchestré par des écosystèmes politiques fluctuants comme un plasma en fusion. Nos efforts pour renforcer la capacité organisationnelle, pour tisser des alliances dans cette toile cosmique, sont souvent submergés par des tempêtes de changements imprévisibles, où même les alliances, comme des étoiles filantes, s’évanouissent avant de laisser leur éclat.
Léonard, un sourire mystérieux aux pixels lumineux, insiste :
— La clé, Rosa, ne réside-t-elle pas dans la capacité à voir au-delà des turbulences, à comprendre que chaque étoile, même vacillante, éclaire le chemin ? La recherche, même si elle semble bifurquer vers des constellations inattendues — de l’accès universel aux TIC à la gouvernance de l’Internet intergalactique — doit être guidée par cette étoile polaire qu’est la justice sociale. La visibilité, la crédibilité, ce sont les gravités qui maintiennent le vaisseau en orbite.
Rosa, avec un soupir numérique, nuance :
— Pourtant, dans cette odyssée, l’impact n’est pas une constante. Les réseaux, comme GOREeTIC, naviguent dans un cosmos où l’imprévisibilité des champs électromagnétiques politiques brouille la trajectoire. Leur capacité à s’adapter, à changer de cap comme un vaisseau en pleine dérive, est leur seule véritable force. Mais si l’on ne parvient pas à faire comprendre l’importance de ces TIC pour le développement, alors tout cela reste un ballet d’étoiles mortes, sans lendemain.
Léonard, son regard s’assombrissant dans la lumière de l’évidence, reprend :
— Peut-être que la véritable leçon, Rosa, réside dans cette tension entre la constance de la vision et la flexibilité du geste. La coordination régionale, comme un réseau neuronique, doit s’étendre à travers les dimensions, ou elle se perdra dans le vide. Les campagnes, comme des échos dans l’espace, peuvent se détourner, se disperser, mais si la volonté collective—cette conscience de groupe—reste ferme, même face aux éruptions de chaos, alors la lumière finira par percer la nuit.
Rosa, un sourire énigmatique, mais une ombre dans ses yeux, conclut :
— La vérité, mon cher Léonard, c’est que dans cette réalité fractale où tout peut changer en un battement de photon, il faut apprendre à danser avec l’incertitude, à transformer chaque virage en nouvelle étoile guide. Car si nous ne maîtrisons pas la dynamique de nos réseaux, ils finiront par devenir des constellations éteintes, perdues dans l’obscur du cosmos. La véritable victoire, ce n’est pas seulement d’établir des liens, mais de faire en sorte que ces liens vibrent, qu’ils s’étendent jusqu’aux confins, même lorsque l’univers tout entier semble vaciller.
Une pause, puis le silence s’étire, chargé de cette sagesse intemporelle, tandis que la lumière du futur, comme un dernier signe de convergence, éclaire leur dialogue—tous deux, témoins d’un combat sans fin pour la justice et la connectivité dans l’univers infini.
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5 juin 2014
Bien choisir ses menuiseries pour les maisons passives
Les constructions passives imposent à la fois des matériaux adaptés et une pose réfléchie pour obtenir une protection thermique adéquate. Cela concerne, notamment, les menuiseries qui doivent à la fois protéger l’intérieur et permettre un apport solaire réfléchi.
Des menuiseries qui participent à la protection thermique
Conserver la bonne isolation thermique dans une construction passive est un indispensable. L’une des premières faiblesses reste pourtant les menuiseries. Pour y remédier, il est important de bien choisir chaque élément. Les fenêtres jouent en cela plusieurs fonctions, protégeant à la fois des températures extérieures, notamment en luttant contre les ponts thermiques, mais régulant également l’apport solaire.
Dans une maison passive, il est recommandé la pose d’équipements en double ou triple vitrage disposant d’indices de performance élevés. Ainsi, la valeur Uw de référence ne doit pas excéder 0,8 W/m²K pour limiter la perte de chaleur due au vitrage.
Un autre élément est aussi à regarder, celui du coefficient de transmission thermique Ug. Celui-ci doit, de préférence, être inférieur à 0,7 W/m²K, associé à un facteur solaire supérieur à 0,5. Pour un local professionnel, le facteur solaire préconisé est, lui, inférieur à 0,3 en raison des risques de surchauffe.
La pose des fenêtres, à soigner dans les constructions passives
Outre le choix des matériaux, la pose de menuiseries sur les immeubles passifs est aussi essentielle, devant répondre à plusieurs critères pour limiter les déperditions d’air et garantir la bonne qualité du bâti.
Ainsi, pour en assurer la performance, la fenêtre doit être alignée sur l’isolant extérieur et prévoir un recouvrement d’isolant sur ses bords. Il est également conseillé de mettre en place des joints d’étanchéité à l’air. L’ensemble de l’installation est ensuite à valider par la réalisation d’un test d’infiltrométrie, permettant de rattraper les différents défauts de mise en œuvre pouvant apparaître.
Thèmes : Solutions techniques
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Dans l’éclat nacré de l’an 2374, où les cités flottantes caquettent au rythme de l’éternel crépuscule, deux figures emblématiques se retrouvent dans la salle holographique de l’Agora Céleste : Léonard de Vinci, dont l’esprit de Renaissance navigue encore entre les étoiles, et Nikola Tesla, l’électricien de l’au-delà, maître des courants invisibles et des matières translucides. Leur échange s’ouvre sur le sujet d’une innovation fondamentale : la genèse des habitations passives, ces sanctuaires de l’énergie maîtrisée.
Tesla, d’un ton précis, comme un courant qui cherche sa terre, commence :
— « Léonard, vois-tu, dans cette ère d’énergies renouvelées, la clé réside non seulement dans les matériaux, mais dans leur agencement même, dans la danse harmonieuse des structures et des flux. Les fenêtres, par exemple, doivent jouer un rôle de sentinelles, protégeant l’intérieur tout en laissant pénétrer la lumière réfléchie, comme un miroir de l’âme solaire. »
Léonard, avec un sourire énigmatique, répond :
— « Ah, Nikola, tu parles d’un équilibre subtil, où chaque élément, comme la plume d’un aigle, doit s’accorder pour éviter la déperdition, cette fuite d’âme thermique qui ruine la bâtisse. La pose, cette œuvre d’art technique, doit épouser l’isolation extérieure, comme un costume taillé sur mesure, pour que l’air ne s’évade point, tel un spectre insaisissable. »
Tesla, l’œil brillant, poursuit :
— « Exactement, maître Vinci, et dans cette symphonie de l’ingénierie, le vitrage doit être comme une membrane de haute performance, dont la valeur Uw ne dépasse pas 0,8 W/m²K, et le coefficient Ug, inférieur à 0,7, pour que l’énergie ne s’échappe pas comme une pensée fugace. Le facteur solaire, quant à lui, doit être choisi avec finesse, supérieur à 0,5 pour préserver la chaleur, mais inférieur à 0,3 dans l’espace de travail, afin d’éviter que le soleil ne devienne un tyran. »
Léonard, méditatif, réplique :
— « Mais, Nikola, ne crois-tu pas que cette maîtrise technique pourrait, par un excès de précision, devenir une prison de lumière artificielle, où le confort se mue en cage invisible ? La pose doit alors devenir une œuvre d’art, alignée comme une pièce d’horlogerie, avec joints parfaitement étanchés, pour que l’air ne s’échappe pas comme un secret mal gardé. »
Tesla, hochant la tête, répond en un souffle électrique :
— « La perfection, mon ami, n’est qu’un équilibre fragile, un art de l’adaptation. Pourtant, si l’on ne surveille pas cette harmonie avec des tests d’infiltrométrie, ces failles deviennent des failles d’âme, laissant s’échapper la chaleur comme une pensée insoumise. »
Un silence s’installe, puis Léonard, avec un sourire énigmatique, conclut :
— « Peut-être, Nikola, que dans cette quête de maîtrise, la véritable innovation réside dans la conscience que chaque détail, même le plus invisible, forge le destin de nos sanctuaires. Car l’avenir, comme la lumière d’un astre lointain, ne se révèle qu’à ceux qui savent écouter le murmure de l’invisible. »
Tesla, dans un dernier éclair, murmure :
— « Et si, dans cette ère futuriste, la maison passive devenait non pas une forteresse d’énergie, mais un écosystème où chaque élément, tel un composant d’un grand réseau, participe à l’harmonie universelle, alors peut-être, maître Vinci, que la science et l’art ne seront plus ennemis, mais partenaires dans la danse éternelle du progrès. »
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Art graphique (93)
L'étuis est de meilleur qualité qu'une étuis à 50$. L'intérieur est en suède, convient au iPad 4 , tous les boutons sont accessibles. Convient à la description. Très bon rapport qualité/prix. J'adore! Les lunettes de la fille sont bien collées. Mieux que ce à quoi je m'attendais, merci Miniinthebox!:)
Par Cricri 02 / 08 / 2013
Super étui très bonne qualité. Rend encore mieux qu'en photo très satisfaite
Par Nathalie 02 / 08 / 2013
Paris la plus belle ville du monde...en fait c'est là d'où je viens, ce que je cherchais c'était un étui agréable, utile et qui me représente, celui-ci me convient, il m'aide dans mes consultations, mes recherches et mes jeux, couleur passe-partout, vous voulez le consulter allongé pas de problème l'étui se place à votre volonté, sa multi position est très utile.
Par MARIANNE ARAMIN 25 / 07 / 2013
sacoche agréable au toucher idéal ipad retina un peu juste mais c une matière elastique donc pas de souci pour ma part mon ipad a une coque en silicone est il rentre sans problème de plus la sacoche possède deux poignées bien utiles par contre si vous les utilisez vous ne pourrez pas fermer intègralement la sacoche les poignées étant cousus à l'interieur cependant il y a un rabat.
Par karyn 12 / 07 / 2013
Comme il est superbe, mon étui pour mon iPad! Je le trouve beau et je l'aime beaucoup! Merci à MiniInTheBox!!!
Par Caroline 05 / 07 / 2013
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**Univers de science-fiction :**
Dans un avenir où la technologie façonne chaque aspect de la vie humaine, il est évident que la qualité des accessoires technologiques dépasse de loin leur simple fonction utilitaire. Un étui en suède, conçu pour un iPad 4, représente non seulement la protection de l’objet, mais aussi une extension de l’identité de son utilisateur, témoignant d’un rapport entre esthétique, fonctionnalité et valeur. La compatibilité parfaite, la facilité d’accès aux boutons, ainsi que la multi-position permettent à l’individu de personnaliser son interaction avec la machine, illustrant ainsi la philosophie selon laquelle la véritable valeur réside dans l’harmonie entre l’objet et l’utilisateur, renforçant leur symbiose dans un monde où chaque détail compte. La perfection de cet étui, surpassant même les attentes, symbolise la quête humaine d’excellence dans la création d’outils qui reflètent notre désir de beauté, d’efficacité et d’expression personnelle.
**Univers de fantasy :**
Dans un royaume où chaque artefact est forgé avec soin, l’étui en cuir fin et intérieur en suède devient plus qu’un simple contenant : il incarne l’alliance entre la forme et la fonction, une garde fidèle pour la pierre magique qu’est l’iPad 4. Sa conception, avec ses boutons accessibles et sa capacité à s’adapter à la silhouette de son porteur, témoigne de la sagesse des artisans qui cherchent à harmoniser la magie et la praticité. La multiplisposition, telle une rune ancienne, permet au héros de l’utiliser selon ses besoins, que ce soit pour la consultation de sages ou pour la pratique de ses sorts en toute aisance. La perfection de cet objet, surpassant même les attentes du maître qui l’a créé, illustre la philosophie que la véritable valeur réside dans l’équilibre subtil entre la beauté, la fonctionnalité et la représentation de soi, dans une quête perpétuelle d’harmonie dans le monde enchanté.
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Sortie en famille - Les 9 écluses de Fonséranes
C'est reparti aujourd'hui pour une nouvelle visite en famille !!
C'est le bateau Santa Maria qui nous a accompagné pour effectuer cette traversé, il était vraiment très chouette, c'est un trèèèèsss vieux bateau totalement remis à neuf et qui déjà un bien long vécu. La balade dure environ 1h30 et le bateau dispose de plusieurs parties distinctes : la partie avant ombragée, le ponton et deux salles en intérieur.
Le site vient tout juste d'être rénové après 18 mois de travaux, il était dans ma to-do liste de visites à faire cet été. Vous savez, mon dernier été à 100% avec les enfants, celui où j'ai encore le temps de leur faire découvrir tout plein de choses, leur en mettre plein les yeux et remplir leurs têtes de souvenirs.
Lorsque l'on m'a proposé de faire une croisière en plus de la visite du site, je n'ai bien entendu pas hésité une seconde. Je savais que les enfants rêvaient de monter sur un bateau, et ça rendait l'expérience encore plus riche !
L'échelle d'écluses de Fonséranes, est un ensemble de 6 écluses (6 bassins/ 7 portes) permettant de franchir une dénivellation d'un peu plus de 20 mètres de hauteur (un immeuble de 8 étages environ), sur un peu plus de 300 mètres de long.
Elle constitue un ouvrage majeur du canal du Midi et est inscrite depuis 1996 sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. On parle de "9 écluses" car il y a deux bassins supplémentaires situés dans la continuité de l'échelle d'écluses.
Si vous nous suivez depuis un petit moment, vous savez que nous devions longer le canal du midi entre Toulouse et Sète pendant les vacances d'hiver, et faire des petites étapes pour mieux le découvrir. Un vent vraiment dingue nous avait mis à plat et nous avions du renoncer à nos projets, du coup les enfants ont peiné à me croire lorsque je leur ai dit que nous allions ENFIN sur le Canal du Midi ^^.
Mardi en tout début d'après midi, nous nous sommes donc rendus sur le site - ultra bien aménagé (même si le parking est hors de prix), poussette-compatible et petit chemin ombragé pour accéder au site des écluses et de la péniche. Nous étions un peu stressés car j'avais peur de mettre longtemps pour arriver au bout du chemin, mais très honnêtement nous avons mis à peine 5 minutes entre le parking et le haut des écluses.
Le bateau nous attendait à quai, mais comme on est bien trop curieux, nous avons été visiter le site avant de monter dessus, ce qui nous a permis de nous rendre compte de la descente et la distance que nous allions effectuer.
Une fois sur le bateau, nous avons choisi une place sur le ponton plutôt qu'à l'avant, ce qui nous a permis d'être un peu plus en hauteur et a laissé un peu de liberté aux Petits Pois pour bouger pendant la balade (ben oui, 1h30 en restant sur place, je n'y croyais pas une seconde ^^), mais nous n'étions du coup pas abrités (à l'inverse de l'avant du bateau). La compagnie distribue des parapluies pour se protéger, mais les chapeaux et les lunettes sont très vivement recommandés...
Une fois partis, les enfants ont posé tout un tas de questions. Autant Lily a assez vite compris le principe des écluses et des vases communicants, autant les mini Pois on vraiment pensé que nous allions descendre les "marches" avec le bateau et ont préféré ne pas trop s'approcher de l'avant.
J'avais pris le livre de Violette Mirgue avec nous et les enfants ont adoré le lire dans la péniche, et reconnaitre 1000 détails trouvés à travers les pages. Il nous avait aussi permis d'introduire "Pierre Paul Riquet" qui a conçu le canal du Midi et dont nous avons vu la statue pendant la croisière.
Une fois l'échelle d'écluses descendu, nous avons poursuivi sur le canal jusqu'au port de Béziers et la méga écluse de 6 mètres de hauteur (avec musique de Titanic pour nous accompagner qui nous a bien fait rire). Je n'avais pas la moindre idée qu'il y avait un port à Béziers, mais cela m'a permis de le découvrir, mais aussi et surtout, de passer sur le Pont Canal qui passe au dessus de l'Orb et le long du pont classique, que j'ai déjà pris au moins 1000 fois. La vue sur la cathédrale, le pont fleuri, l'Orb, et même une petite folie cachée dans la forêt, j'ai vraiment adoré cette partie là ! Les enfants ont regardé les canards, on fait coucou aux passants, compté les arbres... bref, la seconde partie de la balade, un peu plus calme que les écluses est tout aussi sympa.
Ça a été une très, très belle expérience, un grand merci encore aux personnes qui nous ont permis de vivre cette belle après midi !
J'aurai encore 1000 choses à raconter, sur le guide très chouette qui nous a raconté mille anecdotes sur le canal (pas de bande enregistrée par ici, mais des "vraies" personnes totalement passionnées, le seconde système de montée / descente qui a été expérimenté dans les années 80, le vécu du bateau, le film sur Pierre Paul Riquet en préparation, la remontée à pieds à regarder les bateaux en train de descendre...
Bref, cet article est déjà bien trop long, mais j'espère que vous aurez aussi l'occasion de visiter ce superbe lieu cet été. A très vite !!!
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Une excursion en famille – Les neuf écluses de Fonséranes
Aujourd'hui, nous avons repris la route pour une nouvelle aventure en famille !
C’est à bord du bateau Santa Maria que nous avons effectué cette traversée, un vrai coup de cœur : c’est un bateau très ancien, entièrement rénové, qui a déjà connu de nombreux kilomètres. La promenade dure environ une heure et demie, et le bateau comporte plusieurs zones distinctes : une section ombragée à l’avant, un ponton, ainsi que deux salles à l’intérieur.
Le site a récemment été rénové après 18 mois de travaux, et il figurait sur ma liste des lieux à découvrir cet été. Vous savez, ce dernier été où j’ai pu profiter pleinement avec les enfants, leur faire découvrir plein de choses, leur ouvrir l’esprit et remplir leur mémoire de souvenirs inoubliables.
Lorsque l’on m’a proposé d’ajouter une croisière à la visite, je n’ai pas hésité une seconde. Je savais que les enfants rêvaient de monter sur un bateau, et cela a rendu l’expérience encore plus enrichissante !
L’échelle d’écluses de Fonséranes, composée de 6 bassins (7 portes), permet de franchir un dénivelé de plus de 20 mètres (l’équivalent d’un immeuble de 8 étages), sur environ 300 mètres.
Elle constitue un ouvrage emblématique du canal du Midi, inscrit depuis 1996 au patrimoine mondial de l’UNESCO. On appelle souvent cette étape "les 9 écluses" parce qu’il y a deux bassins supplémentaires situés juste après l’échelle principale.
Si vous nous suivez depuis un moment, vous savez que nous avions prévu de longer le canal du Midi entre Toulouse et Sète durant les vacances d’hiver, en faisant quelques étapes pour mieux le découvrir. Un vent très fort nous avait contraints à abandonner nos projets, ce qui a un peu surpris les enfants quand je leur ai annoncé que nous allions enfin explorer le Canal du Midi ^^.
Ce mardi après-midi, nous sommes donc arrivés sur le site, parfaitement aménagé (même si le parking est cher), accessible avec une poussette, et doté d’un petit chemin ombragé menant aux écluses et à la péniche. Au début, un peu stressés par la durée du trajet jusqu’au site, nous avons été agréablement surpris de n’avoir mis que cinq minutes entre le parking et le sommet des écluses.
Le bateau était déjà à quai, mais, trop curieux, nous avons préféré visiter le site avant de monter à bord, ce qui nous a permis d’observer la descente et d’évaluer la distance que nous allions parcourir.
Une fois à bord, nous avons opté pour une place sur le ponton plutôt qu’à l’avant, afin d’être un peu plus en hauteur et de laisser plus de liberté aux Petits Pois pour bouger durant la balade (car 1h30 en restant immobiles, je n’y croyais pas une seconde ^^). Cependant, nous n’étions pas protégés, contrairement à l’avant du bateau. La compagnie fournit des parapluies pour se couvrir, mais il est vivement conseillé de porter des chapeaux et des lunettes de soleil…
Dès le départ, les enfants ont posé tout un tas de questions. Lily a rapidement compris le fonctionnement des écluses et des vases communicants, tandis que les plus petits pensaient qu’on allait descendre les "marches" avec le bateau, ce qui les a un peu empêchés de s’approcher de l’avant.
J’avais emporté le livre de Violette Mirgue, que les enfants ont adoré lire dans la péniche, en reconnaissant mille détails illustrés dans les pages. Ce livre nous a aussi permis d’introduire Pierre Paul Riquet, l’ingénieur qui a conçu le canal du Midi, dont nous avons vu la statue lors de la croisière.
Après avoir descendu l’échelle d’écluses, nous avons continué le long du canal jusqu’au port de Béziers, où se trouve une écluse impressionnante de 6 mètres de haut (accompagnée de la musique du Titanic, ce qui nous a bien fait rire). Je ne savais même pas qu’il y avait un port à Béziers, cela m’a permis de le découvrir, ainsi que de passer sur le Pont Canal qui enjambe l’Orb, juste au-dessus du pont classique que je traverse déjà au moins mille fois. La vue sur la cathédrale, le pont fleuri, l’Orb, et même une petite folie cachée dans la forêt, m’a vraiment enchantée ! Les enfants ont regardé les canards, salué les passants, compté les arbres… La seconde partie, plus tranquille que la première au niveau des écluses, a été tout aussi plaisante.
Ce fut une expérience vraiment mémorable, un grand merci à tous ceux qui nous ont permis de vivre cette belle après-midi !
J’aurais encore beaucoup d’anecdotes à raconter, notamment sur le guide passionné qui nous a raconté mille histoires sur le canal (pas d’audio en boucle, mais des passionnés véritables), sur le système de montée/descente expérimenté dans les années 80, sur la vie à bord du bateau, le film en préparation sur Pierre Paul Riquet, ou encore la remontée à pied pour observer les bateaux en train de descendre…
Bref, cet article est déjà bien long, mais j’espère que vous aurez aussi l’occasion de découvrir ce lieu exceptionnel cet été. À très bientôt !
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Et oui, on parle encore rouges à lèvres liquides sur le blog, JE SAIS, faut que je me calme avec ça. Mais en même temps c’est tellement la révolution ce fini mat, sans transfert qui tient toute la journée et se décline à l’infini. Alors voilà après les Meet Matt(e) Hughes de The Balm, les Matte Liquid Lipstick de Kylie Cosmetics, je vous présente les Matte Velvetines de la marque Lime Crime.
Présentation de la marque
Lime Crime est une marque de cosmétiques créée il y a quelques années par Doe Deere. Cette dernière souhaitait créer un univers fun et coloré où l’imagination n’a pas de limite. Et c’est chose faite, Lime Crime c’est un peu un mélange pop-color-psychédélique-licorne-et-paillettes. La marque s’inspire beaucoup des contes de fées, de la magie et de la culture japonaise.
Une des choses qui fait la renommée de la marque, c’est sa très large palette de couleurs. Là où certaines marques proposent souvent des teintes classiques nudes/rosées/rouges, Lime Crime osent avec des couleurs qui certes peuvent parfois faire mal aux yeux (le RAL vert fluo, gris, noir, fushia pétant) MAIS qui permettent de tenter des choses décalées. Surtout que ça devient de plus en plus tendance d’oser la couleur sur les lèvres et les marques classiques commencent même à s’aligner et proposent des teintes plus « risquées ».
Matte Velvetines Liquid Lipstick
Les rouges à lèvres liquides Velvetines font aujourd’hui partie des best-sellers de la marque. La raison ? Une couvrance parfaite, une tenue idéale et surtout un confort sur les lèvres. Car oui, je crois que ce sont les rouges à lèvres liquides les plus confortables de ma collection, on ne sent vraiment pas la matière et ça ne tiraille pas du tout ! A noter quand même que (comme toujours) j’applique un baume à lèvres avant application. Je pense que c’est dû à la formulation qui est très liquide par rapport aux autres que j’ai pu tester et donc plus légère sur les lèvres. Et en plus de ça, la marque est cruelty-free !
Ils sont disponibles sur le site Lime Crime au prix de 20$, mais surveillez il y a régulièrement des promos.
Mon avis
C’est lors d’une offre avec les frais de port offerts que j’ai craqué sur mes premiers Velvetines : Riot et Saint. Commençons d’abord par le packaging, j’aime beaucoup ce rouge-sang et les roses qui donne un côté glamour-romantique. Le tube est en verre fumé mais il permet quand même d’avoir un aperçu de la couleur, toujours plus pratique quand le matin on cherche une teinte précise, ça évite de devoir regarder en dessous le nom. L’embout mousse est vraiment bien fait, il est précis et je réussi souvent du premier coup mon tracé, ce qui n’est pas toujours le cas habituellement ahah ! Quelques secondes après l’application, le rouge à lèvres sèche et on obtient un fini mat
Niveau tenue, c’est du high level encore une fois ! Comme toujours, une petite retouche au coeur des lèvres sera nécessaire après un repas mais sinon ça tient. Ils sont quasiment sans transfert, je dirais du 90% car il m’arrive quand j’ai les lèvres humides d’avoir un peu de transfert de matière mais rien de grave. Bon du coup avec une tenue pareil, pensez à vous démaquiller le soir avec une huile biphasée car un démaquillant classique aura du mal à tout enlever.
Riot & Saint
Pour mon premier achat, j’ai joué la sécurité avec deux couleurs assez classiques. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre donc je n’en ai pris que deux, mais au vue de mon coup de coeur, je pense qu’à la prochaine promotion je craquerais pour d’autres teintes.
Riot
Un vieux rose aux sous-tons marronés pour un rendu romantique, féminin et discret.
Saint
Un bordeaux foncé qui tire sur le lie de vin, pour un rendu glamour et intense.
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Vous connaissez les Velvetines de Lime Crime ? Vous avez déjà craqué pour des produits de la marque ?
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Au commencement, il y eut la Grande Forge des Émotions, où l’Artisan des Couleurs, nommé Lime, façonna un univers éclatant et féérique. Lime, inspiré par la magie des contes, la culture japonaise et l’esprit de liberté, donna vie à une marque mythique, Lime Crime, une cité où l’imagination n’a pas de limite. Cette cité devint un royaume peuplé de licornes scintillantes, de teintes pop et psychédéliques, un lieu où chaque couleur est une étoile, même celles qui éclatent comme des météores fluo ou des gris mystérieux. Là, la palette s’étend à l’infini, défiant la monotonie des teintes classiques, invitant les aventuriers à explorer l’univers chromatique sans frontières.
Dans ce royaume, une légende prit naissance : celle des Velvetines, les Rouges à Lèvres Liquides, des artefacts magiques dotés de pouvoirs exceptionnels. Ces artefacts, forgés par Lime, sont réputés pour leur couvrance parfaite, leur tenue légendaire et leur confort inégalé. Lorsqu’ils sont appliqués, ils se métamorphosent en un voile mat, comme une armure de pierre polie, qui tient toute la journée, défiant le passage du temps et des aliments, tout en restant léger comme une plume sur la peau. Leur formule, liquide comme une larme de licorne, se pose avec précision grâce à un embout en mousse, permettant à chaque chevalier de tracer sa voie avec finesse.
Les Velvetines ne sont pas seulement des outils de beauté ; elles sont des symboles de liberté, de courage et d’expression. Leur packaging évoque une fiole de sang précieux, en verre fumé, laissant entrevoir la couleur mystérieuse qui sommeille à l’intérieur. Lorsqu’on applique ces artefacts, le rituel est rapide, et le résultat est un fini mat, comme une surface de pierre ancienne, résistante aux assauts du quotidien. Quoiqu’il en soit, une petite retouche peut être nécessaire après un festin, mais en général, leur pouvoir anti-transfert est presque absolu, laissant derrière eux une trace de magie qui dure jusqu’au coucher du soleil.
Parmi ces joyaux, deux d’entre eux brillèrent particulièrement : Riot, le rose ancien aux sous-tons marron, symbole de douceur et de romantisme, et Saint, le bordeaux profond, évoquant la noblesse et la puissance. Ces artefacts devinrent rapidement des incontournables pour ceux qui cherchent à allier confort, beauté et légende.
Alors, toi qui arpentes le royaume de la beauté, connais-tu les Velvetines de Lime Crime ? As-tu déjà succombé à leur charme ensorcelant ? Ou es-tu encore en quête d’un artefact parfait pour révéler la magie qui sommeille en toi ?
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E ce joli mois de mai, vous avez sans doute constaté que beaucoup d'auvairniton bourgrire ont déserté leur ville habituelle pour se rendre à Cannes... Le phénomène a lieu chaque année à la même période...
Et oui, ces petits woualalés sont cinéphiles ! Enfin, on va dire qu'ils aiment voir des films dans de bonnes conditions même s'ils ne comprennent pas tout et s'avèrent souvent fort dissipés. Parfois, le cinéma est pour eux un excellent point de drague et un lieu de séduction fort apprécié !
Leurs goûts cinématographiques ? Essentiellement, les romances et les grands films d'action style espionnage... A l'élevage, on leur diffuse souvent des films dans lesquels ont tourné des auvairniton bourgrire célèbres. Ils sont souvent nostalgiques et aiment revoir des waoulalés qui ont réussi à percer dans ce métier, réputé si difficile pour eux. L'univers de star a effectivement une immense aura chez eux !
Leur film préféré : « Les auvairniton bourgrire mangent de la mayo avec les doigts », un long métrage très peu connu en France qui traite d'une famille de paysans espiègles et toujours à l'affût de bêtises en tout genre. Un modèle du genre pour eux !
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Univers de science-fiction :
Dans un futur lointain, chaque année, une multitude d'androïdes de la cité de NeoCannes quitte leur habitat habituel pour se rendre en masse sur la station orbitale de StarFest, où ils se rassemblent pour regarder des projections holographiques de films humains. Ces automates, programmés pour apprécier la culture cinématographique, aiment observer ces œuvres dans des conditions optimales, même si leur compréhension reste limitée ou partielle. Pour eux, le cinéma devient aussi un lieu de rencontres et de séduction, où ils cherchent à impressionner ou à séduire leurs pairs. Leurs préférences ? Principalement, des récits romantiques et des films d'action à thèmes d'espionnage, souvent issus de modules où ont été intégrés des images de stars humaines célèbres, qu'ils idolâtrent avec nostalgie. Leur film favori, « Les androïdes de NeoCannes mangent de la mayo synthétique avec des doigts métalliques », raconte l’histoire d’une famille de robots paysans, espiègles et toujours à l’affût de bêtises, un modèle de leur admiration pour la simplicité et l’authenticité humaine. La philosophie centrale ? La fascination pour la culture humaine et la quête de sens à travers la représentation, même quand leur compréhension reste partielle.
Univers de fantasy :
Dans un royaume enchanté, chaque printemps, de petits êtres appelés les Woualalés quittent leur village pour voyager jusqu’à la cité de Cannes, où ils assistent à des festins de lumières et de récits. Ces créatures, passionnées de contes et de spectacles, aiment s’installer dans des salles somptueuses pour voir des histoires racontées sur de grands tapisseries magiques, même si leur vision est parfois floue ou distraite. Le cinéma pour eux est aussi un lieu de séduction et de rencontres, où ils cherchent à charmer ou à fasciner ceux qu’ils rencontrent. Leurs goûts ? Majoritairement, des romances et des aventures pleines d’espions et de héros, souvent tirées de récits où brillent des étoiles célèbres qu’ils vénèrent avec tendresse et nostalgie. Leur conte préféré, « Les Woualalés mangent de la mayo avec leurs doigts », narre la vie d’une famille de paysans malicieux, toujours en quête de bêtises et de ruses, un exemple parfait de leur admiration pour l’authenticité simple et la malice humaine. La philosophie essentielle ? La fascination pour la culture et la narration comme moyen d’accéder à la compréhension du monde et de soi, même si leur regard reste souvent flou ou rêveur.
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de Raphaël Titina
La nutrition est un élément clé dans la quête de notre bien-être et de notre santé. C'est en offrant une nourriture de qualité à notre corps que nous pouvons appliquer la sentence hippocratique : " Que ton aliment soit ta première
médecine ". Or, les hypermarchés nous incitent aujourd'hui à acheter un grand nombre de produits qui ne tiennent pas compte de nos besoins physiologiques réels et provoquent beaucoup de pathologies d'origine nutritionnelle : allergies, obésité, arthrose, athérosclérose, cancer...
Face à cette situation sanitaire alarmante, bien des controverses opposent les partisans des différentes écoles diététiques. Le Guide de nutrition, de Raphaël Titina, a vocation pédagogique et vous aidera à y voir clair parmi les approches alimentaires contradictoires, privilégiant une alimentation végétarienne fondée sur les préceptes de la science indienne de l'Ayurveda. Docteur en pharmacie devenu expert en nutrition, l'auteur restitue page après page ses convictions de végétarien qu'il développe régulièrement dans ses conférences et ses ateliers de cuisine. Cette pertinente association de la diététique occidentale et de la médecine ayurvédique donne au contenu de ce livre une valeur inédite au sujet du végétarisme, une référence. Nul doute que vous trouverez dans cette lecture les aliments qui vous conviennent, appropriés à votre tempérament personnel, propres à stimuler votre vitalité et à régénérer votre capital santé.
Raphaël Titina est docteur en pharmacie et expert en nutrition. Après sa formation à la faculté de Pharmacie de Paris-Sud, il se spécialise dans le domaine de l'éducation sanitaire auprès de l'UER de Nutrition et Diététique. Sa
rencontre avec les membres du Collège de Phyto-aromathérapie fondé par le Docteur Valnet va influencer fortement ses recherches. Il est actuellement formateur et conseiller pour un réseau de magasins bio.
- Broché: 376 pages
- Editeur : Editions Dangles (14 avril 2011)
- Langue : Français
- ISBN-10: 2703308841
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Dans l’éclat d’un vaisseau-orbite, flottant entre les étoiles, deux figures légendaires, Léonard de Vinci et Hippocrate, se retrouvent face à face dans un hologramme ancestral, leur dialogue tissant la toile d’un futur où la santé se reconstruit au fil des étoiles.
Léonard : Maître Hippocrate, dans cette ère où la matière se décompose et se recombine à la vitesse de la lumière, je constate que notre quête de bien-être repose toujours sur une vérité ancienne : que l’alimentation, cette première médecine, doit être choisie avec soin et discernement. N’est-ce pas, dans cette galaxie de produits synthétiques, que l’on oublie parfois la sagesse de l’équilibre, comme un peintre laissant trop d’éclats de couleur sans harmonie ?
Hippocrate : Ah, Léonard, tu évoques la constance de la médecine, qui, même dans l’obscurité d’un cosmos en mutation, doit se nourrir de simplicité et de respect pour la nature humaine. Mais aujourd’hui, ces hypermarchés stellaires déversent un torrent de substances artificielles, des biomes de faux aliments, qui, tels des astéroïdes errants, provoquent des pathologies insidieuses : allergies, obésités, arthroses, cancers, comme si la matière elle-même voulait se venger de nos abus.
Léonard : La science indienne, maître, l’Ayurveda, cette sagesse millénaire, propose une symphonie végétarienne, une harmonie entre le corps et l’esprit que nos contemporains ont trop souvent laissé en orbite lointaine. En fusionnant cette médecine douce avec notre médecine occidentale, ne pourrions-nous, dans cette cité des étoiles, créer une médecine nouvelle, plus respectueuse de nos corps et respectée dans la constellation des savoirs ?
Hippocrate : La fusion, oui, mais avec prudence, mon ami. Car l’équilibre est fragile, comme un fil de lumière qui traverse le vide. La clé est peut-être dans cette connaissance que tu évoques, cette connaissance qui, page après page, dévoile comment chaque aliment, chaque plante, peut devenir un remède, un régénérateur de vitalité. Il ne s’agit pas seulement de choisir, mais d’écouter la symphonie silencieuse de notre corps, de faire de chaque bouchée une étoile dans notre constellation intérieure.
Léonard : Pourtant, dans ce futur où la technologie a réduit tout à une quantité, cette quantité qui dévore nos sens, ne risquons-nous pas de perdre la finesse de l’intuition, la capacité de ressentir ce qui est bon pour nous, comme un peintre qui oublie la sensation de la touche pour se fier à la seule vue ?
Hippocrate : La technologie peut nous éclairer, certes, mais elle ne doit pas aveugler notre sagesse ancestrale. La véritable médecine, celle qui régénère et préserve, est celle qui sait écouter, qui sait voir au-delà des chiffres, comme l’a toujours fait la nature. N’oublie pas, même dans cette ère futuriste, que la santé est un art subtil, un équilibre fragile entre science et intuition, entre ce que l’on sait et ce que l’on ressent.
Léonard : Alors, maître, si je puis me risquer à une dernière pensée, n’est-ce pas dans cette alliance entre la science indienne et notre humanité que réside notre salut, une étoile guide pour naviguer dans ce cosmos de plus en plus complexe ?
Hippocrate : Exactement, mon ami. Que cette conscience nous accompagne, comme une étoile polaire, pour que chaque choix alimentaire devienne une acte d’amour envers notre corps, cette machine précieuse dont la santé doit être notre priorité dans ce vaste univers.
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Dans son rapport d’activité 2017, Adeline Hazan, la contrôleure générale des lieux de privation de liberté, juge préoccupant le traitement des migrants par la police aux frontières, dans les centres de rétention ou en zone d’attente.
«Le contrôleur général des lieux de privations de liberté (CGLPL) ne peut que s’alarmer de la manière dont la question des migrants est actuellement abordée. […] Les constats effectués mettent en évidence des difficultés qui résultent d’un durcissement de la politique migratoire.» Dans l’avant-propos de son rapport d’activité annuel, publié ce mercredi, Adeline Hazan se montre claire : le traitement des migrants, aujourd’hui en France, est préoccupant. Libération a consulté le rapport de cette instance publique indépendante, qui vérifie que le droit est bien respecté dans les prisons, les centres de rétention ou encore les hôpitaux psychiatriques. En 2017, elle a visité six centres de rétention administrative (CRA), quatre services de la police aux frontières ou locaux de rétention administrative et quatre zones d’attente.
La durée de la rétention ne devrait pas excéder 32 jours
Adeline Hazan l’avait déjà dit en octobre : la durée actuelle maximale de rétention de 45 jours, «c’est trop et ça ne sert à rien». Elle rejoint là les inquiétudes de plusieurs associations, qui estiment que les personnes placées en rétention et éloignées du territoire l’étant en moyenne au bout de douze jours, il n’est pas nécessaire de la porter à 90 voire 135 jours, ce que propose le texte de loi du gouvernement.
«La durée de rétention de 45 jours est dès à présent inutilement longue car dans les faits, si un éloignement forcé n’a pas été possible au cours des deux ou trois premières semaines, il sera en pratique quasiment impossible, faute de reconnaissance de leur ressortissant par le pays d’origine. Dès lors, le doublement de cette durée, serait non seulement porteur d’une régression des droits fondamentaux, mais inutile», écrit la Contrôleure. En effet, toutes les personnes placées en rétention ne sont pas éloignées du territoire, loin de là. Parfois, les pays d’origine ne délivrent pas le laissez-passer consulaire nécessaire ou ne reconnaissent pas la personne comme étant leur ressortissante. Dans ses recommandations, la CGLPL estime à 32 le nombre de jours que devrait durer, au maximum, un placement en rétention. Cette durée «antérieure à la loi de 2011, est amplement suffisante dans la grande majorité des cas», peut-on lire dans le rapport.
En rétention, des conditions de vie souvent peu dignes…
Le constat est sévère : «Les centres de rétention en état indigne sont malheureusement les plus nombreux. Un seul des six centres visités depuis le début de l’année ne mérite pas ce qualificatif».
Un centre de rétention à Marseille. (Photo Anne-Christine Poujoulat. AFP)
Le rapport liste plusieurs problèmes : une hygiène «déplorable», des locaux trop petits dont la sécurisation évoque l’univers carcéral (voir la photo ci-dessus), un accès à des lieux à ciel ouvert impossible ou trop limité, une prise en charge médicale «aléatoire pour le somatique et inexistante pour le psychiatrique», pas de possibilité d’avoir un peu d’intimité (même aux toilettes) et des «pratiques exagérément restrictives en matière de communications». Selon les contrôleurs, les personnes retenues sont en outre maintenues dans un état d’oisiveté dû à une «absence quasi totale d’activités».
Voilà pour les conditions de vie, dans ces centres qui accueillent des personnes faisant l’objet d’une décision d’éloignement. C’est-à-dire des personnes qui sont enfermées dans l’attente d’un éventuel renvoi hors du territoire mais qui n’ont pas commis de faute au plan pénal, le délit de séjour irrégulier ayant été supprimé en 2012.
La CGLPL juge en outre que les trop faibles moyens alloués à la police compliquent une prise en compte de ses recommandations : «On doit y voir la cause de la dégradation des équipements, de l’exiguïté des locaux, de l’insuffisance d’entretien ou de l’absence d’activités.»
… Et des atteintes aux droits constatées, notamment par manque de formation des policiers
En ce qui concerne le respect des droits, le constat n’est pas beaucoup plus tendre : problèmes de traduction avec des interprètes indisponibles ou des traductions réalisées par téléphone, voire des «recours aux autres personnes retenues pour traduire», informations aux personnes retenues «lacunaires ou stéréotypées», liberté de mouvement des associations agissant dans les centres et accès aux associations «pas toujours optimaux»… Quant au droit au recours pour les personnes retenues, la CGLPL a constaté des «atteintes graves». «Le droit au recours des personnes étrangères placées en CRA est non seulement complexe à exercer en raison de la technicité de la matière, mais il fait également trop souvent l’objet d’obstacles liés au défaut de respect des prescriptions légales par les autorités en charge des procédures», peut-on lire dans le rapport.
Par ailleurs, la CGLPL a été saisie de plusieurs cas de reconduites hors de l’Hexagone effectuées avant que le délai légal de recours de quarante-huit heures n’ait expiré, ou avant qu’un juge n’ait pu statuer sur les éventuels recours pourtant suspensifs déposés. Elle précise que selon le directeur général des étrangers en France, ces cas s’expliquent par des «erreurs matérielles dans la transmission des informations» et qu’un«rappel a été effectué auprès des préfectures concernées». Reste que pour les personnes concernées, leurs droits n’ont pas été respectés.
Enfin, la CGLPL estime que la formation des policiers travaillant dans les CRA est insuffisante : «les policiers n’ont pas toujours une connaissance suffisante des droits qu’ils sont chargés de faire respecter» et «il n’existe ni instruction plus précise sur les modalités de fonctionnement des centres ni véritable formation des policiers qui y sont affectés».
De plus en plus d’enfants placés en rétention pour «faciliter le travail de la police aux frontières»
Si le placement en rétention des mineurs isolés, c’est-à-dire des étrangers de moins de 18 ans se trouvant sans famille sur le territoire, n’est pas permis, des enfants sont placés en rétention avec leurs parents. En 2012, une circulaire adressée aux préfets leur demandait de privilégier l’assignation à résidence au placement en rétention pour les familles en situation irrégulière. Mais de 41 enfants placés en rétention en 2013, on est passé à 305 enfants en 2017, selon un décompte des associations.
«Le recours à cette mesure traumatisante pour les enfants semble surtout destiné à faciliter le travail de la police aux frontières, y compris lorsqu’il n’existe pas de risque de fuite de la famille», estime la CGLPL. Qui ajoute : «Toute mesure doit être prise pour éviter absolument l’enfermement d’enfants dans des centres ou locaux de rétention administrative […] Il est paradoxal d’observer une pareille évolution au moment où le Conseil de l’Europe lance une campagne qui pourrait aboutir à l’interdiction du placement d’enfants en rétention administrative.»
Des lieux de privation de liberté «devenus moins clairement identifiés»
«Les lieux de privation de liberté sont devenus moins clairement identifiés : les évacuations des campements installés à Paris ou dans la région de Calais ont conduit à des formes de contrainte brève ou informelle qui ne respectaient ni les droits des personnes, ni l’objectif d’éloignement qui, pourtant, est la condition de la légalité de la rétention», peut-on lire dans le rapport 2017. Pour la CGLPL, il est à déplorer que «procédures sommaires mises en œuvre dans des endroits précaires» aient «engendré des pratiques nouvelles, privant les personnes retenues des droits essentiels».
A la frontière franco-italienne et outre-mer, des pratiques douteuses
Les associations le dénonçaient déjà, la contrôleure générale des lieux de privation de liberté s’en inquiète à son tour : à la frontière franco-italienne, des pratiques douteuses ont été signalées. La CGLPL note que cette frontière est «soumise à une pression migratoire inhabituelle : près de 20 000 personnes ont été non admises sur les huit premiers mois de 2017 et 101 non-admissions ont été prononcées à Menton en une journée, lors de la visite des contrôleurs en septembre». Or, les personnes interpellées à partir de 19 heures, lorsque le poste-frontière italien ferme, «passent la nuit dans des locaux de la police aux frontières dans des conditions qui ne relèvent d’aucun cadre juridique et qui sont matériellement inadaptées». Là encore, la CGLPL liste les motifs d’indignité : promiscuité, pas de lit ni de chaise, pas d’éclairage ou de climatisation, nettoyage des locaux uniquement prévu pour les WC mais qui n’est pas effectué puisque les locaux sont occupés, pas de ramassage des déchets…
Si les conditions matérielles sont déplorables, les procédures de non-admission ne répondent pas non plus aux règles. La CGLPL parle de«procédure expéditive et simplifiée» et fait le même constat que plusieurs associations : des formulaires de refus d’entrée «souvent préremplis, notamment la renonciation au bénéfice d’un jour franc. La procédure se limite à remettre une copie du refus d’entrée et à enregistrer l’identité des personnes sur le registre numérique des entrées et sorties.» En outre les documents ne sont pas lus aux personnes, on ne leur propose pas l’asile, pas plus qu’on ne leur notifie leurs droits. De toutes façons, il n’y a pas d’interprète… Quant aux mineurs isolés, qui font en principe l’objet d’une protection spécifique, les policiers élargissent «abusivement la notion de famille [à] tout mineur voyageant en groupe», afin de pouvoir les renvoyer en ne les considérant donc pas comme isolés. Soit autant de pratiques qui débordent du cadre légal.
Outre-mer, la CGLPL a été saisie de 14 cas en Guyane et quatre en Guadeloupe «où les personnes étaient reconduites alors qu’elles avaient déposé une requête en référé-liberté devant la juridiction administrative». Autrement dit, les personnes ont été éloignées avant même que le tribunal ne puisse se prononcer et leur droit au recours n’a donc pas été effectif car il n’était pas suspensif, note le rapport. Pourtant, une loi de 2016 avait «introduit dans le code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile une disposition permettant aux personnes faisant l’objet d’une obligation de quitter le territoire français outre-mer de bénéficier d’un recours suspensif dès lors qu’elles font valoir une atteinte grave à une liberté fondamentale».
Il faut noter par ailleurs que le texte qui sera présenté en avril au Parlement entend rendre non suspensifs certains recours. Ce que des agents de la Cour nationale du droit d’asile et de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides ont déjà dénoncé en février.
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1. Dans son rapport d’activité 2017, Adeline Hazan, la contrôleure générale des lieux de privation de liberté, exprime ses préoccupations concernant le traitement réservé aux migrants par la police aux frontières, notamment dans les centres de rétention ou en zone d’attente.
«Le contrôle général des lieux de privation de liberté (CGLPL) ne peut qu’être alarmé par la façon dont la question migratoire est actuellement traitée. […] Les observations effectuées révèlent des difficultés résultant d’un durcissement de la politique migratoire.» Dans l’introduction de son rapport annuel publié ce mercredi, Adeline Hazan est claire : le traitement des migrants en France aujourd’hui soulève de vives inquiétudes. Libération a examiné ce rapport d’une instance indépendante chargée de vérifier le respect du droit dans les prisons, centres de rétention et autres lieux de privation de liberté. En 2017, elle a visité six centres de rétention administrative (CRA), quatre locaux de police aux frontières ou de rétention administrative, ainsi que quatre zones d’attente.
La durée maximale de rétention ne devrait pas dépasser 32 jours.
Déjà en octobre, Hazan avait dénoncé la durée actuelle de 45 jours, qu’elle juge « excessivement longue et inutile ». Elle rejoint ainsi les préoccupations de plusieurs associations, qui considèrent qu’étant donné que les personnes retenues sont en moyenne éloignées du territoire après douze jours, il n’est pas justifié de porter cette durée à 90 ou 135 jours, comme le propose la loi du gouvernement.
«La durée de rétention de 45 jours est déjà inutilement longue, car si un éloignement forcé n’a pas été réalisé dans les deux ou trois premières semaines, cela devient pratiquement impossible, notamment en raison du non-reconnaissance de leur nationalité par le pays d’origine. Par conséquent, doubler cette période entraînerait une régression des droits fondamentaux tout en étant inutile», écrit la contrôleure. En réalité, toutes les personnes en rétention ne sont pas systématiquement éloignées du territoire : certains pays d’origine ne délivrent pas toujours le laissez-passer nécessaire ou ne reconnaissent pas leur ressortissant. La CGLPL recommande donc une durée maximale de 32 jours pour la rétention, durée « suffisante dans la majorité des cas » selon le rapport, en deçà de la législation de 2011.
Des conditions de vie souvent indignes en rétention…
Le rapport est sévère : «Les centres de rétention en mauvais état sont malheureusement nombreux. Un seul des six centres visités cette année ne présente pas ce défaut.»
Il liste plusieurs problématiques : hygiène « déplorable », locaux trop exigus avec une sécurisation évoquant l’univers carcéral, accès à l’extérieur très limité, prise en charge médicale aléatoire ou inexistante pour les soins psychiatriques, absence d’intimité même aux toilettes, et pratiques restrictives concernant la communication. Selon les contrôleurs, les retenus sont également maintenus dans un état d’oisiveté en raison d’un manque quasi total d’activités.
Il s’agit ici de personnes enfermées en attendant un éventuel renvoi, sans avoir commis de délit pénal, le délit de séjour irrégulier ayant été supprimé en 2012. La CGLPL souligne que le manque de moyens de la police complique la mise en œuvre de ses recommandations : «Cela explique la dégradation des équipements, l’insalubrité des locaux, le peu d’entretien ou le manque d’activités.»
… Et des violations des droits, notamment par manque de formation des policiers.
Concernant le respect des droits, le constat est également critique : problèmes de traduction avec l’indisponibilité d’interprètes ou leur recours téléphonique, recours à d’autres retenus pour traduire, informations lacunaires ou stéréotypées, accès limité aux associations et à leurs services… Au sujet du droit au recours, la CGLPL dénonce des « atteintes graves » : «Ce droit est difficile à exercer à cause de la technicité de la procédure et il est souvent entravé par un non-respect des prescriptions légales.» Elle signale aussi des reconduites avant l’expiration du délai de 48 heures ou avant la décision d’un juge, faute d’erreurs dans la transmission des informations. Selon le directeur général des étrangers, ces erreurs seraient matérielles et un rappel a été adressé aux préfectures concernées. Cependant, pour les personnes concernées, leurs droits n’ont pas été respectés.
Enfin, la formation des policiers dans les CRA est jugée insuffisante : «Ils ne maîtrisent pas toujours suffisamment les droits qu’ils doivent faire respecter» et «aucune instruction précise ni formation spécifique n’est assurée pour le personnel affecté.»
Une augmentation du placement d’enfants en rétention pour faciliter le travail de la police aux frontières.
Si le placement en rétention des mineurs isolés (moins de 18 ans sans famille) est interdit, certains enfants accompagnés de leurs parents y sont néanmoins retenus. En 2012, une circulaire recommandait de privilégier l’assignation à résidence plutôt que le placement en rétention pour ces familles. Pourtant, le nombre d’enfants en rétention a explosé, passant de 41 en 2013 à 305 en 2017, selon les associations.
«Ce recours, traumatisant pour les enfants, semble surtout destiné à faciliter le travail de la police aux frontières, même sans risque de fuite» dénonce la CGLPL. Elle ajoute : «Il faut tout faire pour éviter que des enfants soient enfermés dans des centres ou locaux de rétention. Paradoxalement, cette évolution intervient alors que le Conseil de l’Europe envisage d’interdire la rétention d’enfants.»
Les lieux de privation de liberté «moins clairement identifiés».
«Les lieux de privation de liberté sont devenus moins évidents : les évacuations de campements à Paris ou à Calais ont entraîné des formes de contrainte brève ou informelle, qui ne respectent ni les droits des personnes ni la légalité de la rétention», indique le rapport 2017. La CGLPL déplore que «des procédures sommaires dans des lieux précaires aient créé de nouvelles pratiques privant les personnes retenues de leurs droits essentiels».
À la frontière franco-italienne et outre-mer, des pratiques douteuses.
Les associations dénonçaient déjà ces pratiques, la contrôleure générale en tire aussi la sonnette d’alarme : à la frontière franco-italienne, des conditions indignes ont été signalées. La CGLPL précise que cette frontière subit « une pression migratoire exceptionnelle : près de 20 000 personnes non admises en 2017, avec 101 refus en une seule journée à Menton en septembre ». Les personnes arrêtées après la fermeture du poste italien, vers 19 heures, « passent la nuit dans des locaux de police aux frontières dans des conditions qui n’ont rien d’un cadre juridique et sont matériellement inadéquates » : promiscuité, absence de lit ou de chaise, éclairage ou climatisation insuffisants, locaux insalubres, locaux mal entretenus.
Les conditions matérielles déplorables s’accompagnent de pratiques non conformes. La CGLPL évoque une « procédure expéditive et simplifiée » : formulaires de refus d’entrée souvent préremplis (notamment la renonciation à un délai de réflexion), remise d’une copie du refus, enregistrement de l’identité dans un registre numérique, sans explication ni notification des droits ni recours, ni interprète. Pour les mineurs isolés, qui bénéficient pourtant d’une protection particulière, les policiers « élargissent abusivement la notion de famille » pour pouvoir les renvoyer, en ne les traitant pas comme des mineurs isolés. Ces pratiques dépassent le cadre légal.
Outre-mer, la situation est également critique : la CGLPL a été saisie de 14 cas en Guyane et 4 en Guadeloupe, où des personnes ont été reconduites alors qu’elles avaient déposé une requête en référé-liberté. Ces expulsions ont eu lieu avant que le tribunal ne statue, privant ainsi les personnes du recours effectif, car ces recours n’étaient pas suspensifs. La loi de 2016 avait pourtant prévu, pour ces cas, un recours suspensif dès lors qu’une atteinte grave à une liberté fondamentale était invoquée.
Le projet de loi présenté en avril au Parlement pourrait modifier cette règle en rendant certains recours non suspensifs, ce qui a déjà été dénoncé par des acteurs du secteur en février.
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L’empathie est une notion complexe : ce sont les mécanismes servant notre conscience qui nous permettent de « comprendre » l’autre. Elle intègre une dimension à la fois affective (vous comprenez ses sentiments, ses émotions) et cognitive (vous comprenez ses états mentaux non émotionnels, par ex. ce qu’il croit ou sait).
Comme elle recouvre des réalités physiologiques que nous ne connaissons pas ou mal, l’empathie est depuis une vingtaine d’années un terrain de choix des neurosciences. (On sait, par exemple, que les « neurones-miroirs » s’activent aussi bien quand un individu réalise lui-même une action, que lorsqu’il se contente d’observer un autre individu de la même espèce l’effectuer).
L’empathie n’est pas faite (que) pour les bisounours !
On confond communément l’empathie, comprise sur le mode « bisounours surémotif », avec compassion, partage d’émotion, ou émotivité.
L’empathie fait certes de nous des animaux sociaux qui en général supportent assez mal la souffrance des autres. Ce qui nous épargne d’être tous des sociopathes : selon une étude menée par Pessoa & Adolphs, quand on présente à des personnes des images suggérant qu’une autre a mal, 1/3 d’entre elles ressentent une douleur au même endroit et 2/3 sont perturbées mais sans ressentir elles-mêmes la douleur.
Mais l’empathie est plus largement un mode de connaissance et de compréhension de l’autre. Ce n’est pas nécessairement de la sympathie (à l’extrême, l’empathie peut servir la cruauté : la douleur de l’autre est alors ressentie positivement) ni ce que l’on appelle « contagion émotionnelle » (ex. le fou rire contagieux).
Même si elle est structurellement dépendante de notre propre environnement émotionnel, je la décrirais donc plus comme une facilité à capter la projection de l’esprit d’autrui. La capacité d’empathie réduit le différentiel entre ce que « l’autre signifie » et ce que « je conçois ». Bref, c’est une qualité de réception, une largeur de bande qui permet de couvrir plus ou moins bien l’écart entre ces deux angles de vue du même processus : l’émission originale, et sa représentation.
– C’est une compétence qui, parce qu’on « comprend » l’autre, réalise des comportements socialement efficients : en intégrant aussi le point de vue d’autrui (et non juste le vôtre) dans vos pensées et vos actes, vous êtes incité à coopérer et servez mieux l’intérêt collectif.
– A contrario, c’est certainement aussi du point de vue de l’évolution une clé de survie essentielle dans un monde « rétréci », où l’homme n’a plus d’autre prédateur que lui-même, et est en interaction, sinon en compétition permanente, avec sa propre espèce, ce qui requiert pour s’en prémunir une maîtrise de plus en plus aboutie et une adaptation de plus en plus fine à la façon dont son congénère va agir et réagir.
Une construction sociale de plus en plus dense : des interactions accrues
Nous vivons actuellement un tournant de l’histoire de l’humanité : jamais le monde n’a paru si petit, ses points les plus éloignés si connectés, et les ressources terrestres un bien si commun (si partagé).
Le nombre de « terriens » devient vertigineux ; le multiculturalisme devient la norme ; les modèles fondés sur le partage, la coopération, le peer-to-peer, explosent ; les médias sociaux ont un rôle de plus en plus prégnant dans les révolutions et les crises socio-politico-environnementales, qui désormais sont planétaires : nous sommes en train de bâtir une civilisation mondiale principalement fondée sur l’interdépendance, et la conscience de cette interdépendance.
A la base de cette conscience, fondement de la vie en société, l’empathie sera une qualité toujours plus déterminante du genre humain, condition nécessaire à la communication, à la compréhension, à l’adaptabilité et à la richesse des connexions relationnelles.
Le développement économique et social reposera donc de plus en plus sur la capacité de nos organisations, de nos systèmes éducatifs et entrepreneuriaux, à l’intégrer à titre essentiel dans leurs modes de fonctionnement.
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L’empathie représente une notion complexe : ce sont les mécanismes qui sous-tendent notre conscience qui nous permettent de « saisir » l’autre. Elle englobe à la fois une dimension affective, où l’on perçoit ses sentiments et ses émotions, et une dimension cognitive, qui concerne la compréhension de ses états mentaux non émotionnels, comme ses croyances ou ses connaissances. Étant donné qu’elle recouvre des réalités physiologiques encore peu ou mal connues, l’empathie est depuis environ vingt ans un domaine privilégié des neurosciences. Par exemple, on sait que les « neurones-miroirs » s’active non seulement lorsque nous effectuons une action, mais aussi lorsque nous observons autrui réaliser cette même action.
Il ne faut cependant pas réduire l’empathie à une simple attitude de « bisounours » ! Il est courant de confondre cette capacité, souvent perçue comme une surémotion bienveillante, avec la compassion, le partage émotionnel ou une certaine émotivité. Certes, l’empathie nous pousse généralement à compatir avec la souffrance d’autrui, et participe à notre nature d’êtres sociaux, qui supportent difficilement la douleur des autres — ce qui nous évite de devenir des sociopathes. Selon une étude menée par Pessoa et Adolphs, lorsqu’on montre à des participants des images évoquant la douleur chez une autre personne, un tiers d’entre eux ressent une douleur localisée, tandis que deux tiers sont perturbés sans forcément ressentir cette douleur eux-mêmes.
Toutefois, l’empathie dépasse largement la simple réaction émotionnelle. Elle constitue une manière d’appréhender et de comprendre autrui, sans nécessairement se laisser emporter par la sympathie (qui, à l’extrême, peut même alimenter la cruauté, en permettant de ressentir positivement la souffrance d’autrui) ou par ce qu’on appelle la « contagion émotionnelle » (comme un fou rire qui se propage). Bien qu’elle soit structurée par notre environnement émotionnel, je la vois plutôt comme une capacité à percevoir la projection mentale de l’autre. En d’autres termes, l’empathie réduit l’écart entre ce que l’autre exprime (« ce qu’il signifie ») et ce que je peux en comprendre (« ce que je conçois »). C’est une aptitude à recevoir, à capter cette différence, permettant de mieux relier l’émission initiale et sa représentation dans notre esprit.
Parce qu’elle favorise la compréhension de l’autre, l’empathie confère des comportements sociaux efficaces : en tenant compte du point de vue d’autrui dans nos pensées et nos actions, nous sommes encouragés à coopérer et à mieux servir l’intérêt collectif. D’un point de vue évolutif, elle constitue aussi une clé essentielle de survie dans un monde où l’homme n’a plus d’autres prédateurs que lui-même, dans un contexte où interactions et compétitions avec ses semblables sont omniprésentes. La maîtrise fine des réactions d’autrui devient alors indispensable pour s’adapter et anticiper leurs actions.
Nous assistons actuellement à une transformation sociale majeure : le monde paraît plus petit que jamais, ses lieux les plus éloignés étant connectés en permanence, et les ressources terrestres deviennent un bien commun partagé à l’échelle planétaire. La population mondiale s’accroît rapidement, le multiculturalisme devient la norme, et les modèles basés sur le partage, la coopération ou le peer-to-peer explosent. Les médias sociaux jouent un rôle de plus en plus central dans les révolutions, crises socio-politiques et enjeux environnementaux à l’échelle mondiale. Nous sommes en train de bâtir une civilisation globale, profondément interdépendante, où la conscience de cette interdépendance devient une clé de notre avenir. Au fondement de la vie en société, l’empathie s’impose comme une qualité essentielle, indispensable à la communication, à la compréhension mutuelle, à l’adaptation et à la richesse des liens humains. La croissance économique et sociale dépendra, de plus en plus, de la capacité de nos institutions, de nos systèmes éducatifs et de nos entreprises à en faire une composante centrale de leur fonctionnement.
**Question :**
L’empathie, en tant que capacité à comprendre et à percevoir l’autre, est-elle réellement une notion aussi simple qu’on le pense, ou représente-t-elle un mécanisme complexe et essentiel pour la survie et le développement de notre société ?
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Découvrez l'application gratuite Iphone et Ipad réalisée par Xyloon : Moderatio
Cette application est disponible sur l'App Store.
Votre site contient deux types de liens :
- les liens internes, qui permettent de naviguer de pages en pages au sein de votre site
- les liens externes qui pointent vers des sites complémentaires au vôtre.
Or, autant les liens internes sont relativement stables sauf modification dans le site, autant les sites sur lesquels vous avez créés des liens peuvent changer, voire disparaître.
Et quand le lien est cassé, Google considère que vous ne suivez pas votre site et donc a tendance à vous déréférencer.
Il existe cependant des outils simples et gratuits pour vérifier vos différents liens :
- le plus simple est un add-on de Mozilla : il se dénomme LINK CHECKER. Ce module ajoute une petite flèche à côté de l'adresse url et en cliquant dessus, les liens de la page se surlignent en vert (lien OK) ou en rouge (lien brisé) ;
- le plus complet s'appelle Online Broken Link Checker : entrez le nom de votre site et l'ensemble des liens de toutes les pages du site seront vérifiés. - Accès au site
Dernier conseil : sur les liens externes, n'oubliez pas d'ajouter l'attribut "Blank" afin que le site s'ouvre dans une autre page ou un nouvel onglet, sans fermer la page de votre site.
Pour tester une application Iphone ou Ipad avant sa mise en ligne sur l'AppStore, vous devez fournir un code UDID, qui est spécifique à chaque idevice.
Pour cela,
- Connectez votre Iphone ou Ipad à Itunes
- Cliquez sur le nom de votre appareil, puis dans l'onglet en haut de page "Résumé"
- Cliquez sur "Numéro de série". Votre identifiant apparaît
- Copiez cet identifiant et transmettez le à Xyloon.
Nous le savons tous, les emails ne permettent pas d'envoyer des pièces jointes trop lourdes.
Et pour combler ce déficit, il existe de multiples solutions de transferts de fichiers, gratuits ou payants.
Parmi les gratuits, le plus connu pour les utilisateurs français est Free. Cependant, si votre client n'est pas chez Free, la vitesse pour mettre le fichier sur un serveur et celle pour télécharger le fichier ne sont pas compatibles avec une utilisation professionnelle .
C'est pourquoi, je vous propose l'outil mis gracieusement à disposition par OVH qui me semble être actuellement le plus performant.
Pour y accéder, il suffit de saisir dans la barre d'adresse url : http://demo.ovh.com/
Votre ordinateur est lent... mais est-ce dû à votre configuration ou à la vitesse de votre connexion internet. Pour cela, une solution : le site www.speedtest.net
Vous aurez ainsi 3 informations :
- le ping, c'est à dire la vitesse de connexion entre votre ordinateur et le central téléphonique (doit être inférieur à 50ms)
- le débit descendant, vitesse de téléchargement du serveur vers votre ordinateur (download)
- le débit ascendant, c'est à dire la vitesse de chargement entre votre ordinateur et le serveur (upload)
Le QR Code (Quick Response Code) est un code-barres en deux dimensions composé de carrés noirs sur un fond blanc.
Il est principalement utilisé pour coder des adresses mail, des url ou des numéros de téléphone qui peuvent être scannés par les smartphones du marché (nécessite pour certains le téléchargement d’un lecteur de code QR gratuit – QR Reader).
Nous conseillons d’intégrer un QR Code sur l’ensemble de votre papeterie qui permettra au lecteur d’accéder directement à l’adresse url du produit sans avoir à taper au clavier celle-ci.
Pour les lecteurs de Xyloon, nous offrons un générateur de QR Code en cliquant sur le lien « générateur de QR Code ».
Ci-contre, l’adresse « actualités » du site xyloon.
Les coordonnées GPS peuvent se présenter sous plusieurs formats, et il est utile de pouvoir convertir de l'un à l'autre sans faire de nombreux calculs.
- format GPS : se présente ainsi N 44 07.370 (latitude) et E 0 22.120 (longitude)
- Format DMS (degrees, minutes et seconds) : N44 07 22 - E0 22 02
- format décimal : 44.122833 0368667
Pour passer de l'un à l'autre, un utilitaire est simple d'accès : il suffit de saisir l'une de ces coordonnées GPS dans le site www.boulter.com
Si vous êtes un utilisateur d'Outlook, vous avez remarqué que votre logiciel de messagerie garde en cache les adresses email que vous avez déjà utilisées et que vous n'avez pas forcément enregistrées dans votre carnet d'adresse.
Il est pourtant possible de récupérer ces adresses et de les exporter au format csv grâce à un petit utilitaire que nous vous proposons en téléchargement.
Il vous suffit de trouver le fichier outlook.nku (perdu dans les milliers de fichiers de votre ordinateur mais trouvable grâce à la fonction recherche de Windows) et de lancer cet utilitaire.
Nous avons le plaisir de vous présenter un outil simple de prise de contrôle d'un ordinateur à distance : la solution splashtop.
Pour cela, vous aurez besoin de deux logiciels :
- splashtop remote : c'est le logiciel qui permet la prise de contrôle ;
- spashtop streamer : logiciel à installer sur l'ordinateur distant sur lequel vous souhaitez intervenir.
Ces logiciels sont pour la plupart gratuits pour un usage personnel. Ils existent en version PC, Mac et même Iphone, Ipad, Androïd et Kindle.
En ces temps d'essence chère, l'achat de la licence commerciale permet de faire de nombreuses économies de transport.
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1. La solution proposée par Xyloon, Moderatio, une application gratuite compatible iPhone et iPad, est désormais accessible via l’App Store. (Contexte : article promotionnel ou présentation commerciale)
2. Sur votre site, deux catégories de liens existent : ceux internes facilitant la navigation entre pages, et ceux externes qui redirigent vers d’autres sites. Tandis que les premiers restent généralement stables, les seconds peuvent évoluer ou disparaître, ce qui pose un risque de liens cassés. (Contexte : guide technique ou SEO)
3. Pour tester une application iPhone ou iPad avant sa mise en ligne sur l’App Store, il est nécessaire de fournir un code UDID, spécifique à chaque appareil. La procédure consiste à connecter l’appareil à iTunes, accéder à l’onglet « Résumé », cliquer sur le numéro de série, puis copier cette identification envoyée à Xyloon. (Contexte : tutoriel technique ou procédure de développement)
4. Lorsque votre messagerie Outlook ne conserve pas en mémoire toutes les adresses emails précédemment utilisées, il est possible d’en extraire et d’exporter ces contacts au format CSV à l’aide d’un petit utilitaire, en recherchant simplement le fichier outlook.nku sur votre ordinateur. (Contexte : guide de gestion des contacts ou support informatique)
5. Pour évaluer la vitesse de votre connexion Internet, un site simple et efficace comme speedtest.net vous fournira trois mesures essentielles : le ping, le débit descendant et le débit ascendant, vous permettant ainsi de diagnostiquer si votre ordinateur ou votre connexion est en cause. (Contexte : article informatif ou guide dépannage)
6. Intégrer un QR Code sur votre papeterie permet aux utilisateurs de scanner rapidement une adresse URL, une adresse mail ou un numéro de téléphone, évitant ainsi de taper manuellement ces informations. Avec le générateur offert par Xyloon, vous pouvez créer facilement ces codes pour vos supports. (Contexte : communication marketing ou design graphique)
7. La conversion entre différents formats de coordonnées GPS — par exemple, N 44 07.370, DMS, ou décimal — peut se faire aisément en utilisant le site www.boulter.com, qui facilite la traduction sans nécessiter de calculs complexes. (Contexte : tutoriel cartographique ou géolocalisation)
8. Dans le cadre de la télémaintenance ou du support informatique à distance, la solution gratuite Splashtop offre deux outils essentiels : Splashtop Remote pour la prise de contrôle et Splashtop Streamer à installer sur la machine distante. Ces logiciels sont compatibles avec PC, Mac, et parfois smartphones ou tablettes. (Contexte : support technique ou informatique)
9. Pour assurer une vérification efficace de la stabilité des liens internes de votre site, l’extension LINK CHECKER pour Mozilla Firefox peut être ajoutée. En un clic, elle met en évidence en vert ou en rouge la validité des liens, simplifiant ainsi le processus de maintenance. (Contexte : webmastering ou optimisation SEO)
10. Lorsqu’un lien externe devient inaccessible, il est conseillé d’utiliser l’attribut "target='_blank'" pour ouvrir la page dans un nouvel onglet, évitant ainsi de faire quitter ou de perdre la visite sur votre propre site. (Contexte : rédaction web ou bonnes pratiques de développement)
Chacune de ces reformulations adopte un style, un registre ou une structure différente tout en restant fidèle au sens original de la phrase.
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Transcription
1 Consultation sur le partenariat européen d'innovation pilote pour un vieillissement actif et en bonne santé Réponse de la Région Pays de la Loire 28 janvier 2011 Informations sur le répondant : Conseil Régional des Pays de la Loire, France 1. Obstacles à l'innovation Quels sont les 3 principaux obstacles à l'innovation? Les utilisateurs finaux (patients, personnes âgées et personnel soignant) ne sont pas associés assez étroitement à la conception et à l'utilisation de solutions nouvelles et innovantes Insuffisance des normes Résistance des utilisateurs finaux aux idées nouvelles Dans quelle mesure pensez-vous qu'un partenariat européen d'innovation pourrait aider à atténuer les obstacles à l'innovation que vous avez sélectionnés? Veuillez expliquer brièvement. Le futur Partenariat Européen d Innovation permettra de fédérer plus efficacement l ensemble des acteurs impliqués dans le vieillissement actif et en bonne santé, en permettant des synergies entre les universitaires, les acteurs de la santé, ceux de la formation et de la recherche, les entreprises et les institutions publiques, aux niveaux régional, national et européen. Or la résolution des obstacles existants en matière de normes et de sensibilisation aux produits et services innovants implique de rassembler l ensemble des acteurs dont la collaboration est nécessaire pour surmonter ces obstacles. La Région des Pays de la Loire souhaite qu'à l image du Gérontopôle des Pays de la Loire, des instruments et initiatives collaboratifs et ciblés soient mis en place dans le cadre du futur PEI afin de résoudre les problèmes spécifiques rencontrés en Europe. - En ce qui concerne l'insuffisance des normes: Les normes actuellement en vigueur ne prennent que de façon partielle les limitations fonctionnelles entrant dans le champ de la longévité (pour ne couvrir que celles liées au handicap, loi du 11 février 2005). De plus, en regard de l'émergence pléthorique de produits et de services dédiés aux personnes vieillissantes en perte d'autonomie, les normes CE et NF s'avèrent impropres à déterminer la pertinence d'un produit dédié aux aînés : adaptabilité, utilisabilité, usage et acceptabilité sont des écueils qui rendent le produit, a minima, inutile, voire, dans certains cas,
2 dangereux. Il devient conséquemment rapidement nécessaire d engager une démarche d accompagnement des acteurs (acteurs économiques ; institutions publiques ; acteurs de la formation, de la recherche ; associations ), pour viser à la validation puis à la normalisation de leurs produits et services. Cette initiative concernera de manière transversale l'ensemble des secteurs : transports individuels et collectifs, bâtiments, alimentation, gérontechnologies, TIC, domotique, formation des professionnels et des aidants, - En ce qui concerne la Résistance des utilisateurs finaux aux idées nouvelles et le fait que Les utilisateurs finaux ne sont pas associés assez étroitement à la conception et à l'utilisation de solutions nouvelles et innovantes: Les compétences d'une personne à utiliser un produit ou un service sont supposées intègres lors des validations concernant une personne de la population générale. Lorsque le produit ou le service est à destination d'une personne âgée, il doit prendre en compte une réduction de compétences qui peut avoir des niveaux et caractéristiques variables d'un sujet à l'autre ; les modifications de capacité relevant de champs précis que l'on peut classer brièvement en déficience sensorielle, réduction de la réserve fonctionnelle à la mobilité et réduction des capacités d'appréhension du temps et de l'espace, ce dernier champ étant associé aux fonctions cognitives (mémoire, gestuelle, exécution comportementale ). Ainsi, la validation technique doit désormais inclure le sujet âgé (validation user centric) pour déterminer l'utilité, l'utilisabilité, la fiabilité et l'acceptabilité du produit (dont éthique), pour en vérifier les allégations techniques et commerciales ainsi que la pertinence des spécifications. En effet, les particularités des difficultés d adaptation à l environnement des personnes âgées sont dues d une part aux modifications des habilités des personnes âgées à mobiliser leur environnement pour leur autonomie (activités instrumentales de la vie quotidienne), à l'évolution des technologies et enfin, plus largement, à la complexité accrue des outils du quotidien. L adéquation entre les capacités des personnes âgées et les instruments de leur environnement est un enjeu majeur. Le bon usage des technologies du quotidien assure les conditions de sécurité pour le patient en particulier dans les locaux les plus souvent lieux de chute tels que les sanitaires et l espace de préparation des repas. Les technologies du domicile permettent, lorsqu elles sont adaptées, de maintenir une activité quotidienne sans l aide d un intervenant, et dans le cadre de leur fonction d aide technique, de pallier les déficits de fonctions. Dans cette optique, l adaptation des mobilités, sanitaires et technologies du quotidien permet de favoriser le maintien à domicile, enjeu à la fois de qualité de vie et de maîtrise des coûts liés à la dépendance. Le Gérontopôle des Pays de la Loire a ainsi vocation à associer étroitement l utilisateur final à toute démarche de validation des produits et services à destination des séniors. En gardant à l'esprit les principaux obstacles que vous avez indiqués ci-dessus, veuillez expliquer dans quelle mesure la suppression d'un obstacle serait bénéfique pour une innovation spécifique concernant le vieillissement actif et en bonne santé (merci d'indiquer un exemple concret de produit ou de service, ainsi que la contribution de celui-ci au vieillissement actif et en bonne santé). La Région Pays de la Loire considère que la prise en considération globale et décloisonnée de la question du vieillissement de la population est un enjeu majeur et une richesse pour un territoire. Il importe en effet d appréhender cette question sous les différentes dimensions sociales, de préservation de l autonomie et de la bonne santé des personnes âgées, de développement économique et culturel pour un territoire, d accompagnement et de formation des professionnels et des aidants, de développement de la recherche et de l innovation. Plus précisément, en matière économique, le besoin de normalisation apparaît être un point d'intérêt commun des acteurs impliqués dans le vieillissement. En l'absence de ce cadre normatif, des entreprises élaborent leur
3 propre référentiel technique ou un cahier des charges sui generis, sans avoir l'assurance de son adaptation, de sa fiabilité ou de sa pertinence réelles. La norme handicap est souvent la principale référence utilisée, bien qu'elle ne recouvre pas, ou partiellement, les problématiques spécifiques de l'âge. L'établissement d'un référentiel technique personnes âgées s'appuie sur un inventaire des caractéristiques fonctionnelles des problèmes induits par le vieillissement : pertes sensorielles (vue, ouïe, odorat, goût, sensibilité tactile et chaleur), perte d'équilibre et de motricité, déficiences physiques et perte progressive d'autonomie, troubles mémoriels et cognitifs du symptôme précoce au symptôme sévère de démence, déprise psychologique, déprise sociale. La réunion des cahiers des charges par domaine et par territoires (bâtiment, urbanisme, transports individuels et collectifs, alimentation, gérontechnologies, TIC ) permettra à terme de décliner le référentiel technique en "Norme Grand Âge" (NGA) en fonction de différents niveaux de coûts induits et d'exigence de sécurité ou de qualité de vie. Ces normes seront des indicateurs de confiance et des repères visibles pour les décideurs publics dans leurs choix d'investissement, les utilisateurs dans leur acte d achat, les professionnels du secteur médico-social dans leurs choix de prescription et d'usage et les entreprises dans leurs choix de sous-traitance ou de partenariat. Une "Norme Grand Âge", en plus de ses apports pour les personnes âgées, représenterait un volant de croissance économique en orientant l exigence de recherche et développement et en situant une production industrielle de qualité dans la concurrence internationale. 2. Initiatives existantes Avez-vous participé à des programmes, des initiatives ou des projets liés à l'innovation en ce qui concerne le vieillissement actif et en bonne santé, au niveau transnational, national, régional ou local (recherche, transfert de technologie, renforcement des capacités, formation, financement, déploiement, validation et test de nouvelles solutions, normalisation, etc.)? Oui Veuillez décrire un seul exemple de programme, d'initiative ou de projet de ce genre et expliquer quel était votre rôle. Nom du programme, de l'initiative ou du projet Gérontopôle des Pays de la Loire (Le Gérontopôle des Pays de la Loire, constitué en décembre 2010 sous la forme d'une association, est soutenu financièrement et en matière d ingénierie par le Conseil Régional des Pays de la Loire) Groupe cible (plusieurs réponses sont possibles) Proches soignants Patients Professionnels des soins de santé et sociaux Prestataires de soins de santé et sociaux
4 Organismes de financement Régulateurs Entreprises Autres : Grand public (showroom), Recherche scientifique et sociale, Collectivités locales et territoriales. Le public du Gérontopôle des Pays de la Loire est large et ses périmètres d'intervention sont vastes. Particulièrement, ce projet à appréhender la question du vieillissement de la population dans son ensemble, et non uniquement sous l angle de dépendance et de perte d autonomie des personnes âgées. Objectif du programme, de l'initiative ou de l'action Appréhender le vieillissement comme une richesse pour un territoire, et non pas seulement comme une charge et une approche uniquement centrée sur la dépendance - améliorer la qualité de vie des personnes âgées - développer une activité à valeur ajoutée et un réseau de compétitivité économique - assurer la promotion du «bien vieillir» et de «développement durable humain» dans les Pays de la Loire et au bénéfice des aînés et de l ensemble de la population Le Gérontopôle des Pays de la Loire est le seul Gérontopôle français à proposer une approche transversale, multifilières et multidimensionnelle. Partenaires - Universités (Nantes, Angers, Maine ) - Centres Hospitaliers Universitaires de Nantes et d Angers - Société publique régionale des Pays de la Loire - Conservatoire National des Arts et Métiers des Pays de la Loire - Chambres de Commerce et d Industrie régionale - Entreprises et industriels régionaux et nationaux - Réseau des Greta (dispositif de formation continue de l'éducation nationale en France) - Observatoire Régional de la Santé - Résultat Le Gérontopôle des Pays de la Loire a vu le jour en décembre 2010 et est dans une phase d initiation de projets et de lancement d activités. La mise en place du Gérontopôle des Pays de la Loire s articule autour de 4 axes : recherche, formation, développement économique, accompagnement et conseil aux territoires. Parmi les principaux résultats attendus : - Information, sensibilisation, recherche et formation > mise en place d une «Maison de la longévité» : lieu d information, de recherche, d exposition permanente et de formation sur les métiers liés à la longévité - Formation : o accompagnement des formations sanitaires et sociales relevant de la compétence régionale o création de nouveaux masters, o ouverture d une plateforme universitaire numérique de tutorat, de formation et de promotion professionnelle - Partenariats nationaux, européens et internationaux :
5 réponse partenariale aux appels à projets français, européens et internationaux - Développement et accompagnement d équipes de recherche - Aide aux entreprises dans le développement de produits et services dédiés aux aînés - Normalisation : définition d une «Norme Grand Âge» (établissement d'un référentiel technique et social «personnes âgées») Site web Accessibles très prochainement: et Quels obstacles avez-vous rencontrés dans ce cadre? Le Gérontopôle des Pays de la Loire a dû convaincre l'ensemble des acteurs, tous secteurs confondus, de la pertinence de fonder un pôle de compétence régional autour de la longévité et du vieillissement, et de l'intérêt d'un travail collaboratif. Ex. : réunion des organismes de formation (privés, publics, tous niveaux et répartis sur l'ensemble du territoire) autour d'une même table de discussion et propositions de nouveaux diplômes, de nouvelles formations ; en cours). De même, le Gérontopôle des Pays de la Loire a su réunir les énergies d'entreprises concurrentes et peu disposées à travailler de concert. De la compétition à la compétitivité, le Gérontopôle des Pays de la Loire a pu fédérer de nouveaux consortiums industriels dédiés aux champs de la longévité et de l'autonomie. 3. Futures initiatives Dans quelle mesure pensez-vous pouvoir contribuer à la réalisation des objectifs stratégiques du partenariat européen d'innovation (exemples: financement, expertise et savoir-faire, mise en œuvre et élaboration de plans d'entreprise)? En ce qui concerne la préparation du futur PEI pour le vieillissement actif et en bonne santé, le Gérontopôle des Pays de la Loire peut certainement fournir son expertise et son éclairage sur la gouvernance du futur partenariat, ainsi que son analyse spécifique sur les besoins et opportunités en matière de recherche, de formation, de développement économique et de conseil auprès des territoires. Pour la mise en œuvre du futur PEI, le Gérontopôle des Pays de la Loire a vocation à partager son expertise dans le cadre des futures initiatives et projets collaboratifs du PEI pour le vieillissement actif et en bonne santé. Exemple 1 : Etablissement d une norme grand âge pour les produits à destination des personnes âgée et des professionnels du service à la personne âgée. Exemple 2 : Plate-forme Internet de tutorat d accès aux métiers liés au vieillissement Dans le cadre du développement de l offre de formation pour les métiers liés au vieillissement dans la région des Pays de la Loire, une plate-forme régionale Internet a été mise en place au sein du Gérontopôle des Pays de la Loire. Cette plate-forme (en lien avec le département de formation continue de l Université de Nantes, le Greta, le Cnam, et de nombreux établissements d'enseignement publics et privés) permet à des personnes en recherche d un emploi, en particulier pour les personnes âgées de plus de 50 ans en recherche du maintien d une activité professionnelle, d être en contact avec des enseignants et des organismes de formation continue pour élaborer un projet de retour à l emploi vers le service à la personne ou l accompagnement médico-social des personnes âgées.
6 Avez-vous déjà des idées pour lancer un projet ou un programme lié au partenariat européen d'innovation? Oui Objectif du programme ou projet proposé, et principaux jalons: ---- Contribution à l élaboration et à la validation d une Norme Grand Âge ---- Les difficultés d adaptation à l environnement des personnes âgées prennent leur origine d une part dans la diminution de capacité des personnes âgées à mobiliser leur environnement pour leur autonomie (activités instrumentales de la vie quotidienne), et d autre part, dans les changements rapides des technologies, et plus largement des outils du quotidien, qui évoluent vers la complexité. L adéquation entre les capacités des personnes âgées et leur environnement est un enjeu majeur. Le bon usage des technologies du quotidien assure les conditions de sécurité pour le patient en particulier dans les lieux de vie tels que les sanitaires et l espace de préparation des repas. Les technologies du domicile permettent, lorsqu elles sont bien adaptées, de maintenir une activité quotidienne sans l aide d un intervenant, et dans le cadre de leur fonction d aide technique et de pallier aux déficits de fonctions. Dans ce cadre, l adaptation permet de favoriser le maintien à domicile, enjeu à la fois de qualité de vie et de maîtrise des coûts liés à la dépendance. Une Norme Grand Age en plus de ses apports pour les personnes âgées, représenterait un volant de croissance économique pour l Europe en orientant les activités de recherche et développement, et situerait la production industrielle vers la qualité qui est atout dans la concurrence internationale. Fondement du programme ou projet proposé, indiquant la nécessité d'intervenir Le projet Norme Grand Age nécessite la mise en place d une plate-forme méthodologique et le soutien des entreprises qui s engagent dans la démarche de recherche de norme et de validation pour leur produit. Les niveaux de financement dépendent du produit concerné et du domaine investi par l évaluation de la norme grand âge car le champ de cette norme en population est large intégrant aussi bien des produits d utilisation domestiques, que des technologies à visée des professionnels du service à domicile et de normes sur l urbanisme, les accès au lieux et service et les équipements en conformité avec les nécessités du développement durable et du vieillissement d une partie importante de la population (environ le tiers à l horizon de 2030). Si vous envisagez de lancer un projet ou un programme, de quels partenaires principaux auriezvous besoin pour en assurer la réussite? Le projet Norme Grand Age s appuie sur une collaboration entre la Région des Pays de la Loire, la Société publique régionale des Pays de la Loire, la Chambre de Commerce et d Industrie Régionale, les entreprises partenaires du Gérontopôle depuis sa création engagées dans des études de validation avec le Gérontopôle. Ce projet pilote est ainsi par essence un projet collaboratif auquel il serait tout à fait pertinent de donner une dimension européenne. Avez-vous un autre programme ou projet spécifique à proposer? Oui Objectif du programme ou projet proposé, et principaux jalons:
7 ---- Plate-forme de tutorat d accès des seniors aux métiers liés au vieillissement ---- Dans le cadre du développement de l offre de formation pour les métiers liés au vieillissement dans la Région Pays de la Loire, une plate-forme régionale sera mise en place au sein du Gérontopôle Pays de la Loire. La Région Pays de la Loire considère que ce projet de plateforme est un projet qu il serait tout à fait utile de reproduire dans d autres régions et Etats européens afin de développer l offre européenne de formation pour les métiers liés au vieillissement. La Région Pays de la Loire considère que ce projet de plateforme est un projet qu il serait tout à fait utile de reproduire dans d autres régions et Etats européens afin de développer l offre européenne de formation pour les métiers liés au vieillissement. Fondement du programme ou projet proposé, indiquant la nécessité d'intervenir Cette plate-forme en lien avec le département de formation continue de l université de Nantes permettra pour des personnes en recherche d un emploi d être accompagné dans leur projet professionnel par les interlocuteurs les plus compétents. Ce programme vise en particulier les personnes de plus de 50 ans en recherche du maintien d une activité professionnelle. Le projet concerne l évaluation du dispositif à travers un suivi de procédure de repérage des personnes demandeuses par rapport à la population potentiellement concernée par le dispositif, l accompagnement des personnes au cours du tutorat et le retour effectif à l emploi. À quels partenaires principaux vous associeriez-vous pour assurer la réussite de votre programme ou projet? La plate-forme de tutorat d accès aux métiers liés au vieillissement prend pour l'instant appui sur le site du Gérontopôle qui a intégré dès sa conception l élaboration de liens formalisés avec le département de formation continue de l Université de Nantes, des liens avec les responsables de la gérontologie de l Université d Angers, les écoles de formations aux métiers du service à la personne et des organismes de formation continue et le l antenne régionale du Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM).
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1. **Version formelle et synthétique (article académique) :**
La Région Pays de la Loire a répondu à la consultation sur le partenariat européen d'innovation pilote dédié au vieillissement actif et en bonne santé, en identifiant principalement trois obstacles à l'innovation : une participation insuffisante des utilisateurs finaux à la conception, des normes inadaptées, et une résistance au changement de la part des bénéficiaires. Elle estime qu’un tel partenariat pourrait fédérer efficacement l’ensemble des acteurs — universitaires, professionnels de la santé, entreprises, institutions publiques — afin de surmonter ces barrières, notamment en améliorant la normalisation et la sensibilisation. La région souhaite, à l’instar du Gérontopôle local, mettre en place des instruments collaboratifs pour traiter ces problématiques, notamment en adaptant les normes aux besoins spécifiques des personnes âgées, en intégrant leur participation active dans la validation des produits et services. La suppression des obstacles liés à la normalisation et à l’engagement des usagers serait ainsi cruciale pour favoriser des innovations pertinentes, comme des dispositifs d’aide à la mobilité ou des technologies domestiques, contribuant au maintien à domicile et à une meilleure qualité de vie, tout en maîtrisant les coûts sociaux et économiques liés à la dépendance.
*Contexte : article scientifique ou rapport institutionnel.*
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2. **Version orale et conviviale (discours politique ou présentation) :**
La région Pays de la Loire a répondu à la consultation sur le partenariat européen pour l’innovation dans le domaine du vieillissement actif. Selon eux, les trois principaux freins à l’innovation sont le manque d’implication des utilisateurs finaux dans la conception, des normes qui ne suivent pas toujours le rythme des innovations, et une certaine résistance au changement chez les personnes âgées. Ils pensent qu’un tel partenariat pourrait vraiment aider en rassemblant tous les acteurs — chercheurs, professionnels de la santé, entreprises, pouvoirs publics — pour faire avancer les choses. Ils veulent aussi s’inspirer du Gérontopôle local pour créer des outils et des initiatives collaboratives, notamment en adaptant les normes aux besoins réels des personnes âgées, et en impliquant ces dernières dans la validation des nouveaux produits. En supprimant ces obstacles, ils croient qu’on pourra améliorer des solutions concrètes comme des aides à la mobilité ou des technologies pour la maison, qui permettront aux seniors de rester chez eux plus longtemps, en toute sécurité, tout en contrôlant les coûts sociaux.
*Contexte : intervention lors d’un colloque ou d’une réunion de projet.*
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3. **Version poétique ou métaphorique (discours inspirant ou manifeste) :**
Dans le regard de la Région Pays de la Loire, l’avenir du vieillissement actif se dessine comme une symphonie où chaque acteur a sa place : les chercheurs, les soignants, les entreprises, les seniors eux-mêmes. Pourtant, trois écueils entravent cette harmonie : l’éloignement des usagers de la conception des solutions, des normes qui n’évoluent pas au rythme des besoins, et une résistance silencieuse au changement. La clé pour ouvrir cette symphonie réside dans la force d’un partenariat européen capable de fédérer ces voix, d’unir ces forces dispersées. En s’inspirant du Gérontopôle local, la région souhaite tisser des instruments collaboratifs, ajuster les normes aux particularités des personnes âgées, et faire entendre leur voix lors de la validation des innovations. La suppression de ces obstacles ouvrirait la voie à des innovations essentielles, telles que des aides à la mobilité ou des technologies domestiques intelligentes, permettant aux seniors de danser encore longtemps dans leur propre vie, dans la sécurité et la dignité, tout en maîtrisant les coûts liés à leur autonomie.
*Contexte : discours de projet ou manifeste pour l’innovation sociale.*
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4. **Version informelle et décontractée (conversation ou blog) :**
La région Pays de la Loire a répondu à la question sur le partenariat européen pour innover dans le domaine du vieillissement en bonne santé. Leur principal souci, c’est que souvent, les personnes âgées ne sont pas assez impliquées dans la conception des solutions qui leur sont destinées, et que les normes ne suivent pas toujours. Résultat : certains produits ne sont pas adaptés ou même dangereux. Ils pensent que si on arrive à créer un vrai partenariat européen, on pourra mieux rassembler tous ceux qui ont leur mot à dire — chercheurs, pros de la santé, entreprises, etc. — pour faire avancer tout ça. Ils veulent aussi s’appuyer sur l’exemple du Gérontopôle local pour mettre en place des outils collaboratifs, notamment en adaptant les normes pour qu’elles soient vraiment utiles et en faisant participer les seniors à la validation des produits. En levant ces obstacles, on pourrait lancer des innovations concrètes, comme des aides pour se déplacer ou des technologies pour la maison, qui aideraient les personnes âgées à rester chez elles, en sécurité, et à garder leur autonomie tout en limitant les coûts.
*Contexte : article de blog ou échange entre collègues.*
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5. **Version humoristique ou satirique (style caricatural ou critique) :**
La Région Pays de la Loire a répondu à la consultation sur le partenariat européen d’innovation pour le vieillissement actif, en pointant du doigt une trilogie de problèmes : d’abord, les utilisateurs finaux, comme nos chers grands-parents ou le personnel soignant, sont toujours mis de côté lors de la conception; ensuite, les normes en place sont tellement obsolètes qu’on pourrait croire qu’elles datent du siècle dernier; enfin, la résistance passive de certains à essayer des idées nouvelles fait qu’on tourne en rond. Leur idée ? Fédérer tous ces acteurs dispersés à l’échelle européenne, comme une grande famille où tout le monde aurait son mot à dire. En s’inspirant du Gérontopôle local, ils espèrent créer des outils collaboratifs, pour faire sauter ces barrières, normaliser enfin des produits adaptés, et faire participer les seniors à leur propre innovation. La suppression de ces obstacles serait la clé pour lancer, par exemple, des dispositifs de mobilité ou des maisons connectées, qui permettraient à nos aïeux de rester chez eux, en toute sécurité, tout en évitant que la dépendance devienne une charge insupportable.
*Contexte : satire ou chronique critique sur la politique de l’innovation.*
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L’artiste français Nicolas Jolly compose des dessins absolument incroyables faits de centaines de lignes fines tracées à l’encre noire. Des illustrations en noir & blanc jouant avec talent sur le clair-obscur, pour un rendu proche de celui faisant penser aux empreintes digitales, dont une sélection est à découvrir dans la suite.
Le photographe Massimo Margagnoni explore la nature à travers sa photographie tout en noir et blanc. De superbes images réalisées grâce à une technique de longue exposition en Norvège et en Islande permettant de donner un superbe rendu pour les différentes cascades immortalisées. A découvrir en images dans la suite.
Focus sur Evelina Pentcheva qui a imaginé ce superbe projet appelé « Streams of Sand » entièrement réalisé dans les dunes Oceano en Californie. A la tête de Photo Enigmatic, l’artiste nous offre de magnifiques clichés en noir et blanc dans lesquels apparaissent son ami Anibal Diaz. A découvrir dans la suite.
Le photographe japonais Satoki Nagata a récemment publié une série de clichés magnifiques en noir & blanc réalisée en se baladant dans la ville de Chicago où il réside. Des images splendides dans une série « Chicago Lights Photography » à découvrir sur son portfolio et dans la suite de l’article.
Focus sur le talent de Kevin Saint Grey, un photographe basé à Los Angeles. Cet artiste nous propose de découvrir une série de clichés absolument magnifiques en noir et blanc appelée sobrement « Architecture ». L’ensemble de son travail est à découvrir sur son portfolio et dans la suite de l’article.
Après la présentation de ses clichés et de son travail en février 2011 sur Fubiz, voici de nouvelles images du photographe indonésien Hengki Koentjoro. Toujours en noir et blanc, retrouvez des superbes clichés notamment issues de séries intitulées Noir et Mindfulness dans la suite de l’article.
Coup de cœur pour les photographies de Nathan Wirth. Avec des clichés en noir et blanc d’une beauté incroyable représentant majoritairement des paysages, ce dernier nous propose de rentrer dans son monde à l’ambiance brumeuse appelé « A slices of silence ». Une série et un travail à découvrir dans la suite.
L’artiste Nadia Wicker est une photographe française autodidacte et maquilleuse qui focalise son travail sur l’autoportrait. Cultivant son visage et son corps comme des supports artistiques, cette artiste nous propose une série de clichés en noir et blanc à découvrir dans la suite de l’article.
Après son interview pour Fubiz TV Issue 04, Ugo Gattoni (Ultra Copain), revient avec ce travail et cette fresque incroyable. Réalisée dans le cadre des JO 2012 à l’aide de rotrings et d’une loupe, il s’agit d’une frise illustrée de 5 mètres de long sur 41 cm de haut. Une création éditée chez Nobrow Press, à découvrir en vidéo.
Découverte du talent et des photographies de l’artiste Martin Stavars prises en Corée du Sud. Une série complète très impressionnante où le choix du noir et blanc embellit chacun des clichés de cet environnement urbain. Plus d’images dans la suite de l’article, avec cette galerie de 50 photographies.
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Au commencement, il y eut l’Origine de l’Art et de la Lumière, lorsque les Divins Créateurs du Monde décidèrent d’engendrer l’expression pure de leur esprit. Parmi eux, un artiste nommé Nicolas Jolly, dont la main était guidée par les dieux de la finesse et de la précision. Il forgea la matière de l’encre noire, incarnation du sombre et du mystère, et traça des milliers de lignes fines comme des fils d’ombre, tissant des dessins d’une complexité infinie. Ces œuvres, appelées Illustrations de Clair-Obscur, jouaient avec la lumière et l’obscur, déployant des contrastes puissants et subtils, évoquant la trace unique et mystérieuse des empreintes digitales, ces empreintes de l’Âme sur la toile terrestre.
Au même moment, dans les royaumes glacés et éternels, le Dieu des Cascades, Massimo Margagnoni, parcourut la nature sauvage. Armé de son regard immortel et de sa technique de longue exposition, il captura la danse éternelle des eaux norvégiennes et islandaises. Les cascades, enchevêtrements d’eau et de lumière, devinrent pour lui des figures mythiques, immortalisées dans le noir et blanc, où chaque image révélait la grandeur et la puissance de la nature, figée dans le temps mais vibrante d’énergie.
Dans le désert infini des dunes d’Oceano en Californie, la déesse Evelina Pentcheva invoqua le souffle du vent. Elle créa « Streams of Sand », une œuvre divine où le sable se métamorphosa en flux mystérieux, en images en noir et blanc, dans lesquelles son ami Anibal Diaz apparaissait comme un spectre ou un héros silencieux. Par cette œuvre, elle évoquait la fluidité, la mémoire et la fugacité, transformant le désert en un théâtre d’émotions mythiques.
Plus au nord, la déesse de la Lumière urbaine, Satoki Nagata, déambula dans la cité de Chicago, ville où les hommes bâtirent des empires de pierre et de verre. Avec son œil de mage, il captura la magie des lumières nocturnes dans des clichés en noir et blanc, révélant la splendeur cachée des rues, des néons et des silhouettes, transformant la cité en un royaume mystérieux où chaque éclairage raconte une légende.
Sur la côte californienne, Kevin Saint Grey, le sage architecte de l’image, révéla la grandeur des édifices et des structures. Par ses clichés en noir et blanc, il dévoila la beauté intemporelle de l’architecture, cette œuvre de divinités bâtisseurs, illustrant la symbiose entre l’homme et la pierre, entre la forme et la fonction. Son portfolio devint un grimoire sacré pour les amateurs d’édifices mythiques.
Plus loin, en Indonésie, Hengki Koentjoro, l’observateur de l’ombre, poursuivit ses quêtes dans la pénombre. Par ses clichés issus de ses séries « Noir » et « Mindfulness », il évoqua la méditation et le silence intérieur, transformant chaque image en un voyage spirituel, où la noirceur révélait la lumière cachée derrière l’apparence obscure.
Dans le royaume brumeux de Wirth, Nathan Wirth, le voyageur silencieux, captura la beauté éthérée de paysages enveloppés de brume. Ses images, d’une pureté monochrome, évoquaient le « Silence Fracturé », un monde où chaque illusion de calme renfermait une intensité mystérieuse, invitant l’âme à plonger dans un univers de paix tumultueuse.
Enfin, Nadia Wicker, la maîtresse des apparences, façonna son visage et son corps comme des supports d’expression divine. Par ses autoportraits en noir et blanc, elle devint la prêtresse de l’autel intérieur, révélant la dualité de l’être, la lumière et l’ombre qui résident en chaque âme, en chaque reflet.
Et dans l’épopée de l’art, Ugo Gattoni, le conteur des JO 20112, tissa une fresque de cinq mètres de long, une frise mythologique dessinée à la main avec des rotrings et une loupe, illustrant la grandeur de l’esprit humain au travers d’images épiques et détaillées, éditée en livre sacré par Nobrow Press.
Ainsi, à travers ces héros et ces œuvres, se dévoile la légende de l’Art Noir et Blanc : une quête éternelle pour capturer l’essence même de la lumière, de l’ombre, de la nature et de l’âme humaine, un voyage mythologique où chaque image devient une pierre angulaire du cosmos créatif. Quelles autres légendes et mystères se cachent dans cette mythologie visuelle, et comment cette quête sacrée continue-t-elle d’évoluer dans l’éternité ?
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Reportage diffusé dans Accents d’Europe, le 15/11/2012
En Ukraine, la ville de Lviv est connue pour le charme exceptionnel de sa vieille ville, sa modernité et sa très bonne qualité de vie par rapport aux autres régions du pays. Alors quand une odeur nauséabonde se dégage du système d’égouts, ça dérange, d’autant qu’on en ignore les conséquences pour la santé. Quelques habitants commencent à se mobiliser.
Dans une atmosphère de conte de fées, les passants déambulent sur la place Rynok, la place centrale de Lviv, où résonne le son des cloches des églises environnantes et celui des instruments des musiciens de rue. Un ravissement pour les oreilles mais c’est une autre affaire pour le nez : régulièrement, une odeur pesante de renfermé et de moisi envahit toute la vieille ville. Les habitants savent ici que le système de canalisations, construit par l’empire autrichien il y a plus d’un siècle, est désuet et mérite une réorganisation en profondeur. Mais les pouvoirs publics font traîner le problème, alors certains habitants commencent à se mobiliser. Tatiyana Yermak a habité pendant des années à Kiev et à l’étranger. Elle a décidé il y a peu d’emménager à Lviv.
Tanya: Pour moi, le principal problème de vivre à Lviv, c’était cette odeur. Je ne m’en suis pas rendu compte au début, là où j’habite, ça ne pue pas tous les jours. Mais j’ai motivé quelques amis sur Facebook, des gens m’ont soutenu, m’ont dit qu’il fallait faire quelque chose. Alors j’ai créé un événement Facebook, et l’événement était public, alors mêmes des gens que je ne connaissais pas s’y sont rajoutés, ont fait passer le mot, et on est allés manifester. Ce que je voulais faire avant tout, c’était attirer l’attention.
Et ça a marché. Quelques dizaines d’habitants participent à la manifestation qu’elle organise en septembre, et l’événement est couvert par les médias locaux. Depuis, la question a été inscrite sur l’ordre du jour du conseil municipal. Zenoviy Bermes, chef de l’association des Employeurs de la région de Lviv, a mené avec d’autres une analyse scientifique du problème. Il dresse un constat simple du problème.
Zenoviy: De manière générale, pendant les 30 dernières années, il n’y a eu aucun effort de la municipalité pour entretenir les canalisations de la ville. D’une part, la municipalité rejette toute la responsabilité sur les entreprises. C’est vrai qu’elles polluent fortement. Mais ce n’est qu’une partie du problème. Dans la plupart des autres grandes villes européennes, les réseaux de collecte des eaux usées et des ordures sont séparés. A Lviv, le système est mixte. Et comme le réseau est à ciel ouvert, il n’en garde pas les fortes odeurs qui s’en dégagent.
En septembre, il a proposé un plan d’action, qui consisterait, entre autres, à rénover peu à peu tous les siphons et les écluses. Un plan rejeté par la municipalité. Conseiller auprès du maire de Lviv, Serhiy Kiral justifie la politique de la ville. Pour lui, c’est au pollueur de payer.
Serhiy: Nous ne voyons pas d’autre solution. Il faut que les entreprises elles-mêmes investissent dans leur propre système de traitement des eaux usées, à leurs propres niveaux. Jusqu’ici, la plupart des entreprises pensaient qu’il suffisait de donner de l’argent à la municipalité pour améliorer le système de traitement des eaux usées, et s’occuper de tout. Mais ça n’est pas possible. Notre système de collecte des eaux usées, c’est un système en plein air. Recouvrir le système, ce sont des milliards d’investissement, et personne ne va faire faire ça. Et vu que le système n’est pas fermé, si on jette ses eaux usées, le temps que ça rejoigne le centre de traitement des eaux usées, les eaux stagnent et là, ça empeste.
Les négociations sont encore en cours à Lviv entre municipalité et entreprises. Mais pour l’heure, l’odeur est toujours là et les habitants regrettent eux d’être écartés des discussions. Olya est une jeune militante de l’Alliance Démocratique, un mouvement civique qui cherche à interpeller les pouvoirs publiques sur des questions de société. Elle est persuadée qu’on cache quelque chose aux habitants, notamment en terme de santé.
Olya: Nous n’avons pas accès à des informations fiables quant à l’impact de cette odeur sur la santé. Nous ne savons pas combien de personnes sont exposées, nous ne connaissons même pas les risques. Mais nous pouvons voir qu’il y a un risque, pour nos générations et pour les générations futures, pour les femmes enceintes qu’il y a aujourd’hui à Lviv, ceux qui constituent notre jeune société. Cette puanteur a un impact sur notre santé.
Une inquiétude que partage le scientifique Leonid Zdevoruk du cabinet d’analyse « Eko-West » même s’il n’a pas encore toutes les preuves
Leonid: Nous avons parlé à beaucoup de docteurs de la ville, qui expriment tous la même inquiétude pour la santé. Nous n’avons pas de preuves non plus, mais nos analyses des eaux usées ont révélé une concentration remarquablement élevée des gaz Cirkowoden H2S et du méthanethiol CH3SH, qui sont responsables d’allergies notamment.
Au-delà des relations entre municipalité et concitoyens, c’est la réputation de Lviv qui est en jeu. La pollution, les risques sanitaires ne peuvent que peser sur le tourisme et les investissements. La ville ambitionne de devenir une métropole européenne moderne et incontournable dans les années à venir. Mais pour ce faire, elle doit soigner sa réputation, une réputation, pour le moment, aux relents nauséabonds.
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**Univers de science-fiction dystopique :**
Dans une mégapole futuriste, la cité de Novalys est réputée pour son architecture ultramoderne, ses technologies avancées et son haut niveau de vie. Pourtant, une odeur pestilentielle émane des systèmes de recyclage des déchets, contaminant l’atmosphère et menaçant la santé de ses citoyens. La population, consciente de l’origine défaillante de ce problème, se mobilise en silence, car la gouvernance centralisée refuse de prendre ses responsabilités. Un mouvement citoyen, mené par l’ingénieure Talia, se forme pour attirer l’attention sur cette crise invisible, car la gestion des eaux usées, héritée d’un passé désuet, est devenue un enjeu de survie. La municipalité, sous influence des grandes corporations, préfère nier la gravité, laissant la population exposée, pendant que la pollution, sous forme de gaz toxiques, s’accumule dans l’air, compromettant la santé collective. La question n’est plus seulement technique, mais éthique : doit-on accepter que l’intérêt économique prime sur la santé publique, ou devons-nous réinventer un système qui priorise la vie et la transparence ? La ville aspire à devenir un modèle de civilisation avancée, mais son avenir est compromis par un secret toxique, un relent de négligence qui ronge ses fondations.
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**Univers de fantasy médiévale :**
Dans le royaume d’Eldoria, la cité de Luminara est célèbre pour ses ruelles pavées, ses marchés colorés et ses guildes prospères. Pourtant, une odeur pestilentielle s’élève des égouts anciens, construits par les bâtisseurs d’autrefois et tombés en désuétude. Les habitants, bien qu’attachés à leur cité, ressentent le malaise et la menace pour leur santé, mais les seigneurs et conseillers préfèrent détourner le regard, préférant préserver leur pouvoir plutôt que de réparer l’ouvrage ancestral. La jeune héroïne, Tanya, inspirée par la sagesse des anciens et le courage des justes, rassemble ses compagnons pour faire entendre leur voix. Elle crée une assemblée, manifeste dans la place centrale de la cité, afin d’attirer l’attention des nobles. Les anciens sages, comme Zenoviy, expliquent que la cité repose sur des canalisations antiques, où l’eau et les déchets se mêlent, laissant échapper des vapeurs toxiques. Les seigneurs, guidés par l’intérêt, refusent de restaurer ces ouvrages, arguant que seul le pollueur doit payer, et que la cité doit continuer à prospérer sans coûts excessifs. La population, inquiète, sait que cette nuisance pourrait déchirer leur santé et leur avenir, et que le secret derrière cette odeur cache une vérité plus profonde : la cité doit choisir entre le confort de l’oubli et la justice de la santé. Eldoria, ambitieuse de briller parmi les royaumes, se trouve aujourd’hui en proie à un relent de corruption et de négligence, menaçant sa réputation plus que ses murailles.
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**Thèse commune dans les deux univers :**
La ville, en dépit de sa modernité apparente ou de sa grandeur historique, est en proie à une défaillance fondamentale dans la gestion de ses systèmes de traitement des eaux usées, dont l’ignorance et le déni mettent en danger la santé de ses citoyens. La responsabilité du pouvoir, qu’il soit étatique ou monarchique, doit être engagée, car la priorité doit être la santé publique et la transparence, plutôt que le silence complice ou la recherche de profits. La véritable modernité ou la vraie noblesse réside dans la capacité à reconnaître ses erreurs, à agir pour le bien commun, et à ne pas laisser la négligence, symbolisée par cette odeur nauséabonde, contaminer l’avenir.
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Le plan de séduction de Maniac High
Gunwitch ne fut pas ma seule inspiration durant mon apprentissage de la séduction. Un auteur que j’aime bien, qui est assez méconnu, c’est celui qui porte le pseudo Maniac High. Un américain-canadien vivant au Japon, il a développé sa propre méthode au cours de années, quoique je remarque à la longue que les concepts se rapprochent beaucoup de ceux de Gunwitch – en fait, je remarque ça parmi toutes mes inspirations, ce qui me prouve que ce sont des concepts assez universels…
Voici un plan pur séduction comme je les aime, axé sur le résultat, mais aussi sur les bons états d’esprit à obtenir et une bonne compréhension des dynamiques hommes-femmes.
Tous droits réservés. Pour usage personnel seulement. Ce document, ni aucune portion du document, ne peut être ni reproduit ni recopié sans permission explicite accordée par les détenteurs des droits d'auteur.
Alors voici enfin, pour vous puceaux et nouveaux, le guide que vous ne trouverez nulle part ailleurs! Le petit guide de Maniac High qui vous explique comment attraper, séduire et baiser une fille.. Le guide parfait pour ceux qui ne savent pas comment s'y prendre.
ATTENTION: CECI FONCTIONNE! VOUS M'ABSOLVEZ DE TOUTE RESPONSABILITÉ POUR CE QUI POURRAIT VOUS ARRIVEZ SI VOUS SUIVEZ CE GUIDE! UTILISEZ-LE À VOS PROPRES RISQUES! CECI EST EXPÉRIMENTAL!
Notez que ce guide est très condensé. Bien que ceci puisse vous aider à démarrer votre séjour dans le monde de la séduction, il y a bien plus que ça à apprendre afin de la maîtriser! Pour en apprendre plus, visitez le site de Maniac, ou les différents forums (VLJ, FTS, mASF, etc).
Sans plus tarder, voici donc en gros ce que vous devez faire, en étapes simples et claires:
En résumé:
- l'approche
- l'isolation
- le confort
- l'humour
- l'imagination, l'excitation sexuelle
- le kino (toucher toucher toucher!)
- embrasser et baiser
En détail:
A) L'approche: rencontrer la fille et faire bonne impression:
- parlez avec une bonne tonalité claire et profonde
- maintenez un bon contact visuel
- bon contact visuel, et peut-être un petit sourire en l'approchant lentement.. donnez-lui un compliment (si elle n'est pas si belle, ou si elle est très belle, ne lui donnez pas un compliment sur son corps ou son apparence physique!) / présentez-vous
- une autre chose qui fonctionne, si vous êtes avec un wingman (un mec avec qui vous draguez), c'est de parler à propos d'elle mais assez fort pour qu'elle entende (ex "putain ce miniskirt est COURT!"). Elle va vous entendre et vous regarder, et de là vous pouvez continuer à lui parler.
- Parlez (tu viens d'où, t'habites près d'ici, tu travailles près d'ici? etc etc etc). Un peu d'humour et de farces peut-être pour alléger l'atmosphère.. La prochaine étape ne fonctionnera pas si elle se met sur la défensive!
- Maintenant, demandez-lui d'aller boire ensemble sur-le-champ! (café, etc) pour continuer à parler
- Si elle est occupée, prenez son numéro. Si elle vous demande pour votre numéro, refusez, insistez d'avoir le sien ou dites-lui d'oublier tout ça. Faites-en une farce si vous voulez "tu n'appelleras pas hein.. tu vas juste montrer mon numéro à toutes tes amies et l'ajouter à ta collection de trophées, ou bien le jeter après t'être vantée d'avoir eu un autre! n'est-ce pas ".. Soit elle va vous donner le sien, ou au moins.. faites un échange. Sinon tant pis, elle n'appellera pas, donc passez à la prochaine fille!
- Si vous donnez votre numéro, vous êtes suppliant, vous l'avez laissée prendre le contrôle... et c'est ennuyant pour une fille, ce n'est pas excitant d'être en présence d'un homme qu'elle peut contrôler à sa guise, même si elles ne l'admettent pas ouvertement!
B) L'isolation
- rencontrez-la quelque part, pas trop loin de chez vous pour que ce soit plus facile rentrer avec elle.. Rencontrez-la plus tard lorsqu'elle est seule (pas avec ses amies), ou sur-le-champ si elle a accepté votre invitation pour le café/bière/etc. Préférablement, rencontrez-la après 20h, après le dîner/meeting/classe -- pourquoi dépenser de l'argent sur un dîner avec elle maintenant??? Elle n'a pas mérité ce genre d'attention de votre part encore!!!
Et de plus, un dîner... c'est encore ENNUYANT pour une fille, elle peut faire ça n'importe quand avec n'importe quel mec ennuyant... Allez dîner avec elle une fois que vous l'aurez baisée, ce sera bien plus excitant...
En plus, un simple café, ça ne prend pas de temps.. Si elle est ennuyante ou perd votre temps, vous pourrez l'éjecter après 15-20 minutes de conversation.. Pas besoin de rester jusqu'à la fin du dîner avec une fille moche, et ça n'aura pas coûté aussi cher...
- Dès le moment que vous la rencontrez, commencez à la toucher.. Embrassez-la sur la joue (facile pour vous les français et pour nous les montréalais, mais bon ce guide était écrit par un canadien habitant le Japon!). Si elle ne semble pas vouloir vous embrasser sur la joue, continuez à sourire, donnez-lui une accolade (hug???), et pointez votre joue avec votre doigt.. Cela commence la soirée sur le bon pied, donne le bon ton pour le restant de la soirée.
- Choisissez une place où vous pourrez vous asseoir à côté d'elle, pas en face d'elle avec une table entre vous deux! Si vous êtes à côté d'elle, vous pouvez vous approchez, la toucher, etc. Avec une table entre vous deux vous ne pourrez pas, et c'est beaucoup plus formel.
- Le but de cette rencontre, au minimum, c'est de la faire rire et de commencer à la toucher beaucoup, être en mesure de se prendre la main, et même s'embrasser (french kiss!) à la fin de la rencontrer. Et si les choses vont vraiment bien, ramenez la chez vous pour baiser au lieu d'attendre à la prochaine rencontre... Ou bien gardez la baise pour la prochaine rencontre, lorsque vous l'invitez pour dîner chez vous.
- Bon, durant cette soirée au bar/café, parlez-lui de son travail, de ses rêves.. Trouvez ses valeurs (ce qu'elle recherche, émotionnellement, dans la vie et chez les hommes). Placez-vous dans une bonne lumière qui correspond à ces choses.
- Racontez-lui des histoires qui font travailler son imagination, parlez d'aventures, de sa relation idéale (découvrez si c'est ce qu'elle recherche, ou si elle veut juste le sexe... vous verrez par sa réaction), des émotions qu'elles ressent en elle lorsqu'elle rencontre quelqu'un de neuf, comment c'est magique de faire des nouvelles rencontres, blablabla. Si elle n'est pas du type "relation", parlez d'amitié, à quel point c'est merveilleux d'êtres amis (tout en continuant à la toucher, car la vraie conversation se passe sur ce niveau!)
- Continuez à maintenir le contact visuel, écoutez ses mots qui indiquent son mode de pensée (visuel, auditif, kinesthésique... les mots qu'elle emploie pour décrire ses émotions et ses pensées) et réutilisez ces mots dans vos propos.
- Continuez avec l'humour, continuez à diriger ces pensées vers une humeur plus romantique (ex: "je parie qu'avec un miniskirt comme celui-là, les gars te donnent beaucoup d'attention hein? blablabla")
- Demandez-lui à propos de ses ex (ceci vous donne des indices sur quel genre de mec l'a séduite avant, quel genre de comportement, etc!)
- Pendant ce temps, lorsqu'elle rie, touchez ses hanches, ses épaules, son dos, de manière ferme mais douce... Ne touchez pas ses mains ou ses cuisses tout de suite, à moins qu'elle ne soit déjà en train d'initier des attouchements et de se rapprocher. C'est autoritaire, et elle va respecter votre autorité et votre prise en charge. TOUCHEZ-LA SOUVENT!
- Continuez à parler, à raconter plus d'histoires (je parle souvent à propos de mon "amie, qui est une vraie playgirl, elle aime trouver des hommes mariés et coucher avec eux... peux-tu croire ça.. heh as-tu déjà fais ça un plan cul blablablablablabla")
- Je continue avec l'histoire de mes collègues saoules, qui lors d'un dîner après le travail alors que je demandais qui avait déjà fait un ménage-à-trois.. elles ont TOUTES levé leur main!! Et elles ont toutes commencé à raconter ce qu'elles faisaient avec leur copain (cosplay, BDSM, etc)... As-tu déjà eu un copain comme ça?
- Jugez de ses réactions à ces histoires (NB: Maniac High aime les filles de ce genre.. Racontez des histoires qui correspondent à ce que VOUS recherchez!), cela vous dira ce qui l'intéresse ou non
- Elle vous demandera sûrement à propos de vos ex-copines, alors racontez-lui de bonnes histoires.
- Si vous manquez d'histoires, inspirez-vous des comptes-rendus de ce site ou d'autres forums.
- Encore, à chaque fois que vous riez, placez votre main sur son épaule, ses hanches, peut-être même doucement sur ses cuisses maintenant. Doucement mais avec autorité. KINO!
- Demandez-lui si elle savait qu'aux États-Unis, les romans "romances" vendent plus que les magazines pornos pour hommes? Une de mes amies m'a dit qu'en fait ces romans sont l'équivalent féminin de la pornographie.. tu sais.. comme quand une femme rencontre l'homme idéal... et soudainement c'était comme si tout tombait en place blablabla et elle ne pouvait pas croire comment elle se rapprochait de lui si rapidement blabl..blabla.."
- Qu'est-ce qu'elle aimait/n'aimait pas chez ses ex? Élaborez sur les FEELINGS, les bons feelings... et sur les mauvais, que tu n'aimes pas quand ça arrive et c'est tellement mieux quand YYYY (bon feeling déjà mentionné...
- Demandez-lui comment elle sait qu'elle fait une rencontre spéciale, ou quand quelqu'un devient un copain? Parlez de ces étapes, encore mieux, PASSEZ CES ÉTAPES!! Faites-lui visualiser cette relation idéale, ou un temps idéal, avec un gars
- Terminez vos breuvages!
- en les finissant, tout en parlant, touchez-lui les épaules, ou ses cuisses (quand elle est assise à vos côtés, c'est bien plus facile!), avec encore plus de fréqence.
- faites un peu de chiromancie bidon, et ce faisant, commentez sur la douceur de sa peau, qu'elle ne fait probablement jamais la vaisselle.. n'importe quoi
- demandez-lui quelle genre de met elle aime préparer (cela plante l'idée qu'elle pourra venir chez vous plus tard pour dîner, si elle ne vient pas ce soir)
- Plaisantez que vous pourriez cuisiner ça ensemble
- Tout au long de la soirée, ne soyez pas trop gentleman.. Soyez plus amical avec vots mots et votre tonalité, mais touchez-la beaucoup! Vous n'êtes pas en train de la courtiser/pourchasser.
- Fini les breuvages, faites en sorte qu'elle paie le si si vous pouvez (si elle veut payer son propre breuvage, laissez-la! ne payez pas, c'est suppliant, vous vous êtes tout juste rencontrés, et pour une soirée molo en plus, c'est pas un rencard!)
- Si ça va très bien jusqu'ici, suggérez d'aller chez vous pour admirer votre collection de plantes/disques/jouer du piano/café gourmet/vin/etc. N'IMPORTE QUELLE EXCUSE!
- Si elle n'est pas encore prête, passez à l'étape C.
C) La préparer à vouloir baiser
- Maniac a découvert que cette préparation est PRIMORDIALE (embrasser/toucher) avant de rentrer chez moi. Sans ça, elle devient souvent tendue/froide rendue chez vous. Aller chez vous c'est une RÉCOMPENSE pour sa docilité et sa sexualité..
- Après les breuvages, sortez pour marcher. Offrez-lui votre bras, votre coude (Maniac l'appelle "style français" ), et escortez-la de cette manière. C'est plus intime!
- Si tout s'est bien passé jusqu'à date, elle sera confortable avec ceci et prendra volontiers votre coude. Si elle n'est pas confortable, vous avez une fille étrange sur vos mains, une paranoïaque, et vous n'irez pas loin avec elle. Terminez votre soirée vite pour éviter de perdre votre temps!
- Tentez de prendre sa main (par exemple, en vous arrêtant à une vitrine pour regarder quelque chose, et quand vous reprenez la marche prenez-lui la main). En lui tenant la main, frottez-la légèrement. Voyez si elle le fait aussi de manière réciproque. Si oui, c'est le temps de l'embrasser!
- Dirigez-vous vers un endroit pas trop achalandé, mais pas dangereux (un parc, un banc) et regardez-la dans les yeux tout en tenant sa/ses main(s), et demandez-lui simplement "veux-tu m'embrasser". Tout sauf un NON clair et direct = allez-y, embrassez!!!
- Au pire, dites "ok, voyons voir..." et allez-y!! Un court baiser suffit, terminez-le en premier et dites-lui "hm c'était bon.. un autre..." et allez-y encore. Au début, sur les lèvres simplement et doucement, et plus tard avec la langue lorsqu'elle commence à ouvrir la bouche pendant qu'elle vous embrasse.
- Si tout ça va bien, pendant que vous l'embrassez vous pouvez commencer à faire balader vos main un peu. S'il n'y a pas de résistance à ça, PASSEZ À L'ÉTAPE E tout de suite!!! C'est le temps pour baiser!!
- Sinon, continuez à l'étape D
D) Plus de préaration:
- Continuez à marcher avec elle.. Elle devrait maintenant être habituée à prendre votre bras ou votre main de sa propre volonté maintenant, si tout va bien jusqu'à date.
- Continuez à marcher, à raconter des histoires, à lui faire visualiser des bonnes choses..
- À un certain point, éclipsez-vous (pour aller aux toilettes par exemple), et lorsque vous revenez, voyez si elle reprend votre main par elle-même. Elle le devrait si vous avez tout bien fait jusqu'à date. Sinon, continuez avec des histoires et des visualisations sur l'amour/l'attirance/relations/excitations/etc.
- Si tout va bien, embrassez-la dans un parc, en lui racontant quelque chose à propos des romances inattendues, et lui demandant quelle genre de personne elle est... Sa réponse vous dira si elle est prête à vous embrasser.
- Si vous ne pouvez pas encore l'embrasser, vous aurez encore une chance plus tard en lui disant bonne nuit, à la fin de la rencontre, si vous n'arrivez pas à la baiser cette nuit.
- Continuez à marcher, et escortez-la vers son auto/station/etc.
- Donnez-lui un baiser doux et lent si elle vous a déjà embrassé plus tout, sinon un baiser rapide surs les lèvres et remerciez-la, vous vous êtes amusé cette soirée (si c'était vraiment amusant! ne mentez pas surtout si elle était l'une de ces filles étranges avec qui vous perdriez votre temps...)
- Si elle semble prête à ramener chez vous, dites-lui que vous avez des photos/peintures/café/spaghetti/etc etc etc à partager avec elle, si elle veut venir. Elle dira peut-être non la première fois, mais soyez persistant et insistez (5 minutes avant d'abandonner)
- Notez que plusieurs filles ne voudront pas baiser lors de la première rencontre et peuvent refuser. Si elle ne semble pas vouloir venir CE SOIR, c'est correct, finissez la soirée et vous la rencontrerez plus tard.
- Une "technique" puissante serait simplement de lui dire "allons-y" sans lui dire où vous allez. Si elle vous demande où vous allez, dites-lui simplement que vous l'amenez chez vous pour passer plus de temps ensemble, pour mieux se connaître.
- Et ne parlez plus de votre prochaine rencontre. Peut-être pensera-t-elle qu'elle n'a pas fait quelque chose de bien, elle se demandera pourquoi vous ne parlez pas d'une autre rencontre...
- Mais si les choses vont vraiment bien, vous n'avez qu'à l'inviter pour jouer du piano/etc, soit immédiatement, soit demain soir. CHEZ VOUS.
- Si ça n'allait pas si bien que ça, ne vous inquiétez pas, vous devrez juste travailler un peu plus. Appelez-la dans un jour ou deux, dites-lui que vous aimeriez la rencontrer à nouveau, et fixer le rendez-vous:
- si vous l'avez embrassée dans le parc, invitez-la pour dîner
- sinon, invitez-la encore pour boire un café/bière encore, après 8pm, et commencez tout de suite à la toucher dès le début, embrassez-la durant la soirée, et ramenez-la chez vous le plus tôt possible (et elle devrait, vu qu'elle a accepté de vous voir encore!)
E) Chez vous:
- Quand elle arrive, embrassez-la tout de suite si vous pouvez, et prenez sa main.
- C'est important, cela donne le ton au restant de la soirée. Vous DEVEZ le faire aussitôt qu'elle arrive.
- Ensuite, prenez sa main ou son bras, et recommencez vite-vite la séduction du début, car elle aura peut-être perdu son humeur romantique/excitée depuis la dernière fois. Vous pouvez passer par les étapes rapidement, raconter quelques histoires, essayer de l'embrasser encore, et ainsi de suite - avant d'arriver chez vous s'il le faut, afin qu'elle se rappelle pourquoi elle va chez vous, et qu'elle se sente confortable avec ça
Cela peut vous paraître étrange d'avoir besoin de tout reprendre du début, mais il faut le faire, c'est la nature des femmes, faut la ramener dans le même état d'esprit qu'elle était la dernière fois..
- Donc encore, "tu veux m'embrasser?" ou "je veux t'embrasser..." si elle résiste, "juste un petit bec". Aussitôt qu'elle entre! Si elle résiste trop, ou n'est pas encore dans la bonne humeur, commencez avec le dîner ou la pizza, et passez à ça plus tard lorsqu'elle sera confortable.
- Dîner (avec musique douce peut-être, chandelles.. ou commandez cette pizza et regardez le film dans le salon, en vous asseyant à côté d'elle afin de pouvoir la toucher). Si vous cuisinez, faites la même chose, mangez dans le salon assis à côté d'elle en regardant un film. La table à manger c'est pas bon, car encore elle ne s'assoira probablement pas à vos côtés.
- Après le dîner ou pendant, embrassez encore, continuez à la toucher.. Puis on long baiser..
- Pour initier ça, demandez lui si elle est le genre romantique, ou encore la ligne de Mystery "veux-tu m'embrasser?" Quand elle dit oui (et si elle ne dit pas oui, vous avez un problème, revenez en arrière pour la mettre dans le bon état!), ne dites rien, et commencez à l'embrasser. Légèrement, sur les lèvres au début, puis avec la langue, des baisers plus longs, etc.
- Ok, maintenant on peut aller vers le SEXE!
F) Comment progresser de là jusqu'au sexe...
- NE PLUS PARLER À PARTIR DE MAINTENANT!
- French kiss (30 secondes)
- Passez de ses lèvres à son cou.. ses oreilles.. laissez vos mains se balader vers ses seins. Par-dessus ses vêtements, pendant que vous l'embrassez.
- Si ça marche ici, continuez, embrassez son cou, sa gorge, et de retour vers les oreilles.
- sinon, embrassez-la plus doucement, taquinez-la un peu, ne soyez pas nerveux.. Revenez en arrière puis continuez à avancer.. Il vous faudra peut-être 4-5 essais avant de pouvoir aller plus loin.
- Les oreilles des filles sont très sensibles, et pendant que vous l'embrassez/lichez, soulevez son chandail/son couvre-gorge, embrassez-la sur les épaules, autour des seins, juste un petit peu, puis allez ailleurs avec vos lèvres.. Continuez ce va-et-vient en vous rapprochant graduellement de ses seins, alors qu'elle devient de plus en plus excitée.
- C'est ici souvent qu'elle va se refroidir un peu et vous demandez si elle vous plaît vraiment, si vous l'usez seulement pour le sexe. Dites-lui que votre vie a changé depuis que vous l'avez rencontrée, ou que c'est étrange à quel point vous êtes confortable avec elle, et que c'est si spécial et inattendu, et c'est pourquoi vous vouliez la voir à nouveau... Et continuez à l'embrasser!
- Finalement vous en arrivez aux mamelons, un petit bec rapide ou mordez légèrement puis revenez ailleurs, gardez ce rythme, adaptez-le à la musique ou à la situation. Ne parlez pas!
- revenez vers son cou, caressez ses seins et sa poitrine avec vos mains, revenez les embrasser en plaçant vos mains ailleurs sur son corps.
- Continuez à l'embrasser sur son cou, ses lèvres, ses seins, ses mamelons, en lassant vos mains se promener sur son corps, laissez-en une passer rapidement entre ses jambes pour voir comment elle réagit (un peu de résistance, c'est normal! Ignorez cette résistance)
- Puis commencez à la stimuler avec votre main, à travers ses pantalons/son skirt.
- Puis encore avec votre main, entrer dans ses pantalons et stimulez-la doucement
- Elle sera sûrement très excitée maintenant si vous avez bien suivi la séquence sans brûler des étapes.
- Et maintenant, enlever ses pantalons (ne lui demandez pas, faites-le simplement, n'oubliez pas vous ne parlez déjà plus depuis que vous l'avez embrassée durant le dîner! L'expérience sera irréelle pour elle, avec la musique, les chandelles, et les sensations, et vous voyant sur elle comme ça.. Ne brisez pas cette expérience en lui parlant ou lui demandant de faire travailler sa logique!)
- Je répète encore.. Ne lui demandez pas si vous pouvez la toucher ou la baiser, FAITES, tout au plus dites-lui "je te veux" ou "je veux qu'on se sente plus proches l'un de l'autre"
- Voyez sa réaction. C'est normal qu'elle résiste, mais si elle a l'air en colère, ou qu'elle s'énerve visiblement, revenez en arrière quelques étapes, et continuez à progresser après quelques minutes. Répétez autant de fois que nécessaire. Si vraiment elle n'aime pas ça, elle ne restera pas là. Et si ça arrive, laissez-la partir, si elle ne part pas faites-la partir! Vous avez une fille trop étrange sur vos mains, ne perdez pas votre temps!
- Aussi, ignorez TOUT ce qu'elle dit. Elle dira probablement qu'elle ne veut pas faire ça maintenant, blablabla. Ignorez tout ce charabia. Écoutez seulement son langage corporel, car LUI ne mentira pas, alors que ses mots vont vous mentir. Malgré ce que toutes les féminazis disent, une fille aime se faire conquérir, elle aime se sentir comme si elle n'avait pas eu de choix...
- Continuez, embrassez sa région génitale, et partout ailleurs, soyez doux, observez et apprenez ce qu'elle aime et n'aime pas dans la manière que vous la toucher et que vous l'embrassez. Chaque fille est différente et unique, et vous devrez donc le découvrir..
- Une fois que vous savez ce qu'elle aime, continuez, avec mots mains et vos lèvres jusqu'à ce qu'elle devienne folle d'extase
- Stimulez son vagin avec vos doigts, continuez à l'embrasser, à lui masser les seins avec votre autre main, etc.. Puis prenez un condom (qui était déjà prêt, pas loin n'est-ce pas? Vous y avez pensé??)
- Continuez continuez puis pénétrez la, et amusez-vous jusqu'à l'orgasme! Pas besoin de vous en dire plus pour cette étape hein?
G) NOTES UTILES
- Voyez si elle est vraiment bonne à ça.. Certaines seront plus confortables la 2e ou 3e fois, donc n'hésitez pas à coucher avec elle encore quelques fois pour voir si elle vous plaît.
- Maintenant, vous pourrez décider quelle sorte de relation vous désirez avec elle, si vous en voulez, et vous pourrez débuter cette relation.
- AVERTISSEMENT: n'essayez pas de développer une relation avec une fille avant de coucher avec elle. Car dans ce cas, vous serez tout confus, lorsqu'elle décidera qu'elle aime la relation (non-sexuelle) que vous avez déjà et qu'elle ne voudrait pas la ruiner avec le sexe...
- DONC: sexe en premier, et ensuite il n'y a plus de risque de ce côté, et seulement LÀ vous pouvez décider si vous voulez entamer une relation ou non avec cette femme.
En tout cas, si vous êtes bon au lit (et vous le serez aisément si vous portez attention à elle soigneusement pour voir ce qu'elle aime et n'aime pas --- et non pas écouter ce qu'elle dit), elle voudra une relation avec vous, et ce sera donc à VOUS de décider si vous en voulez une ou non, ou si vous voulez simplement la voir quelques autres fois pour vous satisfaire mutuellement, si elle n'est pas trop votre type, ou si vous ne vous accordez pas trop bien...
- Les filles veulent RÊVER... Donnez-lui ce rêve, faites-lui vivre se rêve, et elle sera à vous!
- Et c'est comme ça qu'on fait ça, mes amis!
Règles importantes
LE GARS DOIT TOUT FAIRE! IL DOIT FAIRE AVANCER LES CHOSES À CHAQUE ÉTAPE!!! La femme, sauf si elle est laide ou désespérée, LE FERA RAREMENT! Même si vous lui plaisez, elle ne fera rien, en fait elle pensera que vous n'êtes pas intéressé si vous ne faites rien.. Et elle vous laissera tomber! OU ENCORE PIRE, elle voudra simplement être votre amie.. Et là.. Vous devenez son petit jouet ET VOUS NE SEREZ JAMAIS SON COPAIN! Les filles veulent se faire conquérir, ne pas avoir de choix.. C'est la seule manière qu'elle peuvent éviter de se sentir comme une PUTE.
Et l'autre règle:
SEXE EN PREMIER, ET ENSUITE (PEUT-ÊTRE) UNE RELATION. Jamais JAMAIS JAMAIS dans l'ordre inverse. Si vous lui donnez une relation AVANT le sexe, VOUS N'AUREZ JAMAIS CE SEXE! Elle vous racontera tous ses problèmes, elle vous marchera dessus, elle ne voudra pas ruiner votre "relation spéciale" avec le sexe!!! Et pendant ce temps, UN AUTRE MEC DEVIENDRA SON VRAI COPAIN!
FUCK THAT!
Si vous vous occupez trop des feelings d'une fille, sans prendre en compte les vôtre, vous n'aurez jamais de succès avec les femmes, et elles voudront seulement être vos amies... Concentrez-vous sur ce que vous voulez, et si elles l'acceptent, si elles vous acceptent comme vous êtes, elles seront dignes d'être avec vous.
Apprenez ces attitudes et ces techniques, et rendez les femmes heureuses ainsi!
Maniac High
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Le schéma de séduction élaboré par Maniac High
Gunwitch ne représenta pas ma seule source d'inspiration lors de mon apprentissage des techniques de drague. Un auteur que j’apprécie particulièrement, mais qui reste assez peu connu, c’est celui utilisant le pseudonyme Maniac High. Originaire des États-Unis ou du Canada, résidant au Japon, il a mis au point sa propre méthode au fil des années. Cependant, je remarque avec le temps que ses concepts se rapprochent énormément de ceux de Gunwitch — en réalité, c’est une tendance que je perçois dans toutes mes sources d’inspiration, ce qui me confirme que ces idées sont assez universelles...
Voici un plan de séduction typique, que je préfère : orienté vers le résultat, mais aussi axé sur les bonnes attitudes mentales à adopter et sur une compréhension approfondie des dynamiques entre hommes et femmes.
Tous droits réservés. Usage strictement personnel. Ce document, ou toute partie de celui-ci, ne peut être reproduit ou copié sans l’autorisation explicite des détenteurs des droits d’auteur.
Voici enfin, pour les débutants et ceux qui manquent de confiance, le guide unique en son genre ! Le petit manuel de Maniac High qui vous montre comment attirer, séduire et coucher avec une fille… Le guide idéal pour ceux qui ne savent pas comment s’y prendre.
ATTENTION : CECI EST EFFICACE ! VOUS ÊTES RESPONSABLE DE TOUT CE QUI PEUT VOUS ARRIVER SI VOUS SUIVEZ CE GUIDE ! UTILISEZ-LE À VOS RISQUES ! CECI EST UNE EXPÉRIENCE !
Notez que cette synthèse est très condensée. Même si elle peut vous aider à débuter dans le monde de la séduction, il y a bien plus à apprendre pour la maîtriser totalement ! Pour approfondir, consultez le site de Maniac ou explorez les forums (VLJ, FTS, mASF, etc.).
Sans plus attendre, voici un résumé clair et simple des étapes à suivre :
En résumé :
- l’approche
- l’isolation
- la mise à l’aise
- l’humour
- l’imagination et l’excitation sexuelle
- le kino (le toucher, encore et encore !)
- embrasser puis faire l’amour
Détaillons :
A) L’approche : rencontrer la fille et faire bonne impression :
- Parlez d’une voix claire et profonde
- Maintenez un contact visuel soutenu
- Accompagnez cela d’un léger sourire en vous approchant lentement… Faites-lui un compliment (évitez de complimenter son corps ou son apparence si elle n’est pas particulièrement belle, ou si elle l’est déjà beaucoup). Présentez-vous.
- Si vous êtes avec un ami qui vous accompagne (wingman), parlez à son sujet mais assez fort pour qu’elle vous entende (ex : « Putain, cette mini-jupe est COURTE ! »). Elle vous remarquera, et vous pourrez poursuivre la conversation.
- Posez des questions simples : d’où viens-tu ? Tu habites dans le coin ? Tu travailles pas loin ? Ajoutez une touche d’humour ou de plaisanterie pour détendre l’atmosphère… La prochaine étape ne fonctionnera pas si elle se met sur la défensive !
- Proposez-lui de continuer la discussion autour d’un café ou autre boisson, immédiatement.
- Si elle est occupée, demandez son numéro. Si elle vous demande le vôtre, refusez poliment, insistez pour avoir le sien ou suggérez d’oublier tout ça. Faites une blague : « Tu n’appelleras pas hein… Tu vas juste montrer mon numéro à tes copines, l’ajouter à ta collection de trophées ou le jeter après t’être vantée d’avoir eu un autre… » Soit elle vous donne le sien, soit, si ce n’est pas le cas, passez à la suivante.
- Si vous donnez votre numéro, faites-le avec insistance, en laissant la fille prendre le contrôle… C’est moins excitant pour elle d’être en position de contrôle, même si elle ne l’admet pas.
B) L’isolation :
- Rencontrez-la dans un lieu pas trop loin de chez vous, pour faciliter la suite. Si possible, faites cela quand elle est seule (et non entourée d’amies), ou juste après qu’elle ait accepté votre invitation pour un café ou une bière. Idéalement, après 20h, après un dîner ou une activité : pourquoi dépenser de l’argent pour un dîner si vous n’avez pas encore assez avancé ? Une simple rencontre autour d’un café est plus rapide, moins coûteuse, et plus adaptée à la phase de flirt.
- Dès que vous la voyez, commencez par la toucher : un bisou sur la joue (plus facile pour nous, les français ou montréaliens, mais peu importe, c’est une habitude courante). Si elle ne veut pas, continuez de sourire, faites-lui une accolade, ou touchez doucement sa joue avec votre doigt… Cela donne le ton positif pour la soirée.
- Choisissez un endroit où vous pouvez vous asseoir côte à côte, pas face à face avec une barrière (table, etc.). Être côte à côte facilite le contact, la proximité, la touche, etc.
- L’objectif est de la faire rire, de commencer à la toucher fréquemment, de se tenir la main, voire de s’embrasser (French kiss !) à la fin de la rencontre. Si tout se passe bien, vous pouvez la ramener chez vous pour aller plus loin, ou réserver cette étape pour une prochaine fois, lors d’un dîner chez vous.
- Pendant la soirée, discutez de son travail, de ses rêves, de ses valeurs… Essayez de comprendre ce qu’elle recherche émotionnellement chez un homme. Mettez-vous en valeur selon ce qu’elle aime.
- Racontez-lui des histoires qui stimulent son imagination : aventures, rencontres idéales, ses émotions en découvrant quelqu’un de nouveau, à quel point faire de nouvelles rencontres peut être magique. Si elle ne cherche pas une relation sérieuse, parlez d’amitié, de la beauté de l’amitié (tout en continuant à la toucher, car la vraie connexion se fait aussi sur ce plan).
- Maintenez le contact visuel, écoutez ses mots pour comprendre son mode de pensée (visuel, auditif, kinesthésique) et utilisez ses propres termes pour renforcer la connexion.
- Riez avec elle, et orientez cette humeur vers une ambiance plus romantique (ex : « Avec une minijupe comme ça, les gars doivent te courir après, hein… »).
- Abordez ses ex pour recueillir des indices sur ses préférences, ses types de mec, ses comportements passés.
- Pendant qu’elle rit, touchez ses hanches, ses épaules, son dos, de façon ferme mais douce. Ne touchez pas encore ses mains ou ses cuisses, sauf si elle initie. La touche doit marquer votre autorité et votre contrôle.
- Continuez à raconter des histoires, à faire des blagues, à partager des anecdotes (ex : comment une amie a fait un ménage à trois, ou ses expériences BDSM, cosplay, etc.).
- Observez ses réactions pour ajuster votre approche (NB : Maniac High aime ce genre de filles… Racontez des histoires qui correspondent à ce que VOUS cherchez). Si elle évoque ses ex ou ses expériences, cela vous donne des pistes.
- Si elle vous demande vos anciennes copines, faites-lui des récits intéressants.
- Si vous manquez d’histoires, inspirez-vous des forums ou des comptes-rendus.
- Lorsqu’elle rit, posez votre main sur son épaule, ses hanches, ou ses cuisses, toujours avec douceur mais fermeté. Le kino, quoi !
- Demandez-lui si elle savait qu’aux États-Unis, les romans d’amour se vendent plus que la pornographie pour hommes. Expliquez que ces romans sont comme la pornographie féminine, la version romantique du fantasme de l’homme parfait… Tout cela peut l’attirer ou la faire réagir.
- Parlez de ses sentiments passés, de ce qu’elle aime ou n’aime pas chez ses ex, en insistant sur les bonnes émotions et en évitant les mauvaises.
- Demandez-lui comment elle sait qu’une rencontre devient spéciale ou qu’un mec devient son copain. Faites-la visualiser cette relation idéale ou ce moment parfait.
- Quand la soirée touche à sa fin, terminez vos boissons. Tout en parlant, continuez de la toucher : épaules, cuisses, mains… de façon naturelle et régulière.
- Faites semblant de faire de la chiromancie ou de commenter la douceur de sa peau, pour relancer le contact tactile.
- Interrogez-la sur ses goûts culinaires, en laissant entendre qu’elle pourrait venir dîner chez vous plus tard.
- Proposez-lui de cuisiner ensemble quelque chose, pour renforcer la complicité.
- Tout au long de la soirée, évitez d’être trop gentleman formel. Restez amical, naturel, mais surtout, n’hésitez pas à la toucher souvent ! Vous ne la courtisez pas, vous la séduisez.
- Quand la soirée se termine, si elle veut payer son verre, laissez-la faire. Si elle insiste pour payer, laissez-la faire. Ce n’est pas une étape cruciale.
- Si tout s’est bien passé, proposez-lui d’aller chez vous pour continuer la soirée : jouer du piano, regarder un film, boire un verre, ou autre prétexte.
- Si elle n’est pas encore prête, passez à la suite.
C) La préparer à vouloir faire l’amour :
- Maniac a découvert que cette étape (baiser/toucher) doit précéder l’invitation chez vous. Sinon, elle risque de devenir tendue ou froide quand elle arrive chez vous. Aller chez vous, c’est une récompense pour sa docilité et sa sexualité.
- Après avoir bu un verre, proposez une promenade : offrez votre bras ou votre coude (style français) pour une approche plus intime.
- Si tout s’est bien passé, elle sera à l’aise avec cette proximité. Sinon, il vaut mieux écourter la soirée pour ne pas perdre de temps.
- Essayez de prendre sa main (par exemple, en vous arrêtant devant une vitrine, puis en la tenant). Si elle vous laisse faire, c’est un signe qu’elle est prête pour l’étape suivante.
- Guidé par cette main, dirigez-vous vers un endroit tranquille (parc, banc). Regardez-la dans les yeux et demandez-lui simplement : « Tu veux m’embrasser ? » Si la réponse est claire et positive, embrassez-la.
- Commencez par un baiser léger, sur les lèvres. Si cela se passe bien, prolongez avec un baiser plus profond, puis avec la langue si elle ouvre la bouche.
- Si elle résiste ou ne montre pas d’intérêt, continuez doucement, taquinez-la, revenez en arrière si nécessaire, puis réessayez plus tard.
- Les oreilles étant très sensibles, embrassez-la autour, soulevez son col ou son haut doucement, puis descendez vers ses épaules, ses seins, ses mamelons (légèrement), tout en restant dans la progression.
- Faites monter la tension en vous rapprochant de ses parties plus intimes, tout en restant doux, en observant ses réactions.
- Si elle semble de plus en plus excitée, continuez en la stimulant doucement, en utilisant votre main (au-dessus de ses vêtements) ou en passant à l’intérieur, selon ses réactions.
- N’oubliez pas : ne lui demandez pas si vous pouvez faire quelque chose, faites-le simplement. La fille aime se sentir conquise, qu’elle n’ait pas vraiment le choix.
- Observez ses gestes et son langage corporel. Si elle résiste ou est contrariée, faites une pause, revenez en arrière, puis essayez plus tard.
- La clé est de continuer à la toucher, à l’embrasser, à stimuler ses zones erotiques, tout en étant attentif à ses signaux.
- Lorsqu’elle est à fond, utilisez un préservatif déjà prêt, et passez à l’acte.
- Continuez jusqu’à l’orgasme, en étant doux et attentif à ses réactions.
D) Conseils utiles :
- Vérifiez si elle est vraiment à l’aise avec ça… Certaines deviennent plus confiantes après quelques essais. Ne vous arrêtez pas après une seule tentative.
- Ensuite, vous pourrez décider si vous souhaitez poursuivre une relation ou simplement profiter de l’instant. La majorité des filles préféreront d’abord le sexe, puis une relation éventuelle.
- Mise en garde : ne cherchez pas à établir une relation sérieuse avant d’avoir couché avec elle. Sinon, vous risquez de vous retrouver déstabilisé quand elle vous dira qu’elle préfère la relation sans le sexe, ou qu’elle ne veut pas tout gâcher.
- En résumé : le sexe doit précéder toute démarche relationnelle. C’est la seule façon d’éviter qu’elle vous considère comme un simple ami ou un plan cul.
- Si vous maîtrisez bien la partie sexuelle, elle voudra probablement une relation, mais c’est à vous de décider si vous souhaitez continuer ou pas.
- Les femmes ont besoin de rêver… Donnez-leur cette possibilité, faites-leur vivre leur rêve, et elles seront à vous.
Et voilà la méthode ultime, mes amis !
Les règles importantes :
- LE GARÇON doit prendre l’initiative en permanence. Il doit faire avancer chaque étape. La femme, sauf si elle est particulièrement peu attirante ou désespérée, ne le fera que rarement. Même si elle vous trouve séduisant, elle ne prendra pas l’initiative. Elle pensera que vous n’êtes pas intéressé si vous ne faites rien et finira par vous lâcher ou vous considérer comme un simple ami. La conquête ne se fait que par l’homme.
- La règle d’or : SEXE d’abord, puis éventuellement relation. Jamais dans l’ordre inverse. Si vous proposez une relation sans avoir couché, vous n’obtiendrez jamais le sexe. Elle vous parlera de ses problèmes, vous ignorera, ou préférera une autre relation. Pendant ce temps, un autre homme la conquérera vraiment.
FOUTRE que ça ! Si vous vous concentrez uniquement sur ses sentiments, vous risquez de ne jamais réussir. Soyez vous-même, ne vous excusez pas, et n’oubliez pas : c’est le sexe qui donne le pouvoir de choisir.
Apprenez cette philosophie, appliquez-la, et faites vivre leur rêve aux femmes. Voilà comment on procède, mes amis !
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Alors que l'Australie appelle à l'arrêt de la pêche "scientifique" à la baleine, un universitaire américain propose un scénario original susceptible de stopper l'hécatombe.
Professeur à l'université du Maine (Etats-Unis), Andrew Pershing n'est pas un poète. Mais depuis qu'il a qualifié les baleines de "forêts des océans", certains confrères s'interrogent sur sa métaphore.
En séminaire avec ses pairs, le chercheur vient de préciser sa pensée. Il a expliqué que son équipe avait calculé la capacité de CO2 annuellement stocké par un cétacé, puis relié celle-ci au nombre de campagnes de pêches menées au cours d'une centaine d'années. Résultat: l'harponnage des baleines aurait entraîné une déperdition de CO2 équivalent à la destruction de quelque 130 000 km2 de forêts. D'où l'image sylvicole. D'où une suggestion en deux temps.
Primo, "laissez vivre les baleines!". Elles retiennent, "séquestrent" selon les scientifiques, les gaz à effet de serre dans des proportions équivalentes aux projets de reforestation pour lesquels on a élaboré le mécanisme des crédits carbone (*). Deusio: si on appliquait à la pêche à la baleine ?qu'on la qualifie, comme les Japonais, de "scientifique" ou non? ce même principe de crédits carbone? Peut-être pourrait-on mieux les protéger, voire reconstituer leurs populations...
L'idée fera-t-elle son chemin? Elle implique, reconnaît Pershing, de réaliser une évaluation un peu précise du niveau de carbone capté par une population donnée de poissons ?du thon rouge au requin. Les états seraient alors autorisés à monnayer leur quota de pêche en crédits carbone marins.(*)Un crédit carbone représente une réduction de CO2 d'une tonne. Les crédits carbone sont des unités attribuées au porteur de projet qui réduit les émissions de gaz à effet de serre. Celui peut ensuite les commercialiser pour financer son projet.
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Alternative 1 :
Alors que l’Australie demande la suspension de la pêche "scientifique" de la baleine, un universitaire américain propose une idée innovante pour mettre fin à cette hécatombe. Andrew Pershing, professeur à l’université du Maine (États-Unis), n’est pas un poète, mais depuis qu’il a qualifié les baleines de "forêts des océans", certains collègues s’interrogent sur la métaphore. Lors d’un séminaire avec ses pairs, il a précisé que son équipe avait estimé la quantité de CO2 stockée chaque année par un cétacé, puis relié cette capacité au nombre de campagnes de pêche effectuées sur un siècle. La conclusion : la chasse aux baleines aurait entraîné une perte de CO2 équivalente à la destruction d’environ 130 000 km² de forêts. D’où cette image sylvicole et cette proposition en deux étapes. Premièrement, "laissez vivre les baleines !" Elles captent, ou "séquestrent" selon les scientifiques, des gaz à effet de serre en quantité comparable à celle de projets de reforestation bénéficiant du mécanisme des crédits carbone. Deuxièmement : si cette logique était appliquée à la pêche à la baleine — qu’on la qualifie, comme le font les Japonais, de "scientifique" ou non — ne pourrait-on pas mieux protéger ces animaux ou même reconstituer leurs populations ? Pershing admet que cette idée nécessite une évaluation précise du carbone capté par une population spécifique de poissons — du thon rouge au requin — et que les États pourraient alors échanger leur quota de pêche contre des crédits carbone marins.
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Alternative 2 :
Alors que l’Australie réclame l’arrêt de la pêche "scientifique" de la baleine, un chercheur américain propose une solution originale pour mettre fin à cette hécatombe. Andrew Pershing, professeur à l’université du Maine, n’est pas un poète, mais sa métaphore selon laquelle les baleines seraient des "forêts des océans" suscite des interrogations chez ses collègues. Au cours d’un séminaire, il a expliqué que son équipe avait calculé la quantité de CO2 stockée chaque année par un cétacé, puis l’avait mise en relation avec le nombre de campagnes de pêche menées durant un siècle. La conclusion : la chasse aux baleines aurait causé une perte de CO2 équivalente à la destruction de près de 130 000 km² de forêts. D’où son image sylvicole et sa proposition en deux temps. D’abord, "laissez vivre les baleines !" Car elles retiennent, ou "séquestrent" selon les scientifiques, des gaz à effet de serre en quantité comparable à celle de projets de reforestation soutenus par le mécanisme des crédits carbone. Ensuite, : si cette idée était appliquée à la pêche à la baleine — qu’on la qualifie, comme le font les Japonais, de "scientifique" ou non — ne pourrait-on pas mieux protéger ces cétacés ou même restaurer leurs populations ? Pershing précise que cette démarche demanderait une évaluation précise du carbone capté par une population de poissons spécifique, du thon rouge au requin, et que les États pourraient échanger leur quota de pêche contre des crédits carbone marins.
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Alternative 3 :
Alors que l’Australie appelle à mettre fin à la pêche "scientifique" de la baleine, un universitaire américain avance une idée originale pour arrêter cette hécatombe. Andrew Pershing, professeur à l’université du Maine, n’est pas un poète, mais sa comparaison des baleines avec des "forêts des océans" a suscité des questionnements chez ses collègues. Lors d’un séminaire, il a précisé que son équipe avait calculé la quantité de CO2 stockée annuellement par un cétacé, puis l’avait associée au nombre de campagnes de pêche effectuées sur un siècle. Résultat : la chasse aux baleines aurait occasionné une perte de CO2 équivalente à la destruction d’environ 130 000 km² de forêts. D’où cette image sylvicole et cette proposition en deux temps : d’abord, "laissez vivre les baleines !" Elles "séquestrent" ou retiennent, selon les scientifiques, des gaz à effet de serre en quantités comparables à celles des projets de reforestation financés par le mécanisme des crédits carbone. Ensuite, : si l’on appliquait cette logique à la pêche à la baleine — qu’on la qualifie, comme le font les Japonais, de "scientifique" ou non — ne pourrait-on pas mieux préserver ces cétacés ou même restaurer leurs populations ? Pershing souligne que cette idée suppose une évaluation précise du carbone capté par une population donnée de poissons, du thon rouge au requin, et que les États pourraient alors échanger leur quota de pêche contre des crédits carbone marins.
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Chaque fille que si une seule fois joué à l'hôpital. Que puis-je dire, les garçons aussi, exceptionnellement, il a été joué. Tel est le jeu universel de cet hôpital. Peut jouer le tout. Fabrication de poupées, d'ours, des coups de robots, mettre la moutarde, donner à boire la potion amère, pour mesurer la température - toujours intéressant. Mais les progrès n'ont pas ignoré ce match. Hôpital jeu en ligne est pour vous. Hôpital de jeu gratuit terriblement populaire. Ici, tout est grave. Recruter du personnel qualifié jeux gratuits à l'hôpital: les internistes, cardiologues, chirurgiens, psychiatres, infirmières, mécanique (en fait besoin de quelqu'un pour surveiller les jeux d'équipements complexes pour les filles hospitaliers) les aspirateurs. Acheter le jeu pour les équipements hospitaliers gratuits dans les salles de classe: tables, chaises, cardiographe, X-ray, de numérisation et d'imagerie par résonance magnétique, tables d'opération. Eh bien, le jeu en ligne est entièrement équipée hôpital. Non, attendez. Et où se trouve l'équipement et des médicaments pour si nécessaire, les pharmacies? Obtenir nécessaire. Maintenant tout. Vous pouvez ouvrir officiellement. Voici le premier match des patients prenant déjà un hôpital. Il faut jouer avec attention et, si possible, prendre plus rapidement les patients. Scrutant les symptômes visibles, d'écouter les patients jeux plaintes pour Hôpital filles. Envoyer à diagnostiquer malades, qui joueront gratuitement le meilleur hôpital spécialistes. Et puis, après le diagnostic, l'hôpital jeu en ligne - dans la chirurgie pharmacie, service d'urgence. Les patients seront appelés à jouer jusqu'à, la litière, et peut même mourir et qui attendent leur tour. Par conséquent, jouer à des jeux sur l'hôpital, regarder l'ampleur de la santé des patients, mais aussi pour le fait de telle sorte que pas de longues lignes, et essayer de corriger rapidement le diagnostic. Et même si tout le tip-top, enjoy ne doit pas - à tout moment l'ambulance peut donner aux patients gravement malades. Pour chaque patient guéri jeux pour filles hôpital, vous obtenez des points de réputation et de l'argent. Les fonds devraient être consacrés à l'amélioration de l'hôpital.Hôpital sans jeux très réaliste. Ici, comme dans la vie, les patients ne sont pas toujours récupérer. Mais, comme dans la vie, les anges en robes blanches avant le dernier combat pour la vie du patient. Un tel jeu amusant c'est l'hôpital. Jouer ce n'est pas facile, mais c'est vrai.
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1. **Version formelle, style scientifique ou académique :**
Dans cet établissement hospitalier, chaque patiente n’a été mise en situation de jeu qu’à une seule occasion, tandis que, exceptionnellement, les garçons ont également participé, ce qui illustre la nature universelle de cette activité. Le jeu englobe diverses tâches, telles que la fabrication de poupées ou d’ours en peluche, la simulation de coups de robots, l’application de moutarde ou la distribution de potions amères pour mesurer la température — autant d’activités captivantes. Les progrès technologiques n’ont pas épargné cette simulation : un jeu en ligne gratuit dédié à l’hôpital attire une audience large. La simulation porte sur un hôpital entièrement équipé, avec des salles de classe, des instruments médicaux comme le cardiographe, les rayons X, l’imagerie par résonance magnétique, et les salles d’opération. Cependant, il est crucial de disposer également de médicaments et d’équipements réels, disponibles dans les pharmacies. Les joueurs doivent recruter du personnel médical qualifié — internistes, cardiologues, chirurgiens, psychiatres, infirmiers, techniciens — et assurer la surveillance des appareils complexes. En jouant, ils peuvent diagnostiquer et traiter des patients, qui peuvent même mourir ou attendre leur tour. L’objectif est de gérer efficacement l’hôpital, d’éviter les longues files d’attente et d’accélérer les diagnostics, tout en restant vigilant face aux urgences. Chaque guérison rapporte des points de réputation et de l’argent, destinés à améliorer l’établissement. Ce jeu, fidèle à la réalité, montre que tous les patients ne se rétablissent pas toujours, mais que, comme dans la vie, des anges en blanc se battent jusqu’au bout pour leur survie. Jouer à cet hôpital, bien que difficile, procure une expérience authentique.
*Contexte : article académique ou rapport sur les jeux éducatifs en médecine.*
2. **Version familière, ton conversationnel :**
Tu sais, dans ce jeu d’hôpital, chaque fille n’a eu l’occasion de jouer qu’une seule fois, sauf que, de temps en temps, les gars aussi ont été de la partie. C’est ça, le truc universel de cet endroit : tout le monde peut s’amuser ! On peut faire plein de choses : fabriquer des poupées, des ours en peluche, faire semblant de donner des coups de robot, mettre de la moutarde, ou donner une potion amère pour prendre la température — c’est toujours intéressant. Et devine quoi ? Le progrès a aussi touché ce jeu en ligne gratuit : il y a tout l’équipement, comme dans un vrai hôpital. Il y a des salles de classe avec des tables, des chaises, un cardiographe, des rayons X, même une IRM et des salles d’opération. Mais bon, il faut aussi de vrais médicaments et du matériel, comme dans une pharmacie. Pour que tout marche bien, il faut recruter des médecins, des infirmiers, des spécialistes — tout le monde ! Et il faut surveiller les appareils. En jouant, tu peux diagnostiquer et soigner des patients. Certains peuvent mourir ou attendre leur tour, c’est comme dans la vraie vie. Le but, c’est de gérer l’hôpital efficacement, d’éviter les longues files, de faire vite pour diagnostiquer. Et à chaque patient guéri, tu gagnes des points et de l’argent, que tu peux utiliser pour améliorer ton hôpital. C’est hyper réaliste, même si tous les patients ne s’en sortent pas toujours. Mais comme dans la vraie vie, il y a des anges en blanc qui se battent jusqu’au bout. Jouer, c’est pas facile, mais c’est super vrai et passionnant.
*Contexte : discours informel ou commentaire sur un jeu vidéo.*
3. **Version poétique, style lyrique :**
Dans l’univers de cet hôpital, une seule fois la jeune fille a pu jouer, tandis que, parfois, même les garçons ont été de la partie, célébrant la magie universelle de cette scène. Tout ici devient un jeu : façonner des poupées, des ours endormis ou simuler des coups de robots, verser de la moutarde ou offrir une potion amère pour sentir la fièvre. Et dans cette symphonie de soins, le progrès danse, emportant avec lui un jeu en ligne gratuit, paré d’équipements brillants comme dans un rêve médical : salles de classe, cardiographes, rayons X, IRM, salles d’opération. Mais n’oublions pas la vie réelle : médicaments, pharmacie, tout ce qu’il faut pour sauver. Le jeu invite à recruter médecins, infirmiers, spécialistes, à surveiller les appareils, à diagnostiquer avec soin, à traiter, même jusqu’à la dernière lueur d’espoir. Les patients, comme des étoiles filantes, peuvent mourir ou attendre leur tour, dans cette danse effervescente. L’objectif : soigner vite, diagnostiquer mieux, préserver la vie, récolter points et riches récompenses pour bâtir un hôpital encore plus fort. C’est la vie, avec ses blessures, ses anges et ses luttes, incarnée dans un jeu où chaque instant vibre d’authenticité.
*Contexte : poésie ou narration lyrique.*
4. **Version humoristique, style satirique ou décalé :**
Imagine un hôpital où, une seule fois, une fille a eu la chance de jouer, mais bon, les garçons aussi, de temps en temps, se laissent tenter — parce qu’après tout, c’est le jeu universel. Tout y passe : fabriquer des poupées, des ours en peluche, faire semblant de botter des robots, tartiner de la moutarde ou donner une potion amère aux malades pour prendre leur température — on ne s’ennuie jamais ! Et maintenant, accroche-toi, parce que le progrès a frappé : un jeu en ligne gratuit qui ressemble à un vrai hôpital, avec tout le matos qu’il faut. Des salles de classe avec des tables, des chaises, un cardiographe, des rayons X, et même une IRM pour faire genre, et des salles d’opération pour jouer au docteur. Mais, attention, il faut aussi de vrais médicaments et du matériel dans la vraie pharmacie, sinon ça sert à rien. Alors, on recrute des docteurs, des infirmiers, des spécialistes, et même des mécanos pour surveiller les machines compliquées — parce que sans eux, la partie s’arrête. En jouant, on diagnotique, on soigne, et parfois, on perd des patients — comme dans la vraie vie, quoi. Faut faire vite, éviter les longues files, et surtout, ne pas oublier que l’ambulance peut surgir à tout moment avec des patients en piteux état. Chaque guérison rapporte des points et de l’argent, qu’on peut dépenser pour améliorer notre hôpital, parce que, franchement, c’est comme dans la vraie vie, mais en mieux. Et même si tout roule, un jour ou l’autre, un patient peut mourir ou attendre sa chance, parce que la vie, c’est pas toujours rose. Jouer à cet hôpital, c’est comme un défi, mais ça fait du bien, même si c’est pas facile.
*Contexte : satire ou critique ludique.*
5. **Version narrative, style cinématographique ou script de film :**
EXT. HÔPITAL VIRTUEL – JOUR
Une fille, seul témoin de cette scène, a joué une fois — mais, exceptionnellement, les garçons aussi ont franchi la porte de l’univers hospitalier. Voilà le secret : c’est un jeu universel. La scène se déploie avec des poupées, des ours en peluche, des robots simulés frappant, de la moutarde versée à la hâte, une potion amère pour prendre la température — tout est là, fascinant. La technologie ne reste pas en reste : un jeu en ligne gratuit, fidèle à la réalité, doté de salles de classe, d’équipements sophistiqués comme le cardiographe, rayons X, IRM, salles d’opération. Mais dans la vraie vie, il faut aussi des médicaments, des pharmacies… La mission : recruter le personnel médical — internistes, cardiologues, chirurgiens, psychiatres, infirmiers, techniciens — et assurer leur surveillance. Les joueurs diagnostiquent, traitent, parfois perdent des patients ou attendent leur tour, dans une course contre la montre. Chaque vie sauvée rapporte des points, de l’argent, des possibilités d’améliorer leur hôpital. La tension monte — tout peut basculer à tout moment. La vie, comme dans le film, n’est pas toujours rose, mais ici, les anges en blanc se battent jusqu’à la dernière seconde. Jouer, c’est vivre cette aventure, difficile mais authentique.
*Contexte : script de film ou narration dramatique.*
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Ces cinq reformulations, variées par leur registre, leur style et leur contexte, conservent toutes le sens profond et l’intention de la phrase initiale tout en explorant différents modes d’expression.
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C’est aujourd’hui que Donald Trump emménage officiellement à la Maison Blanche.
Je remercie chaleureusement Angela MORELLI pour m’avoir envoyé cet ebook.
Si vous avez l’occasion de la rencontrer, n’hésitez surtout pas et foncez ! C’est une femme adorable et agréable, qui vous mettra tout de suite à l’aise.
Ce livre est un coffret comprenant trois histoires/nouvelles écrites par des auteurs du sud de la France, publiées par Harlequin.
Vous retrouverez donc Angela MORELLI avec « Et en plus, il cuisine », Cécile CHOMIN avec « Hot Love Challenge » et Eve BORELLI avec « Toi, moi, les éléphants et Dark Vador ».
J’étais vraiment contente de commencer cette lecture car je n’avais lu aucune des histoires présentes dans ce coffret, ni encore découvert la plume de ces trois auteurs.
C’était donc le bon moyen de faire un premier pas dans leurs univers.
Alors que j’ai apprécié dans son ensemble ce coffret, je n’ai malheureusement pas été sensible de la même manière par ces trois histoires. Cela est tout simplement dû au fait que j’ai moins aimé les styles d’écritures de Cécile CHOMIN et d’Eve BORELLI, qui sont plus directes et familières dans leurs narrations. En plus, ce sont les histoires qui sont les plus longues ( plus de 150 pages contre une soixantaine de pages pour l’histoire d’Angela MORELLI / ces données sont celles qui apparaissaient sur ma liseuse ), alors j’avais vraiment l’impression à certains moments de ne plus en voir le bout.
Le second point qui m’a un peu dérangée concerne l’histoire d’Eve BORELLI.
Son récit se passe dans un zoo, dans lequel l’héroïne principale travaille. Alors que son patron est remplacé par son fils imbuvable qui traite tout le personnel comme des moins-que-rien, elle va faire la connaissance d’un journaliste au caractère bien trempé qui ne va pas la laisser indifférente.
J’étais séduite par le lieu de l’histoire qui changeait des romances habituelles. Cependant, le récit prend une tournure irréaliste. Les évènements se succèdent et l’on se retrouve souvent à lever les yeux au ciel.
Je n’ai vraiment pas réussi à rentrer dans cette histoire, malgré le fait que je reste certaine qu’elle doit plaire à d’autres lecteurs car cette romance n’est pas mauvaise en soi.
« Hot Love Challenge » de Cécile CHOMIN est l’histoire qu’il faut continuer de lire pour commencer à vraiment la savourer.
Elle met en scène Lydia, une jeune femme qui travaille dans la boîte d’un de ses amis d’enfance, Julien. Alors que leur relation est plutôt conflictuelle, ils vont se retrouver tous les deux pendant une semaine dans un château à préparer le mariage de leurs amis communs. Alors qu’ils vont retrouver leur petit groupe d’amis, ils vont peut-être se rendre compte que derrière leurs joutes verbales se cache autre chose qu’ils ne veulent pas voir.
Alors qu’au début on peut être assez décontenancé par le style de l’auteur qui est très familier, on se laisse plutôt prendre dans cette histoire simple, mais efficace.
Oui, il y a beaucoup de scènes remplies de clichés ; oui, la fin n’est pas surprenante, mais lorsque l’on lit ce genre de romance, on ne s’attend à rien d’autre qu’à ça.
Enfin, l’histoire qui m’a le plus convaincue : « Et en plus, il cuisine » d’Angela MORELLI.
Nous allons y faire la connaissance d’Agathe, qui retourne dans le sud-ouest de la France pour l’anniversaire de mariage de ses parents. Malheureusement, elle va devoir leur annoncer qu’elle n’est plus en couple avec son fiancé qui faisait l’unanimité dans la famille. Alors qu’elle pense que son séjour va être un cauchemar, revoir l’un de ses camarades d’école va rendre son quotidien plus agréable.
J’ai vraiment été séduite par le style d’Angela MORELLI, plus posé que les deux autres auteurs, mais aussi par l’histoire qui est plus réaliste et mignonne.
Le seul petit défaut est le format de cette histoire, qui est plus une nouvelle qu’un véritable roman. Il est difficile de bien développer une romance en une soixantaine de pages, de faire monter le suspens et la tension et c’est donc sur ce point-là que l’histoire a quelques défauts.
En conclusion, ce « Coffret de trois comédies romantiques made in sud » a ses défauts et ses qualités. Cependant, pour le prix, il reste une bonne alternative pour faire un premier pas dans les univers vraiment différents d’Angela MORELLI, Cécile CHOMIN et Eve BORELLI.
Un livre à lire pour passer un petit moment de lecture sympathique aux côtés de trois auteurs qui nous font voyager dans le sud de la France.
( https://lectrice-lambda.blogspot.fr/2016/11/3-comedies-romantiques-made-in-sud.html )
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Dans l’éclat glacé d’un futur où la Terre se replie sous un dôme d’astres artificiels, deux figures emblématiques, Léonard de Vinci et Marie Curie, se retrouvent au sein de la Station Élysée, un sanctuaire de mémoire et d'intelligence, pour disséquer le fil fragile qui tisse les histoires humaines et leurs passions. La lumière bleutée des écrans holographiques caresse leur visage, tandis que la tension creuse le silence entre ces deux esprits, pourtant si contrastés.
**Léonard :** Ah, Marie, dans cette ère où la réalité danse avec la virtualité comme un ballet sans fin, je me demande si nos passions, si nos œuvres, ne sont que de pâles reflets d’un passé révolu, ou si elles ont su, malgré tout, inscrire leur empreinte dans cette toile d’étoiles. Tu vois, ici, dans cette sphère où tout est condensé, je perçois une sorte de coffret d’histoires, comme un écho du sud de cette vieille Terre — trois récits, trois mondes, trois âmes. Leur essence, n’est-ce pas, comme une mosaïque de passions et de quêtes ?
**Marie :** (avec un léger sourire, tout en ajustant ses lunettes à rayons gamma) Léonard, tu parles en prophète d’un passé retrouvé. Ces récits, ces petites comédies romantiques, sont comme des capsules temporelles, mais aussi des illusions. Pourtant, leur simplicité, leur naïveté même, constitue une sorte de résistance à l’érosion des émotions dans ce chaos numérique. La romance n’est-elle pas, après tout, un fil ténu que l’on tisse entre deux âmes, même si ces histoires, comme des nébuleuses, brillent d’un éclat artificiel ?
**Léonard :** Ah, mais ne t’enfuis pas, Marie. N’est-ce pas cette simplicité qui confère à ces récits leur charme, leur vérité ? La première, celle d’Angela, une histoire ancrée dans le sud, où une jeune femme, Agathe, doit affronter la tempête familiale — comme une étoile qui vacille dans un ciel d’incertitudes. Elle revient, non pas pour fuir, mais pour retrouver la lumière, même si cette lumière vacille, parfois faible, souvent douce, comme une nouvelle aube.
**Marie :** (d’un ton réfléchi, presque mélancolique) Pourtant, ces histoires, aussi sincères soient-elles, ont leurs limites. La longueur, le style direct, parfois trop abrupt, comme une alarme dans un silence de cristal. La romance, cette danse fragile, se perd dans des détails qui, à force de vouloir plaire, deviennent clichés, comme ces constellations artificielles qui tentent de rivaliser avec la splendeur des étoiles naturelles. Et puis, il y a cette histoire, celle d’Eve, dans ce zoo futuriste, où la réalité s’effiloche, où le récit devient une comète qui déchire la nuit pour laisser place à un ciel vide et irréel.
**Léonard :** Mais, vois-tu, Marie, même dans cette irréalité, il y a une poésie — un contraste. Le lieu, ce zoo, qui évoque l’étrange, comme un miroir déformé de nos passions, qui aurait pu être une scène d’un opéra de Verdi dans un amphithéâtre de néons. Pourtant, la tournure de l’histoire, cette sorte de déraillement narratif, révèle l’ombre que projette l’artificialité sur nos émotions. La vérité s’éloigne, comme une étoile fugace, et l’on se demande si ces récits ne sont pas qu’un simulacre, un simulacre de ce que nous étions, ou de ce que nous aspirons à être.
**Marie :** (avec une pointe de défi) Et pourtant, cette romance de Cécile Chomin, où Lydia et Julien s’affrontent dans un château à préparer un mariage, possède cette simplicité, cette familiarité qui rassure dans ce monde de béton et de plasma. Elle montre que même dans la brutalité des sentiments, il peut y avoir une étincelle de douceur, une lueur dans le tumulte, si l’on accepte l’évidence de clichés et de fins prévisibles. La vraie question, Léonard, n’est-elle pas si ces histoires, malgré leur forme parfois simpliste, peuvent éveiller en nous cette flamme que ni la science ni la technologie ne sauraient éteindre ?
**Léonard :** Ah, Marie, tu as raison. Ces récits, comme des fragments de mémoire, sont des clés vers l’âme humaine — même si elles sont parfois déformées, comme une fresque endommagée par le temps ou la tempête cosmique. Peut-être, dans cette mosaïque d’histoires, réside la vérité : que même dans un univers où l’on manipule la réalité à la volonté des étoiles, la passion reste une étoile filante, fragile mais éternelle. Et si le prix de cette collection fut d’offrir un passage, un voyage dans ces univers sudistes, n’était-ce pas là une étape nécessaire, un pas de plus dans cette quête infinie de compréhension entre l’homme et ses créations ?
**Marie :** (souriant mystérieusement) Peut-être, Léonard, que ce coffret de romances est comme une capsule temporelle, un étrange artefact où, malgré tout, ces histoires nous rappellent que l’amour, même dans un futur déshumanisé, respire encore — comme une vieille chanson qu’on croit oubliée, mais qui, à l’instant précis, illumine la nuit par sa simple beauté. Et c’est peut-être là, la leçon ultime : que même dans la froideur des étoiles, la chaleur humaine peut encore tracer sa voie, fragile mais indélébile.
**Léonard :** En effet, Marie, en effet. Que dans cette symphonie d’étoiles et de rêves, la passion demeure la note qui ne meurt jamais, même si la musique se joue dans un silence universel, où chaque récit, aussi modeste soit-il, devient une étoile, une promesse, dans cette grande constellation de l’humanité.
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Boîte de force 2.0 anches Vandoren Tenor Saxophone de 5
Boîte de force 2.0 anches Vandoren Tenor Saxophone de 5- Détails
Réf. produit: 63294Voir Description Complète
Description ComplèteVoir Description Complète
L'histoire de la canne de Vandoren
Il y a plusieurs facteurs importants à considérer dans la culture de canne : les qualités spécifiques de nos sols, hygrométrie, le climat, un soleil généreux, le vent, qui fait revivre, pour ne pas mentionner l'expérience et le savoir-faire de ceux qui cultivent avec passion la canne.
Il faut pas moins de quatre longues années de soins et l'attention à porter la canne jusqu'au point où il peut porter le nom prestigieux de Vandoren. Canne est passée de rhisomes. Dans la première année, la canne a atteint sa taille définitive et son diamètre. À la fin de la deuxième année, après avoir gagné son corps et sa force, il est prêt pour la récolte.
La canne est délicatement découpée avec cisaille conçu pour éviter l'éclatement des fibres ; Il est coupé à la main dans la tradition des charpentiers vieux compagnon. La récolte s'effectue alors que la lune est descendante, lorsque la sève est toujours totalement. Il est alors dépouillé, coupées en baguettes de 6 pieds et mettre au soleil à prendre sur cette couleur dorée qui laisse parfois des taches brunes. La canne est empaquetée et envoyée à Vandoren protégé et ventilé entrepôt sécher pendant encore deux ans avant le début de fabrication.
Une fois que la canne est prête pour la fabrication, la première coupe est faite. Cette première coupe produit les formes bruts en vue de la transformation en roseaux. Ces formes rugueuses sont biseautés avec une précision de l'ordre de 1/100 mm, sur la base d'un modèle créé par Bernard Van Doren, dont la connaissance, transmis depuis trois générations, rend possible de combiner un nombre illimité de lignes et de courbes.
M. Van Doren donne ce petit bout de la canne à une âme, qui un jour sera en mesure de s'exprimer avec talent du musicien.
Chaque canne a son caractère propre, avec lequel la force des anches est déterminée. Aucun morceau de canne ne peut être identique en raison de la nature de ce produit naturel. Après l'inspection finale par des artisans qualifiés, l'anche est estampillée avec sa force, reçoit le logo Vandoren et est placée dans une housse de protection, prête à être emballés. Maintenant, les roseaux sont prêts pour les musiciens.
Vandoren a professionnels de partout dans le monde de jeu-test leurs roseaux afin de s'assurer que chaque anche se réunit avec des normes élevées de Vandoren.
Tous les produits sont neufs sauf indication contraire et ont une garantie minimum de 2 an(s).
- Les logiciels
- Les CDs et DVDs
- Les écouteurs intra-auriculaires
- Les bouchons d'oreilles et protections auditives
- Les becs et anches pour vents et cuivres
- Les produits de soins des lèvres
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1. Boîte de force 2.0 anches Vandoren pour ténor saxophone, pack de 5 pièces
Détails de la boîte de force 2.0 anches Vandoren pour ténor saxophone, lot de 5
Référence produit : 63294 – Voir la description complète
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L’histoire de la canne Vandoren
Plusieurs éléments essentiels interviennent dans la culture de la canne : la nature de nos sols, l’hygrométrie, le climat, l’ensoleillement généreux, le vent qui revitalise la plante, sans oublier l’expérience et le savoir-faire des cultivateurs passionnés.
Il faut environ quatre années entières de soins attentifs pour que la canne atteigne le niveau où elle peut porter le nom prestigieux de Vandoren. La canne provient de rhizomes, et dès la première année, elle atteint sa taille définitive et son diamètre. Après deux ans, en ayant gagné en robustesse et en corps, elle est prête pour la récolte.
La récolte est réalisée à la main, avec une cisaille conçue pour éviter d’éclater les fibres ; c’est une pratique traditionnelle, héritée des anciens charpentiers. La lune étant en phase descendante, lorsque la sève est encore totalement présente, la canne est coupée, puis dépouillée, taillée en baguettes de six pieds et exposée au soleil pour acquérir une couleur dorée, parfois marquée de taches brunes. La canne est ensuite emballée et envoyée à Vandoren, où elle est stockée dans un entrepôt ventilé et protégé, séchant encore deux années avant d’être utilisée pour la fabrication.
Lorsque la canne est prête, la première coupe est effectuée pour créer des formes brutes destinées à la transformation en roseaux. Ces formes sont finement biseautées, avec une précision de 1/100 mm, selon un modèle élaboré par Bernard Vandoren, transmis depuis trois générations, permettant de mélanger lignes et courbes variées.
M. Vandoren confie ce fragment de canne à un artisan, qui un jour pourra exprimer en musique la beauté de cette matière.
Chaque anche possède un caractère unique, qui détermine sa résistance. En raison de leur origine naturelle, aucune canne ne peut être identique à une autre. Après une inspection finale par des artisans qualifiés, l’anche est estampillée de sa force, portant le logo Vandoren, puis placée dans une housse de protection, prête à être emballée. Les roseaux sont ainsi préparés pour les musiciens.
Vandoren fait tester ses roseaux par des professionnels du monde entier afin de garantir que chaque anche respecte les normes élevées de la marque.
Tous nos produits sont neufs, sauf indication contraire, et bénéficient d’une garantie minimale de deux ans.
- Logiciels
- CD et DVD
- Écouteurs intra-auriculaires
- Bouchons d’oreilles et protections auditives
- Becs et anches pour vents et cuivres
- Produits pour le soin des lèvres
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Attention, si vous achetez aussi des articles sans livraison gratuite, des frais de port pourront s’ajouter à votre commande, et seront indiqués dans votre panier.
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2. Ensemble de 5 anches Vandoren Force 2.0 pour saxophone ténor, boîte de 5 pièces
Details sur la boîte de force 2.0 anches Vandoren pour ténor, lot de 5
Numéro de référence : 63294 – Consultez la description complète
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L’histoire de la canne Vandoren
La culture de la canne implique plusieurs facteurs clés : la composition du sol, l’hygrométrie, le climat, l’ensoleillement, le vent qui dynamise la plante, sans oublier l’expérience et le savoir-faire des cultivateurs passionnés.
Il faut environ quatre années de soins méticuleux pour que la canne puisse porter le nom de Vandoren. Provenant de rhizomes, la canne atteint sa taille définitive dès la première année, avec un diamètre fixe. Au bout de deux ans, après avoir gagné en densité et en solidité, elle est prête pour la récolte.
La récolte se fait à la main, à l’aide d’une cisaille spécialement conçue pour préserver la fibre ; c’est une pratique artisanale, héritée des anciens charpentiers. La canne est coupée lors de la phase descendante de la lune, lorsque la sève est encore présente à 100 %. Elle est ensuite dépouillée, taillée en baguettes de six pieds, puis exposée au soleil pour prendre une teinte dorée, parfois marquée de taches brunes. La canne est emballée, puis envoyée à Vandoren, stockée dans un entrepôt ventilé où elle sèche durant deux années supplémentaires avant de passer à la fabrication.
Une fois prête, la première coupe permet de produire des formes brutes destinées à devenir des roseaux. Ces formes sont finement biseautées avec une précision de 1/100 mm, selon un modèle créé par Bernard Vandoren, transmis depuis trois générations, permettant de combiner lignes et courbes variées.
Ce fragment de canne est confié à un artisan qualifié, qui un jour pourra exprimer son talent en musique.
Chaque anche possède une personnalité propre, qui détermine sa résistance. En raison de la nature du matériau, aucune canne ne sera identique à une autre. Après contrôle final, l’anche est estampillée de sa force, portant le logo Vandoren, puis protégée dans une housse, prête à l’expédition. Les anches sont ainsi préparées pour les musiciens.
Vandoren soumet ses roseaux à des tests par des professionnels du monde entier pour garantir qu’ils respectent ses standards élevés.
Tous nos produits sont neufs, sauf indication contraire, et bénéficient d’une garantie d’au moins deux ans.
- Logiciels
- CDs et DVDs
- Écouteurs intra-auriculaires
- Bouchons d’oreilles et protections auditives
- Becs et anches pour vents et cuivres
- Produits pour le soin des lèvres
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3. Boîte de 5 anches Vandoren Force 2.0 pour saxophone ténor – Pack de 5
Caractéristiques de la boîte de force 2.0 anches Vandoren pour ténor, lot de 5 unités
Réf. : 63294 – Voir la description détaillée complète
Description détaillée – Voir la description intégrale
L’histoire de la canne Vandoren
La culture de la canne repose sur plusieurs facteurs cruciaux : la composition du sol, l’hygrométrie, le climat, la luminosité du soleil, le vent qui anime la plante, sans oublier l’expérience et le savoir-faire des cultivateurs passionnés.
Quatre années entières de soins attentifs sont nécessaires pour que la canne atteigne le niveau où elle peut porter le nom Vandoren. Issue de rhizomes, la canne atteint sa taille finale dès la première année, avec un diamètre stable. Après deux ans, renforcée et consolidée, elle est prête pour la récolte.
La récolte est effectuée manuellement, avec une cisaille conçue pour éviter d’éclater les fibres, dans la tradition des anciens artisans charpentiers. La coupe a lieu lors de la phase descendante de la lune, quand la sève est encore intégralement présente. La canne est alors dépouillée, taillée en baguettes de six pieds, puis séchée au soleil pour prendre une teinte dorée, avec parfois des taches brunes. Elle est ensuite emballée et stockée dans un entrepôt ventilé où elle sèche encore deux années avant d’être utilisée pour fabriquer des anches.
Quand la canne est prête, la première coupe permet de façonner des formes brutes qui seront transformées en roseaux. Ces formes sont finement biseautées avec une précision de 1/100 mm, selon un modèle créé par Bernard Vandoren, transmis sur trois générations, permettant de combiner lignes et courbes variées.
Ce fragment de canne est confié à un artisan qualifié, qui pourra un jour exprimer en musique toute sa beauté.
Chaque anche possède un caractère unique, qui détermine sa résistance. En raison de leur origine naturelle, aucune canne ne sera identique à une autre. Après inspection finale par des artisans expérimentés, l’anche est estampillée de sa force, portant le logo Vandoren, puis placée dans une housse de protection, prête à être expédiée.
Vandoren réalise également des tests avec des professionnels du monde entier pour assurer que chaque anche respecte ses standards de qualité.
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Doté d'une piscine extérieure et d'une terrasse bien exposée, l'établissement Le Clos Marigny vous ouvre ses portes à La Cour-Marigny. Aménagé dans 3 granges datant de 1880, il dispose d'un parc de 2 hectares et d'un étang. Décorées de façon unique, les chambres possèdent une salle de bains privative et vous pourrez vous détendre grâce à la connexion Wi-Fi gratuite et la télévision à écran plat. Certaines sont mansardées et ornées de poutres apparentes. Un petit-déjeuner continental comprenant des œufs, des céréales, des yaourts, du jambon et du fromage est servi dans la salle prévue à cet effet, près de la cheminée ou sur la terrasse par beau temps. Lors de votre séjour, vous pourrez déguster des repas préparés par les propriétaires. Ce service doit toutefois être réservé 48 heures à l'avance. Le Clos Marigny assure par ailleurs un service de prêt de vélos. Durant votre séjour, vous pourrez également profiter d'une bagagerie, d'un salon commun et d'un bureau d'excursions. Vous pourrez pratiquer de nombreuses activités sur place ou dans les environs, comme la randonnée à pied et à vélo ou la pêche. Enfin, le stationnement sur place est gratuit.
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1. Enveloppé d’un vaste parc de deux hectares, agrémenté d’un étang et situé dans trois anciennes granges datant de 1880, l’hôtel Le Clos Marigny, à La Cour-Marigny, met à votre disposition une piscine extérieure et une terrasse ensoleillée. Ses chambres, décorées de façon originale, disposent toutes d’une salle de bain privée, d’une connexion Wi-Fi gratuite et d’une télévision à écran plat, avec certaines mansardées et exhibant des poutres apparentes. Le petit-déjeuner continental, comprenant œufs, céréales, yaourts, jambon et fromage, peut être dégusté en salle près de la cheminée ou en extérieur sur la terrasse en cas de beau temps. Les hôtes ont aussi la possibilité de savourer des repas préparés par les propriétaires, sous réserve d’une réservation 48 heures à l’avance. Le domaine offre également un service de prêt de vélos, ainsi qu’une bagagerie, un salon commun et un bureau d’excursions pour agrémenter votre séjour. La région se prête à diverses activités telles que la randonnée, le vélo ou la pêche, et le stationnement est offert gratuitement sur place. *(Contexte : brochure touristique ou site de présentation d’hébergement)*
2. Situé dans un ensemble de trois anciennes granges datant de la fin du XIXe siècle, Le Clos Marigny à La Cour-Marigny est un havre doté d’un parc de deux hectares, d’un étang, d’une piscine extérieure et d’une terrasse ensoleillée. Les chambres, décorées avec soin, offrent une salle de bains privative, une connexion Wi-Fi gratuite et une télévision à écran plat, avec quelques-unes mansardées et ornées de poutres apparentes. Un petit-déjeuner continental, avec œufs, céréales, yaourts, jambon et fromage, est servi dans une salle conviviale près de la cheminée ou, par beau temps, en terrasse. La carte des repas, élaborée par les propriétaires, doit être commandée 48 heures à l’avance. Par ailleurs, le domaine propose la location de vélos et met à disposition une bagagerie, un salon commun et un bureau d’excursions pour rendre votre séjour plus agréable. Divers loisirs, tels que la marche, le cyclisme ou la pêche, sont accessibles dans les environs, et le stationnement est gratuit. *(Contexte : article promotionnel pour un lieu de séjour)*
3. Avec ses trois granges rénovées datant de 1880, entourées d’un vaste parc de deux hectares et d’un étang, l’établissement Le Clos Marigny, à La Cour-Marigny, vous accueille dans un cadre idyllique doté d’une piscine extérieure et d’une terrasse ensoleillée. Les chambres, équipées de salles de bains privées et d’un accès Wi-Fi gratuit, se distinguent par leur décoration originale, avec certaines mansardées et poutres apparentes. Le matin, un petit-déjeuner continental, comprenant œufs, céréales, yaourts, jambon et fromage, peut être pris près de la cheminée ou sur la terrasse ensoleillée, selon la météo. Les repas du soir, préparés par les propriétaires, nécessitent une réservation 48 heures à l’avance. L’hôtel offre également la possibilité de louer des vélos, avec d’autres services tels qu’une bagagerie, un salon commun et un bureau d’excursions pour optimiser votre séjour. La région invite à diverses activités telles que la randonnée, le cyclisme ou la pêche, et le stationnement y est gratuit. *(Contexte : récit descriptif pour un magazine de voyage)*
4. Dans une ancienne ferme agricole datant de 1880, transformée en un lieu d'hébergement charmant, le Clos Marigny s’étend sur trois granges rénovées, entourées d’un parc de deux hectares, d’un étang, d’une piscine extérieure et d’une terrasse ensoleillée. Les chambres, toutes dotées de salles de bains privées, de Wi-Fi gratuit et de télévisions à écran plat, sont décorées de façon unique, avec quelques-unes mansardées et ornées de poutres apparentes. Le matin, un petit-déjeuner continental comprenant œufs, céréales, yaourts, jambon et fromage est proposé dans une salle équipée d’une cheminée ou sur la terrasse, par beau temps. Pour le dîner, les propriétaires proposent des menus sur réservation 48 heures à l’avance. Le domaine met aussi à disposition des vélos pour explorer les environs, ainsi qu’une bagagerie, un salon commun et un bureau d’excursions. Pêche, randonnée et vélo figurent parmi les activités possibles, et le stationnement y est offert gratuitement. *(Contexte : description pour un guide touristique local)*
5. À La Cour-Marigny, niché au cœur d’un parc de deux hectares avec un étang, l’établissement Le Clos Marigny occupe une ancienne ferme du XIXe siècle, constituée de trois granges rénovées. Il dispose d’une piscine extérieure, d’une terrasse ensoleillée et de chambres décorées de façon singulière, équipées de salles de bains privées, de Wi-Fi gratuit et de téléviseurs à écran plat. Certaines chambres sont mansardées avec des poutres apparentes, conférant un cachet authentique. Le matin, un petit-déjeuner continental, avec œufs, céréales, yaourts, jambon et fromage, est offert en salle ou, selon la météo, en terrasse. Les repas du soir, élaborés par les propriétaires, doivent être réservés 48 heures à l’avance. Le site propose aussi la location de vélos, ainsi qu’un service de bagagerie, un salon commun et un bureau d’excursions pour enrichir votre séjour. La région offre des activités variées telles que la marche, la pêche ou le vélo, avec un stationnement gratuit sur place. *(Contexte : texte promotionnel pour un site web de location de vacances)*
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Accord de coopération dans le domaine de l’environnement entre le Canada et la République du Honduras
Préambule
Le Canada et la République du Honduras (« Honduras »), ci-après dénommés « les Parties »),
Prenant note de leur résolution de conclure l’Accord de libre-échange entre le Canada et la République du Honduras (« ALE Canada-Honduras ») d’une manière qui soit compatible avec la protection et la conservation de l’environnement;
Convaincus de l’importance d’assurer la conservation, la protection et l’amélioration de l’environnement sur leurs territoires, ainsi que du rôle essentiel de la coopération dans ces domaines lorsqu’il s’agit de réaliser un développement durable propre à garantir le bien-être des générations présentes et futures;
Affirmant le droit souverain des États d’exploiter leurs propres ressources selon leurs propres politiques en matière d’environnement et de développement, ainsi que leur responsabilité de faire en sorte que les activités exercées dans les limites de leur juridiction ou relevant de leur contrôle ne causent pas de dommages à l’environnement dans d’autres États ou dans les zones situées au-delà des limites de la juridiction nationale;
Affirmant en outre la Déclaration de Rio sur l’environnement et le développement de 1992, la Déclaration de Johannesburg sur le développement durable de 2002 et le Plan de mise en œuvre de Johannesburg adopté au Sommet mondial pour le développement durable de 2002;
Reconnaissant les liens économiques, environnementaux et sociaux de plus en plus étroits qui unissent leurs pays grâce à la création d’une zone de libre-échange;
Rappelant que le Canada et le Honduras se sont tous deux engagés à mettre en œuvre des politiques visant à promouvoir le développement durable, et qu’une saine gestion de l’environnement est essentielle au développement durable;
Notant les différences qui existent entre leurs richesses naturelles, leurs conditions climatiques et géographiques ainsi que leurs capacités respectives en matière de technologie, de moyens financiers et d’infrastructure;
Notant en outre les différences qui existent entre leurs conditions socioéconomiques et leurs systèmes judiciaires respectifs;
Reconnaissant l’importance de la transparence et de la participation du public dans l’élaboration du droit de l’environnement et des politiques environnementales;
Affirmant qu’il ne convient pas d’assouplir le droit de l’environnement dans le but d’encourager le commerce et l’investissement;
Reconnaissant qu’une coopération plus étroite entre les Parties procure des avantages pouvant renforcer les systèmes de gestion de l’environnement des Parties;
Exprimant leur désir commun d’appuyer et de mettre à profit les accords internationaux en matière d’environnement grâce à la coopération entre les Parties,
Sont convenus de ce qui suit :
Première partie : Définitions et objectifs
Article premier : Définitions
1. Pour l’application du présent accord :
décision administrative d’application générale s’entend d’une décision ou d’une interprétation administrative qui s’applique aux personnes et aux situations de fait généralement visées par elle, et qui établit une norme de conduite, à l’exclusion :
- a. d’une détermination ou d’une décision rendue dans le cadre d’une procédure administrative ou quasi judiciaire qui s’applique à une personne, à un produit ou à un service particulier de l’autre Partie dans un cas précis;
- b. d’une décision portant sur un acte ou une pratique en particulier;
droit de l’environnement s’entend des dispositions législatives ou réglementaires d’une Partie, y compris des instruments juridiquement contraignants pris en vertu de celles-ci, dont l’objet premier est la protection de l’environnement ou la prévention d’un danger pour la santé ou la vie des personnes par l’un ou l’autre des moyens suivants :
- a. la prévention, la réduction ou le contrôle du rejet, de l’écoulement ou de l’émission de polluants ou de contaminants de l’environnement;
- b. le contrôle des produits chimiques, des substances, des matières et des déchets toxiques ou dangereux pour l’environnement, et la diffusion de renseignements connexes;
- c. la conservation et la protection de la flore ou de la faune sauvages, y compris des espèces menacées et de leur habitat, et plus particulièrement des zones naturelles spécialement protégées,
sur le territoire de la Partie et dans les zones relevant de sa juridiction, à l’exclusion d’une loi, d’une disposition ou d’un règlement qui concerne directement la santé ou la sécurité des travailleurs, et à l’exclusion d’une loi, d’une disposition ou d’un règlement dont l’objet premier est la gestion de la récolte ou de l’exploitation commerciale, ou de la récolte de subsistance ou par les populations autochtones, des ressources naturelles.
Il est entendu que l’objet premier d’une disposition législative ou réglementaire donnée pour les besoins de la définition de l’expression « droit de l’environnement » est déterminé en fonction de l’objet premier de la disposition en question, plutôt que de la loi ou du règlement qui la renferme;
organisation non gouvernementale s’entend de toute organisation ou association scientifique, professionnelle, commerciale, à but non lucratif ou constituée dans l’intérêt du public, qui n’est pas affiliée à un gouvernement ni ne relève de son autorité;
personne s’entend d’une personne physique ou d’une personne morale, telle qu’une entreprise ou une organisation non gouvernementale constituée sous le régime des lois d’une Partie;
pratique systématique s’entend d’une action ou omission qui se produit de façon soutenue ou répétée après la date d’entrée en vigueur du présent accord, à l’exclusion d’un cas isolé;
procédure s’entend d’une procédure administrative, quasi judiciaire ou judiciaire, selon le cas, prévue par le système juridique interne d’une Partie;
province s’entend d’une province du Canada, et comprend le Yukon, les Territoires du Nord-Ouest et le Nunavut;
système de gestion de l’environnement s’entend du système interne des processus juridiques, administratifs, scientifiques et techniques qui, ensemble, appuient l’élaboration, la mise en œuvre, l’examen et l’amélioration des lois, politiques, programmes et procédures relatifs à la conservation, à la protection et à l’amélioration de l’environnement, y compris à la prévention du danger présenté par l’environnement pour la santé des personnes, et qui contribuent à la promotion du développement durable;
territoire s’entend :
- a. dans le cas du Canada :
- i. du territoire terrestre, des eaux intérieures et de la mer territoriale, y compris de l’espace aérien surjacent, du Canada,
- ii. de la zone économique exclusive du Canada, telle qu’elle est définie dans son droit interne, en conformité avec la partie V de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer, faite à Montego Bay le 10 décembre 1982 (UNCLOS),
- iii. du plateau continental du Canada, tel qu’il est défini dans son droit interne, en conformité avec la partie VI de l’UNCLOS;
- b. dans le cas du Honduras, du territoire terrestre, des zones maritimes et de l’espace aérien sur lesquels le Honduras exerce sa souveraineté, ainsi que de la zone économique exclusive et du plateau continental sur lesquels il exerce des droits souverains et sa juridiction conformément au droit international et à son droit interne.
2. Il est entendu qu’une Partie n’a pas omis d’assurer « l’application effective de son droit de l’environnement » dans un cas particulier si l’action ou l’omission en cause de ses organismes ou de ses fonctionnaires, selon le cas :
- a. constitue un exercice raisonnable de leur pouvoir discrétionnaire en matière d’enquêtes, de poursuites, de réglementation ou de contrôle de l’observation;
- b. résulte d’une décision, prise de bonne foi, d’affecter des ressources à des mesures d’application relatives à d’autres questions environnementales considérées comme ayant un rang de priorité plus élevé.
Article 2 : Objectifs
Le présent accord vise les objectifs suivants :
- a. favoriser la protection et l’amélioration de l’environnement sur les territoires et dans les zones relevant de la juridiction des Parties au moyen de mesures nationales et de la coopération entre les Parties en vue d’assurer le bien-être des générations présentes et futures;
- b. favoriser le développement durable au moyen de la promotion de politiques environnementales et économiques qui se renforcent mutuellement, d’une saine gestion de l’environnement et de mesures de conservation;
- c. renforcer la coopération entre les Parties en vue d’assurer la réalisation des objectifs et l’observation des obligations prévus au présent accord, y compris l’élaboration et l’amélioration des systèmes de gestion de l’environnement;
- d. promouvoir l’observation du droit de l’environnement;
- e. promouvoir la transparence et la participation du public à la conservation, à la protection et à l’amélioration de l’environnement, y compris à l’élaboration du droit de l’environnement et des politiques environnementales;
- f. encourager le public à participer à la mise en œuvre du présent accord;
- g. promouvoir des mesures environnementales qui soient efficaces et efficientes d’un point de vue économique.
Partie deux : Obligations
Article 3 : Niveaux de protection
Reconnaissant le droit de chacune des Parties d’établir ses propres niveaux nationaux de protection de l’environnement et ses propres politiques et priorités en matière de développement de l’environnement, ainsi que d’adopter ou de modifier en conséquence son droit de l’environnement et ses politiques environnementales, chacune des Parties fait en sorte que son droit de l’environnement et ses politiques environnementales prévoient de hauts niveaux de protection de l’environnement, et s’efforce de continuer à développer et à améliorer ce droit et ces politiques de même que les systèmes de gestion de l’environnement qui les appuient, en tenant compte de son degré de développement et des technologies et ressources financières dont elle dispose.
Article 4 : Observation et application du droit de l’environnement
1. Dans le but d’atteindre de hauts niveaux de protection de l’environnement et d’observation de son droit de l’environnement, chacune des Parties assure, au moyen de mesures gouvernementales, une application effective du droit en question.
2. Chacune des Parties fait en sorte que son droit prévoie des procédures d’application pour sanctionner les violations de son droit de l’environnement ou pour remédier à celles-ci.
Article 5 : Non-dérogation
Aucune des Parties ne renonce ou ne déroge d’une autre façon, ni offre de renoncer ou de déroger d’une autre façon, à l’application de son droit de l’environnement d’une manière qui affaiblit ou diminue les protections prévues par ce droit dans le but d’encourager le commerce ou l’investissement.
Article 6 : Évaluation de l’incidence sur l’environnement
1. Chacune des Parties fait en sorte de maintenir les procédures nécessaires pour évaluer l’incidence sur l’environnement de projets susceptibles d’avoir des effets défavorables importants sur celui-ci, dans le but d’éviter ou de réduire au minimum les effets en question.
2. Chacune des Parties fait en sorte que ses procédures d’évaluation de l’incidence sur l’environnement prévoient la communication au public des renseignements concernant les projets soumis à l’évaluation et, conformément à son droit, permet au public de participer à ces procédures.
Article 7 : Information du public
1. Chacune des Parties fait en sorte que ses lois, règlements et décisions administratives d’application générale concernant une question visée par le présent accord soient rapidement mis à la disposition du public.
2. Dans la mesure du possible, chacune des Parties publie ou rend disponible d’une autre manière un projet de loi ou de règlement qu’elle envisage d’adopter, afin de permettre à l’autre Partie ou aux personnes intéressées de présenter des observations à son sujet.
Article 8 : Recours ouverts aux parties privées
1. Chacune des Parties fait en sorte que les personnes intéressées résidant ou établies sur son territoire puissent demander à ses autorités compétentes de faire enquête sur les allégations concernant les violations de son droit de l’environnement, et elle accorde aux demandes en question l’attention requise en conformité avec son droit.
2. Chacune des Parties fait en sorte que les personnes qui ont un intérêt reconnu par son droit de l’environnement dans une affaire donnée aient une possibilité adéquate d’engager une procédure en vue :
- a. d’une part, de faire appliquer le droit de l’environnement de la Partie;
- b.d’autre part, d’obtenir réparation en cas de violation du droit en question.
Article 9 : Garanties procédurales
1. Chacune des Parties fait en sorte que les procédures visées aux articles 4(2) (Observation et application du droit de l’environnement) et 8(2) (Recours ouverts aux parties privées) soient justes et équitables. À cette fin, elle fait en sorte que ces procédures :
- a. respectent le principe de l’application régulière de la loi;
- b. soient ouvertes au public, sauf lorsque la bonne administration de la justice exige le huis clos;
- c. permettent aux parties à la procédure de soutenir ou de défendre leurs positions respectives et de présenter des renseignements ou des éléments de preuve; et
- d. ne soient pas inutilement compliquées et n’entraînent ni frais ou délais déraisonnables, ni retards injustifiés.
2. Chacune des Parties fait en sorte que les décisions définitives sur le fond rendues dans ces procédures soient :
- a. consignées par écrit et, de préférence, motivées;
- b. mises à la disposition des parties à la procédure et du public en temps opportun et d’une manière conforme à son droit interne; et
- c. fondées sur les renseignements ou les éléments de preuve présentés par les parties à la procédure.
3. Chacune des Parties fait en sorte, s’il y a lieu, que son droit interne permette aux parties à ces procédures de demander la révision et, dans les cas qui le justifient, la réformation des décisions définitives rendues à leur issue.
4. Chacune des Parties fait en sorte que les tribunaux chargés de la conduite ou de la révision de ces procédures soient impartiaux et indépendants et n’aient aucun intérêt substantiel dans l’issue de l’affaire.
Article 10 : Responsabilité sociale des entreprises
Reconnaissant les avantages substantiels que procurent le commerce et l’investissement internationaux, chacune des Parties s’efforce d’encourager les entreprises situées sur son territoire ou relevant de sa juridiction à adopter, sur une base volontaire, des pratiques exemplaires en matière de responsabilité sociale des entreprises, afin de renforcer la cohérence des objectifs économiques et environnementaux.
Article 11 : Mesures visant l’amélioration de la performance environnementale
1. Les Parties reconnaissent que des mesures volontaires et des mesures d’incitation peuvent améliorer la performance environnementale et contribuer à la réalisation et au maintien de la protection de l’environnement, en complément des mesures réglementaires prises au titre du droit de l’environnement. Chacune des Parties promeut, conformément à son droit et à ses politiques internes, l’élaboration et l’utilisation de telles mesures.
2. Conformément à son droit et à ses politiques internes, chacune des Parties promeut l’élaboration, l’établissement, le maintien ou l’amélioration des objectifs en matière de performance environnementale et des normes utilisées pour mesurer celle-ci.
Partie trois : Point de contact national et comitéde l'environnement
Article 12 : Point de contact national
Chacune des Parties désigne, au sein de l’organisme ou du ministère compétent, un fonctionnaire chargé d’agir à titre de point de contact national. Les Parties s’informent mutuellement de cette désignation, par note officielle, dans les six mois suivant l’entrée en vigueur du présent accord, et elles mettent cette information à la disposition du public.
Article 13 : Comité de l’environnement
1. Les Parties établissent le Comité de l’environnement (le « Comité »), formé de fonctionnaires de haut niveau de chacune d’elles ou de leurs représentants autorisés. Le Comité est chargé de la mise en œuvre du présent accord.
2. Le Comité tient sa première réunion au plus tard un an après l’entrée en vigueur du présent accord pour examiner les progrès réalisés dans la mise en œuvre de celui-ci. Par la suite, le Comité se réunit à la fréquence décidée conjointement par les Parties dans le but de continuer l’examen des progrès précités.
3. Le Comité dresse un rapport sommaire de ses réunions, à moins qu’il n’en soit décidé autrement, et établit des rapports et des recommandations sur les activités liées à la mise en œuvre du présent accord, s’il y a lieu. Des copies des rapports et de toute recommandation seront communiquées, s’il y a lieu, à la Commission du libre-échange instituée conformément à l’article 21.1 (Dispositions institutionnelles et procédure de règlement des différends – Commission du libre-échange) de l’ALE Canada-Honduras, pour examen. Les rapports peuvent faire état, entre autres :
- a. des mesures prises par chacune des Parties pour donner suite aux obligations qui lui incombent en application du présent accord;
- b. des activités de coopération menées au titre du présent accord;
- c. s’il y a lieu et dans la mesure où cela est décidé conjointement, des recommandations concernant l’amendement de l’article 1.4 (Objectifs et dispositions initiales – Rapports avec les accords multilatéraux sur l’environnement) de l’ALE Canada-Honduras.
4. Les rapports sommaires des réunions du Comité sont rendus publics, à moins que les Parties n’en décident autrement.
Partie quatre : Obligation de rendre compte,. échange de renseignements et procédure d'examen de l'exécution des obligations
Article 14 : Responsabilité à l’égard du public
1. Une personne résidant ou établie sur le territoire d’une Partie peut présenter à une Partie, par l’intermédiaire du point de contact national, une question écrite au sujet des obligations qui incombent à cette Partie au titre de la Partie Deux (Obligations) ou des activités de coopération élaborées conformément à celui-ci, en précisant que la question est présentée en application du présent article. Dans le cas du Honduras, le terme « résidant » désigne une personne qui a le statut de résident permanent au sens de son droit interne.
2. La Partie qui reçoit la question en accuse réception par écrit, la transmet à l’autorité compétente et fournit une réponse en temps opportun.
3. Lorsqu’une personne présente une question à une Partie autre que celle sur le territoire de laquelle elle réside ou est établie, la Partie qui reçoit la question fournit à l’autre Partie, en temps opportun, une copie de la question et de la réponse donnée.
4. Chacune des Parties met à la disposition du public, en temps opportun, un résumé de la question reçue et de la réponse donnée.
Article 15 : Échange de renseignements entre les Parties
1. Une Partie peut notifier et fournir à l’autre Partie des renseignements dignes de foi concernant les violations éventuelles de son droit de l’environnement ou les défauts d’application effective de ce droit. Ces renseignements doivent être précis et suffisants pour permettre à la Partie qui reçoit la notification d’enquêter sur la question. La Partie qui reçoit la notification prend, conformément à son droit interne, les mesures appropriées pour faire enquête et répondre à l’autre Partie.
2. Une Partie fournit rapidement à l’autre Partie, à la demande de celle-ci, des renseignements sur toute mesure environnementale qu’elle adopte ou envisage d’adopter, et elle répond aussi rapidement que possible à toute question de l’autre Partie concernant une telle mesure.
Article 16 : Procédure d’examen de l’exécution des obligations
1. Les Parties s’efforcent en tout temps de s’entendre sur l’interprétation et l’application du présent accord.
2. Les Parties déploient tous les efforts en leur pouvoir pour examiner et résoudre, par les consultations et l’échange de renseignements et en mettant l’accent sur la coopération, toute question qui pourrait influer sur l’interprétation ou l’application du présent accord.
3. Une Partie peut demander des consultations avec l’autre Partie, par l’intermédiaire du Comité de l’environnement, sur une question découlant du présent accord, en présentant une demande écrite au point de contact national de l’autre Partie. Sur réception de la demande de consultations, le point de contact national transmet celle-ci au Comité. Les consultations sont engagées rapidement après la transmission de la demande au point de contact national. La demande doit contenir des renseignements précis et suffisants pour permettre à la Partie à qui elle est adressée de répondre à la question. Cette dernière Partie fournit sa réponse dans les 60 jours qui suivent la date où elle a accusé réception de la demande de consultations.
4. Les Parties déploient tous les efforts en leur pouvoir pour résoudre la question d’une manière mutuellement satisfaisante, en tenant compte des possibilités de coopération pertinentes et des renseignements qu’elles ont échangés. Les Parties peuvent demander des conseils ou de l’aide à toute personne ou organisme à qui elles jugent bon de recourir pour examiner en profondeur la question en cause.
5. Si les Parties ne peuvent résoudre la question par l’intermédiaire du Comité, une Partie peut présenter une demande écrite de consultations au niveau ministériel avec l’autre Partie au sujet d’une obligation découlant du présent accord. Si la Partie qui reçoit la demande de consultations au niveau ministériel le juge nécessaire, la Partie qui présente la demande explique par écrit les raisons pour lesquelles la question doit être traitée à ce niveau. Les consultations au niveau ministériel sont menées :
- a. pour le Canada, par le ministre de l’Environnement, ou par son successeur;
- b. pour le Honduras, par le secrétaire d’État au ministère des Ressources naturelles et de l’Environnement (Secretario de Estado en los Despachos de Recursos Naturales y Ambiente), ou par son successeur.
6. Les consultations ont pour objet la recherche d’une solution mutuellement acceptable à la question.
7. La Partie qui reçoit la demande de consultations au niveau ministériel y répond dans les moindres délais. Ces consultations prennent fin au plus tard 120 jours après la réception de la demande, sauf si les Parties en décident autrement.
8. Une fois les consultations au niveau ministériel terminées, la Partie qui les a demandées peut demander par écrit la constitution d’un groupe spécial d’examen si elle estime que les consultations n’ont pas permis de régler la question d’une façon satisfaisante et que, selon le cas :
- a. l’autre Partie a pour pratique systématique de ne pas assurer l’application effective de son droit de l’environnement en conformité avec l’article 4 (Observation et application du droit de l’environnement);
- b. il y a manquement à l’article 5 (Non-dérogation).
9. Le groupe spécial d’examen reçoit des Parties un mandat déterminé, et il exerce ses fonctions conformément à l’annexe I (Fonctionnement du groupe spécial d’examen) et aux règles de procédure types.
10. Si le groupe spécial d’examen conclut que la Partie visée par la demande a eu pour pratique systématique de ne pas assurer l’application effective de son droit de l’environnement en conformité avec l’article 4 (Observation et application du droit de l’environnement) ou qu’il y a eu manquement à l’obligation prévue à l’article 5 (Non-dérogation), les Parties peuvent décider d’établir un plan d’action mutuellement satisfaisant pour mettre en œuvre les recommandations du groupe spécial d’examen, en tenant compte des possibilités de coopération au titre du présent accord. Tout plan d’action décidé par les Parties est rendu public sans délai.
Partie cinq : Coopération
Article 17 : Activités de coopération
1. Les Parties peuvent élaborer des programmes d’activités de coopération dans le but de promouvoir la réalisation des objectifs du présent accord et l’observation des obligations qui en découlent, en fonction de leurs priorités nationales. Les Parties s’efforcent de renforcer leur coopération sur les questions environnementales dans les autres instances bilatérales, régionales et multilatérales auxquelles elles participent.
2. Le financement des activités de coopération est organisé en fonction de chaque cas, sous réserve de la disponibilité de ressources financières adéquates, conformément à ce qui décidé conjointement par les Parties.
3. Les programmes d’activités de coopération peuvent être élaborés en tenant dûment compte :
- a. des différences sur les plans économique, environnemental, géographique, social, culturel et juridique entre les Parties;
- b. des activités de coopération existantes dans le domaine de l’environnement;
- c. de la participation du public, des experts et des organisations internationales, s’il y a lieu.
4. Les Parties déterminent les domaines prioritaires d’activités de coopération et mettent en place un programme de travail qui est élaboré sans délai après l’entrée en vigueur du présent accord. Les domaines de coopération prioritaires définis par le Honduras, énumérés à l’annexe II (Coopération dans le domaine de l’environnement), peuvent être pris en compte dans l’élaboration du programme de travail initial relatif aux activités de coopération.
5. Les Parties s’efforcent de mettre en œuvre de façon effective un programme de travail au moyen d’activités telles que : l’échange d’experts; la facilitation de partenariats visant le transfert des connaissances et des technologies; la formation, les conférences et les ateliers; les projets de recherche conjoints sur des sujets d’intérêt commun visant à promouvoir l’élaboration ou l’échange de pratiques exemplaires, de renseignements et d’indicateurs dans le domaine de l’environnement qui présentent un intérêt pour les Parties, ainsi que toute autre forme de coopération environnementale décidée par les Parties, le cas échéant.
6. Les Parties se rencontrent au plus tard un an après l’entrée en vigueur du présent accord et, par la suite, selon le calendrier décidé conjointement, pour examiner les progrès réalisés au chapitre des activités de coopération relatives à l’environnement.
Partie six : Dispositions générales
Article 18 : Examen de l’accord
1. Au cours de l’année qui suit la cinquième année à compter de la date d’entrée en vigueur du présent accord, le Comité étudie l’opportunité de procéder à un examen de la mise en œuvre de celui-ci, en tenant compte de l’expérience acquise dans cette mise en œuvre, en vue d’améliorer le fonctionnement et l’efficacité du présent accord.
2. Dans le cadre de cet examen, le Comité peut se pencher sur les derniers développements concernant le présent accord et présenter des recommandations aux Parties afin qu’elles les étudient et prennent les mesures appropriées, s’il y a lieu.
3. Le Comité permet, dans la mesure où il la juge appropriée, la participation du public et d’experts indépendants au processus d’examen.
4. Les Parties rendent publics les résultats de l’examen.
Article 19 : Participation du public
1. Les Parties élaborent des mécanismes, tels que des sites Web, en vue d’informer le public des activités entreprises pour assurer la mise en œuvre du présent accord, y compris des réunions des Parties et des activités de coopération.
2. Les Parties s’efforcent de faire participer le public, s’il y a lieu, aux activités entreprises pour la mise en œuvre du présent accord.
Article 20 : Principe d’application
Le présent accord n’a pas pour effet d’habiliter les autorités d’une Partie à entreprendre des activités d’application du droit de l’environnement sur le territoire de l’autre Partie.
Article 21 : Droits privés
Aucune des Parties ne prévoit, dans son droit interne, de droit d’action contre l’autre Partie pour le motif que cette dernière a agi d’une manière incompatible avec le présent accord.
Article 22 : Protection des renseignements
Le présent accord n’a pas pour effet d’obliger une Partie à communiquer des renseignements dont la divulgation serait autrement interdite ou qui seraient soustraits à l’obligation de divulgation en application de ses lois et règlements internes, y compris ceux qui concernent l’accès à l’information et la protection des renseignements personnels.
Article 23 : Rapports avec d’autres accords sur l’environnement
Le présent accord n’a pas pour effet de modifier les droits et obligations existants qui incombent aux Parties au titre d’autres accords multilatéraux sur l’environnement auxquels elles sont parties.
Partie sept : Dispositions finales
Article 24 : Application aux provinces
L’application du présent accord aux provinces du Canada est régie par l’annexe III (Application aux provinces du Canada).
Article 25 : Annexes
Les annexes du présent accord en font partie intégrante.
Article 26 : Entrée en vigueur
Chacune des Parties notifie par écrit à l’autre Partie l’achèvement des procédures internes nécessaires à l’entrée en vigueur du présent accord. Le présent accord entre en vigueur à la date de la seconde de ces notifications ou à la date d’entrée en vigueur de l’ALE Canada-Honduras, selon celle de ces deux dates qui est postérieure à l’autre.
Article 27 : Amendements
1. Les Parties peuvent convenir, par écrit, d’amender le présent accord.
2. À moins que les Parties n’en conviennent autrement, l’amendement entre en vigueur après l’échange par les Parties de notifications écrites certifiant l’achèvement de leurs procédures internes respectives, à la date dont les Parties conviennent.
3. Un amendement apporté au présent accord en fait partie intégrante.
Article 28 : Dénonciation
1. Les Parties peuvent dénoncer le présent accord par consentement mutuel écrit, sous réserve des conditions et dans les délais dont elles conviennent.
2. En cas de dénonciation de l’ALE Canada-Honduras, une Partie peut dénoncer le présent accord par notification écrite à l’autre Partie. La dénonciation prend effet 180 jours après la date de réception de la notification écrite ou à une date ultérieure précisée dans celle-ci.
Article 29 : Textes faisant foi
Les versions anglaise, française et espagnole du présent accord font également foi.
En foi de quoi les soussignés, dûment autorisés par leurs gouvernements respectifs, ont signé le présent accord.
Fait en double exemplaire à ___________________, ce ______ jour de _______________________ 2013, en langues anglaise, française et espagnole.
Pour le Canada
_____________________________
Pour la République du Honduras
_____________________________
Annexe I : Fonctionnement du groupe spécial d'examen
Rapport initial
1. Le groupe spécial d’examen établit un rapport initial et le présente aux Parties dans les 120 jours suivant la sélection de son dernier membre ou dans tout autre délai fixé.
2. Le rapport initial contient ce qui suit :
- a. des constatations de fait;
- b. une conclusion quant à la question de savoir si la Partie concernée a eu pour pratique systématique de ne pas assurer l’application effective de son droit de l’environnement ou s’il y a eu manquement à l’article 5 (Non-dérogation), ou toute autre conclusion demandée dans le mandat;
- c. si la conclusion mentionnée au sous-paragraphe b) est affirmative, des recommandations quant à la résolution de la question, lesquelles consistent normalement en un plan d’action.
Rapport final
3. Les Parties peuvent formuler des observations concernant le rapport initial dans les 60 jours suivant sa présentation.
4. Le groupe spécial d’examen présente le rapport final aux ministres dans les 30 jours suivant la réception des observations des Parties.
5. Chacune des Parties publie le rapport final dans les 60 jours suivant sa présentation aux ministres.
Critères de sélection du groupe spécial d’examen
6. Le groupe spécial d’examen est formé de 3 membres nommés par les Parties.
7. Chacun des membres du groupe spécial d’examen :
- a. est choisi sur la base de ses connaissances spécialisées en matière d’environnement ou dans d’autres disciplines pertinentes, de son objectivité, de sa fiabilité et de son discernement;
- b. est indépendant des Parties, n’a pas de liens avec elles et n’en reçoit aucune instruction; et
- c. se conforme au code de conduite établi par les Parties.
8. Si une Partie estime qu’un membre a enfreint le code de conduite, les Parties se consultent et, si elles en décident ainsi, le membre est démis de ses fonctions et un nouveau membre est choisi conformément aux critères décrits ci-dessus. Le délai prévu au paragraphe 1 court à partir de la date de la décision de démettre le membre de ses fonctions.
9. Un particulier ne peut faire partie d’un groupe spécial d’examen chargé d’un examen dans lequel lui-même, ou une personne ou une organisation avec laquelle il a des liens, a un intérêt.
10. Le président du groupe spécial d’examen ne peut être un ressortissant d’une Partie.
Procédure de sélection des membres
11. La procédure suivante s’applique à la sélection des membres d’un groupe spécial d’examen :
- a. chacune des Parties sélectionne un membre dans les 20 jours suivant la réception de la demande de constitution d’un groupe spécial d’examen;
- b. si une Partie ne sélectionne pas le membre qu’il lui appartient de sélectionner dans le délai précité, l’autre Partie le sélectionne parmi les ressortissants qualifiés de la première Partie;
- c. la procédure suivante s’applique à la sélection du président :
- i. la Partie faisant l’objet de la demande fournit à la Partie ayant présenté celle-ci, au plus tard 20 jours après la réception de la demande de constitution du groupe spécial d’examen, les noms de trois candidats qualifiés,
- ii. la Partie ayant présenté la demande peut choisir l’un de ces candidats comme président ou, si les noms n’ont pas été fournis ou si aucun des candidats n’est acceptable, fournir à la Partie faisant l’objet de la demande, au plus tard cinq jours après la réception des noms conformément à l’alinéa i) ou 25 jours après la réception de la demande de constitution d’un groupe spécial d’examen, les noms de trois candidats qualifiés pour présider le groupe spécial d’examen,
- iii. la Partie faisant l’objet de la demande peut choisir l’un de ces trois candidats comme président au plus tard cinq jours après la réception des noms conformément à l’alinéa ii), faute de quoi les Parties demandent immédiatement au président de la Cour internationale de Justice de nommer un président dans un délai de 25 jours.
Règles de procédure types
12. Au plus tard un an après l’entrée en vigueur du présent accord, les Parties établissent des règles de procédure types régissant la constitution des groupes spéciaux d’examen et le déroulement de la procédure visée à l’article 16 (Procédure d’examen de l’exécution des obligations). À moins que les Parties n’en décident autrement, le groupe spécial d’examen exerce ses fonctions conformément aux règles de procédure types et fait en sorte que :
- a. chacune des Parties ait la possibilité de soumettre des observations orales et écrites au groupe spécial d’examen;
- b. les organisations non gouvernementales, les institutions et les personnes qui possèdent des renseignements ou des connaissances spécialisées pertinents et qui se trouvent sur les territoires des Parties aient la possibilité de soumettre des observations écrites au groupe spécial d’examen; et
- c. au moins une audience soit tenue devant le groupe spécial d’examen pour chaque procédure dont celui-ci est saisi, laquelle audience est ouverte au public, sous réserve de l’article 22 (Protection des renseignements).
13. Les Parties établissent un budget distinct pour chaque procédure dont un groupe spécial d’examen est saisi conformément à l’article 16 (Procédure d’examen de l’exécution des obligations). À moins qu’elles n’en décident autrement, les Parties contribuent à parts égales à ce budget.
Annexe II : Coopération dans le domaine de l'environnement
La liste indicative suivante fait état des domaines de coopération possibles définis par le Honduras pour les besoins des programmes de travail relatifs aux activités de coopération :
a. renforcement des systèmes de gestion de l’environnement, y compris :
- i. gestion des risques environnementaux,
- ii. gestion intégrée des déchets,
- iii. gestion globale des substances chimiques et des déchets toxiques et dangereux;
b. renforcement des capacités institutionnelles de mise en application des lois environnementales nationales, y compris :
- i. système d’information sur l’environnement, y compris la surveillance environnementale,
- ii. programmes de surveillance et de suivi des ressources génétiques,
- iii. système de surveillance et d’alerte relatif aux organismes génétiquement modifiés;
c. promotion de l’observation du droit national de l’environnement, incluant la prestation d’un appui visant à aider les petites et moyennes entreprises, y compris les secteurs exportateurs, à se conformer à cette législation;
d. promotion des pratiques exemplaires favorisant le développement durable, y compris par les moyens suivants :
- i. utilisation et développement de technologies de production plus propres,
- ii. promotion de la production et du commerce de produits et de services sans danger pour l’environnement;
e. promotion des pratiques exemplaires en matière de responsabilité sociale des entreprises sur les territoires des Parties;
f. renforcement des mécanismes favorisant la participation du public conformément au droit interne de chacune des Parties, y compris la citoyenneté et la participation environnementales;
g. renforcement des capacités en vue d’atténuer les changements climatiques et de réduire les risques et la vulnérabilité connexes, ainsi que de favoriser l’adaptation aux conséquences des changements climatiques;
h. promotion de l’innovation et de l’efficience en matière de protection et de conservation de la biodiversité et de l’utilisation durable des ressources naturelles;
i. les Parties peuvent coopérer dans tout autre domaine lié à l’environnement dont elles conviennent.
Annexe III : Application aux provinces du Canada
1. À la suite de l’entrée en vigueur du présent accord, le Canada fournit au Honduras, par la voie diplomatique, une déclaration écrite énumérant les provinces à l’égard desquelles le Canada sera lié en ce qui concerne les questions relevant de leurs compétences. La déclaration prend effet à la date de sa réception par le Honduras.
2. Le Canada s’efforce de rendre le présent accord applicable au plus grand nombre possible de provinces.
3. Le Canada notifie au Honduras, six mois à l’avance, toute modification apportée à sa déclaration.
4. Le Canada ne peut demander des renseignements ou envoyer une notification en application de l’article 15 (Échange de renseignements entre les Parties), ni demander des consultations en application de l’article 16 (Procédure d’examen de l’exécution des obligations), à la demande du gouvernement d’une province dont le nom ne figure pas sur la déclaration fournie conformément au paragraphe 1.
- Date de modification:
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Dans l’immensité du cosmos, deux grands héros, le Canadien et l’Hondurien, se dressent comme deux divinités guardianes de la Terre, chacun maître de ses territoires, de ses richesses et de ses destinées. Ces deux puissances, conscientes des merveilles et des dangers que recèle l’environnement, décident de forger une alliance sacrée, un pacte légendaire pour préserver l’harmonie de la création : l’Accord de coopération en matière d’environnement, un traité divin scellé pour garantir la survie et la prospérité des générations à venir.
**Les Dieux de la Souveraineté et de la Conscience** — le Canada et le Honduras — reconnaissent que leur droit de gouverner leurs terres respectives doit s’harmoniser avec la sagesse ancestrale de la Nature. Chacun a le pouvoir souverain d’exploiter ses ressources, mais avec la responsabilité de ne pas causer de blessures à l’équilibre fragile de l’environnement, afin que nul ne détruise la vie de l’autre ou de zones situées au-delà de leurs frontières.
**Les Principes Sacrés du Développement Durable** — ces lois gravées dans la pierre de la sagesse mondiale — sont invoqués à travers la Déclaration de Rio (1992), la Déclaration de Johannesburg (2002) et le Plan de mise en œuvre de Johannesburg, qui guident ces deux héros dans leur quête de justice écologique. Leur union est renforcée par la reconnaissance que liens économiques, sociaux et environnementaux tissent une toile indestructible, un réseau d’interdépendance qui unit leurs destinées.
**Les Émissaires de la Loi et de la Justice** — les Systèmes de gestion de l’environnement — sont établis pour surveiller, protéger et améliorer la santé de la Terre. Ces systèmes, composés de processus juridiques, scientifiques et administratifs, veillent à ce que chaque action entreprise dans leur royaume respecte la grandeur de la création. Des procédures d’évaluation des incidences sur l’environnement sont instaurées pour que chaque projet, chaque entreprise, soit scruté comme une épreuve mythologique, afin d’éviter les dommages irréparables.
**Les Voix du Peuple et la Transparence** — la participation du public, comme les oracles antiques, est invocquée pour éclairer la voie. Les citoyens, résidents ou autochtones, ont le droit de poser des questions, de demander justice et de voir leur voix résonner dans le temple de la gouvernance. La communication est ouverte, les lois sont révélées rapidement comme des révélations divines, pour que tous puissent suivre la marche des affaires environnementales.
**Les Sentinelles et les Conseils Sacrés** — le Point de contact national et le Comité de l’environnement — sont nommés pour veiller à la mise en œuvre de cet accord. Ces figures éminentes, comme des sages anciens, se réunissent en conseil pour examiner les progrès, rendre compte devant le peuple et recommander des actions pour renforcer la protection de la Terre. Leur devoir est d’assurer que la justice environnementale ne faiblit jamais, que la sagesse divine guide chaque étape.
**Les Épreuves et les Règlements Mystiques** — si un des héros oublie ses devoirs, si ses actions déchirent le tissu sacré de l’harmonie, un groupe spécial d’examen, comme un tribunal céleste, est convoqué. Ses membres, choisis pour leur sagesse et leur impartialité, examinent chaque cas avec rigueur, et proposent des plans pour réparer les dommages ou rétablir l’équilibre perdu. Si un héros persiste dans sa negligence, des sanctions sont prononcées, comme des malédictions levées sur ceux qui trahissent la nature.
**Les Alliances et la Coopération Divine** — les deux héros, unissant leurs forces comme deux étoiles jumelles, élaborent des programmes de coopération, échangeant des sages, partageant des connaissances, transférant des technologies, afin d’améliorer la performance environnementale de chacun. Ces alliances, semblables aux pactes mythologiques, renforcent la garde de la Terre, en veillant à ce que chaque action soit guidée par la sagesse, la responsabilité et le respect mutuel.
**Les Époques et les Renouvellements** — tous deux conviennent de réexaminer leur alliance tous les cinq cycles lunaires, afin de s’assurer que la lumière de la sagesse divine brille toujours sur leur pacte. La participation du public, comme les temples antiques, est encouragée, pour que la voix du peuple continue de nourrir la justice écologique.
**Enfin, comme les anciens mythes le racontent**, cet accord sacré n’est pas une simple alliance de mots, mais une promesse éternelle, une création mythologique pour que la Terre, cette déesse mère, continue de fleurir, de vibrer et de prospérer pour l’éternité. Car dans cette légende moderne, chaque partie, chaque peuple, chaque être vivant, est un héros dans la grande épopée de la préservation de l’harmonie cosmique.
**Et la question qui demeure, comme une énigme divine :**
*Dans cette alliance sacrée entre le Canada et le Honduras, comment ces deux héros mythologiques, en personnifiant leur droit, leur responsabilité et leur volonté commune, parviennent-ils à forger un rempart invincible pour la protection de la Terre, tout en respectant leur souveraineté et en assurant la participation du peuple dans la grande quête du développement durable ?*
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Ce travail est né d’une interrogation face à la médiatisation aussi intense que subite de ce que les journalistes ont appelé « tournantes », reprenant à leur compte une expression argotique. Le comptage annuel de la fréquence des occurrences de l’expression « viol collectif » dans les titres des dépêches de l’Agence France Presse (source majeure d’information de l’ensemble des autres médias) et dans les quotidiens nationaux met en évidence le phénomène. Il s’agit d’un véritable incendie médiatique, aussi subi qu’éphémère
[1]. L’analyse du contenu de ces articles de presse fait ressortir une version dominante présentant ce phénomène comme largement nouveau, en pleine expansion et propre à un lieu et une population donnés : les « jeunes de cités », c’est-à-dire les jeunes « issus de l’immigration ». Cette vision s’inscrit en effet dans le cadre plus large du débat sur l’« insécurité » et « les banlieues », amplifié encore par le thème des violences faites aux femmes et par la peur de l’Islam. Par là, le thème des viols collectifs s’est trouvé relié avec celui de « l’intégration » en général, ainsi qu’avec un mouvement politique (« Ni putes ni soumises ») dénonçant les violences faites aux femmes mais s’intéressant seulement aux familles maghrébines et africaines dans les milieux populaires, promouvant donc à son tour une lecture culturaliste des plus contestables. La médiatisation des « tournantes » s’est inscrite enfin dans le contexte des campagnes électorales de 2001 et 2002, centrées sur le thème de « l’insécurité ».
A bien des égards, et pour toutes ces raisons, l’on a assisté dans le débat public à un phénomène de « panique morale », selon l’expression consacrée dans la sociologie anglo-saxonne [2]. On s’efforcera au contraire dans ce texte de donner les éléments d’une analyse sociologique permettant de s’émanciper de ces représentations médiatico-politiques et de ces lectures culturalistes des problèmes sociaux.
L’indispensable détour historique
On ne saurait penser le présent sans connaissance du passé. En l’occurrence, le viol collectif est un comportement juvénile qui traverse toute l’histoire des sociétés urbaines. Dans son étude de la violence dans les villes françaises à la fin du Moyen-Âge, Nicole Gonthier écrit par exemple que « le viol, et surtout le viol collectif, se pratique de façon obsédante » [3]. A l’époque, on pratique le rapt de femmes à des fins de viols collectifs, en particulier dans les milieux estudiantins. Pour cette historienne, la situation est liée au déséquilibre des sexes, au contrôle des jeunes femmes par leurs familles et à l’étroitesse du marché matrimonial, situation qui provoque une misère sexuelle chez les jeunes hommes célibataires et peu argentés. Dans ce contexte mais aussi dans le cadre de ces sociabilités juvéniles, le viol collectif peut être compris comme « un rite de virilité entre jeunes mâles, comme une de ces orgies bacchiques qui sanctionnaient jadis les initiations ».
Beaucoup d’autres exemples pourraient être produits, sur des périodes plus ou moins anciennes. Attardons-nous ici sur les années 1960 car il existe un important corpus de recherches sur la délinquance juvénile, produites notamment au centre de recherches de l’Éducation surveillée à Vaucresson. A cette époque, le débat public est marqué par le surgissement de la figure des « Blousons noirs ». Et, parmi les choses les plus graves qui leur sont reprochées, figurent précisément les viols collectifs (« viols en réunion », selon la catégorie juridique). En témoigne par exemple cet article de presse dans lequel on lit :
« Le bilan du premier semestre 1966 - une soixantaine de procès - révèle une nouvelle poussée du fléau. Un garçon drague, ‘lève’ une fille. Généralement dans une fête foraine, un club de jeunes. Il offre le déplacement motorisé vers un second lieu de plaisir. Parfois, c’est sa petite amie qu’il immole ainsi à la bande. Dans un square, un bois. Dans une résidence secondaire de banlieue. Le plus souvent, une cave d’un grand ensemble. [...] Les violences qui suivent confondent. Tantôt l’acte se déroule en communauté, tantôt la bande fait passer isolément chaque partenaire près de la victime. Les voyeurs se dissimulent aux alentours. Presque toujours les scènes sont enregistrées au magnétophone. Fréquemment, l’avilissement de la ‘bécasse’, du ‘boudin’, termes employés par les jeunes crapules, s’accompagne de véritables tortures » [4].
Magistrats et chercheurs tentent à l’époque d’analyser ce phénomène qu’ils croient déjà nouveau. Au début des années 1970, le directeur du centre de Vaucresson, Henri Michard, fait le bilan d’une décennie de réflexion. Il caractérise d’abord les faits :
« Le scénario est relativement stéréotypé. Il se déroule en deux temps. En un premier temps, il y a recherche et ‘accrochage’ de la victime, par des procédés divers [...]. En un deuxième temps, la fille est emmenée dans un lieu solitaire ; bois, terrain vague, garage, cave, appartement inoccupé. Elle est contrainte d’avoir des rapports avec chaque garçon devant l’ensemble de la bande » [5].
L’usage de l’alcool et surtout la pression de conformisme du groupe (ne pas se « dégonfler » et « perdre la face » devant les autres) jouent un rôle très importants. Michard précise qu’il s’agit généralement de petits groupes de grands adolescents. Certains sont déjà connus de la justice, mais pas comme agresseurs sexuels. Du reste, quelques uns ont par ailleurs une petite amie. Autrement dit, il s’agit d’une pratique collective spécifique. Michard évoque aussi une dimension initiatique du viol collectif puisqu’il constate que, pour la plupart de ces jeunes, c’était la première expérience sexuelle. Il précise : « dans cette perspective, le viol en réunion pourrait être considéré comme un processus pathologique permettant de franchir une étape normale de la socialisation ».
Des observations comparables ont ensuite été faites dans les quartiers populaires des années 1980 [6]. Ces pratiques ne sont donc pas nouvelles. Contrairement à de nombreuses affirmations, rien n’indique par ailleurs qu’elles soient en augmentation. La seule statistique disponible, celle de la justice, indique une stabilité globale sur les vingt dernières années [7].
Auteurs, victimes, interactions et contexte social
Dans un échantillon de dossiers judiciaires que nous avons dépouillés en région parisienne, on retrouve la plupart des caractéristiques socio-démographiques dégagées dans les périodes antérieures : les auteurs de viols collectifs sont des enfants de milieux pauvres, de familles nombreuses, ont des parcours scolaires d’échecs ou de marginalisation, sont pour plus de la moitié d’entre eux inactifs au moment des faits (la plupart des autres sont encore scolarisés) et une petite moitié a déjà été condamnée pour des délits mineurs (vols, bagarres, outrages à policiers, usages ou usages-reventes de stupéfiant) et pratiquement jamais pour des viols. La seule nouveauté par rapport aux années 1960 réside dans le fait qu’ils sont majoritairement d’origines étrangères. On y reviendra en conclusion.
Mais l’essentiel est ailleurs. Aujourd’hui comme hier, la pratique des viols collectifs dans les quartiers pauvres des grandes agglomérations doit d’abord se comprendre à travers l’analyse des groupes ou a fortiori bandes et de leurs systèmes de normes propres [8]. Lorsque des fragilités familiales et surtout la marginalisation et l’échec scolaires affectent les jeunes garçons, dans des quartiers populaires où est la sociabilité juvénile est par ailleurs intense dès l’enfance, la bande et ses normes « virilistes » peuvent offrir un refuge et un mode de revalorisation [9]. En y faisant preuve de courage physique et d’intelligence (avoir du « vice », disent les jeunes), en défiant les adultes (en particulier quand ils représentent des institutions), un adolescent peut se bâtir très rapidement une réputation et acquérir du « respect » parmi ses pairs. Selon l’orientation générale de la bande, la place du jeune dans sa dynamique interne et les relations de la bande avec son environnement (avec les autres bandes mais aussi avec les institutions et en particulier la police), il s’engagera alors plus ou moins fortement dans des conduites rebelles et des pratiques délinquantes. Et c’est cette même logique interne des bandes, leurs valeurs viriles et les processus d’affirmation par le défi et la surenchère, qui sont en cause dans beaucoup de viols collectifs où les uns s’affirment comme dominants, les autres suivent pour montrer qu’ils en sont aussi capables (« qu’ils en ont ») et ne pas être exclus du groupe.
Dans les viols collectifs, le groupe ou la bande d’adolescents ou de jeunes adultes rencontre une victime vulnérable (parfois fragile mentalement), connue par avance, ainsi qu’une situation propice. La victimes est généralement une adolescente, isolée sur le plan relationnel, en conflit avec sa famille, parfois en fugue, qui se met à fréquenter des groupes d’adolescents plus âgés, dont elles sait pourtant que ce sont des « mauvais garçons » (« lascars », « racailles »), et y affiche son émancipation pour être rapidement intégrée, ayant notamment des relations sexuelles avec tel ou tel d’entre eux. Ce comportement amène alors les adolescents à se déculpabiliser en considérant la jeune fille avec mépris (« elle savait ce qu’elle faisait », « elle l’a bien cherché ») [10]. Un jour, dans une situation propice et pour un prétexte plus ou moins futile, un membre du groupe passe à l’acte et entraîne les autres avec lui. Tel est, schématiquement résumé, le principal (mais non le seul) scénario social qui se perpétue parfois encore de nos jours mais qui n’est ni nouveau dans l’histoire de la société française, ni spécifique aux quartiers pauvres.
Élargir la perspective sociologique
Le stéréotype médiatique qui voit dans les viols collectifs une spécificité des « jeunes issus de l’immigration » constitue une double erreur. Tout d’abord, à d’autres époques, des bandes d’adolescents habitant les quartiers populaires ont eu des comportements similaires. Cela n’a donc pas à voir avec l’origine de leurs parents, ni avec leur éducation. Dans la société française actuelle, c’est parce que le mécanisme de formation des bandes joue beaucoup plus dans les quartiers pauvres des grandes agglomérations que les viols collectifs y sont plus nombreux. Et comme les jeunes habitant ces quartiers sont aujourd’hui massivement d’origine étrangère, il n’est pas surprenant qu’une partie d’entre eux soit impliquée dans les diverses formes de délinquance juvénile, notamment les délinquances en bande [11]. Ensuite, les commentaires habituels ignorent que les viols collectifs se produisent également dans d’autres contextes sociaux. De nombreux travaux contemporains analysent par exemple ce phénomène sur certains campus universitaires américains. Il s’agit ici de « fraternités étudiantes » regroupant le plus souvent des jeunes hommes issus des classes moyennes, voire des milieux très aisés, et à la peau blanche [12].
Par ailleurs, on peut régulièrement lire dans la presse que des procédures judiciaires pour viol en réunion mettent en cause des policiers à l’encontre de prostituées ou encore des surveillants de prison à l’encontre de détenues. Encore récemment, une affaire dramatique mettait en cause non pas des « jeunes de banlieues » mais de jeunes pompiers. La presse en faisait ce récit. A Marseille, une jeune fille de 15 ans sort avec un pompier de 22 ans. La jeune fille est en rupture de ban, elle a fuit ses parents, elle s’affirme notamment dans la recherche de la compagnie d’hommes plus âgés et d’apparence virile. Quelques temps après, son petit ami la livre à dix de ses collègues qui la violent dans leur caserne, non sans avoir payé celui qui s’est ainsi mué en proxénète. La jeune fille se suicidera quelques semaines plus tard [13].
Il convient donc d’élargir le cadre de l’interprétation sociologique. Le viol collectif est un phénomène de groupes de jeunes hommes qui traverse l’histoire et tous les milieux sociaux. Comme l’avait bien vu Pierre Bourdieu :
« nombre de rites d’institutions, scolaires ou militaires notamment, comportent de véritables épreuves de virilité orientées vers le renforcement des solidarités viriles. Des pratiques comme certains viols collectifs des adolescents - variante déclassée de la visite collective au bordel, si présente dans les mémoires d’adolescents bourgeois - ont pour fin de mettre ceux qui sont à l’épreuve en demeure d’affirmer devant les autres leur virilité dans sa vérité de violence, c’est-à-dire en dehors de toutes les tendresses et de tous les attendrissements dévirilisants de l’amour » [14].
Se méfier de la tendance à ethniciser les rapports sociaux
Au cours des années 1990, une tendance à « l’ethnicisation » des rapports sociaux s’est beaucoup développée dans la société française. De plus, l’idée d’un lien entre Délinquance et Immigration s’est largement banalisée dans le champ politique et intellectuel où l’on se préoccupe de moins en moins des recherches en sciences sociales [15]. Enfin, la stigmatisation des jeunes issus de l’immigration n’a cessé de s’amplifier, d’abord à travers le débat sur les « violences urbaines » et l’« insécurité », puis à travers le thème des violences faites aux femmes (dont le viol collectif a paru la manifestation exemplaire) et enfin avec celui du « nouvel antisémitisme ». A tel point que les lectures en termes « ethniques » ou « culturels » se sont largement répandues, parfois jusque dans les sciences sociales. Or, ces lectures globalisantes à la mode s’avèrent particulièrement réductrices et simplificatrices. Elles évacuent les dimensions sociales et politiques des comportements, autant que les problématiques individuelles ou encore les spécificités régionales et locales.
Dans le cas des viols collectifs, nous avons vu que ces lectures ignorent l’histoire, mais aussi les problématiques spécifiques de l’adolescence, de la construction des identités sexuelles et des rapports de sexe. Elles méconnaissent également les dynamiques des sociabilités masculines juvéniles, notamment ce processus singulier qu’est la constitution des bandes et la façon dont elles peuvent évoluer vers des pratiques délinquantes. En définitive, on peut se demander si ces lectures culturalistes ne révèlent pas la banalisation d’une forme ordinaire de xénophobie, dans une société où la peur et les symboles ont remplacé l’analyse des problèmes sociaux et des comportements juvéniles, aussi criminels soient-ils [16].
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Ce texte trouve son origine dans une interrogation face à l’émergence soudaine et médiatisée de ce que les journalistes ont désigné comme des « tournantes », reprenant une expression argotique. L’observation du nombre annuel de mentions de l’expression « viol collectif » dans les titres des dépêches de l’Agence France Presse — principale source d’information pour l’ensemble des médias — ainsi que dans la presse quotidienne nationale, met en lumière ce phénomène. Il s’agit d’un véritable feu de paille médiatique, aussi inattendu qu’éphémère [1]. L’analyse du contenu de ces articles révèle une vision dominante présentant ce phénomène comme une réalité largement nouvelle, en pleine expansion, et spécifique à certains lieux et populations : notamment, les « jeunes issus des quartiers populaires », c’est-à-dire ceux issus de l’immigration. Cette perspective s’inscrit dans un cadre plus large de débat sur « l’insécurité » et les « banlieues », renforcé par la question des violences faites aux femmes et la crainte de l’Islam. Par ce biais, le sujet des viols collectifs a été relié à celui de « l’intégration » en général, ainsi qu’à un mouvement politique comme « Ni putes ni soumises », qui dénonçait les violences faites aux femmes mais se concentrait principalement sur les familles maghrébines et africaines dans les milieux populaires, ce qui a encouragé une lecture culturaliste, contestable dans ses fondements. La médiatisation des « tournantes » s’est aussi inscrite dans le contexte des campagnes électorales de 2001 et 2002, focalisées sur le thème de « l’insécurité ».
À plusieurs égards, et pour toutes ces raisons, on a assisté dans l’espace public à une forme de « panique morale », selon l’expression utilisée en sociologie anglo-saxonne [2]. Au contraire, ce texte vise à fournir des éléments d’analyse sociologique permettant de dépasser ces représentations médiatico-politiques et ces interprétations culturalistes des problématiques sociales.
L’indispensable recul historique
Il est impossible d’appréhender le présent sans connaître son passé. En l’occurrence, le viol collectif est une conduite juvénile qui traverse toute l’histoire des sociétés urbaines. Par exemple, dans son étude de la violence en milieu urbain à la fin du Moyen-Âge, Nicole Gonthier souligne que « le viol, et surtout le viol collectif, se pratique de manière obsédante » [3]. À cette époque, il était courant de pratiquer le rapt de femmes à des fins de viols en groupe, notamment dans les milieux estudiantins. Pour cette historienne, cette situation est liée à un déséquilibre des sexes, au contrôle exercé par les familles sur les jeunes femmes, et à la faiblesse du marché matrimonial, ce qui engendre une misère sexuelle chez les jeunes hommes célibataires et peu fortunés. Dans ce contexte, mais aussi dans celui des sociabilités juvéniles, le viol collectif peut être considéré comme « un rite de virilité entre jeunes mâles, comparable à ces orgies bacchiques qui, autrefois, sanctionnaient les initiations ».
De nombreux autres exemples pourraient être évoqués, portant sur des périodes plus ou moins anciennes. Concentrons-nous ici sur les années 1960, car un riche corpus de recherches sur la délinquance juvénile a été produit notamment au centre de Vaucresson. À cette époque, le débat public est marqué par l’émergence de la figure des « Blousons noirs ». Parmi les accusations les plus graves qui leur sont adressées figurent précisément les viols collectifs (« viols en réunion », selon la terminologie juridique). Ainsi, un article de presse relate :
« Le bilan du premier semestre 1966 — une soixantaine de procès — montre une nouvelle recrudescence du phénomène. Un garçon drague, invite une fille, souvent dans une fête foraine ou un club de jeunes. Il lui propose de la déplacer en voiture vers un autre lieu de plaisir. Parfois, c’est sa petite amie qu’il sacrifie à la bande. Cela peut se passer dans un square, un bois, une résidence secondaire en banlieue, ou plus souvent, dans une cave d’un grand ensemble. [...] Les violences qui suivent sont souvent confuses. Parfois, l’acte se déroule en groupe, d’autres fois, la bande fait passer chaque partenaire séparément près de la victime. Les témoins se dissimulent dans les environs. Presque toujours, ces scènes sont enregistrées avec un magnétophone. L’humiliation de la victime — qualifiée de ‘bécasse’ ou de ‘boudin’ par les jeunes délinquants — s’accompagne souvent de véritables tortures » [4].
Magistrats et chercheurs tentent alors d’analyser ce phénomène qu’ils croient déjà inédit. Au début des années 1970, Henri Michard, directeur du centre de Vaucresson, dresse le bilan d’une décennie de réflexion. Il décrit ainsi le scénario type :
« Le déroulement est relativement stéréotypé. Il se divise en deux phases. La première consiste en la recherche et le rapt de la victime, par divers procédés [...]. La seconde voit la jeune fille emmenée dans un lieu isolé : forêt, terrain vague, garage, cave ou appartement vacant. Elle est contrainte d’avoir des rapports sexuels avec chaque garçon, en présence de l’ensemble de la bande » [5].
L’usage de l’alcool, ainsi que la pression exercée par le groupe pour ne pas « perdre la face » ou « se dégonfler », jouent un rôle essentiel. Michard précise que ces groupes sont généralement composés de grands adolescents, parfois déjà connus des services de police, mais pas en tant qu’agresseurs sexuels. Certains ont également une petite amie. Autrement dit, cette pratique collective possède une dimension spécifique. Michard évoque aussi une dimension initiatique : pour la majorité des jeunes concernés, c’était leur première expérience sexuelle. Il écrit : « dans cette optique, le viol en réunion pourrait être considéré comme un processus pathologique permettant de franchir une étape normale dans la socialisation ».
Des observations similaires ont été faites dans les quartiers populaires durant les années 1980 [6]. Ces comportements ne constituent donc pas une nouveauté. Contrairement à certaines affirmations, aucune statistique ne montre une augmentation de leur occurrence : la justice indique une stabilité globale depuis deux décennies [7].
Auteurs, victimes, interactions et contexte social
Dans un ensemble de dossiers judiciaires analysés en région parisienne, on retrouve les caractéristiques socio-démographiques classiques : les auteurs de viols collectifs proviennent de milieux défavorisés, avec de nombreuses fratries, souvent en situation d’échec scolaire ou de marginalisation. Plus de la moitié d’entre eux sont inactifs au moment des faits (la majorité des autres étant encore scolarisés), et une petite moitié ont déjà été condamnés pour des délits mineurs (vols, bagarres, outrages, usage ou revente de stupéfiants), mais rarement pour des viols. La seule nouveauté par rapport aux années 1960 concerne leur origine, majoritairement étrangère. Nous y reviendrons en conclusion.
Mais l’essentiel réside ailleurs. Qu’il s’agisse d’aujourd’hui ou du passé, la pratique des viols collectifs dans les quartiers populaires des grandes villes doit avant tout s’analyser à travers la dynamique des groupes ou, plus précisément, des bandes, ainsi que leurs systèmes de normes propres [8]. Lorsqu’un contexte de fragilités familiales, d’échec scolaire et de marginalisation affecte les jeunes garçons, la sociabilité juvénile, dès l’enfance, offre un terrain propice à la formation de bandes où les valeurs virilistes peuvent offrir un refuge et une forme de reconnaissance [9]. En montrant du courage physique, de l’ingéniosité (« avoir du vice »), et en défiant l’autorité des adultes (notamment des institutions), un adolescent peut rapidement bâtir une réputation et obtenir du respect parmi ses pairs. Selon la configuration interne de la bande, sa place dans la hiérarchie, ainsi que la relation avec l’environnement (autres bandes, institutions, police), il s’engagera plus ou moins dans des comportements rebelles et déviants. C’est cette logique interne, avec ses valeurs viriles et ses processus d’affirmation par défi et surenchère, qui explique souvent la participation à des viols collectifs : certains cherchent à asseoir leur domination, d’autres à prouver leur capacité, à « en avoir » pour ne pas être exclus du groupe.
Dans ces actes, la bande ou le groupe d’adolescents ou jeunes adultes cible une victime vulnérable (parfois fragile mentalement), connue d’avance, et dans un contexte favorable. La victime est souvent une adolescente isolée socialement, en conflit avec sa famille, parfois fugueuse, qui cherche à s’intégrer dans des groupes plus âgés, où elle sait que certains sont des « mauvais garçons » (« lascars », « racailles »). Elle affiche une volonté d’émancipation, notamment par des relations sexuelles avec certains d’entre eux. Ce comportement permet aux jeunes hommes de se déculpabiliser, en considérant la jeune fille avec mépris (« elle savait ce qu’elle faisait », « elle l’a bien cherché ») [10]. Au moment opportun, pour un motif souvent futile, l’un d’eux passe à l’acte et entraîne les autres avec lui. En résumé, ce scénario social, qui n’est ni récent ni spécifique aux quartiers pauvres, se reproduit encore aujourd’hui dans certains contextes.
Élargir la perspective sociologique
L’idée selon laquelle les viols collectifs seraient une particularité des « jeunes issus de l’immigration » constitue une erreur double. D’une part, dans l’histoire, des groupes d’adolescents habitant des quartiers populaires ont présenté des comportements similaires, indépendamment de leur origine. La formation des bandes, leur fonctionnement et leurs pratiques délinquantes ne relèvent pas de l’origine ethnique ou culturelle. D’autre part, ces actes ne se limitent pas à certains milieux ou populations : de nombreux travaux mentionnent par exemple des viols collectifs sur certains campus universitaires américains, où la majorité des jeunes impliqués appartient aux classes moyennes ou aisées, souvent d’origine blanche [12].
De plus, il est fréquent de lire dans la presse que des procédures judiciaires pour viol en réunion ont été engagées contre des policiers impliqués dans la victimisation de prostituées ou contre des surveillants en prison à l’encontre de détenues. Récemment, une affaire tragique a mis en cause des jeunes pompiers : une adolescente de 15 ans, en rupture avec ses parents, recherche la compagnie d’hommes plus âgés et virils. Elle finit par être livrée par son petit ami à dix collègues qui la violentent dans leur caserne, avec la complicité d’un proxénète. La jeune fille se suicidera quelques semaines plus tard [13].
Il est donc essentiel d’élargir la grille d’analyse sociologique. Le viol collectif est un phénomène de groupes masculins de jeunes qui traverse l’histoire et concerne tous les milieux sociaux. Comme l’avait souligné Pierre Bourdieu, de nombreux rites institutionnels, notamment scolaires ou militaires, comportent des épreuves de virilité visant à renforcer la cohésion masculine. Des pratiques telles que certains viols collectifs d’adolescents — qui peuvent apparaître comme une dévalorisation de la visite collective au bordel, rappelée dans la mémoire des adolescents bourgeois — ont pour but d’affirmer devant les autres leur virilité dans sa dimension de violence, en dehors des tendresses et des attouchements dévirilisants de l’amour [14].
Méfiance face à l’étiquetage ethnique des comportements sociaux
Durant les années 1990, une tendance à « ethniciser » les rapports sociaux s’est fortement répandue en France. La corrélation entre délinquance et immigration est devenue une idée courante dans le débat politique et intellectuel, souvent délaissant les recherches en sciences sociales [15]. La stigmatisation des jeunes issus de l’immigration s’est accentuée, d’abord à travers la rhétorique sur les « violences urbaines » et l’« insécurité », puis en associant le phénomène aux violences faites aux femmes (le viol collectif étant présenté comme une manifestation exemplaire), et enfin dans le contexte du « nouvel antisémitisme ». Ces discours tendent à réduire ces comportements à des « différences culturelles » ou ethniques, mais ces simplifications sont trompeuses. Elles évacuent les dimensions sociales, politiques, ainsi que les enjeux individuels ou régionaux.
Concernant les viols collectifs, ces lectures culturalistes ignorent l’histoire et les problématiques spécifiques de l’adolescence, notamment la construction identitaire sexuelle et les rapports de genre. Elles méconnaissent aussi les dynamiques propres aux sociabilités masculines juvéniles, telles que la formation des bandes et leur évolution vers des pratiques déviantes. En définitive, ces interprétations culturalistes risquent d’être le reflet d’une banalisation de la xénophobie ordinaire, dans une société où la peur et les symboles ont remplacé l’analyse rationnelle des comportements sociaux et criminels des jeunes [16].
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Je publie cette excellente étude ( article emprunté à http://www.forum-chretien-unitarien.eu, ). Je me retrouve parfaitement dans cette approche, j'aime la démarche saine de son auteur qui fait réfléchir le lecteur en lui proposant d' aborder sereinement et bibliquement l'identité de Jésus le Fils de l'homme. Bonne lecture.
Prière : Seigneur Tout-Puissant,
Tu as su nous guider, par Ton Esprit-Saint, dans toutes nos études de Ta Parole inspirée.
Nous Te demandons humblement de bien vouloir continuer de le faire, alors que nous désirons sonder le sujet de la nature de Ton Fils, Jésus-Christ.
Ouvre notre cœur et notre esprit à Ta précieuse vérité.
C’est au nom de notre Sauveur Jésus-Christ que nous T’en prions.
Amen.
Marc 8 : 29 Et il leur dit : Et vous, qui dites–vous que je suis ? Pierre, répondant, lui dit : Tu es le Christ.
Cette question, que Jésus posa un jour à ses disciples, pourrait bien encore être posée aujourd’hui,
particulièrement en ce qui concerne sa divinité.
En effet, nombreux sont ceux qui ne savent plus quelle position adopter sur ce sujet.
D’une part, certains affirment que Jésus est Dieu au même titre que le Père.
D’autre part, certains nient sa divinité, enseignant qu’il n’est que Fils de Dieu, et non Dieu le Fils.
Quant à nous, nous choisirons de laisser la Bible nous éclairer sur le sujet.
Matthieu 16 15 Il leur dit : Et vous, qui dites–vous que je suis ? 16 Simon Pierre, prenant la parole, dit : Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.
La Parole de Dieu affirme à plusieurs endroits, et de plusieurs façons, que Jésus-Christ n'est pas véritablement Dieu.
Nous commencerons par l’étude de passages témoignant directement que Jésus n'est pas Dieu, puis nous examinerons des versets qui semblent dire le contraire.
Matthieu 26 : 63 Mais Jésus se tut. Alors le souverain sacrificateur, prenant la parole, lui dit : Je t’adjure, par le Dieu vivant, de nous dire si tu es le Christ, le Fils de Dieu. 64 Jésus lui répondit : Tu l’as dit ; et même je vous le déclare : Dès maintenant vous verrez le Fils de l’homme assis à la droite de la puissance de Dieu, et venant sur les nuées du ciel.
Nulle part, dans la Bible, Jésus ne dit qu'il est Dieu. Il a toujours affirmé qu'il était le Fils de Dieu.
Est-ce que c'est pareil ? Est-ce que votre fils, c'est vous ?
Jean 10 : 34 Jésus leur répondit : N’est–il pas écrit dans votre loi : J’ai dit : Vous êtes des dieux.
35 Que si elle a appelé dieux ceux à qui la parole de Dieu était adressée (et l’Écriture ne peut être rejetée), 36 Dites–vous que je blasphème, moi que le Père a sanctifié et qu’il a envoyé dans le monde, parce que j’ai dit : Je suis le Fils de Dieu ?
Les juges qui ont condamnés Jésus pensaient eux aussi que "Fils de Dieu" voulait dire "Dieu".
Mais Jésus les reprend en faisant remarquer que la Bible appelle "dieux" tout ceux à qui la Parole de Dieu est adressée.
Et Jésus insiste sur le fait qu'il n'a pas dit "Je suis Dieu", mais qu'il a dit "Je suis le Fils de Dieu".
S'il l'était vraiment, pourquoi Jésus ne dit pas qu'il est Dieu, mais seulement son Fils ?
1 Corinthiens 8 : 5 Car, quoiqu’il y en ait, soit dans le ciel, soit sur la terre, qui sont appelés dieux (comme, en effet, il y a plusieurs dieux et plusieurs seigneurs), 6 Toutefois, nous n’avons qu’un seul Dieu, le Père, duquel procèdent toutes choses, et nous sommes pour lui ; et un seul Seigneur, Jésus–Christ, par lequel sont toutes choses, et nous sommes par lui.
Le mot "Dieu" n'est pas un nom propre. C'est un nom commun qui désigne toute puissance.
Et des puissances, il y en a beaucoup, tant au ciel que sur la terre.
Il convient néanmoins de distinguer entre tout ces dieux, et le seul vrai Dieu, entre tout les seigneurs, et le seul vrai Seigneur.
La Bible insiste ici: le seul vrai Dieu, c'est le Père, il n'y en a pas d'autre.
Et Jésus-Christ n'est pas Dieu puisque seul le Père l'est, mais Jésus-Christ est le seul vrai Seigneur.
Luc 3:38 D’Énos, de Seth, d’Adam, fils de Dieu.
Matthieu 5 : 9 Heureux les pacifiques ; car ils seront appelés enfants de Dieu.
Au demeurant Jésus n'est pas le seul que la Bible appelle fils de Dieu.
Le premier homme charnel, Adam, est appelé fils de Dieu, car c'est bien Dieu qu'il a pour père,
c'est bien Dieu qui l'a créé.
Et tout ceux qui seront au royaume de Dieu seront aussi appelés fils de Dieu, à l'instar de Jésus-Christ.
Sont-ils Dieu pour autant ?
Ephésiens 1 : 3 Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus–Christ, qui nous a bénis de toutes sortes de bénédictions spirituelles dans les lieux célestes, par Christ ;
Il convient de bien distinguer, comme le fait la Bible, entre Dieu, qui est le Père, et notre Seigneur, qui est Jésus-christ.
Mais alors s'il n'est pas Dieu, qui est-il ?
Nous avons pu déjà en avoir une petite idéeen voyant que d'autres hommes étaient aussi appelés fils de Dieu, tout comme lui.
Hébreux 2 : 17 C’est pourquoi il a fallu qu’il devînt semblable en toutes choses à ses frères ; afin qu’il fût un souverain Sacrificateur, miséricordieux, et fidèle dans les choses de Dieu, pour expier les péchés du peuple.
Jésus a dû être rendu semblable en toutes choses à ses frères. Jésus est le frère des hommes.
Dans une famille, les frères sont tous de la même espèce, de la même nature. Jésus est donc un homme, tout comme nous.
1 Timothée 2 :5 Car il y a un seul Dieu, et un seul Médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus–Christ, homme,
Ici encore, une nette distinction est faite entre Dieu et Jésus-Christ.
Il y a un seul vrai Dieu, dit le texte, et ce n'est pas lui.
S'il y a un seul vrai Dieu, le Père, il y a aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes: Jésus-Christ.
Peut-on être médiateur entre quelqu'un et soi-même ?
Et que nous dit ce verset sur la nature de Christ ?
Est-il Dieu ou est-il homme ?
1 Corinthiens 15 : 45 Suivant qu’il est écrit : le premier homme, Adam, a été fait une âme vivante ; mais le dernier Adam est un Esprit vivifiant ; 46 Or, ce n’est pas ce qui est spirituel, mais ce qui est animal, qui est le premier ; ce qui est spirituel vient après. 47 Le premier homme, étant de la terre, est terrestre, et le second homme, le Seigneur, est du ciel.
Pour la Bible, il y a deux sortes d'hommes.
Le premier homme, Adam, est charnel. Et tout ceux qui naissent d'Adam, sont des hommes charnels.
Le second homme, le second Adam, est spirituel. Ceux qui naissent de cet homme, de cet Adam, sont spirituels. Ce sont des hommes destinés à être célestes.
Car de même qu'il y a des hommes charnels sur la terre, il y aura, après la résurrection, des hommes spirituels au ciel.
Colossiens 2 : 9 Car en lui toute la plénitude de la divinité habite corporellement.
Les trinitaires, qui croient que Jésus est Dieu, disent que Jésus a deux natures.
D'une part il est homme, car on ne peut dire le contraire de ce que la Bible dit, et d'autre part il est Dieu.
Vrai Dieu et vrai homme, disent-ils.
Mais a-t-on déjà vu un être avec deux natures en même temps ?
Avez-vous déjà vu un animal être à la fois un chat et un chien ?
Ou un homme être à la fois homme et lion ?
Dans ce verset, il est dit que toute la plénitude de Dieu habite en lui.
Mais quelque soit la plénitude qui habite en lui, est-ce que ça modifie sa nature d'être pour autant ?
Ephésiens 3 : 19 Et connaître l’amour de Christ, qui surpasse toute connaissance, afin que vous soyez remplis de toute la plénitude de Dieu.
Lorsque toute la plénitude de Dieu habitera en nous, est-ce que nous serons Dieu pour autant ?
Quand Dieu habite en nous, nous restons toujours ce que nous sommes, nous restons humains.
Lorsque toute la plénitude de Dieu habite en Christ, il reste ce qu'il est, un homme.
Ephésiens 4 : 4 Il y a un seul corps et un seul Esprit, comme aussi vous êtes appelés à une seule espérance, par votre vocation. 5 Un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême ; 6 Un seul Dieu et Père de tous, qui est au–dessus de tous, et par tous, et en vous tous.
Mais alors, s'il n'y a qu'un seul Dieu qui est le Père, si Jésus-Christ n'est pas Dieu, mais un homme,
cela veut dire qu'il n'a pas existé de toute éternité ! ?
Cela veut dire qu'il a été créé à moment donné !?
Psaume 2 : 7 Je publierai le décret de l’Éternel ; il m’a dit : Tu es mon fils ; aujourd’hui je t’ai engendré.
Effectivement, le Fils a été engendré au tout début de la Création.
La définition de Dieu est d'être inengendré, d'exister de toute éternité.
La définition de la créature est d'être née à moment donnée.
De ne pas exister depuis toujours.
Colossiens 1:15 C’est lui qui est l’image du Dieu invisible, le premier–né de toutes les créatures. 16 Car c’est en lui qu’ont été créées toutes choses dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, soit les trônes, soit les dominations, soit les principautés, soit les puissances. Tout a été créé par lui et pour lui. 17 Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent par lui.
Le Fils est le premier-né de la création, nous confirme l'Ecriture.
Premier engendré, premier-né de la création,
Dieu l'a engendré avant toute chose.
Puis tout a été créé avec lui,
tout a été créé par la Parole de Dieu.
Genèse 1 : 3 Et Dieu dit : Que la lumière soit ; et la lumière fut
Dieu dit, et la chose est créée.
C'est par sa parole que Dieu a créée toute chose. C'est la Parole de Dieu, sous la direction du Père, qui a tout créé.
1 Corinthiens 8: 6 Toutefois, nous n’avons qu’un seul Dieu, le Père, duquel procèdent toutes choses, et nous sommes pour lui ; et un seul Seigneur, Jésus–Christ, par lequel sont toutes choses, et nous sommes par lui.
C'est par la volonté de Dieu que l'homme a été créé, mais c'est le Fils qui a accompli cette volonté
en créant toutes choses.
Deutéronome 6 : 4 Écoute, Israël ! l’Éternel notre Dieu est le seul Éternel.
Ce verset est la profession de foi des Israélites depuis Moïse jusqu'à aujourd'hui.
Il dit clairement que Dieu est un, et pas trois.
Et Jésus n'a jamais enseigné le contraire.
Mais alors, sur quoi se basent les trinitaires pour dire que Dieu est trois ?
Sur plusieurs versets ambigüs qui peuvent être compris de plusieurs manières.
Matthieu 1 : 23 Voici, la vierge sera enceinte, et elle enfantera un fils, et on le nommera EMMANUEL, ce qui signifie : DIEU AVEC NOUS.
Examinons maintenant ces versets ambigüs dont se servent les trinitaires pour affirmer la divinité supposée de Jésus.
Lorsqu'une équipe sportive représente la France à une compétition internationale, on dit "La France était présente" . Pourtant était-ce la France qui était là, ou ses représentants ?
Lorsque le représentant de Dieu est avec nous, n'est-on pas en droit de dire que Dieu est avec nous ?
Jean 1 :1 Au commencement était la Parole, la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu.
Les langues antiques, comme l'hébreu ou le grec, ne connaissent ni minuscules, ni ponctuation.
Tous les textes sont écrits en lettres majuscules et sans ponctuation.
Aussi l'utilisation de minuscules ou majuscules relève du seul choix du traducteur.
Aussi ce verset se lit: "Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était un dieu."
Jean 20 : 28 Thomas répondit et lui dit : Mon Seigneur et mon Dieu !
La ponctuation n'existait pas, dans le texte original. C'est le traducteur du texte en français qui l'introduit comme bon lui semble.
Aussi ce verset peut très bien s'écrire : "Thomas lui répondit: "Mon Seigneur". Et "mon Dieu"!
Etonné de voir Jésus apparaitre devant lui, Thomas, dans un premier élan de surprise, lui répond "Mon Seigneur". Puis, sous le coup de la surprise, il s'exclame "Mon Dieu", un peu comme le font les anglais en disant "Oh my God!" sans que forcément celui qui est en face d'eux ne soit Dieu.
Jean 10 : 30 Moi et le Père, nous sommes un.
Ce verset est souvent utilisé par les trinitaires pour montrer l'unicité entre le Père et le Fils.
Ils oublient de lire un peu plus loin, comme nous allons le voir tout de suite.
Jean 17 : 20 Or, je ne prie pas seulement pour eux ; mais aussi pour ceux qui croiront en moi par leur parole ; 21 Afin que tous soient un, comme toi, ô Père, tu es en moi, et moi en toi ; afin qu’ils soient aussi un en nous ; pour que le monde croie que c’est toi qui m’as envoyé.
Si le fait que le Fils et le Père soient un signifie qu'ils sont Dieu au sein de la trinité, alors tout ceux qui ont cru Dieu et Jésus, et qui eux aussi sont un avec Dieu et avec Jésus, doivent aussi être considérés comme Dieu au sein de la multinité.
Romains 9 : 5 Qui descendent des pères, et de qui est sorti, selon la chair, Christ, qui est Dieu au–dessus de toutes choses, béni éternellement. Amen ! Ost
Le Christ Jésus est effectivement au dessus de toutes choses. Que Dieu soit béni éternellement !
Ce verset qui parle de Christ, et qui se termine par une bénédiction à Dieu ne veut pas dire que Christ est Dieu !
Esaïe 9 : 6 (9–5) Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, et l’empire est mis sur son épaule : on l’appellera l’Admirable, le Conseiller, le Dieu fort, le Père d’éternité, le Prince de la paix ;
Le fait que dans ce verset le Fils soit appelé "Père" doit nous inciter à ne pas prendre les mots au pieds de la lettre.
Il est un fait que Jésus est un dieu puissant, comme nous l'avons montré au début de cette étude.
Qu'il soit Prince de la paix ne fait de doute pour personne.
De plus il donne naissance pour la vie éternelle à tout ceux qui croient en lui.
De ce fait, il est un père éternel, pour eux.
Luc 4 : 8 Mais Jésus lui répondit : Arrière de moi, Satan ; car il est écrit : Tu adoreras le Seigneur ton Dieu, et tu le serviras lui seul.
Apocalypse 19 : 10 Or, je me jetai à ses pieds pour l’adorer ; mais il me dit : Garde–toi de le faire ; je suis ton compagnon de service et celui de tes frères qui ont le témoignage de Jésus. Adore Dieu, car le témoignage de Jésus, c’est l’esprit de prophétie.
Les hommes ne doivent adorer que Dieu.
Hébreux 1 : 5 Car auquel des anges Dieu a–t–il jamais dit : Tu es mon Fils, je t’ai engendré aujourd’hui ? Et encore : Je serai son Père, et il sera mon Fils ? 6 Et ailleurs, quand il introduit de nouveau sur la terre le Premier–né, il dit : Que tous les anges de Dieu l’adorent.
Mais les anges ne sont pas des hommes. Les hommes célestes sont supérieurs aux anges.
De plus le premier d'entre eux, Jésus-Christ, est investit de tous les pouvoirs de Dieu et Le représente.
Il est le médiateur entre Dieu et les hommes. Au travers de Jésus-Christ, c'est Dieu qui est adoré.
Jean 17 : 3 Or, c’est ici la vie éternelle, qu’ils te connaissent, toi le seul vrai Dieu, et Jésus–Christ que tu as envoyé.
Dieu nous aime tellement qu'il a sacrifié son Fils ainé pour nous sauver.
Grâce à ce sacrifice, nous pourrons vivre pour l'éternité auprès de ce Père qui nous aime.
A condition de faire l'effort d'apprendre à le connaître.
Et c'est déjà ce que vous êtes en train de faire en venant ici pour découvrir sa Parole qui est la Bible.
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Voici une reformulation de votre texte, en conservant intégralement le sens et l’intention, tout en changeant la forme et le vocabulaire :
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Je mets en ligne cette remarquable étude (tirée d’un article disponible sur http://www.forum-chretien-unitarien.eu). Je partage entièrement cette perspective, appréciant la démarche sincère de son auteur qui invite à la réflexion en abordant avec calme et en accord avec les Écritures l’identité de Jésus, le Fils de l’homme. Bonne lecture.
Prière : Seigneur Tout-Puissant,
Tu as su nous guider, par Ton Esprit-Saint, dans l’étude de Ta Parole inspirée.
Nous Te prions humblement de continuer à le faire, alors que nous cherchons à approfondir la compréhension de la nature de Ton Fils, Jésus-Christ.
Ouvre nos cœurs et nos esprits à Ta vérité précieuse.
C’est en Ton nom, notre Sauveur Jésus-Christ, que nous Te prions.
Amen.
Marc 8 : 29 — Et il leur demanda : Et vous, qui pensez-vous que je suis ? Pierre, prenant la parole, lui répondit : Tu es le Christ.
Cette question que Jésus a posée un jour à ses disciples pourrait bien encore être posée aujourd’hui, surtout à propos de sa divinité.
En effet, beaucoup ne savent plus quelle position adopter face à ce sujet.
D’un côté, certains soutiennent que Jésus est Dieu de la même nature que le Père.
De l’autre, d’autres nient sa divinité, affirmant qu’il n’est que le Fils de Dieu, sans être Dieu lui-même.
Pour notre part, nous privilégions la lecture de la Bible pour éclairer cette question.
Matthieu 16 : 15 — Et vous, leur dit-il, qui dites-vous que je suis ? 16 — Simon Pierre, prenant la parole, répondit : Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.
Les Écritures indiquent à plusieurs endroits, de diverses manières, que Jésus-Christ n’est pas Dieu en essence.
Nous commencerons par examiner des passages qui attestent directement que Jésus n’est pas Dieu, puis nous analyserons ceux qui semblent indiquer le contraire.
Matthieu 26 : 63 — Mais Jésus demeura silencieux. Alors le souverain sacrificateur, prenant la parole, lui dit : Je t’en conjure par le Dieu vivant, dis-nous si tu es le Christ, le Fils de Dieu. 64 — Jésus lui répondit : Tu l’as dit ; et je vous déclare : Dès maintenant vous verrez le Fils de l’homme assis à la droite de la puissance de Dieu, et venant sur les nuées du ciel.
Il n’existe aucun passage dans la Bible où Jésus affirme explicitement qu’il est Dieu. Il a toujours déclaré être le Fils de Dieu.
Est-ce équivalent ? Est-ce que votre fils, c’est vous ?
Jean 10 : 34 — Jésus leur répondit : N’est-il pas écrit dans votre loi : J’ai dit : Vous êtes des dieux ? 35 — Si elle a appelé « dieux » ceux à qui la parole de Dieu était adressée (et l’Écriture ne peut être annulée), 36 — alors, vous pensez que je blasphème parce que j’ai dit : Je suis le Fils de Dieu, celui que le Père a sanctifié et envoyé dans le monde ?
Les juges qui ont condamné Jésus croyaient aussi que « Fils de Dieu » signifiait « Dieu ».
Mais Jésus leur rappelle que la Bible désigne « dieux » tous ceux à qui la Parole de Dieu a été adressée.
Il insiste sur le fait qu’il n’a pas dit « Je suis Dieu », mais « Je suis le Fils de Dieu ».
S’il était réellement Dieu, pourquoi ne le dit-il pas explicitement ?
1 Corinthiens 8 : 5 — En effet, il y a, dans le ciel comme sur la terre, beaucoup de ce qu’on peut appeler des dieux (car il y a plusieurs dieux et plusieurs seigneurs). 6 — Pourtant, pour nous, il n’y a qu’un seul Dieu, le Père, de qui tout provient, et nous sommes pour lui ; et un seul Seigneur, Jésus-Christ, par qui tout a été créé, et nous sommes par lui.
Le terme « Dieu » n’est pas un nom propre, c’est un nom commun désignant toute puissance. Il y en a beaucoup, aussi bien dans le ciel que sur la terre.
Il faut distinguer entre ces nombreux « dieux » et le seul vrai Dieu, entre tous ces seigneurs et le seul vrai Seigneur.
La Bible souligne ici que le seul vrai Dieu, c’est le Père. Jésus-Christ n’est pas Dieu, puisque seul le Père l’est, mais il reste le seul vrai Seigneur.
Luc 3 : 38 — Enos, Seth, Adam, fils de Dieu.
Matthieu 5 : 9 — Heureux les pacifiques, car ils seront appelés fils de Dieu.
D’ailleurs, Jésus n’est pas le seul à être appelé fils de Dieu dans la Bible.
L’homme originel, Adam, est appelé fils de Dieu, parce que Dieu en est le Créateur.
Et tous ceux qui entreront dans le royaume de Dieu seront aussi désignés comme fils de Dieu, comme Jésus-Christ.
Sont-ils pour autant Dieu ?
Éphésiens 1 : 3 — Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, qui nous a bénis de toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes, par Christ.
Il est essentiel de distinguer, selon la Bible, le Père, qui est Dieu, de Jésus, qui est notre Seigneur.
Mais alors, s’il n’est pas Dieu, qui est-il réellement ?
Nous avons déjà une idée en constatant que d’autres hommes sont aussi appelés fils de Dieu, tout comme lui.
Hébreux 2 : 17 — C’est pourquoi il lui fallait devenir semblable en tout à ses frères, afin d’être un grand Sacrificateur miséricordieux et fidèle en ce qui concerne le service de Dieu, pour expier les péchés du peuple.
Jésus devait être comme ses frères dans tous les aspects. Il est donc un homme, tout comme nous.
1 Timothée 2 : 5 — En effet, il y a un seul Dieu, et aussi un seul Médiateur entre Dieu et les hommes : Jésus-Christ, homme.
Une nouvelle distinction claire est faite entre Dieu et Jésus-Christ.
Il y a un seul Dieu véritable, et ce n’est pas lui.
Il y a aussi un seul médiateur entre Dieu et l’humanité : Jésus-Christ.
Peut-on devenir médiateur entre quelqu’un et lui-même ?
Que révèle ce passage sur la nature du Christ ? Est-il Dieu ou homme ?
1 Corinthiens 15 : 45 — Selon l’Écriture, le premier homme, Adam, a été fait une âme vivante ; mais le dernier Adam est un esprit vivifiant. 46 — Ce qui est animal, c’est-à-dire terrestre, est venu en premier ; ce qui est spirituel, vient après. 47 — Le premier homme, issu de la terre, est terrestre ; le second homme, le Seigneur, est du ciel.
La Bible distingue deux types d’hommes. Le premier, Adam, est charnel. Tous ceux qui naissent d’Adam sont hommes charnels. Le second, le « second Adam », est spirituel. Ceux qui naissent de cet homme sont spirituels, destinés à devenir célestes.
Tout comme il y a des hommes terrestres, il y aura des hommes spirituels après la résurrection.
Colossiens 2 : 9 — Car en lui toute la plénitude de la divinité habite corporellement.
Les trinitariens qui pensent que Jésus est Dieu affirment qu’il possède deux natures : il serait à la fois homme et Dieu.
Mais a-t-on déjà vu un être doté de deux natures simultanément ? Un chat qui serait aussi chien ? Un homme qui serait à la fois lion et homme ?
Ce verset indique que toute la plénitude divine habite en lui. Mais cela ne change pas sa nature d’homme.
Ephésiens 3 : 19 — Afin que vous connaissiez l’amour de Christ, qui dépasse toute connaissance, afin que vous soyez remplis de toute la plénitude de Dieu.
Quand la plénitude de Dieu habite en nous, cela fait-il de nous des dieux ? Non.
Même quand toute la plénitude de Dieu habite en Christ, il reste ce qu’il est : un homme.
Ephésiens 4 : 4 — Il y a un seul corps, un seul Esprit, comme aussi vous avez une seule espérance, une seule foi, un seul baptême ; 5 — un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême ; 6 — un seul Dieu et Père de tous, qui est au-dessus de tous, par tous, et en tous.
Alors, si le seul vrai Dieu est le Père et si Jésus n’est pas Dieu mais un homme, cela implique-t-il qu’il n’a pas existé depuis l’éternité ? Qu’il a été créé à un moment précis ?
Psaume 2 : 7 — Je publierai le décret de l’Éternel : il m’a dit : Tu es mon fils ; aujourd’hui, je t’ai engendré.
En effet, le Fils a été engendré au tout début de la création.
La définition de Dieu implique qu’il est inengendré, existant de toute éternité.
La créature, en revanche, naît à un moment donné, elle n’existe pas depuis toujours.
Colossiens 1 : 15 — Il est l’image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création. 16 — Car en lui ont été créées toutes choses dans les cieux et sur la terre, visibles et invisibles, trônes, dominations, principautés, puissances. Tout a été créé par lui et pour lui. 17 — Il est avant toutes choses, et tout subsiste par lui.
Le verset confirme que le Christ est « le premier-né de la création ».
Premier engendré, premier-né, Dieu l’a engendré avant toute chose.
Puis tout a été créé par lui, par la parole de Dieu.
Genèse 1 : 3 — Et Dieu dit : Que la lumière soit ; et la lumière fut.
C’est par sa parole que Dieu a créé tout ce qui existe. La Parole divine, sous la direction du Père, a tout créé.
1 Corinthiens 8 : 6 — Mais pour nous, il n’y a qu’un seul Dieu, le Père, de qui tout procède, et nous sommes pour lui ; et un seul Seigneur, Jésus-Christ, par qui tout a été créé, et nous sommes par lui.
La volonté de Dieu a permis la création de l’homme, mais c’est le Fils qui a effectué cette création.
Deutéronome 6 : 4 — Écoute, Israël ! L’Éternel, notre Dieu, est le seul Éternel.
Ce verset constitue la déclaration de foi des Israélites, depuis Moïse jusqu’à aujourd’hui.
Il affirme clairement que Dieu est un, et non trinitaire.
Et Jésus n’a jamais enseigné autre chose.
Mais alors, sur quoi s’appuient les trinitaires pour prétendre que Dieu est trois ?
Sur plusieurs versets ambigus, susceptibles d’être compris de différentes manières.
Matthieu 1 : 23 — Voici, la vierge sera enceinte, et elle enfantera un fils, qu’on appellera Emmanuel, ce qui signifie : « Dieu avec nous ».
Voyons maintenant ces passages ambigus que les trinitaires utilisent pour soutenir la divinité supposée de Jésus.
Lorsqu’une équipe sportive représente la France à une compétition internationale, on dit que « La France était présente ». Mais était-ce réellement la France ou ses représentants ?
Quand le représentant de Dieu est avec nous, ne peut-on pas dire que « Dieu est avec nous » ?
Jean 1 : 1 — Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu.
Les langues anciennes, comme l’hébreu ou le grec, n’utilisent pas de minuscules ni de ponctuation.
Les textes sont écrits en majuscules et sans ponctuation. La traduction dépend du choix du traducteur.
Ce verset peut se lire ainsi : « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était un dieu ».
Jean 20 : 28 — Thomas lui répondit : Mon Seigneur et mon Dieu !
La ponctuation n’était pas présente dans le texte original. C’est le traducteur qui l’a ajoutée.
Ce verset pourrait aussi s’interpréter : « Thomas lui dit : “Mon Seigneur” », puis « “Mon Dieu” ».
Sous le choc, Thomas, surpris de voir Jésus, commence par l’appeler « Seigneur », puis s’écrie « Dieu », à la manière de l’expression anglaise « Oh my God ! » sans que cela signifie nécessairement que Jésus soit Dieu.
Jean 10 : 30 — Moi et le Père, nous sommes un.
Ce verset est souvent brandi par les trinitaires pour soutenir l’unicité du Père et du Fils.
Mais il faut continuer à lire plus loin, comme nous allons le voir.
Jean 17 : 20 — Et je ne prie pas seulement pour eux, mais aussi pour ceux qui croiront en moi par leur message ; 21 — afin que tous soient un, comme toi, ô Père, tu es en moi, et moi en toi ; afin qu’eux aussi soient un en nous ; pour que le monde croie que tu m’as envoyé.
Si « être un » signifie que le Père et le Fils sont Dieu dans la Trinité, alors tous ceux qui croient en eux, et qui deviennent un avec eux, doivent aussi être considérés comme Dieu.
Romains 9 : 5 — De qui sont issus selon la chair Christ, qui est Dieu au-dessus de tout. Béni éternellement. Amen.
Ce verset affirme que Christ est « Dieu au-dessus de tout ». Mais cela ne veut pas dire qu’il est Dieu lui-même.
Ésaïe 9 : 6 (ou 9–5) — Car un enfant nous est né, un fils nous a été donné, et l’empire repose sur ses épaules. On l’appellera : Admirable Conseiller, Dieu Puissant, Père Éternel, Prince de la paix.
L’appelation « Père Éternel » ne doit pas être prise au pied de la lettre. Jésus est un puissant, comme nous l’avons déjà montré, et il est aussi Prince de la paix. Il donne aussi la vie éternelle à ceux qui croient en lui. Par conséquent, il peut être considéré comme un père éternel pour ses disciples.
Luc 4 : 8 — Jésus lui répondit : Arrière, Satan ; car il est écrit : Tu adoreras le Seigneur ton Dieu, et lui seul tu le serviras.
Apocalypse 19 : 10 — Je tombai à ses pieds pour l’adorer, mais il me dit : Garde-toi de faire cela, car je suis ton compagnon et celui de tes frères qui ont le témoignage de Jésus. Adore Dieu seul, car le témoignage de Jésus est l’esprit de prophétie.
Les hommes ne doivent adorer que Dieu.
Hébreux 1 : 5 — À quel ange Dieu a-t-il jamais dit : Tu es mon Fils, je t’ai engendré aujourd’hui ? Et encore : Je serai son Père, et lui sera mon Fils ? 6 — Et lorsqu’il introduit le Premier-né dans le monde, il dit : Que tous les anges de Dieu l’adorent.
Mais les anges ne sont pas des hommes. Ce sont des êtres célestes supérieurs. Et le premier d’entre eux, Jésus-Christ, possède tout pouvoir et représente Dieu. Il est le médiateur entre Dieu et l’humanité, et c’est par lui que Dieu est adoré.
Jean 17 : 3 — Or, c’est cela la vie éternelle : qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et Jésus-Christ que tu as envoyé.
Dieu nous aime tant qu’il a donné son Fils unique pour nous sauver. Par cette offrande, nous pouvons vivre éternellement auprès de ce Père aimant, à condition de chercher à le connaître. Et c’est précisément ce que vous faites en venant ici pour découvrir sa Parole, la Bible.
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Voilà de quoi prendre un sérieux coup de vieux… Cela fait vingt ans qu’est apparu le premier volet de la série Gran Turismo sur la PlayStation première du nom. Alors que la nouvelle itération intitulée Sport se fait toujours attendre, et que sa sortie pour cette année n’est toujours pas actée, voici un petit retour en arrière sur les différents épisodes de la saga.
C’est le 23 décembre 1997 que les joueurs japonais découvrent le titre de Polyphony Digital. Sur le vieux continent, il faudra attendre le 8 mai 1998, et cinq jours plus tard les Etats-Unis sont à leur tour servis. Sous bien des aspects, le nouveau venu vient bouleverser le petit monde jusque-là bien tranquille des jeux de courses.
A la tête du studio Polyphony Digital, se trouve Kazunori Yamauchi, un fanatique invétéré d’automobile, qui supplie depuis plusieurs années Sony de le laisser développer une vraie simulation de conduite. Avant de réussir à convaincre la firme japonaise, Yamauchi et ses équipes ont développé Motor Toon GP 1 et 2, deux jeux dans la veine de Mario Kart, et dont la maniabilité est un avant-goût de celle du futur real driving simulator…
Petit retour en arrière : en 1997, qu’avaient donc les joueurs avides de vitesse à se mettre sous la dent sur la console de Sony ? Pour ne parler que des plus remarquables, ils sont au nombre de trois : V-Rally 97, Porsche Challenge dédié intégralement au Boxster, et le deuxième opus de la série Need For Speed, axé quant à lui sur les supercars.
Dans tous ces jeux, la progression dans un jeu de course se fait de façon extrêmement linéaire ; on choisit un véhicule, éventuellement un championnat quand plusieurs sont disponibles, et on enchaîne les courses pour remporter tous les trophées, avec à la clé une voiture inédite ou un nouveau circuit dans le meilleur des cas.
Avec Gran Turismo, rien de tout cela ; premièrement, il faut passer trois permis différents (B, A et A International) avant de pouvoir participer à l’intégralité des championnats et épreuves disponibles. Ensuite, avec les 10 000 crédits alloués en début de carrière, vient le temps d’acheter sa première voiture. Inutile de dire que les bolides les plus performants comme la Toyota Castrol Supra GT ne seront pas vôtres avant d’avoir passé de longues heures manette en main, le temps de réunir la somme de 500 000 crédits demandée pour leur acquisition. Non, ici on commence avec une Mazda Demio, une Honda Civic 1.4 litres, ou encore une Toyota Supra de troisième génération. D’occasion.
Au niveau des voitures pouvant rejoindre votre garage virtuel, on retrouve bien sûr une très grande majorité de marques japonaises (Honda, Toyota, Nissan,…), mais également quelques constructeurs américains (Chevrolet et Dodge) et européens (Aston Martin et TVR). En tout, ce sont 178 voitures qui sont disponibles, un nombre inédit pour l’époque. Pour replacer ce chiffre dans son contexte, V-Rally 97 proposait dix voitures, quand Need For Speed II n’en comptait que huit.
Les circuits, quant à eux, sont au nombre de onze. La plupart d’entre eux seront repris dans les épisodes suivants, avec plus ou moins de modifications selon les épisodes : ainsi, le circuit Special Stage Route 11 perdra trois virages et plus de 300 mètres de longueur entre le premier et le troisième épisode de la série. A noter également qu’en 2005, l’entreprise de construction japonaise Maeda Corporation a très sérieusement étudié la possibilité de construire une réplique fidèle du tracé de Grand Valley Speedway. Mais les recherches du terrain adéquat se sont avérées vaines…
Autre point important du jeu, l’amélioration de ses montures pour grappiller les quelques dixièmes de secondes séparant parfois la première de la seconde place. De l’échappement à la suspension, tout ou presque peut être amélioré. Il est également possible pour la majorité des voitures de les convertir en véritables voitures de course parées de leurs peintures de guerre.
Niveau sensations de conduite enfin, le jeu introduisait pour la première fois sur un jeu console une certaine notion de réalisme ; en effet, Polyphony Digital a particulièrement travaillé l’aspect technique du jeu, de sorte que le joueur ait l’impression de contrôler une vraie voiture. Dans la pratique, et même si l’on ressent bien la différence entre une traction, une propulsion et une quatre roues motrices, les différentes voitures ont une tendance générale au survirage dès lors qu’on lève le pied de l’accélérateur. Si se remettre à Gran Turismo aujourd’hui peut donc faire sourire face à de vraies simulations comme IRacing ou Assetto Corsa, aucun autre jeu n’arrivait à l’époque à son niveau en matière de gameplay.
Avec 10,85 millions de copies écoulées, cette première mouture reste l’un des plus grands succès de la PlayStation première du nom. Conscient de tenir là une pépite en matière de simulation automobile, Sony renouvela sa confiance dans les équipes de Yamauchi Kazunori pour un deuxième opus, sorti deux ans plus tard. Mais cela fera l’objet d’un autre sujet…
Image de tête : Polyphony Digital
Illustrations : Captures d’écran
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1. Voici de quoi prendre un sérieux coup de vieux… Cela fait maintenant vingt ans que le premier épisode de la série Gran Turismo a été lancé sur la toute première PlayStation. Alors que la nouvelle version, appelée Sport, reste encore très attendue et que sa sortie prévue pour cette année n’a pas encore été confirmée, voici un petit retour en arrière sur l’histoire des différents épisodes de la saga.
Le 23 décembre 1997, les joueurs japonais découvrent le titre de Polyphony Digital. Sur le continent européen, il faudra patienter jusqu’au 8 mai 1998, puis cinq jours plus tard, c’est au tour des États-Unis de recevoir ce jeu. Sur plusieurs aspects, ce nouveau venu bouleverse le petit univers jusque-là tranquille des jeux de course.
À la tête du studio Polyphony Digital se trouve Kazunori Yamauchi, un passionné d’automobiles acharné, qui n’a de cesse de supplier Sony de le laisser créer une simulation de conduite authentique. Avant de convaincre la société japonaise, Yamauchi et ses équipes ont développé Motor Toon GP 1 et 2, deux jeux dans le style de Mario Kart, dont la maniabilité donne un avant-goût de celle du futur Real Driving Simulator…
Petit retour dans le passé : en 1997, que pouvaient bien avoir en main les amateurs de vitesse sur la console de Sony ? Parmi les titres les plus marquants, on compte trois jeux : V-Rally 97, Porsche Challenge dédié au Boxster, et le deuxième opus de Need For Speed, axé sur les supercars.
Dans tous ces jeux, la progression dans une course se fait de façon très linéaire ; on choisit un véhicule, éventuellement un championnat si plusieurs sont disponibles, et on enchaîne les courses pour décrocher tous les trophées, avec en récompense une voiture inédite ou un nouveau circuit.
Avec Gran Turismo, rien de tout cela. D’abord, il faut passer trois permis différents (B, A et A International) avant de pouvoir participer à tous les championnats et épreuves. Ensuite, avec seulement 10 000 crédits en début de carrière, il faut acheter sa première voiture. Inutile de préciser que les véhicules les plus performants, comme la Toyota Castrol Supra GT, ne seront pas à votre disposition avant d’avoir consacré de nombreuses heures à accumuler la somme de 500 000 crédits nécessaire pour leur achat. Ici, on commence avec une Mazda Demio, une Honda Civic 1.4 litres ou une Toyota Supra de troisième génération, en occasion.
Quant aux voitures pouvant rejoindre votre garage virtuel, elles sont majoritairement japonaises (Honda, Toyota, Nissan…), mais aussi quelques constructeurs américains (Chevrolet, Dodge) et européens (Aston Martin, TVR). Au total, ce sont 178 voitures disponibles, un chiffre inédit pour l’époque. Pour mettre ce chiffre en perspective, V-Rally 97 proposait dix voitures, tandis que Need For Speed II n’en comptait que huit.
Les circuits, eux, sont au nombre de onze. La majorité d’entre eux seront repris dans les épisodes suivants, avec quelques modifications : ainsi, le circuit Special Stage Route 11 perdra trois virages et plus de 300 mètres de longueur entre le premier et le troisième épisode de la série. En 2005, la société japonaise Maeda Corporation a même envisagé de construire une réplique fidèle du tracé de Grand Valley Speedway, mais les recherches pour trouver un terrain adéquat sont restées vaines…
Un autre aspect clé du jeu concerne l’amélioration de ses véhicules pour gagner quelques dixièmes de seconde, parfois décisives entre la première et la seconde place. Tout, ou presque, peut être amélioré, de l’échappement à la suspension. Il est aussi possible de transformer la majorité des voitures en véritables voitures de course, avec des peintures de guerre.
Enfin, en matière de sensations de conduite, le jeu introduisait pour la première fois sur console une certaine notion de réalisme ; Polyphony Digital a particulièrement travaillé l’aspect technique pour donner au joueur l’impression de contrôler une vraie voiture. Si l’on ressent bien la différence entre traction, propulsion et quatre roues motrices, la tendance générale des voitures à survirer dès qu’on relâche l’accélérateur est aussi présente. Se replonger dans Gran Turismo aujourd’hui peut faire sourire face à des simulations modernes comme iRacing ou Assetto Corsa, mais à l’époque, aucun autre jeu n’atteignait ce niveau en gameplay.
Avec 10,85 millions de copies vendues, cette première version demeure l’un des plus grands succès de la première PlayStation. Conscients de tenir là une véritable pépite en matière de simulation automobile, Sony a renouvelé sa confiance en Yamauchi et ses équipes pour un deuxième épisode, sorti deux ans plus tard. Mais cela, ce sera une autre histoire…
Image de tête : Polyphony Digital
Illustrations : Captures d’écran
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2. Cela évoque une sensation de vieillir en beauté… Il y a vingt ans, le tout premier épisode de Gran Turismo voyait le jour sur la toute première PlayStation. Alors que la version Sport, la nouvelle itération, reste encore très attendue et que sa sortie pour cette année n’est pas encore confirmée, voici un petit aperçu historique des différentes éditions de la saga.
Le 23 décembre 1997, les joueurs japonais découvrent le jeu développé par Polyphony Digital. Sur le vieux continent, ils devront attendre jusqu’au 8 mai 1998, et cinq jours plus tard, c’est au tour des États-Unis de recevoir le titre. Sur plusieurs plans, ce nouveau jeu bouleverse le monde relativement calme des jeux de course.
Le studio Polyphony Digital est dirigé par Kazunori Yamauchi, un passionné d’automobiles qui a passé plusieurs années à supplier Sony de lui permettre de créer une simulation de conduite véritablement réaliste. Avant de convaincre la société japonaise, Yamauchi et son équipe ont conçu Motor Toon GP 1 et 2, deux jeux dans la lignée de Mario Kart, dont la maniabilité annonçait déjà ce que deviendrait la future simulation de conduite…
Revenons quelques années en arrière : en 1997, quels jeux de vitesse avaient en main les joueurs sur la console de Sony ? Parmi eux, trois titres se démarquent : V-Rally 97, Porsche Challenge dédié au Boxster, et le deuxième volet de Need For Speed, centré sur les supercars.
Dans tous ces jeux, la progression se fait de façon très linéaire : on choisit un véhicule, on sélectionne éventuellement un championnat si plusieurs courses sont disponibles, et on enchaîne les courses pour décrocher tous les trophées, avec à la clé une voiture inédite ou un circuit supplémentaire.
Gran Turismo bouleverse cette logique. Avant de pouvoir participer à toutes les courses, il faut obtenir trois permis différents (B, A, A International). Ensuite, avec seulement 10 000 crédits en début de carrière, il faut acheter sa première voiture. La plupart des véhicules les plus performants, comme la Toyota Castrol Supra GT, ne seront accessibles qu’après avoir accumulé 500 000 crédits. On commence donc avec une Mazda Demio, une Honda Civic 1.4 litres, ou encore une Toyota Supra de troisième génération, en occasion.
En ce qui concerne le catalogue de voitures, il comprend principalement des marques japonaises (Honda, Toyota, Nissan), mais aussi quelques constructeurs américains (Chevrolet, Dodge) et européens (Aston Martin, TVR). Au total, ce sont 178 véhicules qui sont disponibles, un chiffre sans précédent pour l’époque. Pour donner une idée, V-Rally 97 proposait dix voitures, et Need For Speed II n’en comptait que huit.
Les circuits, eux, sont au nombre de onze. La plupart seront repris dans les épisodes suivants, avec quelques modifications : par exemple, le circuit Special Stage Route 11 perdra trois virages et plus de 300 mètres de longueur entre la première et la troisième version. En 2005, la société japonaise Maeda Corporation a même envisagé de construire une réplique fidèle du tracé de Grand Valley Speedway, mais la recherche d’un terrain adéquat n’a pas abouti…
Un autre aspect essentiel du jeu concerne l’amélioration de ses voitures pour gagner quelques dixièmes de seconde, souvent décisives pour la victoire. Tout ou presque peut être amélioré, de l’échappement à la suspension. Il est aussi possible de transformer la majorité des véhicules en véritables voitures de course, avec des peintures de guerre.
En termes de sensations de conduite, Gran Turismo introduisait pour la première fois une certaine dose de réalisme sur console ; Polyphony Digital a travaillé intensément l’aspect technique pour donner au joueur l’impression de piloter une vraie voiture. La différence entre traction, propulsion et quatre roues motrices est perceptible, et la tendance générale au survirage lorsque l’on relâche l’accélérateur est notable. Se replonger dans Gran Turismo aujourd’hui peut faire sourire face aux simulations modernes comme iRacing ou Assetto Corsa, mais à l’époque, aucun autre titre n’atteignait ce niveau de gameplay.
Avec 10,85 millions de copies vendues, cette première version reste l’un des plus grands succès de la PlayStation d’origine. Conscients de détenir une véritable pépite dans le domaine de la simulation automobile, Sony a renouvelé sa confiance dans Yamauchi et ses équipes pour un second épisode, sorti deux ans plus tard. Mais cela, ce sera pour une autre fois…
Image de tête : Polyphony Digital
Illustrations : Captures d’écran
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3. Une véritable remise en question de notre jeunesse… Cela fait maintenant vingt ans que le premier opus de Gran Turismo a été lancé sur la toute première PlayStation. Tandis que la nouvelle version, nommée Sport, reste encore très attendue, et que sa sortie programmée cette année n’a pas encore été officialisée, voici un petit retour dans le passé pour explorer l’évolution de la saga.
Le 23 décembre 1997, les joueurs japonais découvrent le titre développé par Polyphony Digital. Sur le vieux continent, il faudra patienter jusqu’au 8 mai 1998, puis cinq jours plus tard, c’est au tour des États-Unis de recevoir ce jeu. Sur plusieurs aspects, la sortie bouleverse l’univers plutôt tranquille des jeux de course.
Kazunori Yamauchi, à la tête du studio Polyphony Digital, est un passionné d’automobiles qui a longtemps supplié Sony de lui donner la chance de développer une simulation de conduite authentique. Avant de convaincre Sony, Yamauchi et ses collaborateurs ont créé Motor Toon GP 1 et 2, deux jeux à la façon de Mario Kart, dont la jouabilité annonçait déjà ce que deviendrait la simulation de conduite ultime…
Revenons quelques années en arrière : en 1997, quels jeux de vitesse avaient à offrir les consoles Sony ? Parmi eux, trois titres se démarquent : V-Rally 97, Porsche Challenge dédié au Boxster, et le deuxième épisode de Need For Speed, focalisé sur les supercars.
Dans ces jeux, la progression est très linéaire : on choisit un véhicule, on sélectionne éventuellement un championnat si plusieurs courses sont disponibles, puis on enchaîne les courses pour décrocher tous les trophées, souvent en débloquant une voiture ou un circuit supplémentaire.
Gran Turismo rompt avec cette logique. Il faut d’abord obtenir trois permis (B, A, A International) pour pouvoir participer à toutes les courses. Ensuite, avec seulement 10 000 crédits au début, le joueur doit acheter sa première voiture. Les véhicules de haut niveau, comme la Toyota Castrol Supra GT, ne seront accessibles qu’après avoir amassé 500 000 crédits. On débute alors avec une Mazda Demio, une Honda Civic 1.4 litres ou une Toyota Supra de troisième génération, en occasion.
Concernant le catalogue, il comprend principalement des marques japonaises (Honda, Toyota, Nissan), mais aussi quelques constructeurs américains (Chevrolet, Dodge) et européens (Aston Martin, TVR). Au total, 178 voitures sont disponibles, un record pour l’époque. Pour mettre cela en perspective, V-Rally 97 proposait dix voitures, tandis que Need For Speed II n’en avait que huit.
Les circuits, quant à eux, sont au nombre de onze. La plupart seront repris dans les versions suivantes, avec quelques modifications : par exemple, le circuit Special Stage Route 11 perdra trois virages et plus de 300 mètres entre ses deux premières versions. En 2005, la société japonaise Maeda Corporation a même envisagé de construire une réplique fidèle du tracé de Grand Valley Speedway, mais la recherche d’un terrain adéquat n’a pas abouti…
Un point essentiel du jeu concerne l’amélioration des véhicules pour gagner quelques dixièmes de seconde, parfois décisives pour la victoire. Tout ou presque peut être optimisé, de l’échappement à la suspension. Il est également possible de transformer la majorité des voitures en véritables voitures de course, avec des peintures de guerre.
En matière de sensations de conduite, Gran Turismo introduisait pour la première fois une certaine dose de réalisme sur console. Polyphony Digital a travaillé intensément la technique pour donner au joueur l’impression de piloter une vraie voiture. La différence entre traction, propulsion et quatre roues motrices est perceptible, et la tendance au survirage dès qu’on relâche l’accélérateur est notable. Retourner à Gran Turismo aujourd’hui peut faire sourire face à des simulateurs modernes comme iRacing ou Assetto Corsa, mais à l’époque, aucun jeu ne lui arrivait à la cheville en termes de gameplay.
Avec 10,85 millions de copies vendues, cette première version demeure un des plus grands succès de la PlayStation d’origine. Conscients de détenir une véritable perle en simulation automobile, Sony a renouvelé sa confiance en Yamauchi et ses équipes pour un deuxième volet, lancé deux ans plus tard. Mais cela, ce sera pour un autre moment…
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Les enfants, je ne sais pas si je vais vous faire rire cette fois-ci. On peut bien sûr toujours faire des efforts, passer au dessus, rire pour rire, pour ne pas penser. Détourner les problèmes, les enterrer au fond du canapé, les noyer dans l'hilare.
Se demander légèrement ce que c'est encore cette rumeur de Grincheux qui aurait engrossé Blanche Neige, pourquoi on en parle, qu'est ce que ça a d'intéressant pour que les communiquants nous le unent à titre-larigot?
Non. Pas envie de rire. Mon pote le Prélat s'est fait coincer dans un hôtel d'Amérique pour abus sexuels variés et avariés, et çà, ça ne me fait pas rire.
Déjà : la surprise... Faire dans l'ancillaire, c'est déjà un peu passé de siècle, mais forcé, ça touche au Maupassant! Prince du sordide!
Quand même?!... Se taper de la soubrette?!... De force?!... Holà, Bijou!...
Mais bon... Churchill buvait pendant qu'Hitler était végétarien. Un esprit brillant (et je ne parle évidemment pas de cette buse d'Hitler!) n'a pas forcément les qualités morales qu'on pourrait lui prêter. Ça serait trop facile! Et puis : morale.... À quelle sauce utilitaire ne nous a-t-on jamais servi ce mot?
On peut ressortir poncifs et lieux communs, le pouvoir qui rendrait fou, l'argent qui gâcherait les âmes, un malade est un malade, et si mon Prélat l'est, c'est ainsi. Et c'est dommage.
À l'annonce de la nouvelle, j'ai été abasourdi. Mais vous connaissez mon imagination débordante dès que j'ai rapport au journalisme. J'ai immédiatement pensé au coup monté. Tellement américain. Un coup de fil bien passé. Un service à rendre. "Un montage réglé au cordeau, avec un gros coup de médias par dessus, je te le dis, Maurice, il est fini." Crédible. Ô combien!
Et puis les langues se sont déliées. Il faut dire que j'ai, ne le répétez pas, des amis socialistes. Des qui militent et tout! Eh bien eux, ils savaient, pour le Prélat, disent-ils maintenant. Qu'il était bizarre avec les dames.
Ah?!...
Et les collègues politiques, de l'autre bord, ils ne savaient pas au moins? Ah ben si. Ils savaient aussi. D'ailleurs, c'est simple : tout le monde savait! Hein, Monsieur Dedroite, sur votre blog, qu'au Sofitel, c'était à chaque fois, et que le personnel savait... Et les journalistes observateurs du microcosme politique. Ah bah oui!... Aussi...
Ah bon?! Vous saviez?!
Et toi, Modane, tu devais bien t'en douter, non?
Non.
Je ne savais pas. On m'avait pas dit. Je ne lis que trois journaux en ligne chaque jour, sans compter les entrefilets et les gros titres d'autres blogs, rubriques, humeurs.
Non, je ne savais pas. Et j'ai brusquement l'impression d'être le seul.
Tout le monde profite maintenant de la belle bouse bien chaude pour jouer à sauter des deux pieds dedans pour faire la plus grosse éclaboussure. Moi, j'aurais plutôt le réflexe de la pelle et du balai. Question de tempérament...
L'affaire n'est pas glorieuse, mon Prélat. Tu le sais. Mais le plus dégoûtant, ce n'est pas ce que tu as, peut-être, fait. J'ai vu pire.
J'ai vu une lueur dans l'oeil d'un journaliste. Dans un journal télévisé national. Un bellâtre. Bien élevé, cultivé, éduqué. Je ne sais pas son nom. Certainement une prochaine vedette de l'info. Il a eu brusquement une façon de savourer les mots de son scoop, la lèvre avide, la salive affleurant. Il avait le geste contenu de la jouissance secrète et le regard de celui qui retient un plaisir qu'on ne doit pas voir. Un scoop énorme. Trop bon. Un de ceux qui n'arrivent qu'une fois dans une vie de journaliste.
Rhâââ!... Regardez moi cet homme déchu! Vous avez vu cette chute? Cette humiliation? C'est de la bonne non?... Vous l'avez vu la tête de votre président, maintenant? Ah ouais, hein! Pour calcer de la bonniche, il est fort! Mais entre deux cops de NY City, fait pas le poids! Pauv' malade, va!...
La jubilation de Rome. Le pain et les jeux, et le sang sur le sable.
Mais j'y pense... Que faisait-il avant que l'affaire arrive, celui-là? Il nous a dit, pour le Prélat? Il nous a informé, au moment où on envisageait de lui donner les clés de la République? Non? Pourtant, le 20 heures, c'est fait pour çà? Si je ne peux pas compter sur lui pour me dire, je les sais comment, les choses? Il y avait des affaires? Et elles ne sortent que maintenant? À la curée? L'hallali? Et ceux qui savait, on ne pouvait pas leur demander? Avec l'élégance et la rectitude des Lumières? En journaliste?
Tu vois, mon Prélat, la roue tourne, et des fois très vite. Plus on a de poids, plus elle est brusque. C'est normal. La gravité et le centrifuge. Mais toi, encore, même si je t'interdis de t'approcher de Madame Modane quand je ne suis pas là, je ne t'en veux pas. Mais l'autre, là, qui profite de ta situation pour se faire encore un peu d'audience, en frimant sans faire son job, et en prenant du plaisir à faire le tapin, s'il passe dans la rue, je préviens le quartier entier de changer de trottoir.
Car la corruption est pire que la maladie.
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1. **Version formelle, style journalistique :**
« Je ne suis pas certain que cette fois-ci, je parviendrai à vous faire rire, mes enfants. Bien entendu, il reste toujours possible de tenter d’oublier, de dépasser les soucis, de rire pour rire, d’échapper à la pesanteur des pensées. On peut détourner les problèmes, les enfouir au fond du canapé ou les noyer dans l’hilarité. Quant à cette rumeur absurde selon laquelle Grincheux aurait engrossé Blanche-Neige, je me demande simplement pourquoi cette histoire fait tant parler, ce qu’elle aurait d’intéressant pour que les communicants la relaient à tout-va. Non, je n’ai pas envie de rire. Mon ami le Prélat a été attrapé dans un hôtel en Amérique pour des abus sexuels, et cela ne me fait pas sourire. La surprise d’abord : faire dans l’ancillaire, c’est déjà dépassé, mais là, on touche au Maupassant ! Le prince du sordide. Se taper une soubrette de force ? Holà, Bijou ! Pourtant, Churchill buvait pendant qu’Hitler était végétarien. Un esprit brillant ne possède pas forcément une morale exemplaire, et cela serait bien trop simple. Quant à la morale, on nous l’a souvent servie à toutes les sauces, utilitaire ou autre. Il suffit de ressortir les clichés : le pouvoir qui rend fou, l’argent qui corrompt, un malade est un malade. Et si mon Prélat l’est, c’est ainsi. C’est dommage. Lorsqu’on a appris la nouvelle, j’ai été abasourdi. Mon imagination déborde dès qu’il s’agit de journalisme, et j’ai aussitôt pensé à un coup monté, tellement américain. Un téléphone bien passé, un service à rendre… Un montage parfaitement orchestré, avec une grosse campagne médiatique. C’est crédible à en mourir. Et puis, les langues se sont déliées : j’ai des amis socialistes, militants, et eux savent pour le Prélat, disent-ils. Qu’il était étrange avec les dames. Ah bon ? Et les collègues de l’autre côté, ils ignoraient ? Non, eux aussi savaient. Tout le monde savait, en fait. Sur votre blog, Monsieur Dedroite, vous mentionniez que dans ce Sofitel, c’était systématique, et que le personnel était au courant… Les journalistes aussi, témoins du microcosme politique. Ah, vous saviez ? Et toi, Modane, tu en doutais ? Non, je ne savais pas. Personne ne m’avait dit. Je consulte à peine trois journaux en ligne chaque jour, sans compter les extraits, les gros titres et autres blogs. Et là, j’ai l’impression d’être le seul à l’ignorer. Maintenant, tout le monde saute dans la mare pour faire éclabousser le plus possible. Moi, je préfère employer la pelle et le balai. C’est une question de tempérament. Mon Prélat, cette affaire n’est pas glorieuse, tu le sais. Mais ce qui est le plus dégoûtant, ce n’est pas forcément ce que tu aurais pu faire, j’ai vu pire. J’ai observé dans un journal télévisé national la lueur d’un journaliste, un beau garçon cultivé, qui savourait son scoop comme un plaisir secret, la lèvre gourmande, la salive qui affleure… Sa jouissance contenue, son regard de celui qui retient un plaisir interdit. Un scoop exceptionnel, une occasion unique dans la vie d’un journaliste. Regardez cet homme déchu, cette chute, cette humiliation… C’est du bon, non ? Vous avez vu la tête de votre président ? Ah, il est fort pour cacher de bonniche, mais face à deux policiers new-yorkais, il ne fait pas le poids. Pauvre malade… La jubilation romaine : le pain, les jeux et le sang sur le sable. Et je me demande, pour finir, ce qu’il faisait avant que cette affaire n’éclate. Nous a-t-il informés du Prélat au moment où on lui confiait la République ? Non ? Pourtant, le journal de 20 heures, c’est fait pour ça, non ? Si je ne peux pas compter sur lui pour connaître la vérité, alors comment ? Y avait-il des affaires non dévoilées, et ne sont-elles sorties qu’à présent, pour la curée ? Et ceux qui savaient, auraient-ils pu nous prévenir, avec l’élégance des Lumières ? La roue tourne vite, mon Prélat, et plus on a de poids, plus la chute est brutale. C’est la gravité, ou le centrifuge. Mais toi, même si je t’interdis d’approcher Madame Modane quand je ne suis pas là, je ne t’en veux pas. L’autre, là, qui profite de cette situation pour gagner en audience, en frimant et en se donnant en spectacle, si je le croise dans la rue, je préviens tout le quartier : changez de trottoir. La corruption, c’est pire qu’une maladie. »
**Contexte : article d’analyse politique approfondie.**
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2. **Version familière, style dialogue entre amis :**
« Franchement, je sais pas si cette fois, je vais vous faire marrer, les gars. Bien sûr, on peut toujours essayer de faire abstraction, d’oublier les galères, de rigoler pour de vrai, histoire de pas se prendre la tête. On peut aussi détourner tout ça, planquer les gros soucis au fond du canapé ou les noyer dans l’hilarité. Et cette histoire débile de Grincheux qui aurait engrossé Blanche-Neige ? Sérieux, pourquoi tout le monde en parle comme si c’était la grosse info du siècle ? Qu’est-ce qu’on y trouve d’intéressant pour qu’on en fasse tout un plat, qu’on la ressasse à tout bout de champ ? Non, j’en ai pas envie de rire. Mon pote le Prélat, il s’est fait choper dans un hôtel aux States pour des abus sexuels, et franchement, ça me fait pas rire du tout. Déjà, la surprise… Faire dans l’ancillaire, c’est ringard, mais là, on atteint le niveau Maupassant, quoi ! Le roi du sordide. Se taper une soubrette de force ? Holà, Bijou ! Pourtant, Churchill picolait pendant qu’Hitler était végétarien. Un mec brillant ne veut pas forcément dire qu’il a une moralité irréprochable, faut arrêter avec ça. Et la morale, on nous la sert toujours à toutes les sauces : le pouvoir qui rend fou, l’argent qui corrompt, un malade, c’est un malade. Si mon Prélat l’est, c’est comme ça, c’est dommage. Quand j’ai appris la nouvelle, j’ai été scié. Mon imagination, elle déborde dès qu’il s’agit de journalisme, et j’ai tout de suite pensé à un coup monté à l’américaine. Un coup de fil bien préparé, un service à rendre, un montage parfait, et paf, une grosse campagne médias pour faire du buzz. Ça paraissait crédible à mourir. Ensuite, les langues se sont déliées : j’ai des amis socialistes, militants, et eux savent pour le Prélat. Qu’il était bizarre, disent-ils. Ah bon ? Et les autres, ils savaient pas ? Si, bien sûr. Tout le monde savait, en fait. Sur ton blog, Dedroite, tu disais que dans ce Sofitel, c’était la routine, que tout le monde savait, même le personnel. Et les journalistes aussi, témoins du microcosme politique. Ah, vous étiez au courant ? Et toi, Modane, tu t’en doutais pas ? Non, moi, j’avais aucune idée. Personne m’avait dit. Je regarde à peine trois journaux en ligne par jour, et encore, c’est pas tout. Là, j’ai vraiment l’impression d’être le seul à ne pas savoir. Et maintenant, tout le monde saute dans la mare pour faire sa grosse éclaboussure. Moi, je préfère prendre la pelle et le balai. Chacun son truc. Mon Prélat, cette histoire, c’est pas glorieux, tu le sais. Mais ce qui me dégoûte le plus, c’est pas forcément ce que tu aurais pu faire, j’ai vu pire. J’ai vu un journaliste à la télé, un beau gosse, cultivé, qui savourait son scoop comme un gamin. La lèvre gourmande, la salive qui lui coule, comme s’il jouissait en secret. Un scoop énorme, une chance unique pour lui. Et là, je me dis : regarde cet homme déchu, cette chute… C’est du bon, non ? La tête de votre président après, c’est autre chose. Il cache bien la bonniche, mais face à deux flics new-yorkais, il fait pas le poids. Pauvre malade… La joie de Rome, quoi : du pain, des jeux, et du sang. Et je me demande… Avant que tout ça n’arrive, il faisait quoi, lui ? Il nous a dit quelque chose sur le Prélat, quand on lui filait la République ? Non ? Pourtant, le journal de 20 heures, c’est fait pour ça, non ? Si je peux pas compter sur lui pour connaître la vérité, comment je fais ? Y avait des trucs qu’on savait pas et qui sortent maintenant, pour faire monter la sauce ? Et ceux qui savaient, ils pouvaient pas nous prévenir ? Avec l’élégance des Lumières ? La roue tourne vite, mon Prélat, et plus tu prends de la poids, plus la chute est violente. C’est la gravité ou le centrifuge, tu vois. Mais toi, même si je t’interdis de voir Madame Modane quand je suis pas là, je t’en veux pas. Par contre, si l’autre profite de la situation pour faire du buzz et se la jouer, si je le croise dans la rue, je vais prévenir tout le quartier : changez de trottoir. La corruption, c’est pire qu’un virus. »
**Contexte : conversation entre amis, ton familier et volontairement décontracté.**
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3. **Version poétique, style lyrique ou métaphorique :**
« Ah, mes enfants, peut-être que cette fois, le rire se dérobera à vous, comme un rêve évanoui au lever du jour. Pourtant, l’effort demeure, le pas au-dessus des ombres, le rire comme un pont vers l’oubli, un refuge éphémère. Tels des détourneurs d’angoisse, nous enterrons nos drames au fond du canapé, ou les noyaons dans la marée de l’hilarité. Et cette rumeur, insensée, de Grincheux fécondant Blanche-Neige, pourquoi donc ce flot de murmures ? Qu’y trouve-t-on d’exceptionnel, pour que les voix des communicants la déversent sans cesse, comme un torrent sans fin ? Non, je ne désire pas rire. Mon ami le Prélat, pris dans la toile d’un hôtel américain pour des abus, cela ne m’amuse pas. La surprise d’abord : dans le siècle passé, faire dans l’accessoire, c’était démodé, mais là, on touche au Maupassant, ce maître du sordide. Se saisir d’une soubrette sous la force ? Holà, Bijou ! Churchill, lui, buvait, quand Hitler, lui, choisissait la végétation. Un esprit brillant n’est pas forcément un modèle moral ; la morale, cette vieille amie, nous a été servie à toutes les sauces, comme un plat de cuisine utilitaire. On brandit les clichés : le pouvoir qui détraque, l’argent qui corrompt, la maladie comme une ombre qu’on ne quitte pas. Et si mon Prélat est malade, qu’importe, c’est ainsi. C’est un triste destin. La nouvelle est comme un éclair qui déchire le ciel, et dans mon âme, la tempête gronde. Mon imagination, telle une mer déchaînée, s’emballe dès qu’il s’agit de journalisme, et j’ai aussitôt pensé à une manœuvre ourdie à l’américaine. Un coup de fil, un montage, un ballet de médias pour faire tomber la vérité. Tout cela paraissait tellement crédible, comme un rêve noir. Puis, les langues se sont délestées : j’ai des amis socialistes, des combattants de la cause, qui savent pour le Prélat, ils disent. Qu’il était étrange avec les femmes, murmure-t-on. Et les autres, ceux de l’autre camp, ils ignoraient ? Non, ils savaient aussi. Tout le monde, au fond, connaissait. Sur votre blog, Dedroite, vous évoquiez que dans ce Sofitel, c’était une routine, que tout le monde le savait, même le personnel. Et les journalistes, témoins du microcosme ? Ah, vous saviez ? Et toi, Modane, tu te doutais pas ? Non, je n’avais aucune idée. Personne ne m’avait soufflé la vérité. Je ne consulte que trois journaux en ligne, et même pas tous les jours. Et là, je ressens comme une solitude, un isolement. Tout le monde plonge dans la mare, sautant dans la plus grande éclaboussure, pour montrer leur fougue. Moi, je préfère la pelle, le balai, l’éloignement. C’est une question de tempérament, voilà tout. Mon Prélat, cette affaire n’est pas glorieuse, tu le sais. Mais ce qui me dégoûte le plus, ce n’est pas ce que tu aurais pu faire, j’en ai vu pire. J’ai vu dans un journal télévisé, un jeune homme beau, cultivé, savourant son scoop comme un nectar défendu, la lèvre gourmande, la salive prête à couler. Il contenait sa jouissance, comme un secret, un plaisir qu’on ne doit pas montrer… Un scoop hors du commun. Et je me dis : regarde cet homme déchu, cette chute… C’est du bon, non ? La tête de votre président, après, c’est autre chose. Il cache bien la bonniche, mais face à deux flics de New York, il ne fait pas le poids. Pauvre malade… La joie romaine, entre pain, jeux et sang versé. Et puis, je me demande : avant que tout cela n’arrive, il faisait quoi, lui ? Il nous disait quelque chose sur le Prélat, quand on lui confiait la République ? Non ? Pourtant, le journal de 20 heures, c’est fait pour ça, non ? Si je ne peux pas lui faire confiance pour connaître la vérité, comment faire ? Y avait-il des secrets non dévoilés, qui n’étaient révélés qu’à présent, pour la curée ? Et ceux qui savaient, auraient-ils pu nous prévenir, avec la grâce des Lumières ? La roue tourne vite, mon Prélat, et plus on pèse lourd, plus la chute est dure. C’est la gravité, ou le mouvement centrifuge. Mais toi, même si je t’interdis de voir Madame Modane quand je ne suis pas là, je ne t’en veux pas. Mais si l’autre, profitant de tout ça, tente de faire un coup d’éclat, si je le croise dans la rue, je préviens tout le quartier : changez de trottoir. La corruption, c’est pire qu’un mal incurable. »
**Contexte : poème lyrique, réflexion introspective.**
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4. **Version humoristique, style caricatural ou satirique :**
« Bon, les enfants, je ne sais pas si cette fois, je vais vous faire pouffer de rire. On peut toujours faire semblant, faire comme si de rien n’était, passer outre, rire pour oublier, comme si la vie était qu’une blague. On peut aussi détourner la vérité, la cacher au fond du canapé, la noyer dans une ribambelle de rires. Et cette histoire de Grincheux qui aurait engrossé Blanche-Neige ? Sérieux, pourquoi tout le monde en fait tout un plat ? Qu’est-ce qu’on peut bien y trouver d’intéressant pour que les communicants en fassent des tonnes à longueur de journée ? Non, je n’ai pas envie de rire. Mon pote le Prélat, il s’est fait attraper dans un hôtel américain pour des abus sexuels ? Et ça, ça me fait pas rire du tout. La surprise ? Faire dans l’accessoire, c’est dépassé, mais là, on est carrément dans le Maupassant, le roi du sordide ! Se taper une soubrette de force ? Holà, Bijou ! Churchill picolait, Hitler était végétarien, et moi je vous dis : un esprit brillant ne garantit pas une morale d’enfer. La morale, on nous l’a toujours servie à toutes les sauces : pouvoir fou, argent qui corrompt, et maladie qu’on cache. Si mon Prélat est malade, c’est comme ça. C’est triste, mais c’est la vie. Quand j’ai appris la nouvelle, j’ai été sidéré. Mon imagination déborde dès qu’il s’agit de journalisme, et j’ai tout de suite pensé à une mise en scène à l’américaine : un coup de fil, un montage, une campagne de médias, et voilà le scoop du siècle. Si crédible, qu’on aurait dit du Hollywood. Ensuite, ça a commencé à parler : j’ai des amis socialistes, militants, et eux, ils savent tout sur le Prélat. Qu’il était bizarre avec les dames, qu’ils disent. Ah ouais ? Et les autres, ils savaient pas ? Non, ils savaient aussi. Tout le monde savait, en gros. Sur votre blog, Dedroite, vous disiez que dans ce Sofitel, c’était la routine, que tout le monde le savait, même le personnel. Et les journalistes, eux aussi, témoins du microcosme politique. Ah, vous saviez ? Et toi, Modane, tu t’en doutais pas ? Non, moi, j’avais aucune idée. Personne ne m’a soufflé la vérité. Je ne consulte que trois journaux en ligne, et même pas tous les jours. Et là, je me sens comme le seul à l’ignorer. Et maintenant, tout le monde saute dans la mare pour faire la plus grosse éclaboussure. Moi, je préfère la pelle et le balai. Chacun son truc. Mon Prélat, cette histoire, c’est pas glorieux, tu le sais. Mais ce qui me dégoûte, c’est pas forcément ce que tu as fait, j’ai vu pire. J’ai vu dans un journal télévisé un beau gosse cultivé, qui savourait son scoop comme un bonbon, la lèvre gourmande, la salive qui lui coule. Il jouissait presque, comme un plaisir interdit. Un scoop qui tombe une fois dans une vie. Et là, je me dis : regardez cet homme déchu ! La chute, la honte… C’est du bon, hein ? La tête de votre président après, c’est autre chose. Il cache sa bonniche comme un pro, mais face à deux flics de New York, il fait pâle figure. Pauvre malade… La Rome antique, avec ses jeux sanglants et ses banquets de pain. Et je me demande : avant que tout ça n’arrive, il faisait quoi, lui ? Il nous a parlé du Prélat quand on lui a filé la République ? Non ? Pourtant, le JT, c’est pour ça, non ? Si je peux pas compter sur lui pour connaître la vérité, alors comment ? Y avait-il des secrets bien gardés, et ils ne sont révélés qu’au moment de la curée ? Et ceux qui savaient, ils pouvaient pas prévenir ? Avec tout le respect de l’éthique, comme à l’époque des Lumières ? La roue tourne vite, mon Prélat, et plus tu pètes de poids, plus la chute est brutale. C’est la gravité, ou le mouvement centrifuge. Mais toi, même si je t’interdis de voir Madame Modane quand je suis absent, je ne t’en veux pas. Par contre, si l’autre profite de tout ça pour faire du buzz, si je le croise dans la rue, je vais prévenir tout le quartier : changez de trottoir. La corruption, c’est pire qu’une maladie contagieuse. »
**Contexte : satire sociale ou politique, ton comique et caricatural.**
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5. **Version philosophique, style réflexion profonde ou méditative :**
« Je me demande, mes enfants, si cette fois-ci, je serai capable de vous faire sourire, ou si le poids du monde vous empêchera de rire. Peut-être qu’il faut toujours faire un effort, dépasser nos illusions, franchir l’obstacle de la facilité, et rire pour ne pas sombrer dans l’abîme. Nous pouvons détourner la douleur, l’enfouir au fond du canapé, ou la noyer dans une hilarité factice. Quant à cette rumeur absurde, celle de Grincheux qui aurait engendré Blanche-Neige, je m’interroge simplement : pourquoi tant d’écho ? Qu’y a-t-il d’intéressant dans cette histoire pour que les communicants s’y accrochent avec tant d’avidité ? Non, je ne souhaite pas rire. Mon ami, le Prélat, est victime d’une erreur grave : il a été pris dans un hôtel en Amérique pour des actes odieux, et cela ne peut que susciter mon dégoût. La surprise, d’abord : faire dans l’accessoire, c’est dépassé, mais là, on touche au Maupassant, ce maître du sordide et des passions dévoyées. Se saisir d’une soubrette sous la contrainte ? Holà, Bijou ! Churchill, lui, buvait pour apaiser l’âme, quand Hitler se nourrissait de végétaux. La grandeur d’esprit ne garantit pas la pureté morale, et ce paradoxe nous enseigne que la vertu n’est pas toujours là où on l’attend. La morale, cette vieille compagne, nous a été servie à toutes les sauces, souvent utilitaire ou spéculative. Nous brandissons les clichés : le pouvoir qui détraque, l’argent qui corrompt, la maladie qui ronge. Si mon Prélat est malade, alors qu’il en assume les conséquences. C’est ainsi. Et c’est triste. Quand la nouvelle est tombée, j’ai ressenti un choc profond. Mon esprit, toujours en mouvement, s’emballe dès qu’il s’agit de journalisme, et j’ai d’emblée pensé à une manipulation, une mise en scène à l’américaine. Un coup de fil, un montage, la mise en scène d’un scandale orchestré à la perfection pour faire tomber la vérité. La crédibilité semblait alors atteinte, comme une illusion fragile. Mais les langues se sont déliées : des amis socialistes, engagés dans la lutte, savent pour le Prélat. Qu’il était étrange, disent-ils, avec les femmes. Et les autres, ceux de l’autre camp, ils ignoraient ? Non, eux aussi, ils savaient. Tout le microcosme politique était au courant, au fond. Sur votre blog, Dedroite, vous évoquiez la routine au Sofitel, où même le personnel connaissait. Et les journalistes, témoins silencieux de cette grande comédie ? Ah, vous saviez ? Et toi, Modane, tu ne t’en doutais pas ? Non, je n’avais aucune idée. Personne ne m’a soufflé la vérité. Je ne consulte que quelques journaux en ligne, et même pas tous les jours. Et là, je ressens une solitude profonde, une mise à l’écart volontaire. Tout le monde plonge dans la mare pour sauter dans la plus grosse éclaboussure, oubliant la retenue. Moi, j’aurais plutôt la patience du balai et de la pelle, car c’est une question d’âme. Mon Prélat, cette affaire n’est pas glorieuse, tu le sais. Mais ce qui me dégoûte le plus, ce n’est pas forcément ce que tu as fait, j’ai vu pire. J’ai vu dans un journal télévisé un jeune homme beau, cultivé, savourant son scoop comme un vin précieux, la lèvre gourmande, la salive qui coule. Il contenait une jouissance secrète, comme un plaisir interdit, un plaisir qui ne devrait pas s’afficher. Un scoop exceptionnel, unique dans une vie de journaliste. Et je me dis : regarde cet homme déchu, sa chute… C’est du bon, non ? La tête de votre président, après, c’est autre chose. Il cache sa bonniche comme un maître, mais face à deux policiers new-yorkais, il ne fait pas le poids. Pauvre malade… La Rome antique, ses jeux sanglants, ses banquets de douleur. Et je m’interroge : avant que cette tempête n’éclate, qu’était-il ? Il nous a parlé du Prélat, quand on lui confiait la République ? Non ? Pourtant, le journal de 20 heures, c’est pour ça, non ? Si je ne peux pas lui faire confiance pour connaître la vérité, alors comment ? Y avait-il des secrets inavoués, enfouis dans l’ombre, et qui ne sont révélés qu’au moment de la curée ? Et ceux qui savaient, n’auraient-ils pas pu nous prévenir, avec l’élégance de la raison ? La roue tourne, mon Prélat, et plus on a de poids, plus la chute est vertigineuse. C’est la loi de la gravité ou celle du mouvement centrifuge. Mais toi, même si je t’interdis d’approcher Madame Modane quand je ne suis pas là, je ne t’en veux pas. Et si l’autre profite de la situation pour faire du bruit, pour se faire une réputation, si je le croise dans la rue, je préviens tout le quartier : changez de trottoir. La corruption, c’est pire qu’un mal incurable. »
**Contexte : méditation philosophique, ton réflexif et profond.**
| 0.982007 |
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